Disclaimer : On est vraiment obligé de le dire à chaque fois ? De toute façon, ils appartiennent à personne alors c'est pas la peine de se torturer pour rien. Bref, les personnages de Gundam Wing ne m'appartiennent pas et le personnage de James Bond appartient à Ian Flemming tandis que les autres personnages faisant partie du monde de James Bond, je sais pas à qui ils appartiennent mais je peux vous dire qu'ils ne sont pas à moi non plus.
Titre : Demain ne sera pas
Auteur : Ephemeris
Résumé : Duo Maxwell, l'agent secret 007 se voit confier la mission de mettre la main sur un dangereux criminel qui a la fâcheuse manie de semer des explosions.
Couples : 1x2, 2xR (ah ah, je rigole, vous allez comprendre)
Genre : James Bond, donc je dirais que c'est de l'action (ce que je vais essayer de rendre) et de la romance avec James Bond le bourreau des coeurs...
Rating : On va dire T, je me protège. Les films de James Bond classés dans la catégorie Action, je crois que c'est la meilleure chose à mettre.
Warnings : AU, Yaoi. Je me suis basée sur le concept des films de James Bond. Ce sont les même personnages mais incarnés par les personnages de Gundam Wing. Sans vous dévoiler la distribution dès le début, je laisse les connaisseurs découvrir par eux même à qui j'ai subtilisé les G-Boys et cie.
Chapitre 1
Au travers du viseur d'une arme à feu braquée sur un mur blanc, un homme en costume noir apparaît, marchant de droite à gauche. Soudainement, il se retourne vers celui qui le prend pour cible et tire, laissant sa longue tresse se balancer dans son dos. Lentement, son adversaire tombe, répendant son sang...
Base militaire du Grand désert Victoria, Australie
Sur cette mer de sable que tout bruit avait fui, le soleil se couchait lentement sur la base où tout semblait normal. Il ne faudrait que quelques minutes et on n'y verrait plus rien. A quelques centaines de mètres de là se trouvait une jeep, légèrement camoufflée derrière un gros buisson aux feuilles séchées par le soleil brûlant du désert. Au volant de cette voiture se trouvait une jeune femme aux longs cheveux blonds dont le regard scrutait la base militaire comme si elle cherchait quelque chose. Elle essayait de calmer sa nervosité en se disant que tout serait bientôt fini et qu'elle pourrait repartir, mais ses mains tenaient fortement le volant, se crispant de plus en plus dessus qu'il aurait pu hurler de douleur s'il avait été en vie sans qu'elle ne s'en soit rendue vraiment compte.
Le ciel était maintenant totalement sombre, s'étant drapé du lourd manteau de la nuit et la jeune fille n'y voyait plus rien. Elle hésitait à allumer les phares de peur de se faire repérer. Elle se serait peut-être faite réprimander pour ce geste qui était si tentant. Pas qu'elle avait peur du noir, mais ce noir-là n'avait rien de rassurant, sachant ce qui allait bientôt se produire.
Elle fit un bond à presque se cogner la tête au plafond en voyant la portière du passager s'ouvrir pourtant calmement et laisser un homme entrer dans la voiture. Malgré ses cinq sens en alerte, elle ne l'avait ni vu ni entendu venir, ce qui prouvait encore une fois les qualités d'infiltration de cette personne.
"Heero, tu m'as fait une de ces peurs !"
Le garçon ne répondit pas. Il s'installa confortablement sur le siège en regardant droit droit devant lui, où devait être la base. Prenant son temps, il enleva ses gants et croisa ses bras sur sa poitrine.
"Bon, on y va, " dit la conductrice en mettant la clé dans le contact.
"Non, Dorothy, " lui répondit son compagnon. "Je veux voir."
La jeune fille, légèrement exaspérée, croisa elle aussi les bras sur sa poitrine sans répondre, sachant pertinemment que rien ne ferait changer le jeune homme d'avis. Elle était vraiment pressée de partir, elle n'aimait pas l'ambiance que créait leur présence dans cet endroit et souhaitait énormément s'en aller. Mais elle n'attendit pas longtemps. Une quinzaine de seconde plus tard, ce qui devait être la base prit feu dans une explosion magistrale juste devant eux. Il n'y avait pas une seule parcelle du bâtiment qui n'était pas léchée par les flammes.
La jeune femme se retourna vers Heero dont un minuscule sourire avait pris place sur son visage qui n'exprimait jamais rien, excepté dans ces moments-là, face aux flammes montant toujours plus haut dans le ciel. Son regard suivait ces trainées de feu qui dansaient devant ses yeux d'un air de satisfaction qui frappa Dorothy malgré le fait qu'elle ait déjà vu cette expression.
" Tu peux me dire encore pourquoi ça te plaît tellement de voir les choses brûler comme ça, " lui demanda Dorothy.
Après un moment de silence et sans détourner les yeux du feu, il lui répondit :
" Le feu qui brûle, c'est la derstruction. La destruction, c'est tout ce que je veux. "
Aussi perplexe que d'habitude face à cette réponse, Dorothy ne dit plus rien, laissant savourer ce moment à son ami pyromane, elle-même se perdant dans ses propres pensées. Un seul mot d'ordre la sortit de sa rêverie.
" Démarre. "
Elle s'exécuta, se rendant compte que le feu avait considérablement diminué, ne trouvant plus rien à consumer.
Hôtel Ambassador, Vienne, Autriche
En pleine saison touristique, l'hôtel était en grand mouvement, faisant de son mieux pour satisfaire les étrangers en visite dans la ville. Cet hôtel était le plus réputé de la ville et le plus luxueux. Il comprenait deux restaurants, un casino qui se séparaient en plusieurs salles de jeux, une salle de bal et des bars un peu partout au rez-de-chaussée, là où se trouvait l'accueil. Les chambres et les suites se partageaient sur les cinq étages supérieurs. D'ailleurs, on voyait les employés courir à droite et à gauche, s'assurant que les choses se passaient comme il le fallait. Les femmes de chambre passaient d'une chambre à l'autre, préparant tout pour les nouveaux clients qui prennaient la place des anciens. Parmis ces femmes, une grande excitation avait pris place par l'arrivée datant de la veille d'un habitué de l'hôtel qui y passait à chacun de ses voyages à Vienne. Leurs conversations ne comptenaient que le nom de cet homme qui faisait fureur partout où il passait.
" Tu l'as vu ? " demandait une femme de chambre à une autre.
" Non, " répondait celle-ci. " Tu ne saurais pas où il est ? "
" Je ne l'ai pas vu ce matin, il n'a pas encore dû sortir de sa suite. "
Cet homme était connu de tout l'hôtel. Les femmes étaient toutes en admiration devant lui alors que toutes les hommes l'enviaient d'avoir tant de charme et attirant à ce point la gent féminine. C'était un jeune homme toujours tiré à quatre épingles dans des costumes d'une grande classe, qui gagnait presque à coup sûr au casino et qui fasait les plus belles conquêtes que quiconque.
Les deux jeunes femmes s'extasiaient ainsi sur ce jeune homme quand une troisième femme arriva, le visage empreint de colère. Les deux autres lui demandèrent ce qui n'allait pas et qu'au contraire, elle devrait être heureuse grâce à celui qui était descendu dans l'hôtel. Elle les regarda, toujours aussi en colère et finit par dire ce qui n'allait pas.
" Je viens de parler avec Franz, c'est lui qui était chargé de l'accueil hier soir. Eh bien, vous ne savez pas quoi ? Duo Maxwell est bien descendu hier soir à l'hôtel, a pris la même suite que d'habitude et était accompagné d'une femme. "
À ce mot, les deux autres poussèrent un cri d'horreur. Une femme avec Monsieur Maxwell ? La dernière arrivée repartit comme elle était venue pour aller annoncer la nouvelle aux autres et faire proliférer sa jalousie maladive qu'elle éprouvait pour cette femme qu'elle n'avait même pas vue et qui n'était sans doute pas au courant de cette haine qui naissait contre elle. Il faut dire que cette femme de chambre avait déjà eu droit aux faveurs de ce Monsieur Maxwell la dernière fois qu'il était venu à Vienne et, même si elle savait que ce n'était rien de bien sérieux, elle ne supportait pas l'idée qu'il soit dans les bras d'une autre. Surtout que Franz n'avait pas manqué cette occasion de tenter de la consoler, ce qui l'avait fortement exaspéré et avait fait redoubler sa fureur.
Dans la suite de Duo Maxwell, la jeune femme qui l'accompagnait se réveilla dans un grand lit aux draps blancs dans tous les sens. Se frottant les yeux du revers de sa main, elle regarda autour d'elle pour finalement poser les yeux sur celui qui était à ses côtés. Le jeune homme, dans la mi-vingtaine, enroulé dans les draps, ses longs cheveux châtins éparpillés autour de lui, une main sous son oreiller, dormait à poings fermés.
Elle le regarda un moment, une expression de béatitude imprimée sur son visage. Jamais elle n'avait vu quelqu'un d'aussi beau. Elle n'osait pas le réveiller mais la tentation était trop forte, elle approcha donc sa main des lèvres du jeune homme pour les caresser, mais à peine l'eut-elle effleuré qu'elle se sentit renversée, une main enserrant sa gorge et un révolver plaqué sur son front. Là, elle plongea son regard bleu dans les yeux améthystes du garçon, tentant de se faire reconnaître de lui mais n'arrivant pas à sortir un mot à cause de la trop forte pression de sa main sur sa gorge. Duo la regarda d'abord d'un air menaçant qui se transforma en regard exaspéré, semblant la voir enfin.
" Mais qu'est-ce que tu fais encore là Relena ? " s'exclama Duo en la relâchant.
La jeune fille sourit en voyant qu'il la reconnaissait mais changea vite d'expression en réalisant qu'il avait failli la tuer.
" Mais d'où sort cette arme ? "
" Je dors toujours avec une arme sous mon oreiller, on ne sait jamais ce qui peut se passer pendant la nuit. Mais je t'ai demandé ce que tu faisais là. "
"Oh, Duo, dois-je vous rappeler ce que nous avons fait cette nuit ? " dit-elle avec un brin de nostalgie dans la voix.
" Surtout pas, je me souviens très bien, " dit Duo en sortant du lit. Ne la lâchant pas des yeux de peur qu'elle ne lui saute dessus, il attrapa des vêtements propres et se dirigea vers la salle de bain, s'y enfermant à double tours. Une fois cette précaution prise, car il se rappelait d'une fois où la jeune fille s'était introduite dans sa douche sans permission, il respira mieux. Rapidement, il passa sous la douche et s'habilla. En sortant de la salle de bain, il fut heureux de voir Relena vêtue et prête à le suivre peu importe l'endroit où il irait, comme un bon petit soldat.
" Bon, " dit Duo en la regardant d'un air incertain. " Tu es prête à descendre ? "
Pour toute réponse, elle s'approcha de lui et lui prit le bras, le tirant vers la porte. Au bras de Duo, Relena parlait sans cesse, ne remarquant pas les regards de haine que lançaient à son égard les femmes de chambre chez qui le sourire revenait après un signe du jeune homme. Ils arrivèrent au salon où régnait déjà une certaine agitation vu l'heure tardive à laquelle ils s'étaient levés.
Duo scruta chaque recoin de la grande pièce jusqu'à ce que ses yeux se posent sur un jeune homme blond qui devait avoir son âge. Ayant trouvé ce qu'il cherchait, il se pencha à l'oreille de Relena pour lui conseiller d'aller à la salle à manger voir si on servait encore malgré l'heure et de l'y attendre car il avait une affaire à régler. La jeune fille lui fit un sourire des plus niais et s'éloigna, ne posant pas de questions.
Une fois débarrassé de Relena, Duo se dirigea directement vers le fauteuil du blond et prit place à côté de lui.
" Salut Quatre, " lui lança-t-il avec son plus beau sourire. Mais le petit blond ne semblait pas dans les même dispositions que son interlocuteur.
" Duo, ça fait des heures que je t'attends, " lui répondit le garçon. " Quand on se donne rendez-vous à 10 heures, je m'attends à ce que tu te pointes avant 3 heures de l'après-midi."
" Désolé, j'ai eu une panne d'oreiller. Mais t'aurais dû venir frapper à ma porte au lieu de m'attendre ici. "
" Tu parles, je ne m'y serais pas risqué. Wufei m'a dit que tu étais parti avec Relena et je ne voulais pas la voir. "
" Ne m'en parle pas, je ne peux plus la supporter cette fille. Elle est tout le temps collée à moi et elle parle sans arrêt. C'est agaçant à la fin. "
" Si elle t'insupporte à ce point, pourquoi tu couches avec elle ? "
" Parce que c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour la faire taire figure-toi ! En plus, comme ce cher Wufei me l'a collé dans les pattes comme apprentie, je ne peux pas aller la perdre dans la forêt ou lui dire de fermer les yeux et de compter jusqu'à un million, tu rigoles mais elle le ferait, ce qui fait que je tente de m'accorder un peu de répis de cette façon. D'ailleurs je commence à sérieusement mettre en doute les compétences de Wufei en tant que chef. Je me demande vraiment où il trouve des qualités de futur agent 00 chez cette fille. J'ai plutôt l'impression qu'il fait exprès de me la laisser pour m'embêter. Mais parlons plutôt de notre objectif premier, tu as des informations pour moi ? "
" Oui, une autre base militaire a explosé durant la nuit. Il s'agit de la base du Grand désert Victoria. "
" Mais c'est en Australie ça. Mon petit Quatre, peux-tu me dire ce que je fais dans un hôtel de Vienne avec le plus grand pot de colle du monde tandis que des bases militaires explosent en Australie ? "
" Attends, laisse-moi finir. D'après le schémas que suivent les explosions qui se sont déjà produites, la prochaine devrait se produire à la base qui se trouve à une quinzaine de kilomètres de Vienne, d'où ta présence ici. Nous avions des doutes sur le plan que suivaient ces teroristes mais l'explosion de la nuit dernière a confirmé ce que nous pensions. "
" Qu'est-ce qu'on sait sur ces terroristes ? "
" Pas grand chose en fait, mais on est presque sûr que les explosions sont provoquées par un seul homme qui pose les bombes et les déclenche à distance ou par des systèmes à retardement qui se déclenchent à la nuit tombée. "
" Un homme seul, ça va être de la rigolade pour moi. Mais une dernière question, qu'est-ce que je fais de Mademoiselle où-êtes-vous-Duo-que-faites-vous-Duo-je-viens-avec-vous-Duo ? "
Quatre émit un petit rire face à l'imitation du jeune homme et, jetant un coup d'oeil du côté de la salle à manger où Relena se débattait face à des femmes de chambres enragées dont celle qui était si folle de rage, il répondit :
" Tu la laisses se faire manger par ton fanclub jaloux de te voir avec une femme. Mais je ne crois pas que Wufei soit très content de ce geste de pitié pour l'humanité. "
" Au diable Wufei et ses ordres débiles, mais c'est quand même mon supérieur et déjà qu'il a beaucoup à me repprocher, on va pas faire trop de vagues. " Puis, il se lança vers le groupe dont Relena était le centre et la tira des griffes de ces lionnes enragées. Duo leur adressa quelques mots, surtout à celle qui avait commencé cette bagarre en lui carressant la joue accompagné d'un grand sourire et chacune d'elles finirent par retourner à leur travail. Duo emporta Relena jusqu'à Quatre et lui dit :
" Je suis vraiment désolé Quatre mais je dois te la laisser, rammène-la à Londres, je ne peux pas la garder avec moi pendant la mission, douée comme elle est, elle me ferait repérer. Wufei va être furieux mais je m'expliquerai avec lui à mon retour." Et il se dépêcha de sortir de l'hôtel pour couper court à la conversation et profiter de l'inconpréhension de Relena pour qu'elle n'ait pas le temps de réagir. Quatre et Relena se lancèrent un regard empreint de dédain et détournèrent la tête.
" Duo, " murmura Quatre dans sa barbe. " Tu me le paieras ! "
Base militaire de Vienne, 16h30
Le soleil avait entamé la dernière partie de sa course de la journée et envoyait ses rayons sur la base et sur la forêt se trouvant à proximité. À la limite de la forêt s'arrêta une camionette noire et deux personnes en sortirent. Il s'agissait de Heero et Dorothy, arrangeant les branches des arbres autour d'eux pour cacher le mieux possible le véhicule. Ceci fait, ils montèrent à l'arrière de la camionette et se mirent au travail. Branchant différents fils entre eux et raccordant les bombes à un détonateur, ils ne se parlaient qu'au travers de regards par lesquels ils se comprenaient parfaitement.
Cela faisait plusieurs années qu'ils travaillaient ensemble et ils avaient appris à se connaître au point où la parole, qui n'était pas le meilleur moyen de communication du jeune homme, n'était plus nécessaire entre eux. De plus, Dorothy savait que son ami avait besoin de concentration pour l'opérations qu'ils étaient en train de préparer et lui adresser la parole ne servirait à rien.
C'était Heero qui faisait tout le boulot. Il avait le génie de tout ce qui était électrique et électronique. Ainsi, il savait parfaitement fabriquer des bombes et s'infiltrer n'importe où sans se faire repérer. Dorothy avait toujours été pas mal impressionnée par tout le savoir-faire du garçon qui n'avait pas plus de vingt-cinq ans mais qui avait déjà tant d'expérience. En y repensant bien, tout ce qu'elle avait à faire ne consistait qu'à lui passer les outils dont il avait besoin quand il en avait besoin. Mais ça, elle savait le faire mieux que quiconque depuis qu'ils s'adonnaient ensemble à ce jeu, sachant exactement ce qu'il lui fallait au bon moment.
Les bombes enfin prêtes, Heero les mit dans les deux poches latérales de son pantalon et glissa le détonateur commun à toutes dans la poche intérieure de sa veste. Cette fois-ci, il avait décidé de faire exploser le tout lui-même, à distance plutôt que d'installer une bombe à retardement, ce qui lui nécessitait plus de travail. Grâce à la technologie et à son talent naturel, il pouvait faire des bombes plus petites que des grenades mais qui faisaient autant sinon plus de dégâts. Il sortit finalement de la camionette suivi de près par Dorothy.
" On fait comme hier, " lui dit-il. " Je pars tout de suite, en plein jour, je m'infiltre, je pose les bombes, j'attends la nuit et je reviens. "
" Heero, " lui répondit Dorothy. " Tu es obligé d'attendre la nuit ? A la distance à laquelle je suis, je n'ai aucune idée de ce qui se passe là-bas. Je ne voudrais surtout pas qu'il t'arrive quelque chose. "
" N'ais aucune crainte, j'ai une mission à accomplir. Je ne mourrai pas avant d'avoir rempli ma mission. " N'ajoutant rien, il partit sans un regard en arrière, laissant Dorothy seule avec ses angoisses. Elle remonta dans la voiture et prit son mal en patience, sachant qu'elle avait plusieurs heures devant elle à attendre son compagnon.
Ce dont elle ne se doutait pas, c'était que dans cette forêt où elle se croyait bien cachée, se trouvait un autre jeune homme qui s'approchait avec précaution de la base.
À suivre ...
Note de l'auteur : Voilà donc le premier chapitre de ma nouvelle fanfic basée sur James Bond. Pour ceux qui suivent Liberté, Égalité, Fraternité, toutes mes plates excuses pour ce que je vous fais attendre mais il y a une scène qui doit être réécrite. J'espère pouvoir me racheter avec cette nouvelle histoire qui, je l'espère, vous aura plue.
Également, je n'ai aucune idée si les bases militaires nommées dans ce chapitre existent ou pas. Si elle existent, ce serait un pur hasard que je les ai intégrées à cette histoire.
- Ephemeris-
