Confessions Nocturnes…
AUTEUR : Morgane et Holly
EMAIL :
Forum sur les couples d'Atlantis : loveinthecity.aceboard.fr/
Forum pour publier vos fanfictions : histoiredencre.
DATE : Mai 2008
SAISON : Hors saison
CATEGORIE : Romance (shweir)
RESUME : John, après avoir disparu, est de retour parmi les siens. Mais même si, tout semble aller pour le mieux, une personne rode…
ARCHIVES : Je serai très heureuse que ce fan fic soit diffusé sur d'autres sites, merci de m'en informer si vous l'utilisez.
DISCLAIMER : Je ne touche pas d'argent pour cette fic, que j'écris pour le plaisir. Cependant, la totalité de cette fanfiction est la propriété de son auteur (ne pas publier, en totalité ou en partie, sur quelque support que ce soit, sans l'accord de l'auteur).
NOTE DE L'AUTEUR :
Voila une petite fics qui dont l'idée mes venue, en relisant une fics sur sg1 ! J'en et parlé a Holly, qui ces montré intéressée ! Donc, cette fics et la première collaboration avec ma réglisse ! J'espère que cela ne ta pas trop traumatisé ma belle ?? J'ai était très heureuse de l'écrire avec toi !
Vous pouvez retourver les fics de Holly sur son profil dont voila le lien :
Allez y, elles son géniale
La cité d'Atlantis brillait de mille feux au milieu de l'océan. Les faibles rayons de lune éclairaient les couloirs déserts, où seuls les pas d'un homme se faisaient entendre dans le lointain.
Le militaire, en faction au détour d'un couloir, tendit l'oreille et mit ses deux mains sur son P90, prêt à faire feu sur ce visiteur nocturne. Il se détendit quelque peu quand il vit l'homme, qui à présent lui faisait face.
L : « - Colonel Sheppard. »
J : « - Lieutenant (voyant celui-ci tendu) repos. Rien à signaler ? »
L: « - Non. RAS mon Colonel. »
J : « (hochant la tête) – Très bien (sur le ton de la confidence) Dites moi, vous n'auriez pas vu le Docteur Weir par hasard ? »
Le lieutenant ne put s'empêcher d'esquiver un sourire.
L : « - Elle est encore dans son bureau. »
J : « - Bien merci. »
Il lui adressa un petit signe de la tête et s'éloigna. Son bureau…Pourquoi n'y avait-il pas pensé ? Aurait-il perdu cette faculté de déduction en ce qui la concernait, après ces deux semaines à l'infirmerie ?
John grimaça à cette pensée…Non…Impossible…Le jeune homme savait toujours tout en ce qui la concernait. Et c'est vrai que, regardant sa montre, à cette heure ci, elle ne pouvait être que là bas…
Elle travaillait décidément trop…John était persuadé que durant ces deux semaines, Elizabeth était quasiment restée enfermée dans cette cage de verre…Mais…un sourire malicieux passa sur ses lèvres…Il espérait bien que ce soir, ils allaient passer la soirée ailleurs que dans son bureau…Ils avaient du temps à rattraper…Et, il n'avait jamais été très exhibitionniste.
Son sourire s'agrandit, rien qu'à la pensée des méthodes, très peu orthodoxes, qu'il allait employer pour la faire sortir de là…il accéléra le pas, direction la salle de commande…
Au détour d'un couloir, le militaire entendit la voix de McKay. Celui-ci interrogeait un militaire, lui demandant s'il n'avait pas vu le Colonel Sheppard, le lieutenant lui répondit que non, en même temps que John grimaçait.
Bon sang ! Il venait à peine de sortir de l'infirmerie, où il avait passé deux semaines à cause d'un tir Wraith ! Les scientifique ne pouvaient pas le laisser en paix ne serait ce qu'une soirée ? De plus, il avait largement autre chose à faire que d'essayer un prototype quelconque de machine Ancienne que Rodney avait probablement trouvé dans un des laboratoires reculés de la cité.
John réfléchit une micro seconde, et décida de contourner par la droite…D'accord, il prendrait plus de temps, mais au moins, il ne jouerait pas les rats de labo pendant toute la nuit….Après avoir jeté un dernier regard à Rodney, qui pestiférait contre l'incompétence des militaires qu'il pouvait y avoir sur cette cité, le jeune homme reprit sa marche.
Il ne mit pas plus de 10 minutes avant de se retrouver devant la grande et majestueuse porte des étoiles. John la fixa un instant, les yeux dans le vague, au souvenir de toutes ces missions interplanétaires…Il secoua la tête peu désireux de s'épancher ce soir…Il avait d'autres projet en tête…C'est avec un petit sourire en coin, qu'il grimpa 4 à 4 les marches de la salle embarquement, arrivant enfin en salle de commande.
Deux militaires en faction, discutaient sur le petit balcon qui surplombait la Stargate. Celui de droite, un lieutenant, faisait de grands gestes en parlant, semblant prendre un plaisir à expliquer ce qui avait dû lui arriver….L'autre, un Sergent, l'écoutait d'une oreille distraite.
Quand il vit le Colonel Sheppard, le militaire donna un violent coup de coude à son voisin.
L : (Grimaçant) Aie ! Mais ça va pas non ! Qu'est ce qui te prend !
Le sergent lui fit un petit signe de la tête dans la direction où se tenait John, qui affichait un sourire discret, amusé par l'attitude des deux hommes. Le lieutenant se retourna, et écarquilla les yeux, en se mettant directement au garde à vous, quand il reconnut le Colonel Sheppard.
L : Au rapport mon Colonel !
J : Repos ! (Soupirant en souriant) Je me demande combien de fois je devrais le dire ce soir.
S : (perplexe) Pardon ?
J (battant l'air de sa main) : Bah laissez tomber ! Vous savez, ce n'est pas parce que vous discutiez, que je vais vous tomber dessus. Je sais combien les gardes peuvent être pénibles. (Le sergent eut un faible sourire) Enfin, (secouant la tête) Rien à signaler ?
S : - Non.
J : Bien ! (Faisant un geste de la tête) Vous pouvez disposer, je vais prendre la relève !
L : Mais mon…Colonel.
J : (nonchalamment) Ne vous inquiétez pas ! Je sais me débrouiller ! Je vous appelle en cas de problème !
Les deux soldats échangèrent un regard…Que pouvaient-ils dire ? C'était leur supérieur, il faisait ce qu'il voulait après tout…
L : D'accord mon Colonel. Heu…Le Docteur Mckay vous recherche et le Docteur Weir est toujours dans son bureau.
J : Merci.
Il allait s'éloigner, quand il revint sur ses pas.
J : (levant un doigt) Heu…Si vous voyiez McKay, vous lui dites que vous ne m'avez pas vu !
L : (hochant la tête) Bien entendu mon Colonel.
John les regarda s'éloigner, jusqu'à ce qu'ils disparaissent de son champ de vision, avant de se diriger vers le bureau où se trouvait la femme de sa vie.
