Chapitre 1 sauvée des eaux
Un manoir un midi ensoleillé, Mycroft Holmes avait décidé de s'accorder quelque jours de vacance, et se promenait dans le parc ensoleillé, il avait l'habitude de faire le même tour à chaque fois, il commençait par aller admirer sa roserait qu'il trouvait de plus en plus magnifique d'année en année, il avait tellement de travail qu'il ne la voyait pas grandir, ensuite il marchait un peu dans l'herbe jusqu'à la petit rivière ou il jetait quelque cailloux et ou il lui arrivait de pêcher quand l'envie lui prenait, puis il longeait la rivière jusqu'au petit lac entourer de saules pleureurs, il adorait cet endroit rempli de silence, un peu de bruit naturel, comme le chant des oiseaux, mais 10 fois plus supportable que le bruit de la vie humaine, un endroit idéal pour se ressourcer, il s'assit sur un banc près d'un grand saule et observa la rivière se jeter dans le lac, il y avait beaucoup de courant aujourd'hui remarqua t'il, il sortie un livre de sa poche intérieur ainsi que ses lunettes et se plongea dans sa lecture, quand soudain il entendit un grand plouf, comme si on avait jeter une grosse pierre à l'eau ou bien comme si quelqu'un avait plonger, il releva la tête et eux le temps d'apercevoir une forme jeter par le courant de la rivière dans le lac, cette forme flotta et le courant la ramena au bord du lac, Mycroft se leva, il avait d'abord pensé à un animal, mais plus la forme s'approcher et plus il distinguer des vêtements, des vêtements de femme, le corps échoua sur les cailloux, Mycroft se pencha difficilement à cause de son âge et de ses articulations, retourna la jeune femme sur le dos et pris son pouls au niveau de ses carotides, il battait faiblement, elle était en vie, elle souffrait d'hypothermie, ses lèvres était bleu, il la souleva dans ses bras et l'amena jusqu'à son banc ou il l'étendit, il défit les cordes de son corset pour l'aider à respirer, et lui mis des petites tapes sur les joues pour la réveiller, elle fini par ouvrir les yeux
M : rassurer vous mademoiselle, vous êtes en sécurité, je vous ais sortie de l'eau, vous avez eu de la chance, il y a beaucoup de courant, vous m'entendé ?
D : je…ou suis-je... ?
M : vous êtes sur mes terres, ne vous en faite pas je vais aller chercher de l'aide, ne bougeait surtout pas !
D : merci…
Elle s'évanouie et il la laissa sur le banc le temps d'aller chercher du secours, il revint à toute vitesse dans son manoir autant que ses veilles jambes pouvait lui permettre et il appela le premier de ses serviteur
M : jean ! Jean ou est tu ?
J : monsieur Holmes ?
M : j'ai trouvé une jeune fille sur la berge du lac, elle est encore en vie mais il faut faire vite ! J'ai bien peur que le froid ne l'emporte, emmener tatie avec vous !
J : bien monsieur, tatie venez !
Les 2 serviteurs partirent en direction du lac, Mycroft fouilla dans sa boite à pharmacie, et en sortie des sels pour réveiller la jeune fille, jean et tatie ramenèrent la noyé, et l'installèrent dans la chambre d'amie, Mycroft donna les sels à tatie qui se chargea de prendre soin de la jeune femme, en début de soirée, Mycroft alluma un feu dans la cheminé et aller s'assoir dans son fauteuil favoris quand il vit en haut des escaliers la jeune femme en peignoir, elle semblait en partie remise.
M : venez, approchez, j'ai fait un feu de cheminer
Elle descendit et se plaça devant le feu les mains en avant
M : vous allez mieux ?
D : mieux, merci beaucoup, je vous suis très reconnaissante !
M : mais de rien miss Adler !
I : comment connaissez vous mon nom ?
M : je travaille au gouvernement, votre photographie circule partout dans tous les poste de police du moins ceux qui ont connaissance de votre dossiers
I : vous aller me dénoncer ?
M : non, je n'ai pas le temps pour ça et quelque arnaque au plus grand de ce monde leur fait souvent du bien et leur rappel le sens de la morale pour certain, et sont moins répréhensible à mes yeux que les meurtres ou autre barbarie
I : merci monsieur ?
M : Holmes, Mycroft Holmes !
I : ha ! Vous êtes de la famille de Sherlock ?
M : c'est ça
I : sa explique aussi que vous me connaissez
M : en effet
I : et vous êtes ? Je veux dire pour lui ?
M : son frère ainé !
I : d'accord ! Et sa va ?il ne grince pas trop des dents ?
M : disons qu'il a usé quelque bon centimètre d'émail dentaire depuis la dernière fois que vous vous êtes rencontré, c'est toujours comme ça entre vous ?
I : toujours, le jeu du chat et de la sourie !
M : oui enfin c'est surprenant que la sourie réussissent toujours à s'en sortir, à croire que le chat à un petit pois à la place du cerveau
I : ne lui dite pas, il va mal le prendre !
M : j'aime bien charrier mon petit frère, mais cessons de parler de Sherlock, comment se fait t'il que je retrouve miss Adler à demi noyé dans mon lac ?
I : c'est une longue histoire !
M : jean m'a dit que vous avez reçu un coup sur la tête ?
I : ha oui, sa va beaucoup mieux !
M : vous avez des ennuis ?
I : heu, j'aime vivre dangereusement !
M : certes mais cela remet en cause la longueur de votre vie
I : peut importe !
M : voulez vous que j'appelle mon frère ? Il pourrait vous sortir de la mélasse !
I : non ! Surtout pas ! Je vais très bien j'ai eu un petit accident et vous m'avez gracieusement sortie de la je vous en suis… très reconnaissante mais je vous en prie ! Ne déranger pas votre frère, il risque de pas trop aimé me revoir, et je vais prendre congé de vous je me sens déjà mieux !
M : non ! Ne vous en faite pas, vous pouvez rester aussi longtemps que vous le désirer, pour vous remettre de cet accident, vous avez besoin de repos, et je ne contacterai pas mon frère !
Lui dit il en lui faisant un clin d'œil, Irène s'assit dans un fauteuil soulagé, elle n'avait aucune envie de croiser Sherlock Holmes, c'était déjà assez compliquer de lui échappé mais si il venait en personne cette maison serai un vrai guet pan, elle ne pouvait pas faire mieux que de tomber sur le frère à Sherlock, elle était bercé par la chance en ce moment pensa t'elle, il avait l'air plutôt sympathique et chaleureux, en tout cas il inspirait confiance.
I : d'accord !
M : bien ! Vous ne voulait toujours pas me raconter ce qui s'est passé ?
I : je suis poursuivis, on m'a jeté dans une rivière, vous m'avez trouvé, ils me croient morte fin de l'histoire !
M : un assez maigre résumé en effet, mais qui satisfait ma curiosité pour l'instant
I : merci !
M : tatie vous a préparer la chambre d'amie, vous allez avoir besoin de sommeil !
I : merci beaucoup !
M : arrêter de me remercier vous allez détester ce mot !
Elle lui sourit et elle monta suivre tatie pour aller se coucher, tatie l'aida à enfiler une chemise de nuit, et fut un peu choquer par les marques de bleu qu'elle avait sur les bras
I : ne vous en faite pas, sa partira !
T : ils ne vous on pas raté, une longue histoire je présume ?
I : oui ! Dite moi ?
T : oui ?
I : monsieur Holmes est 'il marié ?
T : non
I : il vit seul dans cette si grande maison ?
T : c'est le manoir familial mademoiselle
I : vous voulez dire le manoir ou les frères Holmes on grandit ?
T : c'est ça ! Et vous vous êtes la célèbre aventurière Irène Adler qui échappe toujours au jeune Sherlock !
I : heu oui c'est moi !
T : et qui fait secrètement battre son cœur !
I : comment ?
T : chut ! Il est l'heure d'aller au lit !
I : je vous ais entendus !
T : il vous plait aussi ?
I : heu non !
T : on ne dit pas non ! Avec une ardeur pareille quand on dit la vérité !
I : vous vous avez de l'expérience dans les mensonges !
T : j'ai élevé les frère Holmes, j'en connais un rayon !
I : vous étiez leur gouvernante ?
T : oui jusqu'à ce que leur parents décèdent, Monsieur Holmes l'ainé m'a repris à son service quand il a eu 30 ans, le jeune Sherlock était déjà à son compte en tant que détective
I : oui il est doué pour ça !
T : c'est ce qu'on dit !
I : les 2 frères se ressemble énormément je ne savais pas que Sherlock en avait un
T : ils ressemblent surtout à Holmes père ! Énormément sauf peut être le caractère dur, froid et sans cœur, ce n'est qu'une façade chez eux c'était un pan entier de la personnalité du père, ils ont plus hérité de leur mère dans ce cas la
I : je vois
T : venez je vais vous montrer quelque chose
Irène suivit tatie dans le couloir elle monta quelque marche et s'arrêta dans l'escalier face à un tableau
T : voici Holmes père ! Monsieur
I : oua en effet ! On ne peut pas se tromper sur ses fils !
Holmes père était grand mince les cheveux noir corbeaux c'était presque le portrait craché de Sherlock en plus vieux et celui de Mycroft en moins vieux car celui-ci avait déjà des cheveux blanc, incroyable, le père avait des yeux bleu perçant, les même que son fils ainé Mycroft, et une expression très dur sur le visage, tatie entraina encore Irène par la main dans les étages, et s'arrêta sur un pallier devant un grand portrait d'une femme assise dans un salon
T : et voici Holmes mère, madame
I : fascinant ! Elle est belle !
T : très belle ! Madame était une des plus jolies femmes que j'ai jamais rencontrées ! Ils ont fait un beau mariage d'amour !
I : ils ont eu de la chance ! De s'aimer !
T : oui c'est très rare, encore plus à leur époque, dommage que monsieur ne supportait pas les enfants !
I : mais pourtant il a eu 2 fils !
T : oui, pour la lignée, mais il ne les supporter pas, c'était un homme très solitaire et renfermé, il tolérait sa femme mais pas plus !
I : étrange !
T : ils n'on pas eu une enfance très heureuse ! Peut être que si monsieur avait vécu plus longtemps et avait connu ses fils adultes il les aurait peut être mieux supporté, sa ne passait pas avec les enfants
Irène admira le portrait, madame Holmes, avait des traits fin et délicats, elle était très belle, elle avait les cheveux châtain, elle reconnaissait une partie de ses traits en Sherlock et un peu chez Mycroft, mais si Mycroft avait hérité des yeux bleu perçant de son père, Sherlock lui avait les yeux vert intense de sa mère.
I : que leur était il arrivé ?
T : ils ont été assassinés !
I : ho ! Mon dieu ! Mais par qui ?
T : monsieur Holmes père avait un frère pas très Honnête et un très gros capital qui l'intéressait, une nuit des hommes de main son entré pour les tués dans leur lit, les serviteurs les ont arrêté avant qu'il ne tue les enfants
I : c'est horrible, faire tuer son propre frère et ses neveux pour de l'argent !
T : les enfants ont assisté au terrible spectacle et le frère à été jugé et condamner à mort, leur grand-mère leur a offert un logis et Mycroft en qualité d'ainé à élevé son petit frère malgré ses études
I : quel âge avaient t'ils ?
T : hé bien Mycroft avait 14 ans il était très en avance sur son âge et avait déjà 3 classe d'avance par rapport à ses petits camarades, quand à Sherlock il avait 7 ans
I : ils étaient bien jeunes, 7 ans les séparent ?
T : exactement ! Venez je vous raccompagne à votre chambre
Tatie raccompagna Irène dans sa chambre ou elle se coucha et s'endormie aussitôt,
