Bonjour ou Bonsoir.
Ca un peu été fait sur un coup de tête, mais ça faisait un moment que ça bloquait dans un coin de ma tête. Alors je me suis dit : Pourquoi pas ? Du coup, je l'ai fait. J'ai réécrit cette histoire. Parce que je voyait tout ses défaut et que j'ai même hésiter à la supprimer, mais c'est la première (Presque) histoire que j'ai publié ici. Mais je me suis dit : C'est quoi les défaut de tout les premier textes ? Du coup voilà, une premier histoire remise au gout du jour, avec son lot de fautes volontaire mais discret et quelques détails un peu inutile.
Désoler pour ceux qui ont lut l'original, j'espère que la nouvelle version va vous plaire
Alors voilà, ça donne ça. Vous aurez des commentaire au début de chaque chapitre.
Disclamer : L'univers de Sherlock ou ses personnages ne m'appartient pas. Seule Phyla est à moi.
Phyla possédait enfin son propre appartement sur Glenwoth Street, à Londres, bien évidement. Allant avec ça, un travail parfait à l'hôpital, prit après quatre années de servisse médical en Afghanistan. Prenant une pause bien mériter, mais gardant certaine habitude de militaire, de garder son arme par exemple. La plus heureuse surprise fut de retrouver John Watson, dans le même servies qu'elle. Un ancien camarde de bataille. Après l'avoir vu se faire tirer dessus, elle n'avait plus entendu parler de lui.
Mais les revoilà, discutant simplement en pleine rue, après leur servisse à l'hôpital. John se fit interpeller par un homme au cheveux noir-brun. Ce dernier portait un manteau noir long qui semblait le grandir alors qu'il devait faire 1m70 pas tellement plus.
« -John, on a rendez vous à la morgue !
-Sherlock, pourquoi tu n'y va pas tout seul ? Je suis crevé ! »
Ils continuaient de se disputer pendant environ dix minutes. Ressemblant à un vieux couple, bloqué dans un routine. A cette pensé Phyla rit, Sherlock se tourna vers elle, peut habituer à se qu'on lui rit au nez. John, réalisant qui n'était pas seul avec le détective consultant, prit la parole :
«Oh.. Phyla voici Sherlock, mon collègue, en quelque sorte. Sherlock voici …
-Phyla, merci John mais j'ai entendu. Et tu es une sorte de collègue et un assistant médical.
-Sherlock ! Est-ce qu'un jour je vais pouvoir finir mes phrases ? Donc voici voici Phyla, ma … »
La non-plus il n'eut pas le temps de finir sa phrase.
« -Elle a travailler avec toi dans l'armée et c'est ta collègue
-Si je peux en placer une, intervient la concernée. Comment vous savez ça ?
-Vous travailler avec John, votre badge dépasse de votre poche de veston, il indique Docteur Phyla.A Smith.Dans la plus petite poche de votre sac à dos, se dessine une arme. Aussi, vous avez plus au moins l'aire proche de John mais comme peuvent l'être ses conquêtes. J'en déduis donc que vous le connaissiez avant, l'armée est l'hypothèse la plus probable. Des questions ?
-Oui, une seule.
-Laquelle, demanda le noiraud d'un aire intriguer ?
-Quel est mon deuxième prénom ?
-En prenant en compte le prénom le plus populaire en Angleterre en A, je dirais Abigail.
-Non mais c'est bien essayer. Si vous le trouver, je vous offre un café.
-Alexandra ? »
Phyla hocha le tête négativement.
« -Amy ?
-Raté.
-Annabeth ?
-Ashley, tenta John en se prenant au jeux ?
-Non et non. »
Sherlock prit un instant de réflexion :
«Adelaïd ?
-Presque.
-Adèle ?
-Bien, mais là je dois rentrer chez moi. »
La jeune femme fit quelque pas dans la rue.
« -Et se café, interpelle le détective consultant ?
-J'ai dit que je vous payerai un café, j'ai pas dit quand. Demandez mon numéro à John, on organisera ça un jour, conclut-t-elle en souriant. »
