Personne ne peut...
Auteur : devinez, tiens ! So, dans un état second, et abus de sirop de menthe, de chocolat et des gâteaux à la cannelle de ma voisine. (Je vous ai dit qu'elle était Allemande et suivait leurs traditions, dont les gâteaux à la cannelle de Noël, et que je l'adore ?)
Série : cliquez sur "précédente"... vous voyez ? Ben, en effet, c'est sur Gundam Wing. Etonnant, non ? ^.^
Genre : Shakes demande du kawai... c'est pas faute d'avoir essayé, mais elle m'avait en même temps réclamé celle-ci que je promets à moman Julie depuis des mois et des mois. J'ai essayé de combiner, mais bon, chuis pas douée, moi.
J'en ai aussi profité pour faire un lemon, qui a tourné en lime passke les lemons et moi, ça fait quarante douze. Mais c'est un viol, donc je préviens les âmes quelque peu sensibles de s'abstenir de lire.
Par contre j'ai essayé de faire le moins de fautes possibles et mon bêta-lecteur, pointilleux comme il l'est, s'il finit de lire ce chapitre, aura probablement corrigé celles qui resteront. Donc, si vous en trouvez, prévenez moi, que je corrige et que je le mange ^_________^
Bref. Yaoi, lime, viol, sap, kawai éventuellement plus tard. Le plus sérieux possible (mais j'aime le sucre, moi !!!), POV de Duo. Je voulais pas, mais il m'a forcée :p
Pairing : je vous laisse la surprise, sinon c'est pas drôle. Mais je crois bien qu'il n'y aura que du Yaoi.
Disclaimer : bon, ben, j'ai fabriqué un Duo en pâte à sel, ça compte ? Sinon, ils sont pas à moi. J'm'en fous. J'aime bien bousiller les affaires des autres, niark niark niark
Du 15 au tant : Je fatigue, j'ai des contrôles jusqu'aux vacances (on vous avait prévenus, vous, qu'il y avait des contrôles à la fac ?? Moi, non T.T
Donc, évidemment, comme chaque fois que j'ai autre chose d'urgent à faire, j'écris des fanfics. Je fais même pas exprès. Bah. On verra bien. Sinon, si personne ne la réclame, je ne ferai pas de suite à "Si j'ai débarqué dans vos vies", je peine trop à l'écrire pour que personne ne la lise sauf mon bêta-lecteur, contraint et forcé, ligoté à sa chaise...
J'ai très mal à la tête, vraiment très mal, surtout à l'arrière du crâne, la base de la nuque, pour être précis, comme si on m'avait assommé avec une masse fine, mais contondante.
Rectification, on m'a assommé avec une masse fine mais contondante !
Attendez que je me souvienne. Mission. C'était une mission. Quatre et Trowa s'occupaient de nos arrières, et Wufei... Ouille, mal à la tête, Wuffie, donc, s'occupait d'aller en salle des machines pour bousiller les MS d'Oz, pendant que Heero intégrait une de ses créations personnelles dans leur unité centrale. Une mission bien normale, donc. Nous travaillons en équipe depuis plusieurs mois et c'est toujours à peu près comme ça que ça se passe. Qu'est-ce qui m'est arrivé, donc ?
Remontons doucement le cours de ma mémoire, outch ! Mal à la tête, bordel !
Je suivais Heero pour faire le guet alors qu'il travaillait et je me suis pris un coup à l'arrière du crâne !
Heero m'a frappé ?
Heero aurait enfin mis ses menaces à l'ordre du jour en les accomplissant et en m'assommant ? Donc si je suis bien son mode de pensées, maintenant, il va revenir et me tuer. Non.
Je suis utile à la mission. En plus, je ne parlais pas. Donc, il ne m'aurait pas assommé avant que nous soyons revenus à la base, sinon je n'aurais été qu'un poids et comme je peux servir...
Dans ce cas, ce n'est pas Heero qui m'a frappé.
Or, Heero était dans la pièce dont je surveillais l'entrée. Et Heero étant Heero, si quelqu'un m'avait menacé, il aurait réagi et je ne serais pas là maintenant. Tiens d'ailleurs, je suis où ?
Petit examen autour de moi. Je suis sur une banquette inconfortable éclairée par de la lumière artificielle, sous des draps râpeux, par la fenêtre, je vois... des barreaux, et le mur du bâtiment en face. Il fait sombre, certainement l'aube.
Bon. Il y a aussi des barreaux à la porte. Je suis en prison. Ca ne pouvait pas tomber plus mal. Je suis emprisonné par Oz, bordel de Dieu !
Et Heero ?
Mais, s'il était dans la même pièce que moi, c'est qu'il a été mis HS lui aussi. Mais comment ?
Il n'y avait personne d'autre que les anciens Ozzies (paix à leur âme), Heero et moi dans une pièce dans laquelle on ne trouvait que des ordinateurs mirobolants et...
et la porte d'un cagibi.
Putain de bordel de merde de bite à cul de chiottes mais quel con mais quel con je suis !!!!
C'était pas un putain de cagibi !
Mais quel con !
Mais quelle brelle !
C'était une porte !
Mais quel... quel con !
Et Heero ?
Heero, mon amour de toujours, il est où ?
Oui, bon, j'aime Heero, les déclarations sirupeuses ça sera pour un autre jour, là je suis enfermé et avec des menottes aux poignets (tiens, d'ailleurs je les avais même pas remarquées, je dois vraiment être fatigué, ou alors c'est le coup sur la tête), Heero (mon amour de toujours) certainement dans une cellule pas loin, ou pire, aux mains d'Oz, c'est la pire situation que la guerre nous ait donnée depuis des mois et des mois !
Ils ont deux pilotes vivants à faire avouer.
Heero est vivant, au moins ?
Il ne peut pas être mort, c'est impossible, c'est Heero. Il peut pas mourir. Putain, il peut pas mourir.
"Zéro un, t'es là ?"
Ben oui, je suis con mais pas au point d'utiliser son "vrai" nom dans une prison d'Oz certainement truffée de micros, caméras et autres réjouissances.
Aucune réponse. Je commence à baliser sévèrement, mes mains tremblent, j'ai les larmes qui me montent aux yeux.
"Zéro un ?
-Ouais, je suis là, au-dessus de toi, baka."
Je lève la tête.
Je suis vraiment, vraiment con, Relena a du me faire injecter ses gènes, franchement.
C'est un lit en hauteur, Heero est au-dessus de moi, vivant. J'en pleurerais presque de joie, mais, bon, boys don't cry comme qui dirait, pas vrai Solo ?
"Rien de cassé, 01 ?
- Non, juste un coup à la tête, et toi 02 ?
- Pareil.
- ...
- On s'est fait avoir comme des bleus ?
- ...
- Heu... 01 ?
- On s'est fait avoir comme des bleus."
Argh.
"Tu sais ce qui va se passer ?"
Une masse tombe à côté de moi, ou plutôt, Heero se laisse gracieusement glisser de son lit. Il s'assoit sur mon lit.
" A ton avis, baka ? Je n'en sais rien."
Il glisse ses mains (menottées aussi) sous mes draps.
Retour en arrière.
Il GLISSE ses MAINS (menottées) SOUS mes DRAPS ?
Bon, heu... C'est vraiment le moment ?
" Zéro un, tu sais que...
- Urusei baka"
Bien, j'aurais pas mieux dit. Urusei donc, et je sens une de ses mains trouver la mienne, avec un nombre de cliquetis de métal hallucinant. Il me la retourne, paume vers le ciel, et trace des lettres silencieuses dessus avec ses doigts. J'ai compris.
/ne dis rien/
Oui, ça va, je suis con mais je suis pas Relena, et je suis pas un lâche, merde ! Ma réaction doit se lire sur mon visage, car au moment où il s'apprêtait à retirer ses mains (dommage, mais ça pouvait pas trop durer), il rattrape ma main et trace vite d'autres lettres.
/quoi qu'il arrive, ou je te tue. Même s'ils me font mal./
Il a du faire une faute, mais bon, ok j'ai compris, même s'ils me frappent, je ne dirai rien, j'y comptais bien de toutes façons. Je hoche la tête, et il se redresse alors, le visage tourné vers la porte, qui s'ouvre pour laisser passer une Lady Une, version lunettes et macarons. Merde.
Je lui sors mon sourire charmeur (on sait jamais, je voulais être dompteur de serpents à une époque. Serpent à lunettes... non, elle n'était pas drôle.)
"Salut princesse Leïa, quoi de neuf depuis la dernière fois ?"
Elle accuse le coup, et ne répond pas, quand deux gorilles rentrent dans la cellule. Ils nous mettent en joue avec des mitraillettes dont une seule rafale enverrait des atomes de Duo et de Heero contre les murs les plus proches, c'est à dire ceux à cent mètres qui n'auraient pas été atomisés.
Nous supposons qu'il faut suivre la princesse Leïa, ce que nous faisons avec plutôt moins que plus de complaisance, et nous retrouvons dans une salle fortement éclairée, avec tout le gratin présent. Enfin, Treize, Zechs et Une quoi.
Les gorilles nous font délicatement (hem) asseoir sur des chaises où ils nous lient une main, défont les menottes, nous lient l'autre, puis s'occupent de nos pieds.
La chaise de Heero et plus "perfectionnée" que la mienne, disons qu'elle dispose de nombre d'armatures et de circuits électriques dont la mienne...
Vérification.
Ha, non, finalement elles sont pareilles toutes les deux. Ce semblant de crise de jalousie m'aurait fait rire si je n'étais pas mort de trouille.
J'avoue, je suis mort de trouille. Par contre, on dirait que Heero ne ressent toujours rien. Il a le visage toujours aussi vide. The Perfect Soldier is back, ça doit être ça... Je sais qu'il n'avouera rien. Ils pourraient faire ce qu'ils voudraient, il ne dirait rien, parce que c'est Heero et qu'il est fort. Je l'admire, Heero, ne me demandez pas pourquoi je l'aime, il me semble que c'est assez logique.
Treize s'approche de nous. L'interrogatoire va bientôt commencer.
"Qui êtes vous ?
- Je suis Luke Skywalker, et voici mon amis Han Solo, pourquoi ? Vous êtres bien Obiwan Kenoby, c'est ça ?
- Ne te moque pas de moi ! où sont vos alliés ?
- Dans le Faucon Millenium, quelle question !"
Je reçois un coup qui m'aurait fait tomber de mon fauteuil si je n'y étais pas si bien arrimé.
"Hé beh, la Force est avec vous !"
Le deuxième coup de poing me fait taire, je tourne vaguement la tête vers Heero, qui me fixe d'un air désapprobateur. Bah quoi, il faut bien que je les fasse tourner un peu en bourrique, ces connards, non ? Mais bon, si c'est comme ça, je me tais.
" Je ne plaisante pas, pilote ! Répondez à mes questions.
- Non.
- Vous êtes à notre merci.
- Et alors ? Plutôt mourir que trahir mes amis !"
Heero m'impressionne, parfois.
Une s'approche de moi et me tient au niveau du cou, en regardant Heero.
" Je pourrais le tuer, tu vois..."
Heero se tait.
Une resserre un peu sa prise, tout en m'enfonçant ses ongles dans la gorge, et j'émets malgré moi un gargouillis pathétique.
" Mais je pourrais le faire souffrir aussi."
Heero n'ouvre pas la bouche mais me jette un regard désespéré. Je serai fort, il ne fait pas qu'il parle. Même quand Une me balafre la joue avec un couteau, aucun son ne sort de ma bouche. Elle s'en donne à cœur joie, cette sadique, il y a du sang partout. MON sang. Treize regarde, impassible, mais je vois Zechs qui commence à perdre patience. Au bout de quelques minutes, elle s'écarte de moi. Je dois avoir le visage en sang, mais je sens que tout ça n'est que superficiel. J'ai mal, mais c'est supportable. Je tourne la tête et articule silencieusement à Heero "ça va, tais-toi", quand ma joue gauche, encore intacte, prend une gifle si forte que je suis sure qu'elle m'a déplacé une dent. Treize remet son gant et se tourne vers Heero.
"C'est tout ce que tu as à nous dire ?"
Bizarre, il se rapproche de moi. Il n'a pas encore touché Heero, par contre ils semblent m'en vouloir, je ne sais pas pourquoi. Tant mieux. Ils ne lui font pas de mal.
Et il commence à défaire le haut de ma combinaison. Je rêve ou quoi ? Je chauchemarde !
" Sans vouloir vous offenser, j'eus préféré que vous me fissiez des avances dans d'autres circonstances.
- Qui sont vos alliés ?
- Non, Monsieur ! Je n'accepte d'aller au bal qu'avec ceux qui m'ont fait la cour !"
Je me prends une nouvelle gifle de la part de Treize, qui n'a daigné lever que la main gauche pour me frapper, la droite continuant à fouiller un peu plus bas sous mes vêtements...
C'est pas qu'il est moche, mais c'est mon ennemi et il est en train de commencer à me violer là ! Je veux qu'il arrête ! Ca y est, je suis mort de trouille, mais pourquoi c'est sur moi que ça tombe ? Pas devant Heero, pas devant... Non, j'ai trop honte... Pas devant lui, tout sauf ça, pourquoi, pourquoi ?
" Où se sont cachés vos alliés ?"
J'ai promis à Heero, je ne dirai rien, je ne dirai rien. D'ailleurs, je n'ouvrirai pas la bouche. Sauf pour cracher au visage de Treize quand il me touche les fesses. Je REFUSE qu'il me touche ! Je ne veux pas être sale ! Je ne veux pas être plus sale que je ne le suis déjà ! Je ne veux pas que Heero me voie comme ça ! Ho, Heero, tu dois me prendre pour un faible, maintenant, je suis un faible. Mais je ne parlerai pas.
Heero a du voir mes larmes couler. Boys don't cry, je suis désolé Solo, mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas...
Et, pour la première fois de ma vie, j'entends Heero hurler. Non pas crier, ça il le fait souvent, mais hurler, de rage et de... peur ? non, Heero ne peut pas avoir peur. Mais il hurle.
" Arrêtez ! Ne lui faites pas ça, je vous en prie, ne lui faites rien ! Tuez-moi si vous voulez, mais ne le touchez pas !"
Treize jette un regard entendu à Une et se dirige vers Heero, qui a juste le temps de me crier "Ne parle pas" avant que Treize ne lui plonge trois doigts dans la bouche pour qu'il se taise. Je... j'obéirai à Heero. Non, je ne peux pas les laisser faire ça !
Zechs jette un regard dégoûté à Treize.
" C'est bon, ils ont eu leur compte, ils ne diront rien, Treize, arrête maintenant.
- Nous en avons déjà parlé, Milliard. Regarde bien, c'est comme ça qu'agissent les forts !
- TU APPELLES CA DE LA FORCE ? TU NE FAIS QUE T'EN PRENDRE A DES ENFANTS !"
Treize se détourne un instant de Heero. Il fait un geste aux gardes qui s'emparent de Zechs et le jettent en dehors de la pièce. Pendant quelques minutes, Treize ne s'occupe plus de Heero, et nous entendons le blond marteler contre la porte, vociférant autant contre Treize, Une et Oz réunis que les Sweepers en une semaine. Et puis, plus rien. Treize se retourne vers Heero.
" Bien, à nous deux. Ho, ton ami pourra dire ce qu'il voudra, je n'arrêterai rien. Mais je serai peut-être plus... clément."
Les vêtements de Heero ne sont bientôt qu'un triste souvenir, ainsi que ceux de Treize. Lady Une me maintient bien contre la chaise d'une main, l'autre me bâillonnant pour que je ne puisse pas hurler, pour que je ne puisse en rien aider Heero, pour que je n'alerte personne. Je peux juste tourner la tête et regarder ce que Treize fait à Heero. Et je vois, ho, presque rien, une larme couler sur la joue de Heero.
Il a fait pleurer Heero, et il s'apprête à le salir. Je ne sais pas comment, mais il le regrettera. Il le regrettera très, très fort, je lui lâcherai le Shinigami au cul et si son cadavre s'en sort en un seul morceau c'est qu'il aura été congelé auparavant.
Quand je vois Treize toucher Heero, c'est plus que je ne puis en supporter. Je me débats, je mords, mais rien n'y fait : plus je bouge, plus les liens se resserrent, et la main que Une garde contre ma bouche m'empêche de dire à Heero de tenir bon, ho Heero, qu'est-ce qu'ils sont en train de te faire ?
Qu'est-ce qu'ils veulent ? S'ils veulent que je parle, je parlerai, mais que cette salope retire sa main de ma bouche ! Et que l'enflure qui tient lieu de chef d'Oz retire ses mains de Heero !
Je me retourne, et Treize a posé uns main sur le sexe de Heero, maintenant l'autre dans sa bouche.
Plus rien n'est visible sur son visage, mis à part la traînée de la seule larme qu'il a versée, la seule qu'il ait versée de toute sa vie probablement. Treize, tu me le paieras !
Treize s'active sur le sexe de Heero, pestant à l'idée de voir celui-ci ne réagir à aucune de ses caresses. En désespoir de cause, il manipule la chaise de Heero, et...
Je ne veux pas voir ça.
Je détourne les yeux, je les ferme, mais j'entends un cri étouffé de Heero.
Treize, tu paieras, je le jure, je le jure sur mon nom, et je jure que tu souffriras.
J'entends un râle de Treize. Pour avoir si souvent entendu ses homologues dans ma jeunesse, je sais que c'est fini, et je m'autorise à rouvrir un œil.
Treize.
Plus que Oz, plus que Romafeller, plus que la guerre et la misère, aujourd'hui c'est toi mon ennemi.
Tu ne sais pas ce que c'est qu'avoir Shinigami collé aux basques ? Je te garantis que tu y goûteras, et que tu n'auras plus qu'une envie, de mourir, et vite.
Treize se rhabille, et Une regarde comment Heero réagit à ce qui vient de lui arriver.
Sale garce, toi aussi tu auras ta part.
Je ne peux pas retenir le grondement sourd qui sort de ma gorge.
Il est vite recouvert par le bruit que fait la porte en tombant, enfin plutôt en explosant. Une bombe fumigène est jetée à l'intérieur, et j'ai tout juste le temps de voir trois silhouettes pénétrer la pièce. L'une se dirige vers Heero, le détache, le recouvre d'un tissu et le prend sur ses épaules. La deuxième me détache et me tire jusqu'à la porte, j'ai juste le temps de reconnaître Le visage de Quatre derrière son masque à gaz. Il me fait signe de sortir.
Nous passons tous les quatre à côté de la troisième personne, qui faisait le guet, et partons en courant, suivant une quatrième personne dans les couloirs. Elle semble les connaître comme sa poche, et nous mène très vite à une grande verrière qui ne tarde pas à exploser. Nous n'aurons pas fui discrètement, cette fois ci.
Un vaisseau très bien connu fait une marche arrière dans la verrière qui n'en est plus une, et nous courons dans les éclats de verre pour y rentrer.
Une fois tout le monde embarqué, le vaisseau repart en quatrième vitesse.
Quatre, qui me soutenait jusqu'à maintenant, se permet de retirer son masque à gaz. Je ne peux pas m'en empêcher, et m'effondre en pleurs dans ses bras.
A suivre (si on me le demande, encore une fois :p... ou si la suite vient toute seule. Bah, nous verrons bien ^^
J'ai fait ce que j'ai pu, mais bon. Désolée.
