It's behind my control
Titre : It's behind my control (c'est plus fort que moi) Auteur : Moi, Virginie Disclamer : pourquoi on parle toujours des personnages alors qu'ils n'existent pas réellement ! Et si Harry, Drago ou Hermione ne nous appartiennent pas à nous, mais à Miss Rowling, il est pas dit que Tom ou Daniel lui appartiennent aussi, donc ils sont à moi ! ! ! . bon allez, j'arrête, ils sont à la l'extra Miss J.K Rowling, que je ne félicite pas d'avoir mais 3 plombs a nous pondre son tome 5, même s'il est excellent, c'est un supplice d'attendre ! Genre : c'est une fic assez space, et l'idée m'est venue après avoir lu la fic « juste un souvenir », que je trouvais tout d'abord horrible mais que j'adore maintenant ! je la conseille, elle est extra. Ma fic est sombre, et Drago y joue le rôle de vrai méchant, même s'il va changer, et Hermione va l'aider pour ça, le comprendre, même s'il la fait souffrir ! J'arrête là, bonne lecture et JE VEUX vos avis, bon ou mauvais !
***
Hermione se réveilla péniblement, et une horrible douleur au milieu du ventre lui rappela qu'elle ne rêvait pas. Elle gardait cependant les yeux fermés, pour rester le plus longtemps possible loin de cet endroit, en gardant l'infime espoir qu'elle se réveillerait de ce cauchemar et qu'elle irait retrouver Harry et Ron pour aller déjeuner ensemble.
Elle sentait le sol dur et froid contre sa joue, et toujours les yeux fermés elle ramena ses mains meurtries au niveau de son visage et se releva, non sans une grimace de douleur. Quand elle se décida à ouvrir les yeux, elle eut un haut le c?ur en apercevant ses bandages maculés de sang. Ses blessures avaient dues se réouvrir pendant la nuit.
Elle s'approcha du miroir. Dans cette pièce, ce lugubre cachot, elle n'avait que d'atroces souvenirs et aucun meuble, mis à part ce grand miroir qu'il avait installé au mur. Il était fier de se qu'il lui faisait, et à chaque fois, il lui faisait admirer son ?uvre. Elle avait renoncé depuis plusieurs jours à connaître la raison pour laquelle elle se trouvait ici, mais aucune ne semblait lui convenir.
Il n'existait pas de raison, elle était ici, « par plaisir ». Ou plutôt non, des dizaines de raisons auraient pu le pousser à l'enlever, leur dernière dispute, la gifle qu'elle lui a donné, ses notes ou encore son amitié avec le survivant, mais parmi toutes ces raisons, aucun n'était plus importante que celle qu'il lui donnait chaque matin, quand elle lui demandait. La cruelle vérité était tout simplement que son sang était « impur », comme il le disait. « Impur », mais comment pouvait il lui rester encore du sang impur dans les veines après chaque blessure, alors qu'elle en perdait de plus en plus à chaque fois, les tâches sur le sol témoignant de ses souffrances. Mais comment pouvait on être aussi méchant ?
Des bruits de pas approchant la firent frémir et elle alla se blottir dans un coin du cachot, se mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper les cris de douleurs que lui faisaient naître ses blessures. La porte s'ouvrit et il rester silencieux quelques secondes, semblant admirer son ?uvre, se délectant du tourment dans lequel il l'avait plongé. Il la contempla avec un sourire de satisfaction non refoulée sur les lèvres.
D : Qu'est ce qu'il t'arrive Granger, tu as perdu ta langue ?
H :.
D : Je te croyais plus forte que ça, plus résistante. Tu me déçois tu sais.
H : Je te déçois ? parvint-elle à articuler. Tu t'en prends à une fille, tu la séquestres, alors qu'elle est sans défense, puisque je te rappelle que tu ma lâchement volé ma baguette. Je n'ai aucun moyen de me défendre, tu es plus fort que moi et pourtant tu m'enferme dans ce sordide cachot, et c'est moi qui te déçois Drago ? Tu ne te bats même pas la tête haute, tu n'as aucun mérite dans cette histoire alors ôte ce sourire de satisfaction car ta victoire n'est pas méritée. Tu obéis probablement à papa, alors ne sois pas fier de n'être qu'un lâche Drago Malefoy !
D : Ca suffit ! s'écria t-il en se rapprochant d'Hermione qui avait eut al force de se lever, et quand il arriva à sa hauteur, il la gifla, si fort qu'elle tomba à terre, un horrible goût de sang dans la bouche.
Elle porta sa mains à sa lèvre et essuya le sang qui en coulait. Elle resta un moment à terre puis se releva difficilement, en jetant un regard empli de haine envers son ennemi. Il fit demi-tour, et avant qu'il n'eut franchi la porte, elle demanda de nouveau :
H : Pourquoi Drago ?
D : Ton sang..
H : Je sais que mon sang est impur comme tu te plait à le répéter, mais pourtant, ce sang impur, ce sang indigne d'un sorcier, ça ne te dérange pas d'en être couvert !
Drago ne répliqua pas, et au lieu de s'emporter comme il venait de le faire, il s'approcha de la porte et ajouta sans se retourner
D : Je t'ai apporté ton repas. Manges. Malade ou trop faible, tu ne serais pas amusante à torturer.
Il sorti en prenant soin de verrouiller la porte, et Hermione jeta un ?il à son repas. Un détail qui la surprenait, c'est qu'il était sadique, méprisant et aimait la voir souffrir aussi bien physiquement que mentalement, mais pourtant, il lui apportait toujours des repas équilibrés, avec tout ce qu'elle adorait. Il ne voulait pas qu'elle s'affaiblisse, mais elle ne voyait pas l'intérêt de lui donner de tel repas.
Pareil, le matin, avant de se réveiller, il venait toujours lui déposer un délicieux petit déjeuner accompagné d'une rose rouge, témoin de son sadisme, qu'elle émiettait à chaque fois. Elle trouvait également de magnifiques tenues. Pourquoi la torturait-il pour lui apporter ensuite de pareilles choses, comme s'il souhaitait se faire pardonner.
Mais comment pouvait-il regretter quoi que ce soit vu que Drago Malefoy était le mal en personne ? Une chose aussi l'étonnait. Drago qui pourtant déteste les moldus et le clame haut et fort, la torture de manières moldus, sans jamais n'utiliser de sorts, ni même d'endoloris, alors que la douleur n'en serait que plus forte. Elle s'allongea, fatiguée et avec autant de difficulté, et s'endormit.
***
Trois heures plus tard, elle fut réveiller brusquement par Drago qui la secouait violemment. H : Qu'est ce que tu me veux encore ? N'en as tu pas assez ?
D : Non, je veux m'amuser un peu avec toi. Après tout, les vacances sont faîtes pour ça non, pour s'amuser, avec ses amis. Mais j'y pense, les tiens se sont pas avec toi, où sont -ils ? Sûrement à s'amuser chez Weasley, en fêtant Noël et en oubliant leur très chère amie Sang de Bourbe.
H : Mais dis moi Malefoy, si je suis ici, et si tu es ici avec moi, ça veut dire que tes amis ne sont pas non plus avec toi. Oh mais j'y pense, pour qu'ils soient avec toi, faudrait d'abord que tu es ailles des amis ! s'exclama Hermione, en appuyant bien à la fin de la phrase.
D : La ferme ! Tu n'es qu'une sale.
H : Sang de bourbe ? je le sais Drago. Tu n'en a pas marre de te répéter sans cesse, tu en connais donc aucun autre mot ?
D : Si, mais je ne suis pas sûr que tu les apprécie. Ils sont en langues anciennes, dont je suis sûr que tu ne veux pas entendre.
Hermione se tue un instant, consciente que si elle allait trop loin, il n'hésiterait pas à utiliser des sorts, la plupart de magie noire, comme il venait si subtilement d'y faire allusion.
D : Je veux jouer maintenant !
H : Pas moi ! répondit Hermione en se dégageant de l'emprise de Malefoy.
D : Je ne te demande pas ton avis, siffla Drago avant de lui attraper les poignets et de la plaquer contre le mur.
Il sortit de petites lames de rasoir et commença à tracer différents dessins sur les bras d'Hermione, après lui avoir déchiré les vêtements qu'elle portait. Elle ne disait rien mais à chaque fois que la lame entrait en contact avec sa peau, cela lui procurait un étrange picotement qui lui brûlait les entrailles. Elle ne crierait pas, elle ne lui donnerait pas cette satisfaction, même quand elle sentait son sang couler le long de ses bras.
Soudain, elle ne put s'empêcher de pousser un gémissement de douleurs quand, lassé de ses bras, Drago s'était attaqué à son visage, jusque là épargné.
H : Arrêtes Drago, je t'en prie, sanglotait Hermione.
Mais il n'arrêtait pas, au contraire, et souriait de ses larmes. A chaque entaille qu'il lui faisait, il y déposait un léger baiser, puis essuyait de ses doigts le sang qu'il gardait sur ses lèvres. Lorsqu'il lui entailla la lèvre, Hermione eut un sursaut de recul, mais ce n'était rien comparé à la décharge qu'elle reçut quand il l'embrassa.
Une larmes coula le long de sa joue et elle lui mordit violemment les lèvres.
D : Sale garce. siffla t-il en portant sa main à sa bouche.
H : Mon sang n'a pas l'air de te déranger tant que ça Malefoy. Tu en es couvert, tu en as le goût dans la bouche. Qu'en penserait papa s'il savait que tu as embrassé une sang de bourbe ?
Drago ne répondit rien, mais à la place, il la frappa au ventre, réouvrant probablement une ancienne blessure. Hermione se plia sous l'effet de la douleur réveillée, et au moment où il passait la porte, elle murmura :
H : Ce n'est pas la peine de venir me soigner ce soir Malefoy. Ce n'est pas la peine d'éprouver du remord ou de la pitié le soir alors que tu me fais tant souffrir la journée.
D : Je ne vois pas de quoi tu parles Granger, déclara Drago, toutefois troublé par ses mots.
H : Tu crois que je ne t'entends pas le soir ? Je fais semblant de dormir pour que tu me laisses tranquille, mais je sais que c'est toi qui vient chaque nuit.
Drago attendit un instant puis se retira, sans même un regard. Hermione se mit à pleurer, essayant tant bien que mal d'essuyer le sang qui commençait à sécher sur sa peau. Il avait beau dire le contraire, elle se rappelait qu'à chaque blessure qu'il lui infligeait, il venait la soigner dans la nuit, une fois que tout le château était endormi. Quand la journée il venait la battre, la griffer, ou la couper, comme cette fois-ci, il venait réparer ses méfaits. Quand il lui avait faits ces profondes entailles aux mains, celles qui s'étaient réouvertes pendant la nuit, il était venu le soir pour panser ses blessures après les avoirs désaffectées. Quand il lui avait cassé le bras, lui arrachant un cri de douleur qui le faisait encore trembler, il était venu et lui avait murmuré un sort de guérison.
A chaque fois, elle fermait les yeux, consciente que c'était Drago qui revenait, et elle faisait semblant de dormir. Jamais ils n'en avaient parlé, mais Hermione reconnaissait ses mains froides posées sur elle, et son souffle chaud contre la peau, comme durant le bal de Noël, pendant leur 5ième année, alors qu'ils étaient tous deux préfets. Dumbledore avait décidé de faire ouvrir le bal par les préfets, imposant les préfets de Gryffondor et de Serpentard à l'ouvrir ensemble. Ce soir là, elle avait été troublée par la douceur de Drago quand ils avaient dansé.
Alors pourquoi se montrait-il si haineux, si sadique la journée, et si doux le soir, faisant attention à ne pas lui faire mal pendant qu'il la soignait ? Elle semblait avoir en face d'elle un Drago, partagé entre l'éducation sanglante de son père, et la douceur de celle de sa mère qui, sans prendre part contre son mari, elle essayait d'adoucir son fils, lui apprenant que la violence et la douleur n'étaient pas solutions aux problèmes.
Peut être sa douceur le soir témoignait de l'absence de son père, partit rejoindre Voldemort à la tombée de la nuit, pour régler « le cas moldus », comme le lui avait un jour déclaré Drago, pendant l'une de leur « discussion ».
Le soir, un elfe lui apporta son dîner à la place de Drago, et son eau contenait probablement un somnifère ou une potion pour faire dormir car elle ne se réveilla que le lendemain matin, ses plaies pansées et ses griffures cicatrisées. Drago savait qu'elle ne le laisserait pas la soigner, alors il l'avait endormi.
H : Pourquoi ne pas me laisser mourir ? lui demanda t-elle au matin.
D : Parce que ce n'est pas ce que je veux. Je ne veux pas que tu meurs Hermione, ce qui al fit frissonner de l'entendre l'appeler par son prénom. Je veux juste que tu souffres.
H : Que je souffres ? Mais qu'est ce que je t'ai fait Drago ? hésita t- elle, la voix tremblante. Est ce ma faute si mon sang n'est pas comme le tiens ? Ai-je demandé de naître ainsi, de naître moldue et de devenir sorcière ? Je n'y suis pour rien moi, tu n'a pas le droit de me faire subir ça.
D : Et moi alors, ai-je demandé à être un sang pur ? M'a t-on laissé le choix de vivre comme je le voulais, de vivre ma vie comme je le souhaitais ? Ai-je choisi de détester les moldus et les sangs impurs dans ton genre ?
H : Mais qu'est ce que tu racontes Drago ? C'est toi qui m'a conduite ici, c'est toi qui a envoyé une lettre à mes parents disant que je préférait finalement rester à Poudlard, envoyant une lettre à Dumbledore lui disant que je rentrais chez moi comme convenu, semant ainsi la discorde que personne ne me recherche. C'est toi qui choisis d'être si détestable et si odieux avec les enfants d'origine moldus. C'est toi, pas moi ! Moi je n'ai pas choisi d'être ici, toi oui, là est la différence.
D : Tais-toi ! Tais -toi ! s'écria Drago en mettant ses mains contre ses oreilles.
Tu ne sais pas de quoi tu parles, tu ne sais rien de moi, alors tais- toi !
H : C'est vrai, je ne sais rien de toi, se radoucit Hermione, surprise par la réaction de Drago. Je ne sais rien de toi, mais cela ne m'empêche pas de vouloir comprendre pourquoi je suis ici, et pourquoi tu es devenu comme ça. On ne naît pas aussi méchant, arrogant et suffisant, on le devient Drago. Et ce que je voudrais savoir, c'est ce qu'il t'ait arrivé ?
Elle avait dit tout cela calmement, refoulant la crainte que ca présence faisait naître en elle à chaque fois qu'il débarquait dans ce cachot. Elle s'approcha doucement de lui et posa sa main tremblante sur son visage, mais il la repoussa violemment, se leva et sortit, la laissant seule et déboussolée.
Voilà, fin de cette première partie.. Je n'ai pas encore écrit la suite, et des encouragements ne seraient pas de refus, car j'ai plus trop d'idées ! j'étais inspirée sur le moment, mais plus trop maintenant ! Alors si vous voulez la suite, vous savez ce qu'il vous reste à faire !
Titre : It's behind my control (c'est plus fort que moi) Auteur : Moi, Virginie Disclamer : pourquoi on parle toujours des personnages alors qu'ils n'existent pas réellement ! Et si Harry, Drago ou Hermione ne nous appartiennent pas à nous, mais à Miss Rowling, il est pas dit que Tom ou Daniel lui appartiennent aussi, donc ils sont à moi ! ! ! . bon allez, j'arrête, ils sont à la l'extra Miss J.K Rowling, que je ne félicite pas d'avoir mais 3 plombs a nous pondre son tome 5, même s'il est excellent, c'est un supplice d'attendre ! Genre : c'est une fic assez space, et l'idée m'est venue après avoir lu la fic « juste un souvenir », que je trouvais tout d'abord horrible mais que j'adore maintenant ! je la conseille, elle est extra. Ma fic est sombre, et Drago y joue le rôle de vrai méchant, même s'il va changer, et Hermione va l'aider pour ça, le comprendre, même s'il la fait souffrir ! J'arrête là, bonne lecture et JE VEUX vos avis, bon ou mauvais !
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Hermione se réveilla péniblement, et une horrible douleur au milieu du ventre lui rappela qu'elle ne rêvait pas. Elle gardait cependant les yeux fermés, pour rester le plus longtemps possible loin de cet endroit, en gardant l'infime espoir qu'elle se réveillerait de ce cauchemar et qu'elle irait retrouver Harry et Ron pour aller déjeuner ensemble.
Elle sentait le sol dur et froid contre sa joue, et toujours les yeux fermés elle ramena ses mains meurtries au niveau de son visage et se releva, non sans une grimace de douleur. Quand elle se décida à ouvrir les yeux, elle eut un haut le c?ur en apercevant ses bandages maculés de sang. Ses blessures avaient dues se réouvrir pendant la nuit.
Elle s'approcha du miroir. Dans cette pièce, ce lugubre cachot, elle n'avait que d'atroces souvenirs et aucun meuble, mis à part ce grand miroir qu'il avait installé au mur. Il était fier de se qu'il lui faisait, et à chaque fois, il lui faisait admirer son ?uvre. Elle avait renoncé depuis plusieurs jours à connaître la raison pour laquelle elle se trouvait ici, mais aucune ne semblait lui convenir.
Il n'existait pas de raison, elle était ici, « par plaisir ». Ou plutôt non, des dizaines de raisons auraient pu le pousser à l'enlever, leur dernière dispute, la gifle qu'elle lui a donné, ses notes ou encore son amitié avec le survivant, mais parmi toutes ces raisons, aucun n'était plus importante que celle qu'il lui donnait chaque matin, quand elle lui demandait. La cruelle vérité était tout simplement que son sang était « impur », comme il le disait. « Impur », mais comment pouvait il lui rester encore du sang impur dans les veines après chaque blessure, alors qu'elle en perdait de plus en plus à chaque fois, les tâches sur le sol témoignant de ses souffrances. Mais comment pouvait on être aussi méchant ?
Des bruits de pas approchant la firent frémir et elle alla se blottir dans un coin du cachot, se mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper les cris de douleurs que lui faisaient naître ses blessures. La porte s'ouvrit et il rester silencieux quelques secondes, semblant admirer son ?uvre, se délectant du tourment dans lequel il l'avait plongé. Il la contempla avec un sourire de satisfaction non refoulée sur les lèvres.
D : Qu'est ce qu'il t'arrive Granger, tu as perdu ta langue ?
H :.
D : Je te croyais plus forte que ça, plus résistante. Tu me déçois tu sais.
H : Je te déçois ? parvint-elle à articuler. Tu t'en prends à une fille, tu la séquestres, alors qu'elle est sans défense, puisque je te rappelle que tu ma lâchement volé ma baguette. Je n'ai aucun moyen de me défendre, tu es plus fort que moi et pourtant tu m'enferme dans ce sordide cachot, et c'est moi qui te déçois Drago ? Tu ne te bats même pas la tête haute, tu n'as aucun mérite dans cette histoire alors ôte ce sourire de satisfaction car ta victoire n'est pas méritée. Tu obéis probablement à papa, alors ne sois pas fier de n'être qu'un lâche Drago Malefoy !
D : Ca suffit ! s'écria t-il en se rapprochant d'Hermione qui avait eut al force de se lever, et quand il arriva à sa hauteur, il la gifla, si fort qu'elle tomba à terre, un horrible goût de sang dans la bouche.
Elle porta sa mains à sa lèvre et essuya le sang qui en coulait. Elle resta un moment à terre puis se releva difficilement, en jetant un regard empli de haine envers son ennemi. Il fit demi-tour, et avant qu'il n'eut franchi la porte, elle demanda de nouveau :
H : Pourquoi Drago ?
D : Ton sang..
H : Je sais que mon sang est impur comme tu te plait à le répéter, mais pourtant, ce sang impur, ce sang indigne d'un sorcier, ça ne te dérange pas d'en être couvert !
Drago ne répliqua pas, et au lieu de s'emporter comme il venait de le faire, il s'approcha de la porte et ajouta sans se retourner
D : Je t'ai apporté ton repas. Manges. Malade ou trop faible, tu ne serais pas amusante à torturer.
Il sorti en prenant soin de verrouiller la porte, et Hermione jeta un ?il à son repas. Un détail qui la surprenait, c'est qu'il était sadique, méprisant et aimait la voir souffrir aussi bien physiquement que mentalement, mais pourtant, il lui apportait toujours des repas équilibrés, avec tout ce qu'elle adorait. Il ne voulait pas qu'elle s'affaiblisse, mais elle ne voyait pas l'intérêt de lui donner de tel repas.
Pareil, le matin, avant de se réveiller, il venait toujours lui déposer un délicieux petit déjeuner accompagné d'une rose rouge, témoin de son sadisme, qu'elle émiettait à chaque fois. Elle trouvait également de magnifiques tenues. Pourquoi la torturait-il pour lui apporter ensuite de pareilles choses, comme s'il souhaitait se faire pardonner.
Mais comment pouvait-il regretter quoi que ce soit vu que Drago Malefoy était le mal en personne ? Une chose aussi l'étonnait. Drago qui pourtant déteste les moldus et le clame haut et fort, la torture de manières moldus, sans jamais n'utiliser de sorts, ni même d'endoloris, alors que la douleur n'en serait que plus forte. Elle s'allongea, fatiguée et avec autant de difficulté, et s'endormit.
***
Trois heures plus tard, elle fut réveiller brusquement par Drago qui la secouait violemment. H : Qu'est ce que tu me veux encore ? N'en as tu pas assez ?
D : Non, je veux m'amuser un peu avec toi. Après tout, les vacances sont faîtes pour ça non, pour s'amuser, avec ses amis. Mais j'y pense, les tiens se sont pas avec toi, où sont -ils ? Sûrement à s'amuser chez Weasley, en fêtant Noël et en oubliant leur très chère amie Sang de Bourbe.
H : Mais dis moi Malefoy, si je suis ici, et si tu es ici avec moi, ça veut dire que tes amis ne sont pas non plus avec toi. Oh mais j'y pense, pour qu'ils soient avec toi, faudrait d'abord que tu es ailles des amis ! s'exclama Hermione, en appuyant bien à la fin de la phrase.
D : La ferme ! Tu n'es qu'une sale.
H : Sang de bourbe ? je le sais Drago. Tu n'en a pas marre de te répéter sans cesse, tu en connais donc aucun autre mot ?
D : Si, mais je ne suis pas sûr que tu les apprécie. Ils sont en langues anciennes, dont je suis sûr que tu ne veux pas entendre.
Hermione se tue un instant, consciente que si elle allait trop loin, il n'hésiterait pas à utiliser des sorts, la plupart de magie noire, comme il venait si subtilement d'y faire allusion.
D : Je veux jouer maintenant !
H : Pas moi ! répondit Hermione en se dégageant de l'emprise de Malefoy.
D : Je ne te demande pas ton avis, siffla Drago avant de lui attraper les poignets et de la plaquer contre le mur.
Il sortit de petites lames de rasoir et commença à tracer différents dessins sur les bras d'Hermione, après lui avoir déchiré les vêtements qu'elle portait. Elle ne disait rien mais à chaque fois que la lame entrait en contact avec sa peau, cela lui procurait un étrange picotement qui lui brûlait les entrailles. Elle ne crierait pas, elle ne lui donnerait pas cette satisfaction, même quand elle sentait son sang couler le long de ses bras.
Soudain, elle ne put s'empêcher de pousser un gémissement de douleurs quand, lassé de ses bras, Drago s'était attaqué à son visage, jusque là épargné.
H : Arrêtes Drago, je t'en prie, sanglotait Hermione.
Mais il n'arrêtait pas, au contraire, et souriait de ses larmes. A chaque entaille qu'il lui faisait, il y déposait un léger baiser, puis essuyait de ses doigts le sang qu'il gardait sur ses lèvres. Lorsqu'il lui entailla la lèvre, Hermione eut un sursaut de recul, mais ce n'était rien comparé à la décharge qu'elle reçut quand il l'embrassa.
Une larmes coula le long de sa joue et elle lui mordit violemment les lèvres.
D : Sale garce. siffla t-il en portant sa main à sa bouche.
H : Mon sang n'a pas l'air de te déranger tant que ça Malefoy. Tu en es couvert, tu en as le goût dans la bouche. Qu'en penserait papa s'il savait que tu as embrassé une sang de bourbe ?
Drago ne répondit rien, mais à la place, il la frappa au ventre, réouvrant probablement une ancienne blessure. Hermione se plia sous l'effet de la douleur réveillée, et au moment où il passait la porte, elle murmura :
H : Ce n'est pas la peine de venir me soigner ce soir Malefoy. Ce n'est pas la peine d'éprouver du remord ou de la pitié le soir alors que tu me fais tant souffrir la journée.
D : Je ne vois pas de quoi tu parles Granger, déclara Drago, toutefois troublé par ses mots.
H : Tu crois que je ne t'entends pas le soir ? Je fais semblant de dormir pour que tu me laisses tranquille, mais je sais que c'est toi qui vient chaque nuit.
Drago attendit un instant puis se retira, sans même un regard. Hermione se mit à pleurer, essayant tant bien que mal d'essuyer le sang qui commençait à sécher sur sa peau. Il avait beau dire le contraire, elle se rappelait qu'à chaque blessure qu'il lui infligeait, il venait la soigner dans la nuit, une fois que tout le château était endormi. Quand la journée il venait la battre, la griffer, ou la couper, comme cette fois-ci, il venait réparer ses méfaits. Quand il lui avait faits ces profondes entailles aux mains, celles qui s'étaient réouvertes pendant la nuit, il était venu le soir pour panser ses blessures après les avoirs désaffectées. Quand il lui avait cassé le bras, lui arrachant un cri de douleur qui le faisait encore trembler, il était venu et lui avait murmuré un sort de guérison.
A chaque fois, elle fermait les yeux, consciente que c'était Drago qui revenait, et elle faisait semblant de dormir. Jamais ils n'en avaient parlé, mais Hermione reconnaissait ses mains froides posées sur elle, et son souffle chaud contre la peau, comme durant le bal de Noël, pendant leur 5ième année, alors qu'ils étaient tous deux préfets. Dumbledore avait décidé de faire ouvrir le bal par les préfets, imposant les préfets de Gryffondor et de Serpentard à l'ouvrir ensemble. Ce soir là, elle avait été troublée par la douceur de Drago quand ils avaient dansé.
Alors pourquoi se montrait-il si haineux, si sadique la journée, et si doux le soir, faisant attention à ne pas lui faire mal pendant qu'il la soignait ? Elle semblait avoir en face d'elle un Drago, partagé entre l'éducation sanglante de son père, et la douceur de celle de sa mère qui, sans prendre part contre son mari, elle essayait d'adoucir son fils, lui apprenant que la violence et la douleur n'étaient pas solutions aux problèmes.
Peut être sa douceur le soir témoignait de l'absence de son père, partit rejoindre Voldemort à la tombée de la nuit, pour régler « le cas moldus », comme le lui avait un jour déclaré Drago, pendant l'une de leur « discussion ».
Le soir, un elfe lui apporta son dîner à la place de Drago, et son eau contenait probablement un somnifère ou une potion pour faire dormir car elle ne se réveilla que le lendemain matin, ses plaies pansées et ses griffures cicatrisées. Drago savait qu'elle ne le laisserait pas la soigner, alors il l'avait endormi.
H : Pourquoi ne pas me laisser mourir ? lui demanda t-elle au matin.
D : Parce que ce n'est pas ce que je veux. Je ne veux pas que tu meurs Hermione, ce qui al fit frissonner de l'entendre l'appeler par son prénom. Je veux juste que tu souffres.
H : Que je souffres ? Mais qu'est ce que je t'ai fait Drago ? hésita t- elle, la voix tremblante. Est ce ma faute si mon sang n'est pas comme le tiens ? Ai-je demandé de naître ainsi, de naître moldue et de devenir sorcière ? Je n'y suis pour rien moi, tu n'a pas le droit de me faire subir ça.
D : Et moi alors, ai-je demandé à être un sang pur ? M'a t-on laissé le choix de vivre comme je le voulais, de vivre ma vie comme je le souhaitais ? Ai-je choisi de détester les moldus et les sangs impurs dans ton genre ?
H : Mais qu'est ce que tu racontes Drago ? C'est toi qui m'a conduite ici, c'est toi qui a envoyé une lettre à mes parents disant que je préférait finalement rester à Poudlard, envoyant une lettre à Dumbledore lui disant que je rentrais chez moi comme convenu, semant ainsi la discorde que personne ne me recherche. C'est toi qui choisis d'être si détestable et si odieux avec les enfants d'origine moldus. C'est toi, pas moi ! Moi je n'ai pas choisi d'être ici, toi oui, là est la différence.
D : Tais-toi ! Tais -toi ! s'écria Drago en mettant ses mains contre ses oreilles.
Tu ne sais pas de quoi tu parles, tu ne sais rien de moi, alors tais- toi !
H : C'est vrai, je ne sais rien de toi, se radoucit Hermione, surprise par la réaction de Drago. Je ne sais rien de toi, mais cela ne m'empêche pas de vouloir comprendre pourquoi je suis ici, et pourquoi tu es devenu comme ça. On ne naît pas aussi méchant, arrogant et suffisant, on le devient Drago. Et ce que je voudrais savoir, c'est ce qu'il t'ait arrivé ?
Elle avait dit tout cela calmement, refoulant la crainte que ca présence faisait naître en elle à chaque fois qu'il débarquait dans ce cachot. Elle s'approcha doucement de lui et posa sa main tremblante sur son visage, mais il la repoussa violemment, se leva et sortit, la laissant seule et déboussolée.
Voilà, fin de cette première partie.. Je n'ai pas encore écrit la suite, et des encouragements ne seraient pas de refus, car j'ai plus trop d'idées ! j'étais inspirée sur le moment, mais plus trop maintenant ! Alors si vous voulez la suite, vous savez ce qu'il vous reste à faire !
