Slt à tous! C'est ma première fic alors soyez indulgents svp. Merci d'avance sinon je peux juste dire deux mots sur ma fic: on va voir le point de vue de deux personnages Tom et un perso à moi. A part ce prerso l'univers est à J. K. Rowling! Merci de m'envoyer des reviews à la fin de votre lecture et dsl pour les fautes d'orthographes. Bisous à tous!
1928, année noire.
Chapitre premier:
Dans un orphelinat moldu, un jeune homme d'environ seize ans ne dormait pas alors qu''il était un peu plus d'une heure du matin. Il était très beau, grand avec ses un mètre et soixante quinze centimètres. Ses fins cheveux bruns presque noirs lui tombaient sur son grand front ce qui ne faisait qu'embellir ses deux yeux émeraudes. Bref, c'était un beau jeune homme malgré son air froid qui se dégageait de lui. Il se contentait de lire un livre de son école de sorcellerie, Poudlard. En Septembre, il allait entrer en septième année et ce sera son ultime année dans cette école.
Au bout d'une demi-heure, il soupira et posa son livre au sol. La pièce dans laquelle il se trouvait était simple: une armoire, un lit, une table qui faisait office de bureau et une chaise; le tout dans un piteux état. Les murs n'étaient pas peints et le sol non carrelé. Une fenêtre laissait la pleine lune éclairer la pièce, ce qui avait permis au jeune homme de pouvoir réétudier. Dans cette ambiance, il n'était pas étonnant qu'il déteste les moldus... Il soupira de nouveau et décida enfin à se reposer en espérant que ces deux mois de vacances de fin d'année passent très vite pour qu'il puisse retrouver son "chez-lui " : Poudlard. Après avoir fermé les yeux, il s'endormit rapidemment.
Le lendemain, il se réveilla comme tout les matins avant les autres, c'est à dire avant sept heures, l'heure à laquelle les surveillantes venaient réveiller tout les enfants et adolescents. Il descendit rapidement dans la grande salle à manger des orphelins, vide pour l'instant, et il prit son petit-déjeuner , seul, comme toujours et c'était mieux ainsi. Il haïssait tous les moldus et même avec les sorciers, il "selectionnait" les personnes qui étaient, selon lui, dignes de lui parler selon leur descendance, la "pureté" du sang, etc. Un "Sang-de-Bourbe" n'était pas digne de lui parler à lui! L'héritier de Salazar Serpentard!
Leïla regarda l'orphelinat devant lequelle elle venait d'atterir avec son Port-au-loin, une vielle canette. L'établissement était... rien, ne rien en dire était plus raisonnable. Elle inspira profondemment et frappa à la porte en ce début de matinée. Personne. Elle frappa de nouveau. Encore personne. Elle frappa pour la troisième fois. Aucune réaction. Décidemment, c'était bien son jour! Elle recula et regarda en haut les fenêtres pour voir s'il n'y avait personne. Elle ne vit rien. Leïla posa ses valises et sortit un morceau de parchemin qui disait:
" Mademoiselle Keinery,
Puisque votre famille se trouve dans l'impossibilité de vous garder pendant ces deux mois, à cause d'une coutume de votre famille, je vous recommande d'aller dans l'orphelinat de Londres où un sorcier y passe ses vacances chaque année. Je ne vous dis pas son nom, s'il souhaite vous aborder, il vous abordera même s'il ne sait pas qu'une sorcière va venir dans son orphelinat. L'adresse de ce dernier se trouve au dos de cette lettre. J'aime autant vous prévenir du nombre d'orphelins (environ quatre mille) et du manque de moyens de l'établissement. Je viendrais moi-même vous chercher un jour avant la rentrée pour que vous soyez répartie dans votre maison avant l'arrivée des élèves. Je vous fournierais également vos fournitures, ce jour-là. Bon séjour!
Chaleureusement,
A. Dumbeldore,
Principal adjoint à l'école de sorcellerie Poudlard.
P.S: L'orphelinat ouvre à sept heures du matin et j'ai prévenu la directrice de votre arrivée. "
Leïla regarda sa montre: sept heures moins cinq. Bon, des personnes devraient être là quand même! Elle refrappa deux fois de plus et lorsqu'elle s'apprêtait à refrapper, elle vit la porte s'ouvrir laissant apparaître un magnifique jeune homme, l'air peu accueillant.
Tom, car c'était son nom, entendit frapper trois fois mais ne bougea pas d'un pouce. Depuis quelques jours, des enfants des quartiers voisins s'amusaient à énerver les surveillantes. Les bruits cessèrent et Tom put reprendre son petit-déjeuner en paix. Une minute passa puis les coups reprirent et alors il craqua. Il se leva et se dirigea vers la porte d'entrée de l'orphelinat. Il vit alors que c'était une jeune femme d'environ seize ans qui avait frappé et non les gamins. Surpris, sans le montrer bien sûr, il la laissa entrer et elle lui demanda:
" Je suis bien à l'orphelinat de Londres? "
Tom hocha la tête puis lui fit signe de le suivre. Ce qu'elle fit sans hésiter, en prenant sa valise. Il en profita pour la détailler. Elle était plus petite que lui, de dix centimètres environ. Elle avit des trais fins et de longs cheveux blonds légèrement bouclés et disciplinés qui lui arrivaient au creux des reins. Ses yeux gris étaient entourés de grands cils noirs, ce qui allongeait son regards. Sa peau était aussi, même plus pâle que la sienne. Elle était mince, avait une bonne poitrine mais pas trop vulgaire. Elle portait des vêtements de marque étrangère. Une fine robe d'été vert clair qui lui arrivait aux genoux, une petite veste blanche en coton, des sandales blanche également et un foulard vert clair autour de son cou. Pour seul bijou, elle avait un fin bracelet d'or avec des pierres de couleurs pastelles: vert et jaune. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval. Tom dut reconnaître qu'elle était très jolie. Elle le sortit de ses pensées en essayant d'engager la conversation:
" Tu es ici depuis longtemps? "
Elle avait un accent bizarre qui lui plaisait et que Tom avait déjà remarquer lors de sa question précèdente. Elle devait venir d'un pays étranger et d'une classe sociale élevée vu ses habits de grande marque. Stop, cette moldue ne l'intéressait pas. C'était une moldue, elle ne valait rien. Elle était certe jolie et avit de la classe avec sa démarche un peu militaire et son accent mais elle restait une moldue. Pour seule réponse à sa question, il haussa les épaules et la conduisit au bureau de la surveillante. Plus vite il sera débarrassé d'elle, et plus vite il pourra retourner dans la salle à manger et se concentrer sur autre chose qu'une moldue insignifiante. Ils arrivèrent devant le bureau. Tom frappa à la porte et fit entrer la jeune femme dans le bureau de la suveillante. Cette dernière haussa un sourcil en voyant Tom puis elle remarqua Leïla et questionna celle-ci:
" Qui es-tu jeune fille? "
- Leïla Keinery, madame. On a du vous prévenir de mon arrivée.
- Oh oui! Bien sûr, je me souviens maintenant! Je dois aller réveiller les autres, je vous montrerais votre chambre plus tard... Quoi que Jedusor tu pourrais le faire, non?
- Bien sûr madame, acquiesa celui-ci.
- Bien, à plus tard, mademoiselle Keinery. "
Leïla sourit et suivit Tom qui partait déjà. Il aurait pu l'attendre quand même! Elle traîna difficilement sa valise derrière elle. Il monta au troisième étage côté sud et ouvrit la sixième porte à droite du couloir. Il lui dit:
" Voilà, c'est ta chambre. La salle de bain se trouve au fond du couloir derrière l'escalier.
- D'accord, merci. "
Il haussa un sourcil puis sortit de la pièce.
Leïla se retrouva donc seule dans sa chambre, aussi simple que celle de Tom. Elle posa sa valise sur son lit et rangea ses affaires moldues, de luxe tout de même, dans son armoire. Ses affaires sorcières, elles, restèrent sous le lit dans la valise sauf sa baguette qu'elle gardait toujours sur elle, au cas où... Puis elle descendit pour prendre son petit-déjeuner, elle remarqua que très peu de personnes étaient réveillées et elle se dirigea vers le garçon qui lui avait ouvert dont elle avait oublié le nom. Dès qu'elle s'assit en face de lui, il lui déclara sur un ton froid, glacial:
" Il vaut mieux pour toi que tu ne te mettes pas là.
- Ah bon! Pourquoi? demanda- t- elle en regardant autour d'elle.
- Parce que je ne suis pas très sociable mais comme tu es nouvelle je ne vais pas tenir compte de ton erreur.
- Trop aimable... , répondit- elle sarcasique"
Elle ne suivit pas son "conseil" et se servit un jus d'orange. Il fronça les sourcils et rajouta d'un ton menaçant:
" Si tu tiens à ta vie, dégages!
- Je n'ai pas peur des menaces. Au fait, tu ne m'as pas dit comment tu t'appellais...
- Toi non plus. Et de toute façon, ça ne m'intéresse pas, tu ne m'intéresses pas.
- Je sais mais moi j'ai envie de te parler alors je te parle et si ça te gêne, tant pis pour toi.
- Mieux vaut ne pas m'énerver.
- Je t'ai déjà dit que les menaces n'avaient pas d'effet sur moi. Et tu ne m'as touours pas donné ton prénom, se plaignit- t- elle.
- Je sais mais je n'en ai pas envie alors je ne le te dis pas et si ça te gêne, tant pis pour toi, mima- t- il
- Et! C'est ma phrase! Tu n'as pas le droit! De toute façon, je finirais bien par le savoir ton nom...
- D'où tu viens?
- Je croyais que je ne t'intéressais pas...
- Je croyais que tu te foutais de ce que je voulais...
- Très bien, commences et puis ce sera mon tour.
- Hors de question, commences.
- Pourquoi?
- Pourquoi pas?
- Oh d'accord mais tu me racontes ta vie après ok?
- ... "
Elle prit ça pour un oui et commença à raconter d'un ton naturelle et gai:
" Bon, alors je suis Leïla Keinery et à seize ans je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Je viens de Russie mais mes parents sont morts et mon oncle m'a envoyée à Londres pour raison confidentielle d'après lui même si je pense que j'ai le droit de savoir puisque ça me concerne quand même! Mais bon... Je suis fille unique et j'ai pas mal d'argent grâce à mes parents, ce qui m'a permis de m'acheter ces vêtements de luxe. Voilà! A toi maintenant!
- Attends! Tu n'as pas dit où tu vas étudier cette année.
- Euh... A Oxford si c'est possible... Bon, à ton tour!
- Pourquoi?
- On avait conclut un marché! On devait raconter notre vie chacun notre tour! Tu étais d'accord!
- Quand ai- je dit ça?!
- Tu as un sacré culot!
- Je t'avais dit que je n'étais pas très sociable. Maintenant tu peux partir. Allez va- t- en avant que je m'énèrve. "
Cette fille commençait à lui taper sur les nerfs. Encore un peu et il lui jetait un sort en douce. Juste pour la faire dégerpir en lui faisant peur. Malgré tout, elle resta à sa place et le fixa d'un regard mauvais et rancunnier. Apparament, elle n'avait pas apprécié de s'être fait berner. Tant mieux, il sourit de son expression en la regardant dans les yeux. Elle fronça les sourcils en voyant son sourire et demanda, boudeuse:
" Quoi?
- Tu devrais me laisser.
- Pourquoi?
- La plupart des gens disent que je suis... Hum... Dangereux.
- Oh! Pourquoi? "
Décidemment, elle n'était pas logique. Il venait de lui dire qu'il était dangereux pour elle de rester avec lui et au lieu de partir elle voulait savoir pourquoi. Pff, elle allait lui coller aux basques combien de temps avant qu'il lui jette un sort? D'un ton encore plus menacant il déclara:
" Disons que j'ai fait du mal aux gens en leur faisant peur...
- En les intimidant tu veux dire.
- Pourquoi ne pars- tu pas enquiquiner quelqu'un d'autre? "
Il en avait assez, elle n'arrêtait pas de tortiller ses cheveux et c'en était vraiment trop pour lui. Il la désirait alors que c'était une moldue. Il ne devait pas la désirer. Il fallait qu'elle parte maintenant, qu'elle le laisse tranquille. Non seulement, elle le mettait en rage avec ses questions mais elle n'arrêtait pas de se tortiller, ce qui ne faisait qu'augmenter son désir. Alors il décida de lui donner ce qu'elle voulait pour qu'elle le laisse en fin tranquille.
" Je m'appelle Tom Elvis Jedusor, j'ai seize ans comme toi. Ma mère est morte à ma naissance et je me suis retrouvé ici. Je ne suis pas riche et je ne suis pas très sociable donc, je n'ai jamais été adopté et c'est tant mieux! Je déteste que l'on me tape sur les nerfs.
- Et?
- Quoi? "
Qu'est- ce qu'elle voulait encore? Avec son accent, elle l'irritait et le faisait frémir à la fois. Elle était trop proche de lui. Pendant son récit, Ils s'étaient rapprochés per dessus la table comme s'il discutaient de quelque chose de secret. Il pouvaiit sentir le souffle chaud de sa respiration, son parfum et une de ses mèches lui chatoullia la joue. Il se recula un peu et elle fit de même en fronçant les sourcils. N'avait donc t-elle pas conscience de l'effet qu'elle produisait? Elle demanda comme lui tout à l'heure:
" Tu vas dans quelle école?
- Je... L'école du quartier voisin, elle n'a pas de nom et ce n'est pas réputé. "
Leïla plissa les yeux. D'après Dumbeldore, il n'y avait aucune école à moins de deux kilomètres. La seule raison qui justifiait qu'il ait menti est qu'il soit un sorcier et qu'il lui avait menti tout le long de son petit récit sur lui, comme elle ou alors... Non, elle ne voyait rien. Elle sourit un peu et décida d'essayer de confirmer cette hypothèse et pis si elle avait faux, tant pis, elle rechercherrait ailleurs le sorcier de cet établissement! Elle n'avait pas envie de passer ses vacances avec des moldus tout le temps! De plus, elle voulait en savoir plus sur Poudlard avant de s'y rendre. Après tout, elle allait être Préfète- en- chef suite à le relation qu'entrentenait ses parents avec le professeur Dippet, le directeur de Poudlard. Donc elle tenta de le piéger, pour savoir si c'était lui le sorcier:
" Je peux te poser une question?
- A parce que si je te dis non, tu la poseras pas? "
Il fallait qu'il garde son calme. Si elle continuait il allait l'embrasser.
" Je la poserais quand même mais je prefère te demander mon avis, c'est plus correct.
- Alors non.
- Tant pis, pourquoi est-ce que tu n'aimes pas les moldus? "
L'effet fut immédiat. Il attrapa sans douceur le poignet de la jeune femme, rapprocha son visage du sien et la força à le regarder dans les yeux. Il fronça les sourcils et en serrant encore plus fort le poiget de son interlocutrice et il demanda d'une voix ferme, menaçante et effrayante:
" D'où est- ce que tu connais ce nom? "
Tout d'un coup, Leîla eut peur. Il avait réagit si brusquement qu'elle ne lavait pas vu venir. Maintenant, elle comprenait pourquoi certains le trouvaient dangereux. D'une voix cassée, elle dit:
" Tu me fais mal... Lâche- moi. "
C'est vrai qu'il lui serrait fort le poignet mais elle devait lui répondre alors il serra encore plus son emprise et répéta:
" D'où est- ce que tu connais ce nom? "
Elle avait de plus en plus mal alors elle répondit rapidement:
" Je suis une sorcière, Dumbeldore m'avait dit dans une lettre qu'il y avait un autre sorcier alors je voulais savoir si c'était toi... Lâche- moi!
- Tu es une sorcière?!
- Oui, lâche- moi, s'il te plaît, tu me fais mal! se plaignit- elle. "
Tom la lâcha et soupira. Elle était une sorcière. Mais qu'est- ce qu'elle venait foutre ici? Et puis d'un côté ça l'arrangeait comme ça il pourrait peut- être répondre aux effets qu'elle avait sur lui. Enin, il fallait encore qu'il vérifie quelque chose:
" Ok, tu es une sang-pur?
- Quoi? Ah ça! Oui bien sûr. "
Tant mieux. Si elle avait répondu non, il l'aurait surement tué rien qu'à cause de l'effet qu'elle avait sur lui. Dont elle ignorait toujours l'existence d'ailleurs. Il vit qu'elle regardait l'état de son poignet. C'eest vrai qu'il y était allé un peu fort mais bon... Il devait savoir à ce moment là alors. Il lui reprit son poignet et le massa comme pour se faire padonner. Ce n'était pas le moment de se la mettre à dos. Il engagea la conversation:
" Tu vas donc aller à Poudlard.
- En effet. "
Elle semblait rassurée qu'il se soit calmé. Tant mieux, il serait plus facile pour lui de la manipuler si elle avait confiance en lui. Elle reprit son questionnaire comme si de rien n'était:
" Tu es à Poudlard?
- Oui depuis ma première année d'apprentissage, pourquoi?
- Oh, juste comme ça. Je connais personne là-bas alors au moins je saurais si t'es nouveau ou pas.
- Mais pourquoi n'es-tu pas avec ton oncle? "
Il avait envie d'en savoir plus sur elle. Elle l'intriguait. Primo parce que tout d'un coup, elle semblait avoir oublier son écces de colère et deusio car elle l'attirait.
" Oh, mes parents ne sont pas morts mais une ancienne tradition veut que je passe ma dernière année d'étude à l'étranger alors...
- Et pourquoi l'Angleterre?
- A part ma langue maternelle: le Russe, l'Anglais est la seule langue que je maitrise un peu près bien...
- Ah d'accord.
- Au fait, il y a quelque chose que je devrais savoir sur Poudlard? "
Tom sourit, au moins il aurait avec qui discuter lors de ces deux mois, Leïla était très curieuse et encore plus pipelette. Et c'était bien, comme ça, il pourrait la faire parler et découvrir sa vie pour la mettre en confiance. Elle avait l'air riche avec ses vêtements donc cela lui serait peut- être utile. Alors il lui raconta l'histoire de son collège: les quatres maisons, les rivalités, le Quidditch, les profs et leurs matières, la répartition, le diecteur, les salles, le parc, le règlement, les critères d'évaluation, Pré-au-Lard, les bals, le train, la gare, etc, etc. La journée passa vite et chacun alla se coucher, content d'avoir trouvé quelqu'un à qui parler de magie.
Voilà c'est le fin du premier chapitre! Merci de bien vouloir me donner vos critiques ( car il y en aura) et vos compliments ( ça c'est moins sûr... ) Merci d'avoir lu jusque là et si quelqu'un voit une faute d'oortho qu'il me le dise merci! Bisous à tous!
Lily- Nora
