Titre : Aurum
Auteur : Na-chan
Genres : Romance, angst, sérieux
Couples : ancien Harry/ Severus, c'est tout pour le moment
Fandom : Harry Potter
Disclaimer : Le monde entier de Harry Potter appartient bien évidemment à J.
Résumé de la partie 1 : Harry apprend que Voldemort a décidé de retourner dans le passé pour tuer ses parents avant qu'il naisse. Le Survivant décide alors d'imiter le Seigneur des Ténèbres, prêt à tout pour l'empêcher de chambouler encore plus sa vie, et le suit dans le passé. Adoptant l'identité de Léïn Aurum, Harry est réparti à Serpentard et apprend, bien malgré lui, à connaître et même à apprécier Severus Rogue, Lucius Malefoy et Owen Lestrange.
Harry découvre une Etagère qu'il semble être le seul à voir dans la section interdite de la bibliothèque et apprend une nouvelle forme de magie grâce aux livres qu'elle contient. Peu à peu, il réalise qu'il est le successeur de Silver Aurum, fils de Godric Gryffondor et Salazar Serpentard. De par ce titre, il devient le maître de Tilhus, un lion et Viadis, un serpent.
Le jour de l'anniversaire de Severus, Voldemort passe finalement à l'attaque. Il kidnappe Sev', James et Lily et menace de les tuer si Harry ne devient pas mangemort. N'ayant d'autres choix que celui d'accepter, Harry doit alors retourner à son époque, laissant derrière lui l'identité de Léïn – tout du moins le croit-il.
Note de l'auteur : J'espère ne pas vous décevoir et que vous continuerez à aimer. Cette partie risque d'être un peu plus sombre. Je ne pense pas vraiment aller jusque là mais si jamais vous pensez que je dois augmenter le rating (plus tard) prévenez-moi!!
Et encore un grand merci à Demented Skylark et à Bliblou, ainsi qu'à toutes les personnes qui m'ont laissé une review pour m'encourager. Et merci également à Flore Jade d'avoir continué à me harceler ! lol.
Aurum
Partie 2: Mangemort
Chapitre 1:
Harry se sentit peu à peu reprendre conscience, doucement, baignant dans une douce chaleur.
Mais, alors que ce qui l'entourait prenait consistance, ses souvenirs revenaient en même temps... Il se mit alors à lutter, voulant retourner au plus profond de lui, là où il faisait chaud, là où il se sentait en sécurité car il ne pouvait ressentir...
L'état de non conscience cotonneux dans lequel il se trouvait jusque là semblait lui tendre les bras et s'il serrait un peu plus les paupières, il y serait… presque…
Mais soudain, une douleur atroce se mit à le consumer de l'intérieur, se concentrant d'abord au niveau de son dos puis s'étendant peu à peu dans tous ses membres tant elle était intense. Il arqua sa colonne vertébrale alors que sa bouche s'ouvrait dans un cri silencieux, tout ceci sans même en avoir conscience. L'air arrivait plus difficilement dans ses poumons et il lui semblait qu'ils contenaient alors une quantité bien inférieure à ce qu'elle devrait être d'oxygène. Son cœur se mit à battre à tout rompre jusqu'à ce que son rythme cardiaque soit le seul son qu'il puisse encore entendre. Les draps se déchirèrent entre ses doigts, ses phalanges blanches tant elles étaient serrées.
Puis, tous les muscles de son corps se relâchèrent en même temps et il retomba dans l'inconscience.
L'étrange tatouage représentant une licorne venait d'apparaître dans son dos.
Il se réveilla une seconde fois plusieurs heures plus tard. La pièce où il se trouvait était aussi obscure que la première fois et la réalité semblait planter ses griffes froides en lui pour l'obliger à se tourner vers elle, l'empêchant de replonger dans cet état de non conscience auquel il aspirait.
Il n'eut alors d'autres choix que de percevoir tout ce qui l'entourait, et ne put repousser ses sentiments. Il préféra ouvrir les yeux plutôt que d'y faire face et fixa son regard sur l'une des ombres de la pièce.
Inconsciemment, il identifia l'endroit comme l'infirmerie. Mais pas l'infirmerie de son temps... du passé mais celle du futur-présent.
Celle où Severus n'était pas là.
Celle où Léïn n'existait pas.
Celle où le Survivant ne devait pas défaillir.
Cette pièce lui devint bientôt insupportable et il se leva, sans un bruit à part celui du froissement des draps. Ses pieds touchèrent le sol froid et il se mit debout, ses jambes le portant à peine. Sa magie lui vint aussitôt en aide et tenta même de lui apporter un peu de chaleur.
Dans un état second, il laissa ses jambes l'emporter, sans même se concentrer sur le trajet, sans pouvoir se concentrer. Plusieurs fois, il se butta contre le coin d'un mur ou perdit tout simplement son équilibre, trébuchant dans les couloirs mal éclairés de l'école.
Quand il réussit à quitter le château, une forte bourrasque de vent le secoua et fit voler ses cheveux mi longs, ayant bien poussés cette année loin d'ici...
Au bout d'un moment, ses pieds s'arrêtèrent d'eux-mêmes et il fixa d'un œil terne ce qui l'entourait. Il remarqua alors l'arbre sous lequel Severus et lui avaient commencé à converser au début de l'année, lorsqu'ils avaient commencé à se rapprocher…
Il s'en approcha lentement et posa la main contre l'écorce. Sa magie, déjà bien affaiblie par tout ce qu'il lui avait demandé de faire – la bataille contre Voldemort, le voyage temporel pour rentrer à son époque – finit par le lâcher. Un peu plus et il risquait de se retrouver totalement sans magie – ce qui signifiait la mort pour un sorcier. Seulement, sans la chaleur qui l'avait soutenu jusque là, ses jambes ne parvinrent à supporter le poids de son corps et il s'effondra, se laissant glisser contre le tronc de l'arbre.
Ses pieds nus se mirent à le brûler, chacun de ses muscles protesta contre le traitement qu'il lui faisait subir et les différentes ecchymoses qu'il avait récoltées le lancinèrent douloureusement.
Et il était seul, avec l'affreuse certitude d'avoir trahi ceux qu'il avait laissés dans le passé, d'avoir trahi Severus, d'avoir trahi Lucius, d'avoir trahi Owen.
Une vague de rage déferla en lui, rage contre Voldemort autant que contre lui-même.
Il se mit alors à hurler dans l'obscurité, à hurler jusqu'à ce que sa voix se brise, et là encore il continua, il continua à hurler, encore et encore, jusqu'à ce qu'il tombe dans l'inconscience.
oOo
Ron et Hermione entrèrent dans l'infirmerie à 7h30, ainsi qu'ils en avaient pris l'habitude. Ce n'était plus vraiment dans l'espoir de voir Harry réveillé et ce n'était pas encore par habitude. Il était maintenant début juin, et même le soleil ne parvenait pas à leur donner espoir… la Gryffondor ne parlait pas des examens, pour dire ! La fin de l'année approchait et ils n'avaient toujours aucune nouvelle de leur compagnon. Ils espéraient qu'il allait rentrer bientôt et pourtant…
De plus, Sirius passait la plupart de son temps au chevet de l'Attrapeur et il dépérissait à vue d'œil. Même quand ils l'avaient rencontré après qu'il s'était échappé d'Azkaban, il ne dégageait pas cette impression de défaitisme.
Ils se figèrent sur le pas de la porte en voyant l'infirmière s'agiter partout dans une pièce vide. D'habitude, lorsqu'ils arrivaient, Madame Pomfresh venait juste d'apparaître – ils devaient même parfois l'attendre – et elle était beaucoup plus calme. Là, elle semblait à deux doigts de la crise de nerfs, les vêtements défaits comme ils ne les avaient jamais vus auparavant et l'expression reflétant quelque chose proche de la panique.
- Qu'est-ce qui se passe ? demanda Hermione, sentant son estomac se contracter douloureusement. Pour que l'infirmière soit dans un tel état…
- Vous n'auriez pas vu Harry… ?
Pendant un moment, elle ne fut pas sûre si elle respirait encore ou non. Harry…
- Calmez-vous, on doit réfléchir, et pour ça, on ne peut pas paniquer, raisonna soudain Ron.
Et dire que Ron avait dû leur donner ce conseil. Aussitôt avait-elle pensé cela que Hermione s'en voulut. Le rouquin était beaucoup plus réfléchi que la plupart des gens le pensaient, mais elle n'était pas la plupart des gens et elle se devait de ne pas se fier à cette première impression.
- Oui, acquiesça Hermione. Il faut prévenir le Directeur et organiser des recherches. Sirius pourra aider, ainsi que plusieurs professeurs.
oOo
Sirius espérait que Harry s'était réveillé et était sorti de l'infirmerie, et peu lui importaient les raisons qui l'avaient poussé à agir ainsi. Parce que si son filleul n'avait pas volontairement quitté le lit qui lui avait été attribué, cela signifiait que quelqu'un l'avait enlevé. Albus lui avait assuré que si une personne s'était introduite dans Poudlard dans ce but, une des alarmes qui parsemaient le terrain de l'école l'aurait certainement prévu que des individus tentaient de sortir, mais cela ne le réconfortait pas vraiment – combien de fois le vieux Directeur s'était-il trompé ?
Il avait fait le tour des Cuisines, de la Buanderie et plus généralement de toutes les pièces et couloirs qu'il y avait au rez-de-chaussée de l'immense château qui abritait l'institution. Rogue, Flitwick, Minerva, Albus, Ron et Hermione ainsi que divers tableaux s'occupaient du reste du château.
Quant à lui, il devait maintenant s'attaquer au terrain qui entourait Poudlard. En tant que Patmol, il aurait moins à craindre que les autres sorciers dans la Forêt Interdite.
Il garda son apparence humaine jusqu'à ce qu'il se trouve à l'orée du bois. Il s'y arrêta quelques instants et tenta de discerner ce que pouvaient représenter les ombres qu'il distinguait à peine de là où il se trouvait.
Il ne s'était pas attendu à ce qu'une créature surgisse de derrière lui, à l'opposé même de l'entrée de la Forêt Interdite, et cela expliquait sans doute pourquoi il lui avait fallu plusieurs secondes avant de réaliser que les bruits de pas qu'il entendait n'appartenaient pas à un être humain.
Il glissa sa main jusqu'à l'étui attaché à sa cuisse et en sortit sa baguette avant de se retourner, prêt à jeter un sort pour se défendre s'il le fallait.
Il ne savait pas très bien à quoi il s'attendait – certainement une des nouvelles créatures de Hagrid – mais une chose était sûre, il n'aurait même pas pensé à envisager se trouver face à un lion.
Ce dernier avait une taille imposante et son pelage brillait presque, lui conférant une aura magique.
Il dévisagea la créature alors que cette dernière faisait de même, ne bougeant pas un muscle.
Finalement, le félin se tourna, fit quelques pas dans une direction opposée avant de faire volte face pour se trouver de nouveau face à lui. Il répéta ces mêmes mouvements avant de le fixer, attendant… qu'il le suive ?
Il hésita à peine avant de lui emboîter le pas, s'éloignant pourtant de la Forêt Interdite – là où il devait chercher Harry. Lorsque le lion accéléra l'allure, il se mit à courir sans même en prendre consciemment la décision.
Lorsqu'ils arrivèrent aux abords du grand lac, le lion continua, et accéléra même. Il ne s'arrêta qu'une fois qu'ils furent tous les deux aux pieds d'un grand saule pleureur.
Sirius se pencha un peu en avant et prit de profondes inspirations pour calmer son cœur battant à toute allure. Il scanna alors les environs jusqu'à ce que ses yeux tombent sur un corps affalé à même le sol.
Avec un hoquet de surprise, il remarqua la crinière de cheveux noirs, le pyjama de l'infirmerie, et la taille de l'individu qui correspondait à celle de son filleul.
- Harry, s'exclama-t-il tout en se laissant tomber à ses côtés.
La première chose qu'il fit fut de poser deux doigts sur le cou de Harry, de part et d'autre de sa pomme d'Adam. Son propre cœur résonnait si fort dans ses oreilles qu'il dut attendre de longues et douloureuses secondes avant de distinguer un pouls.
- Harry, répéta-t-il alors tout en le secouant gentiment.
Si seulement celui-ci pouvait se réveiller, tout irait mieux alors.
Il continua à l'appeler sans résultats.
- S'il te plaît, Harry…
Il ferma brièvement les paupières avant de défaire sa cape. Il s'en servit alors pour recouvrir l'adolescent avant de passer un bras sous ses genoux et l'autre autour de ses épaules.
Il ne se posa même pas de questions lorsqu'un lion taille miniature sauta sur son filleul, se calant contre son ventre alors qu'il se dépêchait de rejoindre l'infirmerie.
oOo
L'infirmière avait strictement refusé qu'ils restent jusqu'à ce que Harry se réveille à nouveau – vieille peau – aussi lui et Hermione avaient dû aller assister aux cours normalement. Et ils n'avaient pu le veiller le soir. Et le lendemain, ils n'avaient pu rester à ses côtés non plus. S'il lui avait resté des ongles, Ron serait certainement en train de les ronger.
Ils étaient ses meilleurs amis tout de même ! Cela faisait maintenant six mois qu'ils l'attendaient et il ne voyait pas pourquoi il devrait le faire plus que nécessaire. Mais, bien sûr, Dumbledore avait répondu à cela qu'ils n'étaient plus maintenant à deux jours près.
Poudlard étant Poudlard, bien que les élèves n'avaient pas été mis au courant de l'endroit où se trouvait Harry ni même pourquoi il ne pouvait pas assister aux cours en leur compagnie, toute l'école semblait déjà savoir qu'il était de retour et ne tarderait pas à les rejoindre – apparemment des élèves de quatrième année auraient vu Sirius arpenter les couloirs, le Survivant dans les bras.
Poudlard était vraiment flippant parfois…
oOo
Stephen Rayor avait réussi à se faufiler entre les murs de Poudlard. Techniquement, c'était le professeur Dumbledore qui lui avait proposé de venir pour un entretien parce qu'il postulait pour un emploi de professeur – et l'école était toujours en quête d'un nouvel enseignant de Défense contre les Forces du Mal – mais ce n'était pas important – le principal étant qu'il avait réussi à entrer.
Ayant fait ses études dans le château, il n'eut aucun mal à se repérer et il se dirigea donc sans tarder vers l'infirmerie.
La rumeur était que le jeune Potter s'y trouvait, plusieurs élèves en ayant attesté, et s'il arrivait à prendre quelques photos du Survivant, il aurait un scoop qui lui vaudrait plus que probablement une place à la Gazette du Sorcier – et des recettes conséquentes pour le mois.
La baguette à la main, il pénétra dans l'antre de Madame Pomfresh, prêt à détourner son attention pour obtenir ce qu'il voulait.
La porte n'eut pas le temps de s'ouvrir totalement et il n'eut pas le temps d'avancer d'un pas dans la pièce qu'un rugissement puissant le tétanisa pendant de longues secondes. Puis, enfin, il réalisa qu'un lion – un vrai de vrai – se tenait devant lui, la gueule entrouverte et l'air menaçant – prêt à se jeter sur lui pour le déchiqueter.
Il voulait reculer, refermer la porte – la claquer derrière lui – se retourner et partir en courant mais il semblait figé sur place, paralysé par la peur. Jamais avant n'avait-il eu l'impression que sa vie était en jeu : il avait été protégé à Poudlard et Voldemort était une menace présente mais un peu éloignée de lui qui vivait dans le manoir familial.
Son cœur battait à tout rompre et il transpirait à grosses gouttes et il était plus que probable qu'il tremblait – et le lion ne le lâchait pas du regard, semblant presque se lécher les babines.
Lorsqu'une main se posa sur son épaule, il sentit son rythme cardiaque s'accélérer alors que son cerveau refusait de traiter d'autres informations : il hurla de peur.
- Monsieur Rayor.
- Mons… Monsieur… le Dir… Directeur, parvint-il à bafouiller.
Et une partie de son esprit réalisa que, s'il n'avait pas été totalement terrorisé par le lion qui se trouvait – toujours – en face de lui, le vieux sorcier l'aurait probablement terrorisé également tant son visage et sa voix étaient froids, tant ils étaient contrastés avec l'accueil chaleureux qu'avait reçu sa demande d'emploi.
- Je pense que le familier de Monsieur Potter considère que votre présence n'est pas la bienvenue. Et je suis de son avis.
Ainsi s'effondrèrent ses espoirs de décocher un scoop – ou au pire un job pour l'année suivante.
Il quitta rapidement Poudlard après cela, peut-être même en courant.
oOo
Sirius passa une main agitée dans ses cheveux – et grimaça. Il était probablement plus que temps qu'il quitte le chevet de son neveu pour aller prendre une douche.
Mais Harry ne s'était pas réveillé depuis trois jours. Trois jours où il n'avait pas bougé, pas même tressauté. L'infirmière lui répétait qu'il se réveillerait lorsqu'il serait prêt, mais combien de temps allait-il devoir encore attendre ?
De plus, les mystères semblaient s'épaissir autour du retour du fils de son meilleur ami. Tout d'abord, la question de savoir pourquoi Harry avait quitté l'infirmerie pour aller courir pieds nus dehors agitait tous les esprits, personne ne semblait comprendre son geste – à part Dumbledore, qui regardait Harry avec quelque chose proche de la pitié, et ce qui n'était pas du tout pour le rassurer. Il y avait ensuite cet étrange tatouage qui était apparu sur son dos. Mais suscitait des questions également la présence d'un lion qui semblait pouvoir prendre une taille adulte et rapetisser à souhaits, et qui refusait catégoriquement qu'on l'éloigne de l'adolescent, comme ils avaient essayé de le faire le premier jour – avant que Poppy ne découvre que cet étrange animal aidait Harry à reconstruire ses réserves de magie.
- Hey bonhomme, murmura-t-il, la voix peut-être un peu rauque. Il serait temps que tu te réveilles maintenant. Je veux souhaiter convenablement ma réhabilitation avec toi.
Aucune réaction – comme d'habitude. Il se disait que vu le temps qui s'était déjà écoulé, son filleul n'allait plus tarder à se réveiller – mais cela faisait une journée entière qu'il se répétait la même phrase en boucle.
Il avait dû s'assoupir un peu parce qu'il se releva en sursaut sur sa chaise, le dos coincé et l'esprit un peu embrumé. Il cligna plusieurs fois des paupières – mince, il ne s'était pas rendu compte qu'il s'assoupissait – et jeta un coup d'œil au patient qu'il veillait.
Harry avait finalement ouvert les paupières.
A suivre
Note de l'auteur : Ceci est la énième version du premier chapitre et, j'espère, la dernière – mais si vous lisez ça, ça veut dire que c'est bel et bien la dernière version alors ma phrase est un peu inutile. Bref, j'espère que vous n'êtes pas trop déçus, parce qu'il ne se passe trop rien dans ce chapitre. Le prochain sera plus rempli en émotions…
Preview du chapitre 2:
Il avait à peine fini sa phrase que la tête de Harry se releva soudainement, les yeux écarquillés, les muscles tendus.
- Se… Sever…
Il s'arrêta et porta les mains à sa gorge avant d'ouvrir la bouche, mais aucun son n'en sortit cette fois.
