Bonjour a tous, voici ma première fics sur le monde d'Harry Potter. Elle comportera dix chapitre et deux épilogues. J'espère qu'elle vous plaira.

Bonne Lecture ~


Exposition

Harry fut un peu désorienté quand il se réveilla, la lumière du soleil pénétrant par la fenêtre l'éblouit. Il n'aimait pas le changement de place du lit, encore une lubie de son mari pour permettre le bon flux de la magie au sein de la maison. Ayant reçu une éducation moldu les préceptes de magie communicante à la nature et à leur environnement lui était complètement étrangère. Hermione lui avait expliqué durant une après-midi qu'il s'agissait de feng shui, ou « l'art d'harmoniser l'énergie magique environnementale d'un lieu de manière à favoriser la santé, le bien-être et la prospérité de ses occupants. » un truc de bonne femme selon l'opinion d'Harry. Ses enfants étaient toujours aussi turbulents et son mari toujours aussi rancunier.

Baissant les yeux, Harry vit Draco blottit contre son corps, tenant le corps du blond contre le sien. Il sourit à lui-même, faisant lentement glisser sa main le long du dos de Draco jusqu'à l'arrondi de ses fesses couvert par un pantalon en toile fin retenu par une ceinture de corde. L'odeur âcre du sexe avait disparu de sa peau et le parfum frais du savon le remplaçait. Harry se demanda pourquoi il ne l'avait pas réveillé quand il était allé prendre une douche, espiègle et un poil revanchard il prit la décision de réveiller son mari en rendant sa tentative de toilette caduque. Harry commença à faire glisser sa langue le long de sa mâchoire inférieure avant de lui mordiller gentiment la clavicule. Ses mains étant déjà occupées à défaire son pantalon pour se faufiler dans l'espace chaud entre ses cuisses. Quand Harry referma finalement sa main autour de son sexe, Draco protesta en se détachant légèrement, laissant échapper un gémissement dû à son sommeil dérangé. Souriant, Harry entrepris de continuer son exploration lorsque des coups contre la porte finir de réveiller le blond qui s'empressa d'aller ouvrir sous les soupire frustré du brun, qui en profita pour récupérer ses lunettes posées sur la table de chevet.

« Al….

Draco s'abaissa pour prendre son fils sous les aisselles, le portant en se dirigeant vers le lit parental

- Père ! James ne veut pas me laisser regarder la télé !

- Harry tu t'en occupe ! »

C'était la condition pour tout objet moldu qui entrait dans la maison, Harry en avait la responsabilité. A lui de devoir gérer explication d'utilisation, entretien et dispute qui pouvait en découler.

Harry enfila un bas de jogging gris ainsi qu'un t-shirt des canons de Chudley, avant de descendre dans le salon, suivi par Albus ayant quitté les bars de son père presser de voir son grand frère se faire crier dessus par leur papa, son doudou dragon trainant derrière lui.

Draco en profita pour s'étirer un peu et se gratter le bas du ventre, la chaleur de ces derniers jours avait rendu ses cicatrices démangeant. Deux césariennes, une pour chacun de ses fils, bien qu'elles dénaturent son corps, le blond ne les effacerait pour rien au monde, elles étaient la preuve du combat mener pour avoir sa famille, de l'amour et l'abandon qu'il avait été prêt à faire pour Harry, si seulement ce dernier y avait pensé quatre mois plus tôt au lieu d'être si égoïste ! Non ! ils avaient décidé de recommencer à zéro, au nom de huit ans de mariage et deux enfants et surtout par amour, Draco avait fait des vœux et il s'y tiendrait.

Après s'être habillé pour la journée, Draco vérifia le sac de ses fils, il était prévu qu'ils passent l'après-midi à l'aire de jeux « centre de loisirs pour jeunes sorciers facétieux », créer par les jumeaux Weasley après la réussite de leur boutique de farces et attrapent, puis le week-end avec leur cousin –et filleul d'Harry – Teddy et la grand-mère de ce dernier – et tante de Draco – permettant au couple de profiter pleinement l'un de l'autre même si, cette étape avait déjà débuté la veille au soir.

Descendant à son tour dans la pièce à vivre, il vit Harry et les garçons concentrer à regarder un cartoon, devant ce tableau noir qui une fois enclenché laisser apparaitre différentes images animées. Les enfants y avaient droit trois heures par jour : une heure et demie le matin avant le petit déjeuner et une autre heure et demie avant le bain. Ils regardaient principalement des programmes éducatifs, pubs de céréales, film et toute sorte de dessin animé pour enfants, Harry ne s'y consacrai que pour recevoir les informations moldu et organiser des séances « matche de football » avec ses amis gryffondor. Draco, lui, ne trouvait aucun n'intérêt à cet « écran panoramique haute résolution » comme l'avait nommé et présenté par son mari le jour où il l'avait fait entrer et poser dans le salon. « C'est une télé ! William a la même » avait expliqué James à son petit frère avant de lui expliquer comment utiliser la télécommande.

Draco alla dans la salle à manger vérifier que Happy avait bien rajouté un jouet dans le paquet de céréales des enfants, encore une lubie moldu apportées par la « télé ». La seule fois où James et Albus avaient dû se battre pour avoir le jouet présent dans la boite en carton cela avait fini en crise de colère avec en prime explosion de magie pour l'ainé et en crise de larmes de deux heures pour le cadet. Au moins ce matin-là le couple Malfoy-Potter avait eu confirmation que leur fils ainé recevrait bien une lettre pour Poudlard l'invitant à la rentrée scolaire de ses onze ans.

L'horloge sonna dix heure, le blond alla arracher ses fils au pouvoir hypnotisant de cet écran et envoya Harry se préparer à l'étage. Le petit déjeuner se passa tranquillement, James expliquant toutes les activités qu'il comptait faire à l'aire de jeux et Albus spamant sur le fait de vouloir monter sur le dragon et voir si les bébés lézard étaient nés.

« C'est pas un vrai dragon d'abord, ne cessait de lui répéter James

- Menteur ! hein qu'il est vrai père ? hein qu'il est vrai ? rétorqua Albus, cherchant l'approbation du blond afin de mettre en déroute son ainé.

- Albus on dit « n'est-ce pas qu'il est vrai » et James finit tes céréales s'il te plait, tu pourras jouer avec ta toupie plus tard. Fut la réponse de Draco

- Oui père » répondirent les deux garçons en même temps.

Harry arriva quelques minutes plus tard et eu droit aux mêmes explications sur l'activité que comptait faire son fils ainé ainsi qu'aux commentaires de Albus sur le dragon et les bébés lézard.

Une demi-heure plus tard, le blond redescendu avec ses fils, chacun un sac sur le dos, prêt pour leur journée. Mais lorsqu'ils arriveraient dans le sas d'entrée, la tenue d'Harry n'avait rien celle d'un père s'apprêtant à passer la journée dans un parc de loisirs pour enfants et pour cause il portait son long manteau d'Aurore. Draco ferma les yeux et prit une grande inspiration.

« Les garçons. Aller au salon. Vous avez le droit à trente minutes de télé en plus aujourd'hui. » prononça le blond d'une voix ferme le regard fixé sur son époux.

L'information fut accueillie par un cri de joie unanime. Avant que deux paires de jambes ne se mettent à courir vers le lieu indiqué.

Harry commença à s'approcher de son époux, amorçant déjà une explication mais Draco le stoppa en plaçant sa main entre eux pour l'empêcher de faire un pas de plus, les yeux fermés, hochant la tête de droite à gauche. N'arrivant pas à croire ce qui était en train d'avoir lieu, il lança un sort d'insonorisation se préparant à la dispute.

« Deux semaines ! deux semaines que tu leur as promis cette journée. James a même rangé sa chambre à la place d'Happy !

- Je sais et crois-moi j'attendais cette journée autant qu'eux

- Alors enlève ce manteau et mets ton blouson de motard moldu !

- Draco…

- Non Harry ! tu leur as fait le coup le mois dernier ! hurla le blond

- Calme-toi, je suis désolé ok ? promis je regarderai le souvenir dans la pensine ce soir

- Mais c'est génial ça ! répondu sarcastiquement Draco et pendant combien de temps comptes-tu regarder tes fils grandir à travers MES souvenirs ?!

- Il ne s'agit que d'un après-midi. Il y en aura d'autres ! Pourquoi faut-il que tu dramatises toujours tout ! s'emporta à son tour Harry

- Je dramatise ?! vraiment ?!

- Oui ! tu dramatises !

- C'est facile pour toi de dire ça ! tu n'es jamais celui qui doit annoncer la nouvelle et gérer leur déception !

- Oh arrêt ! se sont encore des bébés Jamie aura oublié tout dans la minute et Al n'a que faire de ma présence tant qu'il y a des dragons !

- Mais tu t'entends ?! c'est une promesse que tu leur as faite ! vas donc expliquer à James et Albus pourquoi ils ne passeront pas la journée avec leur « papa ». « Papa » qui préfère aller s'amuser ailleurs !

- M'amuser ?! tu crois vraiment que ça plait de devoir planter les garçons à la dernière minute ?!

- Que cela te plaise ou non c'est ce que tu fais ! Draco ferma les yeux en se pinçant l'arête du nez pour se clamer. Je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps à vouloir te faire changer d'avis »

« C'est ton chois. Comme pour tout le reste... ça a toujours été ton choix. » laissa échapper Draco déçu et amer.

Sur cette dernière parole le blond retira le sort d'insonorisation, mettant fin à la dispute, il entra dans le salon. Harry entendit la voix fluette d'Albus « Et papa il vient pas ? » avant d'entendre la voix de Draco prononcer « centre de loisirs pour jeunes sorciers facétieux » et le son du feu caractéristique des voyages en cheminer.

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Ron émergea en sentant une main passer et repasser sur son ventre nu.

« humm » gémit-il avant de faire face à son amant

- Bien dormis ?, lui chuchota ce dernier en l'attrapant par la taille

- Mal au cul… répondit le roux en nichant sa tête dans le cou à la peau chocolat

Un ricanement lui répondit, avant qu'il ne soit un peu plus rapproché pour finir coller au corps de son vis-à-vis.

- Tu m'as manqué, prononça son amant avant d'embrasser son épaule, serrant fermement sa taille, comme voulant ne jamais plus le laisser partir

- A d'autre Blaise ! tu as passé la soirée les mains sur mes fesses, je t'ai même entendu leur dire « je vous aime »

Cette fois ce fut un vrai rire que le noir laissa échapper, le son se percutant contre sa cage thoracique. Ron adorait ce genre de réveil et après un mois de missions dans les lochs écossais à dormir dans une tente sur un hamac, ils n'étaient que plus savoureux.

Sans qu'il ne s'en rende vraiment compte, trop occupé qu'il était à faire la liste dans sa tête des désagréments qu'offrent les missions extérieures, une main se posa sur sa chute de rein, descendant l'aire de rien vers le galbe de ses fesses.

Blaise inspira l'odeur de son parfum, savourant l'odeur de celle-ci sur la peau de Ron. Blaise s'écarta un peu et commença à déposer des baisers dans son cou vers ce point sensible caché derrière son oreille. Ron pencha la tête pour lui donner plus d'accès et Blaise fut également encouragé par la main qui était en train migrer vers le sud.

Il lécha et mordilla la chair autant qu'il le put, couvrant son corps avec ses mains et ses lèvres, se délectant des soupirs du roux sous lui. Les doigts dans ses cheveux l'incitaient à descendre vers l'endroit où Ron réclamait avec insistance le plus d'attention. Il choisit de ne pas respecter tout de suite cette demande, préférant d'abord embrasser et mordiller ses cuisses se rapprochant lentement de son bas-ventre, mais se reculant avant d'entrer en contact.

Ses joues se creusèrent alors qu'il prenant le sexe en bouche, alternant entre les petites tétées avant de l'avaler entièrement. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient, enduisant le sexe de salive. Les gémissements désespérés de Ron pour lui en demander plus l'excita grandement. Il descendit lentement deux de ses doigts vers son intimité et il sentit Ron se tendre en prévision.

Blaise appela sans baguette le lubrifiant, en versant une dose sur sa main et murmura un sort de réchauffement avant de commencer à préparer Ron, faisant pénétrer lentement ses doigts en lui pour l'étirer.

« - Je t'adore. » Ne put-il pas s'empêcher de murmurer contre le front de Ron.

Il garda son visage contre le sien, ne le quittant pas du regard alors qu'il s'installait entre ses jambes. Il le pénétra lentement, luttant pour ne pas s'enfoncer en un coup et faisant attention d'y aller doucement.

La forte poigne de Ron sur ses biceps lui fit savoir qu'il avait besoin de temps pour s'adapter. Il déposa de tendres baisers sur ses paupières et tout autour de son visage, lui chuchotant à quel point il l'aimait. Lorsque sa prise se décrispa, il sortit lentement et revint en lui aussi loin qu'il pouvait.

La vue de Ron s'arquant contre lui, lui fit perdre le contrôle. Il se déplaça jusqu'à ce qu'il ait une bonne prise sur les cuisses du roux se trouvant autour de lui et se mit à pénétrer profondément en lui.

Il augmenta encore son rythme et passa un doigt sur les lèvres rouges de Ron, les libérant de ses dents. « - Ne te retiens pas. » L'encouragea-t-il en poussant lui-même un gémissement alors que Ron se resserrait autour de son sexe.

Ron replia ses jambes vers sa poitrine, tenant ses genoux. Blaise suivit, se penchant en avant jusqu'à ce que sa poitrine soit pressée contre les genoux pliés. Sa tête était enfouie dans l'épaule de Ron alors que leurs corps bougeaient ensemble vers l'achèvement.

Il effectua des petits mouvements circulaires avec ses hanches avant d'augmenter la vitesse de ses coups, détectant que la libération de Ron était proche. Il vint entre eux, Blaise pouvait sentir la chaleur contre son ventre et il le suivit peu de temps après.

Quand il fut capable de bouger, il nettoya tendrement son amant avec sort. Ron protesta d'un air endormi, enroulant ses bras autour du cou de Blaise. Il ramassa le drap tombé au sol durant leur ébats et recouvrir Ron avant de le rejoindre. Il s'installa contre lui et s'endormit avec le cœur de Ron battant sous sa main gauche.

Blaise fut le premier debout, il passa par la douche avant d'aller jusque dans la cuisine se prendre un verre d'eau. Face à l'évier, une main sur le rebord l'autre tenant son verre à hauteur de menton il commença à planifier son week-end. Pour une fois qu'il n'était pas de service et que cela coïncidait avec le retour de mission de Ron il comptait bien en profiter. Tout d'abord ils se feraient monter le petit déjeuner par le service d'elfe de l'immeuble, puis ils prendraient un bain, suivit d'une longue séance de sexe, le déjeuner, du sexe et surement une sieste avant de diner. Et pour finir la soirée en beauté…

« A quoi tu penses ? » demanda une tête se posant sur son épaule, des bras enlaçant sa taille et un torse se collant à son dos

- Du sexe évidemment, répondit à voix haute Blaise

- Nourri moi avant ! exigea Ron en se détachant de son amant pour s'accouder à l'ilot central de la cuisine

Blaise posa son verre et se plaça face à lui, posant une main de chaque côté de son corps sur l'ilot, emprisonnant son homme. Alors qu'il approchait ses lèvres pour l'embrasser, Ron recula la tête un sourire espiègle sur le visage

- Mon petit déjeuner ?

- Tout ce que tu voudras, prononça Blaise les yeux fixés sur ces lèvres pleines étiré en un fin sourire satisfait.

- Je veux du bacon, des œufs, et deux saucisses… un… hum… verre de jus d'orange… des… des toasts et de la marmelade citron gingembre… ah… tenta d'énoncer Ron, alors que Blaise butinait son cou

- Du café ? demanda le noir

- Du café, affirma le roux et tes lèvres

- Mes lèvres ? ça je peux te les donner tout de suite

Blaise se remit face à son amant qui hocha la tête en signe d'accord, les yeux légèrement clos, prêt à recevoir son baiser. Mais ils furent interrompus par des coups à la fenêtre. Et dire que Ron pensait justement que cette journée était parfaite ! Surement une urgence à l'hôpital, le roux étant dans l'appartement de son amant, son service au ministère n'aurait pas pu lui envoyer un ordre de mission ici. Blaise se détacha pour ouvrir la fenêtre au hibou. Lorsque celui-ci pénétra dans la cuisine il alla s'écraser contre le plan de travail créant un bruit monstre. Un seul hibou était capable d'être aussi maladroit : Errol ! Ron se précipita pour attraper la missive attachée à la patte de l'oiseau et alla se réfugier dans le salon, comment cet oiseau de malheur avait-il pu savoir qu'il se trouverait là. Etonné Blaise s'empressa de voir si l'animal ne s'était pas blessé, il lui donna à boire et une friandise avant de la laisser partir. Il rejoignit son amant dans la pièce à vivre le retrouvant assit sur l'un des fauteuils la mine défaite.

« Un problème Ron ? Blaise s'approcha doucement et s'accroupit pour être à sa hauteur

- Non aucun, l'aurore releva la tête, un sourire forcé sur le visage

- Aller dit moi, insista son amant

- C'est rien, vraiment Blaise ! j'ai faim, pas toi ? Le roux se releva et se dirigea de nouveau vers la cuisine mais son amant le retint par le bras

- Ron ! donne-moi la lettre

Ron se mordit la lèvre inférieure, n'osant pas faire face à Blaise

- S'il te plait, insista le noir

Ron lâcha la feuille, il profita du fait que Blaise se baisse pour la ramasser pour s'enfuir.

« Ronald Bilius Weasley,

C'est toujours un plaisir d'apprendre par d'autres le retour de son fils au pays ! j'espère que ce manque de manifestation de ta part est dû à une stupéfiction dont tu aurais été victime, raison pour laquelle je ne t'envoie pas de beuglante !

Si tel n'est pas le cas, je te veux au terrier dans la demi-heure pour le déjeuner.

Ne soit pas en retard !

Affectueusement Molly »

Blaise soupira en se relevant. Il alla retrouver son amant dans leur chambre. Ce dernier était plongé dans son sac à chercher une chemise encore assez propre. Il avait déjà enfilé un pantalon et une chaussette.

« Tu comptes partir sans dire un mot ? demanda Blaise debout dos au roux

- Je compte partir sans une dispute

Le noir rire amèrement

- Ok… Je viens avec toi

Ron se releva comme monté sur ressort tant dit que Blaise se dirigeait vers son armoire,

- Quoi ? demanda ahurie l'aurore

- Je viens avec toi, la blanche ou la bleue demanda le bistrer en faisant face à son amant une chemise dans chaque main

- Non ! Blaise… tu ne peux pas venir

- Ah ? et pourquoi ? je suis ton petit-ami pourtant

- Tu sais bien que c'est plus compliquer que ça… commença Ron

- Compliqué comment ?! tu es le seul à compliquer les choses ! tu as honte de moi ? demanda Blaise en balançant ses chemises sur le lit, s'affairant à chercher un pantalon noir

- Non ! je t'aime, n'en doute jamais !

Ron se reprocha de son amant l'enlaçant par-derrière. Le noir posa sa tête contre l'armoire expirant les yeux fermer

- Alors dit leur, supplia Blaise

- Je le ferai, promis

- Quand ? exigea de savoir le noir

- Aujourd'hui ! et la semaine prochaine tu déjeuneras avec nous !

- Vraiment ? Blaise se retourna face à son amant, l'attrapant par la taille

- Vraiment, Ron déposa un baisé papillon sur ses lèvres. Je peux t'emprunter ta chemise bleue ?


Alors qu'en pensez-vous ? je suis a la recherche d'une beta pour ma correction des autre chapitre n'hésiter pas à m'envoyer un mp