Avis à ceux qui viennent voir si c'est vrai (ceux qui ne comprennent pas : vous êtes autorisé à zipper ce paragraphe) : Que faire à part un grand sourire d'excuse ? =D Voilà. Bon, ben maintenant que vous êtes là... Lisez et reviewez ! (Pas forcément dans cet ordre...)
Bonjour tout le monde !
Comme c'est les vacances, je vous poste à peu près tout ce que j''ai en réserve (je blague, je suis quand même pas complètement à sec =D - sourire jaune), histoire de faire ma BA du jour... C'est pas vrai, en réalité c'est pour avoir plus de place dans ma carte mémoire, mais chuuut ! On va faire comme si j'étais gentille.
J'espère juste que tout le monde s'est pas barré en vacances et que je vais pas avoir genre 5 visites, dont 3 de moteurs de recherches. C'est méchant pour ceux qui sont pas en vacances, hein ! Bon, on peut pas être gentille tout le temps. Une petite pensée quand même à ceux qui doivent travailler (ce mot ça fait des plombes que je l'entends mais je suis pas certaine d'en avoir bien saisit le sens xD). Je sais, c'est dur.
Comme je m'en vais très loin demain parce-que -c'est vrai que y'a pas de tiret à ''parce-que'' ?- je suis en VACANCES et que c'est les VACANCES et que je suis happy d'être en VACANCES, eh bien vous allez pas me revoir avant un bout de temps. Mais quand même, sachez que si d'ici trois ans j'ai rien posté de neuf (je me laisse une petite marge pour écrire; huh-huh) c'est qu'il m'est arrivé un truc pas très souhaitable et que voilà. Je vous laisse deviner la suite. Mais faut rester positif, hein ! -_-'
Pour ceux que ça intéresse, faut croire que, en effet, y'a pas l'air d'avoir de tiret à ''parce que''. Grande désillusion. Je suis vraiment déçue, là. Bon, je me coucherai moins bête ce soir ! (Comme aimait le dire notre cher combattant de la Première Guerre Mondiale...)
Sachez que je n'ai pas fait copié-collé de cette introduction dans toutes les fanfic's que j'ai postées aujourd'hui. Vous allez qu'à aller vérifier. C'est vrai.
Bon, alors je vous présente CAROLINE-ou le bonheur d'avoir une fille , qui devrait être gentil-gentil... ou pas, mouhahahaha -je recopie quelqu'un, là- !
Bonne lecture à tous !
LadyBisounours
Chapitre 1 (ndla : moi maintenant je mets les numéros des chapitres en gras et au milieu ! -_-')
Dans un appartement silencieux de New York, un après-midi où le soleil cognait contre les vitres, une clé tourna dans la serrure et une petite voix se fit entendre.
- Maman ?
Seul le bruit étouffé des voitures qui bouchonnaient devant l'immeuble lui répondit. La jeune fille qui avait parlé soupira et referma la porte avant de lâcher les clés sur le buffet qui la bordait.
- Maman !
Faussement agacée, elle laissa la valise à roulettes qu'elle traînait derrière elle dans le hall et retira ses chaussures.
- Je sais que je regarde trop de séries policières, mais en général quand ça commence comme ça, la fille finit par découvrir sa mère dans une marre de sang, planquée derrière son lit…
Elle fit glisser son sac à main au sol et se rendit à la cuisine après avoir vérifié qu'il n'y avait pas le cadavre de sa mère abandonné dans l'appartement. Elle se servit un verre d'eau et consulta ses messages sur son cellulaire.
- Maman, mamie demande si tu viens à la réunion parents-profs la semaine prochaine ! s'écria-t-elle avant rouler des yeux et de reprendre : Je sens que je ne vais pas tarder à me faire interner à l'hosto. Tu… tu as conscience que je t'ai parlée alors que tu n'étais pas là ? Et… et que je continue ?
Elle mit son verre dans le lave-vaisselle et s'essuya les mains, puis retira sa veste et enfila une paire de ballerines.
- Tu me manques… souffla-t-elle.
Elle releva soudainement la tête, se ressaisit, attrapa un papier pour laisser un mot à sa mère et lui dire qu'elle ne rentrerait pas trop tard, et quitta l'appartement. Une fois sur le trottoir, elle inspira profondément avant de marcher au hasard des rues. Son portable sonna, la faisant tressaillir, et espérant que c'était sa mère, elle décrocha.
- Allô ?
- Hey, ça va ?
Son enthousiasme retomba.
- Super, lâcha-t-elle.
- Il paraît que tu es de retour au bercail ?
Un sourire inonda son visage.
- Ouaip. New York… Une semaine. Un peu plus, si j'arrive à convaincre ma maternelle…
- Hé, reprit son interlocuteur, n'oublie pas qu'on a un contrôle super important la semaine prochaine !
- Je suis à New York, Marc, répliqua-t-elle. Chez ma mère. Je m'en fous royalement, de ton contrôle.
- Pigé, la rassura-t-il. Profite bien, alors.
- Ne t'inquiète pas, souffla-t-elle en décortiquant soigneusement la vitrine d'un magasin devant lequel elle passait.
- Et révise ! asséna Marc.
- C'est ça, grogna-t-elle. A plus.
- Salut !
Elle raccrocha, heureuse qu'il l'ait appelée. Il savait qu'elle appréciait qu'on lui rappelle qu'elle était soutenue. Que là-bas, elle avait des amis, même si ici elle était seule. Elle continua de se promener, ses boucles foncée battant le rythme de ses pas le long de sa colonne vertébrale, et s'arrêta devant un lycée. Il était très différent de celui qu'elle fréquentait. Elle se tourna vers une jeune fille rousse qui cherchait quelque chose dans son sac, à quelques pas d'elle. Décidant de tester sa sociabilité, elle s'approcha et ouvrit la bouche :
- C'est ton lycée ?
La jeune fille rousse leva les yeux vers elle et sourit.
- Oui. Tu es nouvelle ?
Elle secoua la tête et replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
- Non. J'habite à Atlanta. Je suis à l'Atlanta city school district.
- Ah. Il est bien ?
Elle haussa les épaules.
- C'est un lycée.
La jeune rousse sourit.
- Comment tu t'appelles ?
- Caroline. Ça fait cliché, je sais. Ma mère est fan…
Elle se tourna vers la rousse.
- Et toi ? demanda-t-elle.
- Alexis.
- C'est un prénom de garçon ! s'écria Caroline.
- C'est mixte, répliqua Alexis.
- Je ne savais pas. J'aurais bien aimé m'appeler Alexis.
Elles se sourirent et se mirent à marcher sur le trottoir. Au fur et à mesure de leur discussion, elles se rendirent compte que ce n'était pas une amitié factice qui naissait entre elles. Aucun de leur propos n'était forcé, elles parlaient librement et se rapprochèrent.
- Tu viens chez moi ? proposa Alexis.
- Je ne sais pas…soupira Caroline. Ma mère va sûrement bientôt rentrer du travail, et…
- Ta mère travaille ici ? s'étonna-t-elle. Je croyais que tu habitais à Atlanta…
- C'est une histoire compliquée.
L'adolescente rousse hocha la tête, comprenant et respectant son amie.
- On se voit demain ?
- Ça marche ! acquiesça la jeune brune. Tu sais quoi, je vais aller voir si ma mère travaille encore. Ça ne m'étonnerait pas qu'elle m'ait oubliée…
- Tu es sérieuse ? demanda Alexis, interloquée.
- Mais non, pour ça je n'ai vraiment pas de soucis à me faire ! Tu viens avec moi ?
- Je ne veux pas gêner…
- Tu viens ! s'écria Caroline en l'attrapant par le bras.
Elle coururent comme deux gamines pendant une dizaine de minutes et s'arrêtèrent, à bout de force, devant le commissariat de police.
- Je ne suis pas sûre que ce soit là, hésita-t-elle. Maman ne m'y a emmené qu'une fois, et c'était il y a très longtemps...
- On demandera à l'accueil, proposa Alexis.
Mais Caroline secoua la tête et ferma les yeux. Hyper concentrée, prête à s'évanouir, elle resta dans cette posture quelques instants avant de se redresser et de se décrisper. Elle adressa un sourire rassurant à la jeune fille rousse.
- C'est bon, je connais le chemin.
- Tu… as vu ça en fermant les yeux ?
- Tout ce qui concerne ma mère me hante, expliqua-t-elle. Une sort d'hypermnésie ciblée. C'est pas franchement utile.
Alexis hocha la tête puis fronça les sourcils.
- Par ''c'était il y a très longtemps'', tu voulais dire combien de temps ?
Caroline haussa les épaules.
- Je n'étais pas née.
Alexis s'étouffa, et elle rengorgea un sourire goguenard.
- C'est vrai ?
- Mais non. Tu viens ?
Elles pénétrèrent dans le bâtiment, et la jeune policière qui tenait l'accueil les laissa entrer sans rien dire.
- Bizarre, souffla la jeune brune lorsque les portes de l'ascenseur se refermèrent sur elles. Ce n'est pas plus sécurisé que ça ?
Alexis haussa les épaules.
- Elle me connait. Mon père ''travaille'' ici.
- C'est vrai ? Il est flic ?
- Non, écrivain. Ce commissariat est la source de son inspiration.
- Peut-être qu'ils se connaissent ! s'enthousiasma Caroline en appuyant sur un des boutons, sans la moindre hésitation.
- Ça m'étonnerait, répliqua-t-elle en grimaçant. Il reste toujours avec la même équipe.
Elle sourirent. Caroline tirailla le bas de son débardeur. Alexis paraissait tout à fait détendue.
- Qu'est-ce qui t'inquiète ? demanda-t-elle.
- Je ne suis pas inquiète, répliqua la brune un peu violemment.
La rousse lui posa une main apaisante sur son bras.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, et les deux jeunes filles progressèrent timidement à l'intérieur de la salle. Un homme qui semblait dans un état de colère intense se précipita vers elles.
- Alexis, tu tombes bien. On rentre…
- Oh. Papa, je te présente Caroline. Caro, mon père, dit-elle en les désignant chacun leur tour.
Caroline sourit, et Rick se força à faire de même avant d'appeler l'ascenseur d'un coup de poing rageur sur le bouton.
- Ça va ? s'inquiéta Alexis.
- Elle est bizarre en ce moment. Je suis sûr qu'elle a quelqu'un…
Il grinça des dents et la jeune fille brune lança un regard rempli d'interrogation à son amie.
- Une femme dont il est fou amoureux depuis le premier regard, soupira-t-elle, et Caroline sourit.
- Bonne chance !
- Merci, grogna l'écrivain avant de s'engouffrer dans l'habitacle.
Alexis le suivit et la jeune fille, après avoir jeté un long regard circulaire à la pièce, y pénétra à son tour.
- Ma mère n'est pas là, expliqua-t-elle. J'ai dû me tromper d'étage.
- Hypermnésie, hein, railla Alexis.
- Je te jure que je me rappelle d'un tas de choses qui la concernent dont je ne devrait pas me souvenir, assura-t-elle.
- C'est toi qui a posé le diagnostique ?
- Mais non, répliqua-t-elle. Internet m'a aidée.
Elles éclatèrent de rire et finirent par se tourner vers l'écrivain morose.
- Votre fille m'a dit que vous écriviez des livres…
- Je suis Richard Castle, se présenta-t-il.
- Oh ! Ma mère vous idole.
- Tiens tiens, marmonna Alexis, Je récapitule. Elle travaille ici, elle aime tes livres… Est-ce qu'il se pourrait que ce soit…
- Ne prononce pas son nom ! rugit Castle.
Les deux filles se terrèrent au fond de la cabine, et Caroline se prépara à rompre le silence :
- 'Lexis ?
- Mmh ?
- Elle est brune ?
- … Oui.
- Elle a les cheveux courts ?
- Non.
- Alors c'est pas ma mère ! conclut la jeune fille.
- De toute façon, elle n'a pas d'enfant, ajouta Alexis.
Caroline se pencha vers son oreille.
- Dommage. Ça m'aurait plut d'être ta demie-sœur !
- Moi aussi…
Ils se séparèrent au bas de l'immeuble, les deux adolescentes confirmèrent leur rendez-vous du lendemain et Caroline retourna chez elle.
Je m'étais pas rendue compte que ce chapitre était si court. Bon. On dira que c'était le prologue. Mais ça va paaas ! T'as mis en gras et au milieu que c'était le premier chapitre !
Et c'est là le moment tant attendu où je vous parle du bout... NOOON ! Trahison ! Complot ! Le bouton review, MON bouton review n'est plus ! Roh punaise; j'avais encore plein de blague nulles à faire, et il s'est lâchement barré ! Lui aussi il est parti. Tout le monde est parti. Oui mais non, bordel, pas le bouton review ! Il était design, il était classe, il était... utile...
Bon, son remplaçant est pas si nul que ça, hein. (Positivons à mooort...) Je dirais même qu'il est mieux. Ben ouais, on diminue par deux le nombre de clic pour poster une review. On passe de deux à un. On divise par deux le temps que l'on met ! C'est fou ! Profitez-en ! C'est une occasion en or, à ne pas louper. Qui sait, vu ce qu'ils ont fait au bouton review, peut-être que dans dix jours, pffuit, on multiplieras tout par trois.
Sérieusement, personne n'a plus d'excuses, là. Même si c'est juste un POINT, ça fait toujours plaisir ! (Haan je vais avoir les boules si je me mets à recevoir des reviews qui sont, en tout et pour tout, ''.'' xD)
Allez les gens !
Positivez avec moi !
Testez ce nouveau bouton !
Et pour info je fais du copier-coller parce qu'il est presque minuit et que j'ai plus d'inspi !
