Bonjour à tous et à toutes !
J'ai décidé de poster sur une idée qui me trottait dans la tête depuis un petit moment !
J'espère ne pas trop avoir changé les caractères de chacun mais après c'est ce qui pourrait être d'après moi le ressenti de Kuroko sur la Génération Miracle. C'est donc un ressenti personnel !
Une suite est déjà prévue donc si vous le voulez, je peux la poster ! Est-ce qu'une publication par semaine vous ira ?
J'ai relu plusieurs fois le texte, mais il peut toujours y avoir des fautes d'inattention. Je m'excuse d'avance pour cela.
Disclaimer : aucun des personnages ne m'appartient. On remercie pour cela Tadatoshi Fujimaki.
J'offre ce petit recueil à PetitPentagram qui commence officiellement sa nouvelle vie aujourd'hui ! Je te souhaite une bonne installation et tous pleins de bonnes choses pour ta toute nouvelle aventure !
Sur ce je finis mon blabla inintéressant (je le suppose) et vous souhaite une bonne lecture !
« Kise,
Ton sourire a toujours réussi à réchauffer mon cœur. Alors pourquoi tu ne souris plus lors de nos matchs ?
Tu es le dernier à nous avoir rejoint et on m'a demandé d'être ton instructeur. Est-ce que tu sais à quel point j'étais heureux que l'on me demande à moi qui suis insignifiant cela ? Et encore plus ma joie quand tu as fini par m'accepter et à aimer réellement le basket !
Je ne suis pas arrogant au point de penser que je peux me tenir avec vous dans la lumière mais à toi tout seul, tu étais l'incarnation même du soleil. Ton insouciance et ta gaieté ont rendu plus d'une fois l'atmosphère beaucoup plus chaleureuse même si tu en as souvent payé le prix ! Mais comprends nous, c'était notre façon à nous de t'accepter dans notre groupe, de te montrer notre affection.
Ta mine boudeuse vaut tous les trésors du monde lorsque tu n'obtiens pas ce que tu veux ! Et presque naturellement, tes jérémiades sont devenues un bruit de fond à nos oreilles, beaucoup moins désagréable que ce que l'on pourrait croire. Tu avais un comportement enfantin – que tu as gardé d'ailleurs – qui dénotait au milieu de toute cette pression. Et même lorsque tu as commencé à penser que gagner était naturel tu as gardé cette naïveté !
Sais-tu à quel point je t'ai jalousé pour tes capacités ? Tu étais – et tu es toujours – celui que je considérais comme mon rival ! Tu es arrivé bien après moi mais tout te semblait si facile. Tu avais le moins d'expérience au basket et pourtant, tu es vite devenu l'un des meilleurs. Rejoignant de ce fait le cinq majeur !
Et puis à côté de ça, tu avais aussi ton travail de mannequin ! Tout te réussissait ! Mais, malgré cela tu es quand même resté avec nous. Tu te souviens de ces moments passés ensemble à manger des glaces ? Tout me semblait beaucoup plus simple à cette époque.
Je ne peux pas t'en vouloir d'avoir changé. Je sais que pour vous c'était difficile à supporter de ne plus avoir d'adversaires à votre hauteur. Ta passion du basket s'est donc doucement essoufflée mais toi au moins tu avais toujours Aomine pour te tenir tête.
Je souhaite toujours me retrouver sur le parquet avec celui qui se dit mon meilleur ami que ce soit en adversaire ou en coéquipier parce que pour moi, tu es un ami très précieux. Et que mon ami me manque... beaucoup...
Le sixième joueur fantôme Kurokocchi. »
