Résumé:
Les parents de Bella décède suite à au accident et le monde de la jeune fille s'écroule. Mais ces derniers ne la laisse pas seule, puisque Bella à une petite sœur agée de 2 ans, Alyson.
Bella va faire une dépression et va commencer à fréquenter de mauvaises personne qui vont lui attiré des problèmes, drogues, violence, alcool, boite de nuit…
Heureusement , cette dernière peut compter sur sa meilleure amie de toujours, Rosalie. Non seulement Rose va l'aider à remonter la pente, mais elle va aussi lui amener du bonheur , de la joie et de l'amour dans sa vie…
Edward&Bella / Rose&Emmett / Jasper/Alice
Prologue:
Je savais pertinemment ce qui m'attendais et cette fois serait pire que les autres fois. J'avais vu la colère et la haine dans ses yeux quand il avait essayer de s'interposer. Une lueur de folie brillait dans ses pupilles, il allait prendre son pied en me donnant une correction.
Jacob et Lauren nous avait laisser à la sortie du club devinant ces intentions. Nous étions quelques rues plus loin, j'avançais, lui me suivait, pas loin derrière moi. Soudain, il m'attrapa par le bras violement et me fit retourner de manière à être face à lui et dos au mur. De son autre main, il encercla mon cou, le tenant prisonnier et sans souffle, il me regarda avec cette lueur de fureur.
- Je vais t'appendre le respect petite conne.
Je ne répondis rien, je ne pouvais rien faire de toute manière, nous étions seule dans cette ruelle, criais au secour n'aurais servi à rien.
Il resserra encore plus sa main et m'etoufant un peu plus. Puis il positionna son autre bras, qui était quelque seconde plus tôt encore sur mon bras, face à mon ventre. Il frappa un grand coup et je crus mourir sous l'effet de la douleur, il m'avait frappé en plein dans l'estomac. Mon corps glissa le long du mur et je me roula en boule sur le sol. Je savais que ce n'était pas fini.
Il se metta à genoux, pris mon visage, et balança un autre coup de poing en plein dans mon œil. Un autre coup sur ma clavicule, un autre sur mes reins, un autre dans mon dos, un dans mes cuisses et un dernier sur la joue droite. Il se pencha à mon oreille et me murmura tout bas:
- T'a eu ce que tu mérité espèce de petite trainée.
Puis il parti en me laissant seule face à ma douleur. Je ne pouvais plus bouger, je me recroquevillais sur moi-même attendant que la douleur soit moins insistante. Seule face à la nuit, sans défence.
Voila n'hésitez pas à me donner toute vos impressions. Vos critiques , etc…
Cali pour vous servire .
