Titre : Harry, the sorcerer doctor.

Résumé : Que faire lorsque notre vie nous déçois ? Doit-on fin à notre vie ? Pour Harry, cela semble impossible. Il avait essayé mais a fait la rencontre qui pu changer sa vie... (il y aura un nouveau chapitre tous les 2 du mois)

Rating : T

Auteurs : louanne56 et Kathelen

Bêta : Kathelen


Prologue

« Au moment d'être admis à exercer la médecine, je promet et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterais toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité. J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperais jamais leur confiance et n'exploiterais pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerais mes soins à l'indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admis dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerais pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverais l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrais rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrais et les perfectionnerais pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J'apporterais mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité. Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré et méprisé si j'y manque. »

Comme tout le monde le sait, ce serment est prononcé dans les facultés de médecine en fin d'études, et moi, Park Si On, génie ayant fini mes études de médecine à l'âge de seize ans, en a surpris plus d'un. Tout a commencé peu de temps après son quinzième anniversaire…


Lors d'une nuit sans lune, personne ne devrait être témoin d'une telle atrocité. Personne, et surtout pas un élève devrait être témoin du meurtre d'un camarade de classe ainsi que du retour d'un certain Voldemort. Depuis plus d'une semaine, il avait demandé de l'aide autour de lui, à ses professeurs, à certains amis, à certains adultes, mais personne, absolument personne n'a voulu l'aider. Depuis, il rêve, il rêve de leurs morts, que ce soit la mort de son camarade de classe : Cédric. Ou de ses parents. Toutes les nuits, il entend son rire de fou, ce rire démoniaque qui lui rappelle que c'est de sa faute que Cédric est mort, que c'est sa faute si ses parents sont décédés. S'il n'était pas né, ses parents seraient encore en vie s'il n'avait pas forcé Cédric à prendre la coupe, il serait encore en vie s'il avait pu mieux se défendre contre Queudvert, il ne lui aurait pas pris son sang et Voldemort ne serait pas revenu. Il s'en veut, il n'a plus la force de se battre contre cette vie, il est lâche et l'a toujours été. Mais, ce soir tout va s'arrêter. Il ne sera plus la victime de Voldemort. Ce soir, plus personne ne mourra pour lui, car ce soir, il prend une décision : il va choisir sa mort.

Lors de cette nuit sans lune, personne ne vit le corps d'un jeune adolescent rempli de culpabilité basculer par-dessus le pont qui traversait une autoroute, mais l'une des rares voitures encore en circulation au vu de l'heure, le senti parfaitement atterrir sur son toit. Elle réussit même à ne pas perdre le contrôle de son véhicule, et au bout de cinq cent mètres, elle pu s'arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence. Lorsqu'elle descendit de son véhicule elle découvrit un gamin qui avait l'air d'avoir treize ou quatorze ans. Elle prit alors son portable, mais en vain, car à cet endroit il n'y avait pas de réseau. Elle se retrouvait donc à trois heure du matin, seule au milieu de l'autoroute avec un gamin agonisant sans aucune chance d'avoir de l'aide par qui que ce soit. Mais la seule chance du gamin, c'est qu'elle n'avait pas fait dix ans d'étude de médecine pour rien…