Disclaimer : Tout appartient à Mr Jeff David enfin presque...

Résumé : "Stiles et Derek ne savaient pas vers qui se tourner : ils avaient besoin d'un vagin. Par chance (ou pas), la solution n'était pas si loin." STEREK

SuperBêta :On ne change pas une équipe qui gagne ^^ TheCrasy, mais pour cette histoire Voidonce a également beaucoup aidé MERCI à elles *toutlemondeenvoiedescookies*

Note de l'auteuse : Mes très chers Pierre, après cette mort plus rien ne sera comme avant. Mais tout doit rester comme avant. Un petit OS ?! J'ai commencé à écrire cette chose le 15-04-2015 pour finalement le continuer/finir en à peine quoi... 2 semaines. Je suis bien contente de pas avoir renoncé.

(Désolée pour celles qui espéraient lire 11, mais j'y travaille)

Maintenant juste une miiiise au point sur les plus belles hist -hum pardon- donc, n'ayant pas vécu Le Sujet abordé ici, bien que je me sois renseignée, je m'excuse s'il y a des énormités ou des trucs totalement idiots. Je n'ai, également, pas lésiné sur les clichés donc DÉSOLÉE. J'espère que vous aimerez malgré tout. Je n'en dis pas plus (même si j'ai rien dit) je vous couvre d'humus parfumé d'Amazonie pour que vous passiez une lecture au chaud.

oOOo DÉSACCORD ET DÉCISION oOOo

Cela faisait bientôt sept années que Stiles et Derek étaient ensemble, sept longues années. Beaucoup n'avaient pas cru à cette longévité, et les membres de leur propre meute avaient lancé des paris sur la durée de leur couple. Mais tous y avaient perdu leur argent. Malgré tout, n'imaginez pas que tout était rose et plein de paillettes chez les Hale-Stilinski. Ils avaient comme tout un chacun leurs lots de disputes, d'engueulades, de claquages de porte et de cassages de vaisselle. Mais leur secret était dans la communication qu'ils avaient instaurée. Certes,parfois celle-ci était forcée par Stiles, mais avec le temps le plus jeune n'avait plus besoin d'obliger son compagnon taciturne à s'ouvrir. Pas toujours en tout cas... Et puis bien sûr, une fois le problème discuté, même s'il y avait toujours un désaccord, il y avait la réconciliation, qui pour le coup, mettait toujours tout le monde d'accord.

Mais aujourd'hui c'était différent. La dispute était différente, trop importante, sujet trop sensible. Peut-être que le sujet amenait tout simplement trop d'émotions à tous les deux. Le résultat était donc aussi différent que d'habitude. Aujourd'hui Stiles avait claqué la porte sans un mot. En temps normal il aurait lancé une flopée de mots fleuris à son conjoint, le tout sur une dose de sarcasme avant de claquer la porte. Là, seul le bruit de cette porte avait accompagné son départ.

Mais ce n'était pas tout. En temps normal, Stiles serait parti voir Scott, son frère de cœur. Il lui aurait tout raconté, sans attendre de réponse, peut-être aurait-il insulté Derek avec son aide. Cependant après il serait rentré parler avec Derek et à ce moment aurait eu lieu leur discussion, suivie de leur réconciliation (pas toujours au lit, et pas toujours dans cet ordre). Or, cette fois-ci, il ne s'était pas rendu chez Scott... Non. Cette fois-ci ses pas l'avaient guidé à la maison qui l'avait vu grandir. Il était rentré grâce à sa clé qu'il conservait pour mettre des plats sains dans le frigo de son père, et il s'était installé sur son lit puis s'était simplement endormi là.

Plus tard dans la nuit, quand son père était rentré de son service du commissariat, il avait vu la lumière à l'étage. Il monta immédiatement, arme au poing. Cependant le voleur présumé n'était autre que son fils endormi sur ses couvertures. Face à ce spectacle, même s'il était tracassé du pourquoi Stiles avait ressenti le besoin d'être là, il ne put s'empêcher d'être attendri de voir son fils unique à la maison. Sa grande demeure lui paraissait toujours vide depuis qu'il était parti. Il prit donc le temps de le déchausser et de le recouvrir de sa couverture, un sourire sur les lèvres.

-Bonne nuit Genim. Avait-il chuchoté en lui embrassant le front.

Puis il partit lui aussi se reposer, non sans avoir envoyé un message à Derek « Je sais pas ce qu'il s'est passé, mais ne t'inquiète pas pour lui, il roupille à la maison. Maintenant dors fils. » Et effectivement, le père Stilinski avait vu juste, Derek se faisait du mouron depuis la seconde où Stiles avait passé le seuil du loft en silence. Et il tournait en rond comme un loup en cage depuis plusieurs heures maintenant. Soulagé de le savoir en sécurité, il partit se reposer dans leur lit vide et froid.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, Stiles avait eu la conversation la plus sérieuse qu'il n'avait jamais eue avec son père. Stiles lui avait dit ce qu'il avait sur le cœur, son père avait écouté puis encore écouté. Son fils lui avait posé des questions, beaucoup de questions. Et il avait pris le temps de répondre à chacune d'elles, le plus sincèrement possible. Au final leur petit déjeuner s'était éternisé jusqu'à midi et Stiles était parti en souriant. Il avait serré son père dans ses bras et avait presque couru jusqu'au loft. En réalité il regrettait même d'être venu à pied. Outre le fait d'être pressé de retrouver son homme, il s'était mis à pleuvoir des cordes à peine à la moitié du trajet. C'est donc trempé jusqu'à l'os qu'il poussa la porte de l'appartement.

À peine avait-il franchi le seuil de la porte qu'il se retrouva écrasé dans l'étreinte chaude de son compagnon, entouré de ses « Je suis désolé Stiles... ». Ce fut avec un grand sourire caché dans l'étreinte humide qu'il lui répondit en passant les bras autour de la taille musclée de Derek.

-Tu vas être tout mouillé.

La voix de Stiles était amusée mais Derek, soulagé de n'entendre aucune rancune dans celle-ci, ne fit que le serrer plus fort entre ses bras, trempant un peu plus le Henley qu'il avait enfilé avec son jeans quand il s'était levé le matin même. Ce fut finalement Stiles qui, après plusieurs minutes à refroidir son compagnon en récupérant de sa chaleur, amorça la séparation de leur corps en appuyant sur le torse de son homme. Une fois assez éloigné pour pouvoir le regarder dans les yeux sans loucher, il posa ses grandes mains sur les joues de son compagnon, bougeant ses doigts dans sa barbe dont il adorait appréhender la longueur, puis entra directement dans le vif du sujet :

-Je comprends que tu aies peur Derek.

celui-ci fit mine de vouloir parler mais Stiles l'arrêta en posant un doigt sur ses lèvres et reprit :

-Je comprends Derek, mais on peut. Je sais que tu en as envie, je le vois à ton regard quand tu vois Ali, et moi aussi je voudrais connaître ce bonheur. Mais tu ne dois pas t'arrêter à la peur qui te ronge. Cette peur que tu as de tout perdre. Cette peur de nos différences : mon hyperactivité, ton côté loup, le fait que l'on soit deux hommes. Ce ne sont pas les vrais problèmes.

-Mais... fut le seul mot qui était parvenu à franchir les lèvres de Derek dans sa tentative de prise de parole.

-Il n'y a pas de mais Derek, s'agaça Stiles, tu crois quoi à la fin ? Que Scott et Kira ou même nos parents, n'avaient pas peur ? Bien sûr que si, ils avaient la trouille même ! Combien de fois Scott est venu me voir parce qu'il ne se pensait pas capable de s'occuper d'Ali ? Même avec Raiden il a continué à avoir peur ! Et maintenant, regarde-les. Au final mon père s'en est très bien sorti avec mon hyperactivité, et toi Derek, ton enfance de louveteau c'était si horrible ?

Derek sourit en repensant à sa jeunesse, lui, sa mère et ses sœurs, courant dans les bois. Non son enfance avait était parfaite, tellement qu'il n'avait pas été préparé à la suite. Mais comment aurait-il pu ? Mais malgré tout, pour rien au monde il ne changerait ça.

-Non. c'était parfait.

Derek posa doucement ses lèvres sur celles de Stiles, l'homme qui lui ouvrait les yeux depuis toutes ces années. Il l'avait déjà fait en faisant le premier pas sept ans plus tôt, quand ils s'étaient enfin mis ensemble. C'était Stiles qui lui ouvrait les yeux quand il ne voyait pas de solution à un problème. Toujours lui. Il ne sait pas ce qu'il ferait sans cet homme à ses côtés. Se détachant de ses lèvres, il posa la dernière question qu'il voulait lui poser avant d'être sûr d'accepter.

-Mais...

Derek hésita, mais sous le regard sévère, il posa sa question :

-Pourquoi ne pas vouloir simplement adopter un enfant ?

Stiles sembla sincèrement réfléchir à la question. Au début, quand ils avaient enfin décidé d'essayer tous les deux, ils profitaient simplement de ce qu'ils avaient. Puis le temps avait fait son œuvre. Scott et Kira s'étaient mariés et ils avaient eu une petite fille, la merveilleuse petite Ali dont Stiles était le parrain. Derek avait été jaloux en l'apprenant mais Kira lui avait soufflé dans l'oreille qu'elle en ferait un autre, rien que pour lui. Et deux ans plus tard était né le petit Raiden. Depuis, Raiden et Ali avaient grandi : ils avaient respectivement deux et quatre ans.

Stiles et Derek, eux , en avaient vingt-sept et trente-trois. On aurait pu penser que c'était jeune pour ce genre d'envie, mais Stiles voyait le regard envieux de son amant quand il regardait les enfants de son meilleur ami. Ces petits anges, mi-renard mi-loup, des petits Reloups selon Stiles. Mais peu importait ce qu'il avait dit jusque-là à Derek. Stiles le savait : il avait toujours le même regard que son compagnon lorsqu'il les voyait.

Seulement voilà, leur situation ne laissait que peu d'opportunité pour avoir des enfants. Adopter et faire le bonheur d'un enfant aurait été bien mais Stiles voulait Leur enfant. Sans doute était-ce égoïste mais peu lui importait. Donc il ne lui restait plus que deux solutions : Faire appel à une sorcière dans l'espoir qu'elle trouve un sort pour que l'un deux puisse procréer, ou alors trouver un vagin volontaire. Après tout, la gestation pour autrui, cela se faisait de nos jours. Sortant de ses pensées Stiles se décida enfin de répondre à Derek.

-Par égoïsme peut-être, je ne sais pas vraiment Derek. Mais si c'est vrai que je veux un enfant, je veux qu'il soit de notre sang, forgé à partir de nous, de ce qui fait de nous ce que nous sommes.

Touché plus que de raison par les paroles de son compagnon, Derek le prit à nouveau dans ses bras, et approchant sa bouche de son oreille. Il y souffla ces quelques mots qui mirent une fin définitive à leur désaccord.

-Moi aussi je suis égoïste.

oOOooOOo

Et voilà nos deux amoureux à nouveau en phase, et ce depuis plusieurs semaines, mais ils avaient encore une question importante : Où trouve-t-on des vagins ? Où trouve-t-on des mères porteuses ? Ils avaient rapidement regardé des sites qui traitaient du sujet des gestations pour autrui, mais après une longue conversation, ils s'étaient demandé si ce n'était pas mieux s'ils connaissaient personnellement la mère. Ainsi, leur enfant aurait toujours un contact avec elle. Ayant tous les deux perdu leur mère, ils ne voulaient pas que leur enfant grandisse sans elle. Maintenant, quelles étaient les femmes qu'ils connaissaient qui seraient prêtes à porter pendant neuf mois leur enfant ? Telle était la question.

Derek avait avancé que Braeden accepterait très certainement puisqu'ils étaient toujours en bons termes. Mais Stiles avait commencé à crier sur Derek en entendant cela. Il lui avait hurlé dessus que s'il faisait ça, il n'avait qu'à retourner avec elle, et il avait boudé pendant dix minutes en se mettant à l'extrémité du canapé sur lequel ils discutaient. Mais il était revenu tout penaud vers lui en s'excusant de s'être emporté et Derek lui avait dit que son idée était idiote. Et finalement, Stiles eut les mots qui avaient dénoué leur problème.

-Pourquoi on ne demanderait pas à Lydia ?

Et, avant même que Derek réagisse, Stiles déploya ses arguments :

-Elle fait partie de la meute, contrairement à Braeden, et c'est un avantage incontestable. Ses pouvoirs de banshee sautent souvent beaucoup de générations et je ne pense pas que ce soit un problème de toute façon. Elle est jolie, pas que je sois superficiel, mais en plus d'être belle, elle est intelligente. Et ça, c'est le cocktail infaillible pour vivre de nos jours. Et puis, tu sais que je n'ai jamais vraiment été amoureux d'elle, donc tu n'as pas à être jaloux. Et je t'ai dit que le fait qu'elle fasse partie de la meute était un avantage indéniable ?

Après son monologue, Stiles regarda ses mains pendant que Derek combla l'espace qui les séparaient encore sur le canapé, jusqu'à ce que leur cuisse se touche.

-Je crois bien que, encore une fois, c'est toi qui a raison.

Stiles rigola à ces mots et releva son regard d'ambre vers celui de son homme.

-Un jour, tu avoueras ma supériorité en toutes choses...

Et leurs rires se mélangèrent dans le loft, heureux de voir leurs interrogations trouver des réponses. Pris d'une envie subite (effet de leur joie) ils se prouvèrent leur amour sur ce canapé, aux yeux de toutes les divinités existantes, telles que Merlin et les autres, les nouveaux et les anciens dieux.

Après cela, chez les Hale-Stilinski, il y eut beaucoup de parties de pierre papier ciseau jouées pour savoir qui de Derek ou de Stiles irait parler à Lydia. Pourtant, à chaque fois que l'un ou l'autre se retrouvait avec elle, il ne faisait qu'aborder le sujet de façon détourné pour finalement changer de sujet, trop effrayé par la jeune femme. Il fallait avouer que Lydia n'était pas tendre. Elle avait même un sacré caractère. D'ailleurs, le jour où Derek s'était fait engueuler parce qu'il était rentré dans son appartement avec ses chaussures alors qu'elle venait de laver, il avait failli complètement renoncer.

Il était rentré chez eux, la queue entre les jambes, et avait dit à Stiles qu'il fallait trouver quelqu'un d'autre. Mais le fils du shérif l'avait encore une fois rassuré en quelques mots.

-Dans notre monde il faut avoir une sacrée paire de couilles pour survivre, c'est une bonne chose.

Et en lui disant cela, ils s'étaient tous deux rendu compte qu'il était temps d'arrêter de tourner autour du pot. Plus de deux mois qu'ils étaient d'accord pour demander à Lydia, et ils ne l'avaient toujours pas fait. Pour le coup, c'était eux qui « avaient besoin d'une paire de couilles » avait marmonné Stiles. Derek s'était vexé en l'entendant et avait appelé Lydia.

-Allô Lydia, c'est Derek... Ça va toujours, et toi ?... Oui heu, je t'appelle parce qu'on voulait t'inviter à manger au loft ce soir, si tu as envie bien sûr... Cool, heu bah à ce soir ?... Vingt heures c'est parfait... Bye.

Après avoir raccroché, Derek regarda Stiles en haussant les sourcils, semblant dire « tu vois, mes couilles vont bien, tu peux vérifier... ». Et Stiles tapota son épaule comme il l'aurait fait avec Scott avant de se rendre à la cuisine pour cacher un sourire victorieux qui naissait sur les lèvres. Après tout, il avait eu exactement ce qu'il voulait.

Le soir-même, Derek avait sorti la belle vaisselle et Stiles avait préparé les plats préférés de Lydia. En entrée, il avait fait des petites tours de concombres au saumon. En plat, des tagliatelles aux crevettes, et pour le dessert, Stiles lui avait fait le péché mignon de la jeune femme : un Saint-honoré aux fraises. Depuis qu'il avait appris, alors qu'ils avaient quinze ans, que c'était son dessert préféré, il s'était entraîné à réaliser cette pâtisserie française, jusqu'à la réussir parfaitement. Et depuis, il lui en faisait pour toutes les grandes occasions. Elle en était d'ailleurs toujours folle de joie, même si elle ne faisait que râler qu'elle allait devoir faire plus de sport par sa faute.

Quand Lydia fut enfin arrivée dans sa belle robe fleurie ce soir-là, tous les deux s'étaient demandé comment elle faisait avec le temps qu'il faisait dehors. Mais ils se contentèrent de l'accueillir chaleureusement, peut-être trop vu le regard soupçonneux de l'invitée d'honneur, mais elle ne dit rien.

Ils avaient parlé de tout et de rien pendant qu'ils buvaient un petit apéritif, demandant à Lydia si elle avait rencontré quelqu'un. Car la jeune femme, depuis le départ de Jordan avait renoncé aux relations sur le long terme. Il fallait avouer qu'avant Jordan, Jackson était lui aussi parti et Aiden... Elle préférait ne jamais en parler. En résumé, toutes ses histoires d'amour étaient plutôt désastreuses. C'était pourquoi elle se contentait de chercher un homme pour réchauffer son lit quand bon lui semblait. Cela rendait Stiles triste de la savoir seule, mais il préférait se contenter d'être là pour elle.

La soirée continua doucement entre les rires et les discussions plus ou moins sérieuses. Ils s'étaient mis à table sous les rires, et Stiles était heureux de les voir manger avec appétit ses petits plats. Et quand il amena enfin le dessert, ce fut avec un grand sourire.

Lydia eut un regard suspicieux en voyant son Saint-honoré, mais ne dit rien à ses hôtes. C'était son dessert spécial. Stiles le lui avait fait en tout quatre fois : pour sa majorité, pour la fin de ses études, pour la publication de sa thèse en mathématiques, et enfin, pour fêter sa médaille au concours de Fields. Pas une fois de plus, jusqu'à maintenant.

Stiles attendait donc toujours des occasions très spéciales pour le faire. Et pour cause, adolescent il en avait fait beaucoup trop qui avaient fini à la poubelle sous le regard horrifié de son père et de Scott.

Lydia ne l'avait su que plus tard. Mais quand Stiles avait appris que c'était son dessert préféré (elle ne savait toujours pas comment) il avait décidé d'apprendre à le faire. Et ce, au grand damne du shérif qui n'avait jamais le droit d'y toucher car, citons Stiles : « Ce n'est pas bon pour ton cœur ». Alors quand le jeune Stilinski faisait La pâtisserie, il invitait Scott et le faisait goûter devant son père. Évidement, si par malheur Scott ou Stiles trouvaient la moindre chose qui n'allait pas, Stiles jetait la pâtisserie avant de la recommencer*. Autant dire que beaucoup de fraises et de crème avaient été sacrifiées, et ce n'était que rarement à cause de Scott.

Tout cela pour dire que si Stiles avait fait ce dessert, Lydia elle, venait d'avoir la confirmation que l'invitation de ce soir était pour quelque chose d'important. La jeune femme fit donc naviguer son regard entre le plat puis ses deux hôtes. Elle afficha soudain un air très sérieux, effrayant quelque peu les deux hommes qui se ratatinèrent discrètement sur leur chaise. Elle se redressa alors de toute sa stature, posa les coudes sur la table puis croisa les mains devant son visage,et passant toujours son regard de l'un à l'autre. Après quelques longues secondes de cette torture psychologique, elle prit enfin la parole :

-Alors ? Besoin d'un vagin ?

oOOooOOo

* « Stiles jetait la pâtisserie avant de la recommencer » Le Gaspillage, c'est mal ! Autant que la cigarette alors on ne gaspille pas, on mange les saint-honoré ratés, ou on me les envoies.

FIN ! Non, je déconne, il y a encore 9 parties elles sont écrite et pas toute corriger j'espère que vos RW me motiverons à corriger. Les parties suivantes seront plus courtes, entre 2 et 4 pages word contre 6 pour l'intro que vous venez de lire. En tout cas j'espère que ce début vous aura plu et je vous dit à demain pour ceux qui veulent suivre l'aventure de Lydia, Derek et Stiles *cœur*.

xoxo

Peace and Laugh

Mrs S