Hey bande de gens !

On se retrouve aujourd'hui pour le début d'une toute nouvelle fic ! Une fic que je potasse depuis un moment, à vrai dire. Je n'étais pas vraiment sûre de la sortir un jour, celle-là...

Enfin bref ! Toujours est-il que c'est une fic... Rating M ! Pour changer ! Avec pour couple principal le Spamano ( oui oui, pas le FrUk, pour une fois. Mais il y en aura, promis ! ) Et bien sûr d'autres couples aussi, mais je ne vous révélerai pas tous mes secrets de suite ! Non mais !

C'est ENCORE et TOUJOURS une uchronie ( non, définitivement, on ne me refera pas à ce niveau-là... ), pendant la Seconde Guerre mondiale ( oui, je sors d'une fic sur la WW2 pour en commencer une autre. Et alors ? T'as un problème ? *pan* ).

Pour le topo historique : depuis 19 , Benito Mussolini est au pouvoir avec son Parti National Fasciste unique. Bien évidemment, le régime soutient l'Allemagne Nazie dès ses débuts, et depuis 1939 l'Italie se bat aux côtés de l'Axe contre les Forces Alliées. La trahison d'Hitler envers l'URSS et le "changement de camp" de cette dernière en 1942 consolide énormément les liens entres l'Allemagne et l'Italie, Mussolini étant le plus proche "ami" du Führer et donc son plus grand allié en Europe. Le Duce, ayant servi de modèle à Hitler, est le précurseur des camps d'entraînement pour la jeunesse, mène de nombreuses répressions contre ceux qui osent manifester ouvertement leur mécontentement contre le régime en place, en usant du soutien du Troisième Reich pour maintenir l'ordre en Italie. Le territoire est quadrillé par les forces Allemandes et par la milice, qui n'hésitent pas à user de la force pour instaurer la "paix" dans le pays ( en gros, la Gestapo et les Kommandantur pullulent en Italie comme en France. Un peu moins qu'en Zone Occupée en France, mais c'est déjà pas mal ).

Je crois que ça suffit... S'il manque quelques informations sur le contexte ou autre, je me rattraperai plus tard. Et s'il y a quelques zones d'ombre par rapport à ce que je viens d'expliquer, bien évidemment, n'hésitez pas à me demander des détails, ou à me faire réexpliquer plus simplement...! Je ne mords pas, et je serais ravie de vous venir en aide si je me suis mal exprimée...!

BREF ! Assez parlé, je vous laisse savourer ce prologue, et vous retrouve en bas pour les notes de fin~

P.S. : J'ai écrit ce texte avec le thème d'Angleterre d'HetaOni dans les oreilles, ça a peut-être un peu joué sur le rythme et le style. Voilà voilà !

P.P.S. : Le " Belle ", dans chaque titre de chapitre, désignera systématiquement Lovino.


PROLOGUE :

LA BELLE SOLITAIRE

xXx 4 septembre 1942, Rome xXx

Le soleil brillait dans le ciel, illuminant et réchauffant de ses rayons d'or les rues pavées de la Ville Éternelle. Assis sur un petit muret de pierres centenaire, il observait avec un petit sourire en coin la jeune femme qui se tenait près de lui, un large chapeau de paille couvrant ses boucles blondes tandis qu'un fin sourire tendre se lisait sur ses lèvres roses, son regard portant toute son attention quelque part droit devant elle. Sa robe légèrement bleutée arborant quelques rubans plus foncés voletait au gré de la légère bise qui daignait souffler pour rafraîchir un peu l'air ambiant.

Il tourna la tête pour regarder dans la même direction qu'elle, et pût ainsi observer un homme aux cheveux auburn, chemise remontée aux coudes et pantalon aux genoux, occupé à faire barboter un tout petit être dans l'eau du Tibre. Les pieds seuls de l'enfant touchaient l'eau, mais c'était amplement suffisant, accompagné des petits bruits exagérés de l'homme, pour faire rire le nourrisson aux éclats. Un autre enfant, un petit garçon, patogeait lui aussi à leurs côtés, s'amusant visiblement plus que de raison à éclabousser l'adulte qui s'en amusait, feignant l'indignation pour faire rire le petit homme. Cependant, recevoir des éclaboussures sur les jambes et le visage ne semblait absolument pas plaire au plus jeune, qui protesta en pleurant, battant des pieds dans l'eau pour que l'homme le soulève dans ses bras.

_ Raffaele, mi amore, amène-moi Feliciano. Il fait trop chaud au soleil pour lui !

L'interpellé se retourna vers sa compagne, leur plus jeune fils dans les bras. Acquieçant d'un hochement de tête, Raffaele se tourna légèrement vers le petit garçon qui lui éclaboussait la jambe, et lui fit signe de rester bien sagement au bord le temps qu'il aille confier son petit frère à leur mère. Mais cela ne plût définitivement pas à l'enfant, qui trépigna furieusement dans l'eau, aggripant son père pour qu'il reste près de lui.

Avec un sourire, il se laissa glisser du muret, sous le regard étonné de sa belle-fille, et fit signe à son fils que tout allait bien.

_ Ne t'en fais pas, mon fils. Je m'occupe du petit Diable.

D'un air de défi, ledit petit Diable lui tira la langue, gambadant sur ses courtes jambes en riant aux éclats pour tenter de fuir son grand-père qui s'était mis à le courser. Il se fit éclabousser plusieurs fois - le petit garçon pensant sûrement que quelques gouttes d'eau allaient stopper sa course - et il l'attrapa finalement dans ses bras, faisant couiner de surprise ce dernier alors qu'il le soulevait en le chatouillant.

_ Alors comme ça jeune homme, on tire la langue à son grand-père et on s'enfuit ? dit-il avec un large sourire sournois, tandis que son petit-fils de débattait dans ses bras en criant et riant à la fois. Tu vas finir dans l'eau, toi !

_ Non Nonno ! Pas dans y'eau ! babilla l'enfant, ses yeux ambrés brillants de malice fixant ceux similaires de son grand-père.

_ Ô que si ! Lovino Vargas, tu vas finir les fesses mouillées mon petit !

_ No !

En riant, le garçonnet de deux ans se retrouva le derrière dans l'eau, alors qu'il l'éclaboussait tout en veillant à ce que le petit homme n'ait d'eau qu'à peine jusqu'à la taille. Lovino appelait son père à l'aide, suppliant entres deux rires son tortionnaire d'arrêter.

Il joua encore un moment dans le fleuve avec Lovino, enchaînant bataille d'eau sur bataille d'eau. Feliciano s'était paisiblement endormi, bercé dans les bras de sa mère qui veillait d'un regard tendre sur son tout petit, jetant tout de même quelques coups d'oeil vers l'aîné de ses rejeton, qui se fatiguait lentement au fur et à mesure qu'il inventait de nouveau jeux pour son grand-père.

Lorsque le petit garçon commença à trébucher de fatigue sur les rives du cours d'eau, il le prit doucement dans ses bras, le ramenant sur la berge jusqu'au muret à l'ombre d'où les observait les deux jeunes parents au nourrisson endormi. Lovino se blottit instinctivement contre son grand-père, ses petites mains venant se poser autour du cou de ce dernier pour s'y tenir. Il laissa sa jolie tête ronde reposer contre son épaule, se faisant doucement ballotter au rythme de ses pas.

_ Raffaele, ton fils est un véritable petit baroudeur en herbe, dit-il en riant, une main caressant avec tendresse les petites mèches auburn toutes douces de l'enfant somnolant dans ses bras.

_ Il a dû hériter ça de son grand-père, sourit le fils avant de rire. Et son caractère de cochon de sa mère !

_ Dis donc, toi ! s'indigna la jeune femme en lui donnant un petit coup de poing sur le bras qui le fit rire.

_ Oh, Marzia ma chérie, tu ne vas pas te fâcher pour si peu ! répondit d'un ton à la fois désolé et amusé Raffaele. C'était un compliment ! Nos enfants ressemblent tant à mon père, dire que Lovi a au moins hérité de ton caractère était supposé être gentil !

_ Ça aurait été gentil si tu n'avais pas insinué que j'avais un caractère "de cochon" !

Le jeune homme rit de bon coeur une nouvelle fois, et se pencha pour embrasser amoureusement sa compagne. Lovino toujours dans les bras, il se rassit sur le muret, le petit garçon contre son coeur, laissant ses jambes et ses bras trempés sécher à l'air libre.

_ Dans tous les cas, ce petiot va être ingérable, en grandissant. Un véritable aventurier, il va falloir le brider un peu !

_ Ne vieillissez pas trop mes bébés, s'il vous plait... se plaint Marzia avant de déposer un baiser surprotecteur sur le front du nourrisson qui sommeillait contre sa poitrine.

Il ne pût s'empêcher de sourire. Il aimait réellement ces moments qu'il passait avec sa chère famille. Sa femme, si elle était encore de ce monde, aurait elle aussi tout le plaisir du monde à assister à ces instants fé bonheur pur. Paix à son âme.

Avec Raffaele, la petite Marzia ; puis à présent Lovino et Feliciano, ces petits-fils qu'il chérissait comme la prunelle de ses yeux, il se sentait d'une nouvelle jeunesse. Ces deux petits amours étaient un vrai souffle de fraîcheur, pour lui qui avait vécu les horreurs de la Grande Guerre. Mais à présent, il pouvait savourer paisiblement la douceur de chaque instant passé aux côtés de ceux qu'il aimait.

Et il aurait souhaité que ces instants de bonheur de cessent jamais.

_ C'est à ton tour, le Vieux. Schnell !

Une voix au fort accent allemand le tira de sa rêverie, alors qu'on le poussait violemment en avant, le forçant à rouvrir les yeux. Il releva lentement la tête pour observer silencieusement l'esplanade de bois qui se présentait face à lui, surélevée de quelques marches.

En haut de cette "scène", un homme se donnait en spectacle. D'environ vingt-cinq ans, de carrure large et imposante, il dominait de son perchoir tant sa personne que l'audience qui s'était amassée autour d'eux. Tiré à quatre épingles, dans un uniforme noir de jais, casquette vissée sur la tête et brassard à la svastika fièrement arboré au biceps gauche, il ne semblait attendre que lui. Avec un léger soupir, il se résigna à gravir les marches de l'esplanade, se retrouvant aux côtés du jeune officier SS.

Et, d'un coup d'oeil vers ce dernier, il croisa un regard aussi pourpre que le sang surmonté de cheveux blancs comme neige.

_ Si jeune et déjà officier ? dit-il avec un sourire en coin. Dites-moi, ils ne font pas les choses à moitié, chez vous ! Vous devez être un petit génie !

_ Je n'en suis pas peu fier, répondit avec un sourire odieux l'Allemand. Mais ne pensez pas m'acheter avec des compliments. Ma géniale personne y est déjà bien assez habituée pour se faire avoir par ce genre de technique !

_ J'aurais essayé, ricanna-t-il un instant avant d'être à nouveau poussé en avant par l'un des acolytes de sa nouvelle "connaissance", se retrouvant bien vite au centre de la scène.

Là où l'attendaient un tabouret, et un gibet.

Sans ménagement aucun, on le fit monter à deux pieds sur la potence en équilibre précaire, les mains liées derrière le dos. On lui passa la corde au cou. On resserra légèrement le noeud dans sa nuque, sans pour autant l'étrangler de suite.

Les festivités pouvaient commencer.

_ Romeo Vargas ! clama alors le jeune officier, qui avait visiblement été désigné pour orchestrer son exécution. Vous avez été reconnu coupable d'actes de rébellion contre le gouvernement italien, et par conséquent contre le Reich et contre notre Führer. La sentence pour tout acte de trahison envers l'Allemagne est la mort. Avez-vous quelque chose à dire avant la mise en application de votre sentence ? récita impeccablement l'Albinos, un papier déplié entres les doigts - sûrement un genre de mandat d'accusation.

A vrai dire, le vieux Résistant ne l'avait pas franchement écouté. Il était plus occupé à chercher du regard, dans la foule, deux frêles silhouettes qu'il aurait préféré ne jamais voir un jour en de tels lieux.

Surtout dans le cadre de sa propre mise à mort.

Enfin, il les vit. Au milieu de toutes ces têtes connues ou inconnues. Localisés grâce à ces petites mèches disgracieuses qui avaient la vilaine tendance à boucler dans n'importe quel sens.

Lovino.

Feliciano.

Ces petits-fils chéris. Romeo pouvait bien voir que l'aîné se forçait à rester droit et digne, malgré sa mâchoire tremblante et ses yeux à la fois brillants et oscillants entre la tristesse et la rage. Le plus jeune quant à lui pleurait déjà à chaudes larmes, silencieusement, accroché au bras de son grand frère comme une moule à son rocher, ses yeux ruissellants de larmes levés vers la potence de leur grand-père.

Il leur adressa un petit sourire réconfortant, peiné de devoir les laisser ainsi. C'était bien la seule chose qu'il regretterait en ce bas monde : ne pas avoir pu les accompagner jusqu'à leur majorité. Jusqu'à ce qu'ils aient appris à se débrouiller seuls. Au lieu de cela, il se retrouvait à devoir les laisser sur le carreau, seuls, sans plus personne sur qui compter.

Amer, il détourna alors le regard de ces deux protégés, se tournant vers l'Allemand qui attendait toujours sa réponse.

_ Rien de plus que je n'ai déjà dit, répliqua-t-il avec un large sourire narquois. Maintenant, dépêchez un peu : je ne dois pas être le seul de la matinée à y passer, railla-t-il ensuite avec sarcasme.

Semblant s'amuser comme un petit fou, l'Albinos afficha un sourire en coin, satisfait de la réponse de ce papy au bord du gouffre. Repliant son papier pour le coincer dans le revers de sa veste, il se frappa plusieurs fois les mains comme pour les dépoussiérer, tandis qu'il déclarait d'un ton faussement solennel.

_ Bien. Commençons alors.

Inspirant profondément, Romeo braqua son regard au loin, admirant une dernière fois les célèbres hauteurs de Rome dans la lumière pâle du lever du soleil, attendant l'heure de son glas silencieusement.

Il n'attendit pas bien longtemps avant qu'on ne donne un puissant coup de pied dans le tabouret, le laissant brusquement pendre dans le vide, le noeud coulant se resserrant violemment contre sa gorge.

A peine le coup de pied fût-il esquissé que Feliciano se jeta contre le torse de son grand frère, cachant son visage de l'horrible spectacle qui se déroulait à quelques mètres d'eux. Ses larmes avaient redoublé d'intensité, alors que ses mains aggripaient le gilet de son aîné, dans son dos, sanglotant contre lui.

Lovino, quant à lui, se força à regarder, jusqu'au bout, son grand-père se battre entre la vie et la mort, oscillant de droite à gauche au bout de sa corde et recherchant désespérément de l'air. Il vit son visage se déformer sous la douleur et gonfler à mesure qu'il s'asphyxiait. Il le vit gigoter de moins en moins, puis s'immobiliser alors que la vie le quittait enfin. Il vit le cadavre de son grand-père se balancer lentement au gré de la bise. Plus un son ne leur parvenait de la potence.

Romeo Vargas était mort.

Leur grand-père était mort.

Mort.

Définitivement.

Et Lovino n'avait rien pu y faire.

Ses larmes coulèrent enfin, alors qu'il serrait contre son coeur son petit frère épleuré. Dire qu'ils n'avaient même pas pu lui faire leurs adieux... Et il était presque certain qu'ils ne reverraient jamais la dépouille de Romeo. Un traître, aux yeux des Boches, ne méritait guère plus qu'une vulgaire fosse commune anonyme. Les deux frères ne pourraient même pas lui souhaiter bon voyage dans l'Au-Delà.

_ Nonno...! Nonno Romeo...! ne cessait de sangloter Feliciano, blotti dans les bras de son aîné. Ils... Ils l'ont tué, Lovi... Nonno, ils l'ont tué...

_ Je sais, Feli... Je sais.

Sa voix avait été plus faible et nouée qu'il ne l'aurait voulue. Pour son frère, il devait rester fort. Pour son frère, il devait reprendre le flambeau de leur grand-père. Pour son frère, il devait se battre contre le Troisième Reich et leurs bourreaux.

Pour son frère.

Pour Feliciano.

D'un oeil mauvais, Lovino observa la silhouette de l'Albinos, sur la potence, qui regardait avec nonchalance ses subordonnés détacher sans aucun respect le corps du défunt, qui s'écroula sur les planches de bois dans un bruit mat avant d'être soulevé comme un vulgaire sac à patates et balancé sans ménagement dans une remorque. Le jeune Italien au sang chaud serra les dents, ses prunelles ambrées semblant vouloir fusiller du regard l'Allemand alors que ses bras réconfortaient plus fort encore son cadet.

Toi, si je te retrouve un jour, je te tue. Cazzo, sur l'honneur, je te tue, et j'éparpille tes entrailles sur les septs collines de Rome.


Lexique :

Mi amore : Mon amour ( italien )

Nonno : Papy ( italien )

No ! : Non ! ( italien )

Schnell ! : Vite ! ( allemand )

Cazzo : Putain ( italien )

xXx

→ Bon... Je me suis peut-être un peu inspirée de Seguimi O Uccidimi de Niniel Kirkland pour le prénom de Rome ( alias Raffaele ) ( Rome la ville, hein ! Pas Papy Rome ! Papy Rome, c'est Romeo ! ). Mais, hey ! C'pas ma faute si j'ai relu cette - génialissimement géniale - fic pendant que je m'ennuyais en Bretagne ! ( n'empêche, l'application fait des miracles... Alleluia ! ) Pis bon, même si c'est un connard dans SOU, j'aime bien ce prénom. Nah. Sinon, Marzia est un personnage inventé. Vuala.

→ Si vous êtes VRAIMENT long à la détente : oui, l'Allemand qui fait exécuter Romeo, c'est Prusse. Officier à 25 ans quand même... J'ai peut-être abusé pour le coup, mais honnêtement, Gil est tellement classe dans son uniforme SS- Oui bon ok j'ai pas d'excuse. Pardon. Pis bon, un an plus tard il est Obersturmführer donc bon... L'un dans l'autre, j'abuse dans les deux cas XD

→ Le 4 septembre 476, c'est le jour où les Wisigoths d'Odoacre ont pris d'assaut Rome après l'avoir assiégée et destitué le dernier empereur romain d'Occident Romulus Augustule. La date de la fin de l'empire romain d'Occident pour la mort de Papy Rome, oui oui...


Bien bien bien... Ça sera tout pour ce prologue !

Le texte peut VRAIMENT être lu avec la musique du thème d'Angleterre dans HetaOni. Si ça vous intéresse, demander moi le "minutage" par MP :3

J'espère qu'il vous aura plus... Honnêtement, je sais pas trop quoi penser de cette fic. Alors, n'hésitez pas à laisser une review pour me donner votre avis !

Je vous fais de gros poutoux sur les deux joues, et je vous laisse sur ces mots !~