Mélandra

Auteur : Pour la première fois sur vos écrans et en toute exclusivité le duo de choc et de charme bien entendu j'ai nommé Tyo et Shiryu.

Shiryu : Tu ne crois pas qu'on en fait un peu trop ?

Tyo : non pas du tout c'est vrai après tt que l'on est un duo de charme…

Série : Pour la première fois aussi j'ai l'honneur de vous annoncer Harry Potter.

Genre : C'est la question à 1000 € !

Couple : Pour l'instant que dal c'est le début ! Si intervention du couple Lucius x Narcissia mais ça c'est pas un couple c'est une abomination de la nature !

Email : : Les perso, l'univers et tout ce qui si rapporte n'est pas à nous mais à J K Rowling ! Sauf Melandra qu'est rien qu'a nous ! Nananereuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Prologue : Une nouvelle.

Rémus courait à en perdre haleine dans les rues de Londres. Enfin il arriva devant une vieille cabine téléphonique rouge. Il s'engouffra à l'intérieur et dit clairement avant que la voix ne s'élève :

Rémus Lupin, je suis mandaté par le conseil en urgence.

Un badge tomba dans le réceptacle avec marqué dessus : « Rémus Lupin, mandaté par le conseil ».

L'ascenseur se mit soudainement en marche et commença sa vertigineuse descente. Au bout de quelques instants la cabine s'immobilisa brutalement et les portes s'ouvrirent sur un département du ministère.

Rémus sortit rapidement et entra dans une des salles. Celle ci était grande et rassemblait autour d'une immense table les plus grands sorciers vivants, entre autre était présent Albus Dumbledore.

Bonjour à tous, veuillez excuser mon retard, mais il y avait une circulation pas possible ! Encore un de ces événements moldu, je présume !

Ce n'est pas grave Rémus, asseyez-vous, je vous prie, invita calmement le directeur de Poudlard. Voyez vous la situation devient critique. Voldemort a lancé une attaque contre le village de Chaudron Aux Sources. Or comme vous le savez c'est le seul village où sorciers et moldus vivent ensemble en toute harmonie. Si le plan de Voldemort réussit, il déclenchera une guerre moldus/sorciers à terme. C'est pourquoi nous devons l'en empêcher. Le professeur Snape, ici présent a accepté de continuer son rôle d'espion pour nous. Molly Weasley continue son rôle d'intendance dans la maison des Blacks, Arthur, lui, continue de rallier à notre cause des personnes du ministère, tâche grandement facilité par l'intervention de Fudge en cette fin d'année. Toutefois il faudrait une personne proche d'Harry pour veiller sur lui. La mort de Sirius l'a beaucoup affecté et je ne voudrais pas qu'il subisse une attaque quelconque alors que sa garde est baissée. Ainsi comme vous connaissiez bien Sirius je pense que vous serez la personne idéale pour veiller sur son filleul.

Bien.

Toutefois connaissant votre, euh, problème, une jeune personne très qualifiée vous aidera dans votre tâche. Elle aussi connaissait Sirius. Ils étaient très proches.

Rémus leva un sourcil.

Ils étaient mariés ?

Non, ils étaient frère et sœur.

Quoi ! Mélandra ?

Oui. Mélandra ! Appela-t-il.

Une jeune femme d'apparence frêle et fragile poussa les lourdes portes et fit son apparition. Une longe natte brune lui battait les reins tandis qu'elle semblait glisser pour avancer. Sa peau était pâle et rehaussée de taches de rousseur sur un visage fin avec des joues légèrement creuse comme celle de Sirius. Mais le plus étonnant était son regard : profond, semblant fouiller l'âme de celui la regardant. Cela étant sans doute dû à ses yeux. L'un était bleu profond, identique à ceux de son frère, l'autre vert émeraude. La jeune femme ne paru nullement impressionné devant l'assemblée la dévisageant. Sa petite taille ne l'empêchait pas d'émettre une aura de puissance et de forcer le respect de quiconque la voyait.

Bonjour, Albus.

Sa voix était grave et chaude.

Mélandra, je vous présente votre collègue : Rémus Lupin.

Enchantée de vous rencontrer.

Moi de même. Donc si j'ai bien compris vous me seconderez lors de mes « absences » en cours, en plus de veiller sur Harry.

Oui, c'est cela. J'espère que vous n'y voyait aucun inconvénient. Sans quoi il faudra vous y faire.

Sa voix possédait les mêmes nuances que celle du parrain d'Harry.

Non je vous rassure. J'ai « supporté » Sirius durant de nombreuses années alors, maintenant…

Le regard de la jeune femme se voila.

Désolé.

Non, ça n'est rien, il faudra bien que je m'y fasse, lui répondit la jeune femme en lui faisant un maigre sourire.

Bon, puisque tout est réglé, je vous dis à la rentrée. Mettez à profit le peu de temps qu'il vous reste avant pour, tous, vous préparer. Au revoir, les salua Dumbledore.

Bien, Messieurs, souffrez que je me retire à mon tour. J'ai un programme scolaire à préparer avant le 1er septembre. Cher collègue, dit-elle en se tournant vers Lupin, voulez vous bien m'accompagner ?

Avec plaisir. Au revoir.

Mélindra et Lupin partirent donc préparer leur programme de DFCM au Chaudron Baveur dans une pièce à part sous les regards surpris des clients (« un loup-garou avec une si belle femme ? Elle doit avoir du sang desuccube). Ils travaillèrent sans relâche pendant prés de six heures. Après quoi, ils commandèrent de quoi se restaurer. Rémus eut l'agréable surprise de constater que Mélindra avait un caractère similaire à celui de son frère : explosif, buté, se mêlant de tout et de rien (surtout des histoires de cœur des autres !), … Bref, un caractère de cochon cachant un gros cœur ainsi qu'une furieuse envie de « marauder ».

Si pour certain le 1er septembre arriva trop vite ce ne fut pas le cas d'Harry. Le calvaire chez les Dursley allait enfin se terminer ! Comme si sa peine pour Sirius n'était pas suffisamment grande son oncle ne s'était pas privé de lui faire allégrement remarquer que son parrain, tout comme ses parents était mort.

Tu n'apportes que la mort auprès de ce qui t'aime, tu es maudit ! »

Harry en était venu à se demander si ce n'était pas une réalité et s'il ne ferait pas mieux de quitter le monde sorcier à jamais et de vivre en ermite dans une montagne tibétaine.

C'est donc le cœur autant en fête qu'il pouvait l'être, qu'il fit ses malles pour Poudlard. Après tout, comme le lui avait fait remarqué Mrs Figgs (chez qui il avait fait un séjour, de peur qu'il dégrade la maison…) tout n'était pas si terrible. Il avait ses amis, le quidditch, l'espoir de jouer en national d'ici deux ans, un balai dernier cri, des souvenirs de son parrain, une famille (quoique que là il doutait fortement de sa « chance »), et surtout il avait « quelque chose » de très précieux mais là Mrs Figgs n'aurait pu le lui dire malgré toute sa bonne volonté. En fait c'était son secret, ce qui l'aidait à tenir, ce qui l'avez le plus soutenu durant toutes les vacances. Un sourire, une discussion et une étreinte sincère de Drago. Il s'assit sur son lit afin de savourer une fois de plus son souvenir.

Il était de retour à Poudlard après la mort de Sirius. Les professeurs lui avaient offert leur condoléances et leur sympathie, ses amis étaient là pour le soutenir, les autres élèves restés partagés entre compassion et crainte, et lui… Lui était venu un soir, l'avait serré dans ses bras et lui avait sourit. Sincèrement. Parce que son père voulait qu'à son tour il serve le seigneur des ténèbres, que sa mère aider son père à le battre afin qu'il change d'avis, qu'il le détesté, qu'il ne le laissait vivre que parce qu'il était leur fils unique et que Narcissia ne pouvait plus enfanter…Il s'était mutuellement raconté leur vie, plaint et soutenu. Et cette étreinte les avaient tous deux troublés : ils étaient si bien, contre l'autre si chaud, si protecteur… Mais d'un accord tacite, ils avaient décidé d'attendre le début d'année suivante pour approfondir leur relation. Le fait qu'ils soient deux hommes ne les avaient pas déranger pour deux gallions.

En un sens, il avait un peu peur à présent. Dans quel état allait-il retrouver Draco ? La question tournait en tout sens dans sa tête, si bien qu'il avait finit ses malles et s'était couché sans vraiment y faire attention. Demain. Demain il aurait une réponse à toutes ses questions. Il avait convaincu son oncle de l'amener à la gare dés 6h30 alors que le train ne partait qu'à 10h00 et qu'il n'y avait qu'une demi-heure de trajet. Il espérait aussi que ses deux meilleurs amis iraient en bon moment à la réunion des préfets pour qu'il soit seul avec Draco et puisse le soigner si besoin était. Oh bien sûr, il allait entendre comme d'habitude:

Un Malfoy ne souffre pas. Un Malfoy ne pleure pas. Un Malfoy utilise sa magie pour cacher ses blessures. Un Malfoy ne doit rien montrer. Un Malfoy sait se tenir. Un Malfoy sait se soigner seul. Un Malfoy ne se fait pas aider. Etc …

Et comme d'habitude, il répondra du tact au tact :

Un Malfoy est vraiment chiant, et ne doit pas tenir compte de la règle des Malfoy quand il souhaite déshonorer ses parents !

Alors Draco se laisserai sûrement soigné. En attendant demain il fallait dormir. DORMIR on a dit, pas penser à demain. Demain arrivera assez vite. Quoique…

Et voila fin du prologue !

Suite au prochain numéro !