Discleamer : Les personnages et les lieux ne sont pas à moi sniffffff… J'ai juste l'histoire, la torture et le sadisme de cette fic ( qui va être longue)

Rating : M

Couple : HPDM

Résumé : Draco est torturé par sa famille, il va tomber amoureux de son pire ennemi ! Hélas la timidité du blond va reprendre le dessus ! (en plus il était hétéro jusqu'à ce qu'il fantasme dans ses rêves sur un Griffondor ) Vont-il finir ensemble ? Même l'auteur ne le sais pas ' j'ai pas encore décidé de la fin XD

Dans la pénombre d'un grand manoir les cris habituellement secs se firent entendre ce soir là comme des cris déchirants et apitoyants . On pouvait facilement deviner que Ste Souffrance se donnait à cœur joie dans les sous-sols ! En pensant qu'un père faisait souffrir son fils on pouvait aussi affirmer que Sœur Sadique souriait à grandes dents ! Pour comprendre un fils doit subir des atrocités semblables à chaque fois qu'il se rebellait il faut savoir certaines choses :

A commencer que nous parlons de l'une des plus grandes fortunes de l'Angleterre, d'une famille noble et de sang pur ! Aux yeux de la société moldue, cette famille était comme toutes les autres familles nobles du pays (des riches avec des gosses pourris gâtés et arrogants et des propriétés aussi grandes que le Buckingham Palace !) Mais aux yeux du monde de la Magie cette famille représentait la crainte et l'admiration de l'Angleterre ! La crainte car on prétendait, non sans fondement, que le « Père » de famille était un Mangemort et l'admiration car il faisait partit des membres les plus éminents du Ministère de la Magie ! Le con qui n'a pas deviné de quelle famille je parle est le plus con des lecteurs de fics HPDM --'

Ensuite il faut ajouter à cela que le fils était dans l'école de sorcellerie de Poudlard (et le premier qui dit que les noms français ne doivent pas être employés je les étripe ! hinhin rire sarcastique et malfaisantnon l'auteur n'est pas un fous sadique et complètement aliéné de sympathie envers la famille dont il parle ! Je peux vous le jurer sur la tête de Drago ! Tiens pourquoi il est mort ? v'), que le pire ennemi du patron du père était dans la même école et dans la même années que le « Fils » (ce qui signifie donc que le fils, en internat, passait des vacances super agréables quand il rentrait à la maison…) que cela durait depuis 4 ans et qu'à la fin des vacances d'été en cours il entamerai sa 5ème année avec le « Balafré » comme certains l'appelaient . (Qui avait d'ailleurs appris beaucoup de sorts de magie, noire comme bleu et blanche )

Il faut savoir aussi ce qui s'est passé en ces 4 années : Le Fils n'avait pas réussi a se faire un allié du Balafré, à cause de lui ils avaient perdu leur elfe de maison et les deux années suivantes il n'avait rien pu faire pour se venger, mais son père lui pensait juste qu'il n'avait rien voulu faire… Le père avait donc inventé plusieurs sortes de punitions et la principale est que, pendant que le jeune blond était à la maison, il devait s'occuper des travaux ménagers, de tout les travaux ménagers (même comme aujourd'hui, lors de son anniversaire ) Oui je sais je suis méchant ! NIARK Mais depuis quelques jours le père Malefoy était encore plus silencieux que d'habitude, alors maintenant voici le récit d'une journée pas comme les autres quelqu'un dans la salle : passe moi le pop corn steplait ! --' bon je continue ; voici le récit de la journée d'anniversaire pour les 15 ans de Drago Malefoy !

Dans le grand domaine des Malefoy, un réveil retentit : Narcissa se leva délicatement de son lit et l'arrêta . Narcissa Malefoy était une grande femme élancée, aux formes généreuses et à la passivité tout aussi importante . Elle avait pourtant tenté de convaincre son mari, mais sans grand succès comme toujours .

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Flash Back

« - Je t'en prie, Lucius ! C'est son anniversaire ! Laissez lui un peu de répit par pitié ! »

Pour la première fois depuis longtemps Narcissa s'opposait à une décision de son mari . Cela arrivait rarement car elle se montrait toujours soumise et bienveillante, mais là ça montait trop haut : faire faire les corvées à son enfant lors de son anniversaire ! Elle était déterminée à obtenir quelque chose pour que son fils soit un peu moins surchargé le lendemain :

« - Ma chère Narcissa, lui dit calmement Lucius, je ne vois pas le problème ! Plus notre fils grandira, plus il aura de responsabilité, il est donc bon qu'il apprenne à gérer le temps impartit !

Et vous pensez sérieusement que lui attribuer des corvées le jour de son anniversaire soit l'aider ? Enfin Lucius ! Ne vous voilez pas la face ! Le fatiguer ne fera que le mettre sur les nerfs et il risquera de prendre mal la nouvelle que vous devez lui annoncer !

Ma chère Narcissa vous savez très bien qu'endurer des épreuves permet de mieux les supporter ! »

Là elle pouvait clairement voir le sourire narquois de quelqu'un de vainqueur ayant ridiculisé son adversaire peindre le visage de son chère époux : c'en était trop ! Ou du moins plus qu'elle ne pouvait le supporter : il la narguait ! Mais cette fois elle ne perdrait pas tout !

« - Néanmoins vous ne verrez pas d'inconvénients à ce que ce soit moi qui aille le réveiller ? N'est-ce pas mon cher ?

Lucius Malefoy était à court ! Il ne pouvait rien dire ! Elle marquait un point ! Puisque tu insiste : je n'y vois pas d'inconvénients… »

Elle aurait au moins le droit de le réveiller elle-même et non de le laisser se faire réveiller par cette brute qui lui servait de mari . Il ne lui en fallut pas plus pour qu'elle quitte la pièce avec un sourire aux lèvres .

Fin du Flash Back

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Elle quitta donc doucement la chaleur de son doux lit et avec une lenteur voulue attrapa une robe de chambre en satin violet clair suspendue à un valet et l'enfila délicatement . Vêtue de cet apparat, elle entreprit de descendre les escaliers sans bruits pour ne pas éveiller ce cher Lucius ; mais il avait entendu le réveil et guettait le moment où elle sortirait, maintenant que c'était fait il se leva, enfila une robe de chambre en velours noir et la suivit . Ils descendirent discrètement dans l'escalier, et, sans même savoir qu'elle était suivie, Mme Malefoy entra dans la chambre de son fils .

Drago, lui, depuis son retour de Poudlard, quelques jours plus tôt, croulait sous les corvées : la veille il avait dû s'occuper du jardin et du grand potager ainsi que de la serre ; était tombé de sommeil et sa mère eu du mal à le réveiller pour le dîner du soir : elle entra dans la chambre, et, sur la pointe des pieds s'avança vers le lit de son enfant ; Lucius lui observait la scène depuis l'embrasure de la porte . Narcissa Malefoy approcha sa bouche de l'oreille de son fils et lui murmura doucement « Drago » . Ce dernier se réveilla brutalement : il n'était pas habitué à entendre sa mère le réveiller Père serait-il mort ? et encore moins à entendre son prénom prononcé si doucement !

« - Que me voulez-vous de bon matin, mère ?

Tu dois aller t'atteler à tes corvées…

Aujourd'hui aussi ? »

Mais c'était sans compter sur la passivité de son « cher Père », il apparut dans l'encadrement de la porte et marcha d'un pas décidé vers son fils et arrivé à la hauteur de ce dernier lui donna une gifle à faire pleurer n'importe quel enfant n'étant pas habitué à en recevoir de telles !

« Tu obéis sans protester ! Et plus vite que ça ! »

En gros il vient de faire 3 tours dans son calbart sans toucher l'élastique ! hinhin ! Moi pas sadique ! Moi venir en paix ! (Pourquoi vous me tirez dessus ? Je n'ai pourtant rien fait !)

Drago ne comprit pas bien ce qui venait de lui arriver : on venait de le réveiller tôt le matin le jour de son anniversaire pour lui dire de se lever et de préparer la maison et demandant confirmation il venait de prendre la plus belle baffe de sa collection de joues rouges ! Il mit du temps à prendre conscience de ce qui venait de se passer et quand il fût de nouveau lucide il était seul dans sa chambre ! Il comprit donc que comme à chaque fois qu'il disait une parole qui pouvait se prendre comme une offense, même la plus petite, il avait pris une grosse gifle ! Il sortit donc de ses draps, il n'était vêtu que d'un boxer noir moulant, et se dirigea vers la salle de bain . Cette dernière était la pièce adjacente à sa chambre, il poussa donc la grande porte en chêne massif qui entravait son passage . Il pénétra dans cette salle où régnait une atmosphère apaisante et où une odeur d'encens embaumait l'air . Y ayant pénétré, il foula un sol tendre au toucher de ses pieds nus, un tapis de laine était posé sur le sol de la salle de bain . Il avança dans la grande salle et se dirigea vers un coin de la pièce où se tenait un meuble avec, posé dessus, des bâtonnets d'encens sur des socles et une bougie . Il alluma l'un des bâtonnets et se dirigea vers une grande baignoire . Près de celle-ci il se déshabilla et posa son boxer sur une petite table où étaient entassés ses vêtements qu'il avait laissés là la veille . Il entra dans la baignoire, l'eau était chaude ; sa mère avant de rejoindre son mari dans leur chambre avait eu la gentillesse de faire couler l'eau et de la mettre assez chaude : comme Drago l'aimait . Dans la baignoire il profita de la chaleur de l'eau pour s'adonner à un sport spécifiquement masculin Je ne suis pas sexiste mais je vois mal une fille faire ça ' mais bon je suis un mec alors on peut toujours m'en apprendre . Il attaqua doucement un mouvement d'aller-retour, savourant chaque seconde comme un instant bénit . Mais il s'arrêta juste avant le « grand final », pour ne pas laisser de trace et laisser le plaisir à son père de lui en faire la remarque .

Mais durant ces rares temps de plaisirs qu'il pouvait passer au manoir, il s'imaginait en général deux jeunes filles l'excitant sauvagement avant qu'il ne s'envoie en l'air avec .Durant ses ébats son regard se posait dans les leur l'une avait le regard arc-en-ciel (regard arc-en-ciel : un regard où l'on peut distinguer toutes les teintes de l'arc-en-ciel) et la seconde avait des yeux mêlant un gris orage avec un vert émeraude . Ce second regard pouvait exprimer la miséricorde et la rancune, chose inhumaine, mais qu'il se plaisait à imaginer . Ressortant de son charmant rêve par un bruit qu'il n'avait pas prévu il s'arrêta instantanément et ouvrit les yeux : son père était sur le seuil de la salle de bain et, remarquant l'arrêt de son fils, s'avança vers lui et lui asséna une seconde baffe, plus forte que la première fois, sur l'autre joue ; ce qui eut pour effet de faire glisser une larme sur la joue de Drago, de la colère envahi le regard orageux du jeune blond . Il baissa les yeux et attendit la remontrance qui ne viendrai jamais : Malefoy Señor quitta la pièce en ne jetant aucun autre regard vers son rejeton . Drago finit donc rapidement sa toilette pour éviter de revoir encore une fois son père avant le début des corvées . Il sortit de la baignoire, se peigna les cheveux, et se sécha avec une grande serviette verte . Une fois sec il enfila ses vêtements et sortit de la salle . Avant d'aller dans la cuisine il prit soin d'effacer la larme qui perlait sa joue afin de ne pas laisser le plaisir à son père de le voir apparaître en position de faiblesse . Il ne pouvait s'y résoudre ! Jamais il ne lui laisserai délibérément le plaisir, par n'importe quel moyen, de voir son fils en mauvaise posture !

Il entra donc la tête haute dans la cuisine et se dirigea directement vers la gazinière, ne gratifiant personne de son regard et surtout pas son père ! Il alluma deux gaz en tournant un bouton et y déposa deux poêles et se dirigea vers le réfrigérateur . Il l'ouvrit et en sortit une assiette où étaient entreposées des tranches de bacon . Il la déposa sur un meuble d'appui et se retourna de nouveau vers le frigo, en sortit deux œufs quand il entendit son père :

« A partir d'aujourd'hui, ta mère mangera du pain avec du beurre et de la confiture le matin… »

Pendant que son père replongeait dans son journal, le cerveau du jeune blond tournait à plein régime : la dernière fois que sa mère avait mangé du pain le matin c'était quand elle fût enceinte de lui ! Il le savait pour l'avoir entendu dire par son père à quelques occasions où il était un peu loquace ; avec ses amis bien sur ! Pas avec Drago ! Quand il se rendit compte que, instinctivement il s'était énervé sur les œufs à l'annonce de cette nouvelle, il avait du jaune partout sur la main, le liquide se répandait par terre et le grand blond avait posé son journal et se dirigeait vers lui . La gifle qui s'en suivit fit définitivement redescendre Drago de la planète « Ahuri », l'envoyant à terre, à l'autre bout de la salle : la dernière gifle était plus forte que les deux précédentes réunies ! Le jeune Serpentard se releva tout de même rapidement, des larmes perlant son visage . Son père eu un sourire satisfait et retourna lire son journal sur sa chaise . Drago eut toutes les peines du monde à se relever, mais une fois qu'il y parvint il finit de préparer le petit déjeuner et monta dans sa chambre : il n'avait plus faim ! Mais ses corvées ne faisaient que commencer ! Il du redescendre pour écouter son père :

« Drago, aujourd'hui tu fera les lessives (à la main bien sur !), tu préparera un apéritif royal : le Ministre de la Magie vient ce soir, tu fera complètement le ménage dans tout le manoir (balais et serpillière) et tu arrosera les plantes . Ensuite tu t'habilleras correctement et tu viendras, prendre l'apéritif avec nous et le Ministre . »

Il avait tout dit avec un ton monocorde, puis quand il s'était arrêté il avait planté son regard gris dans celui du jeune en face de lui, lui indiquant qu'il ferait mieux de partir . Ce qu'il fit . Quelques minutes plus tard, Lucius Malefoy quittait le manoir pour le Ministère de la Magie où il avait à faire ; il ne rentrerai pas le midi . Sa mère, elle, ne tarda pas à faire de même ; bien qu'elle partit pour aller faire les boutiques avec ses amis jusqu'au soir .

Narcissa jeta un regard interrogateur à son fils avant de partir du manoir . Désormais il était seul dans la maison ! Il allait faire tout ce qu'il devait en un tour de baguette magique ! Il se dirigea donc rapidement vers la buanderie, et, avec l'aide d'un grimoire qui était posé sur une table lava tout le linge et l'étendit dehors . Ensuite il fallait laver tout le manoir : grande chance la formule était dans le livre laissé dans la buanderie ! Renouvellement de la facilité . Pour arroser les plantes : pareil . Mais avant de s'atteler à la cuisine, il prit le grimoire et se dirigea dans sa chambre . Il y prit un paquet de feuilles et commença à recopier le grimoire en entier .

A midi tapant, il avait fini de recopier la livre et alla le replacer à l'endroit où il l'avait trouvé et à la même page ; il alla dans la cuisine et se prépara deux œufs au plat : son repas du midi et évidemment la seule chose faisable sans risquer de se faire exploser par son paternel !

Après son « copieux » repas Je ne comprends pas pourquoi vous voulez me couper la tête ! Surtout vous Dhjera Keurjani, Shania et Lotus 971 ! Je viens en ami ! Moi gentil !Allez quoi je suis pas un assassin ! Hein ? Pire ? Ha OK… Bon donc après son repas, il du s'atteler à la dure tache de faire la cuisine ! Il n'avait jamais était vraiment doué pour faire cela mais il tenterai quand même !

Voici une courte liste de ce qu'il devait faire :

tranches de saucisson en sauce pimentée

Cake aux olives

Tartelette (petites bouchées en gros)

Pizzas

Quiches

Olives à l'huile

Saucisses de Strasbourg en cocktail et natures

Des toasts au foi gras et à la mousse de canard, ainsi qu'au caviar

Des crudités en salade

Des roulés au fromage

Des pommes de terre frites

Des blinis

Et en boissons :

Du champagne

Du Martini

Du Scotch

Di Kirsch

Des liqueurs

Et pour Drago, de l'eau minérale .

Drago, après six heures de travail acharné pour terminer tout les plats et les disposer dans l'immense salon, se permit une petite pause . Mais apparemment une divinité sadique s'acharnait sur lui : Son père entra dans la maison ! Et le voyant flemmarder sur une chaise, il pensa que son fils fainéantisait ! Et (comme tout le monde) s'en doute Drago prit une quatrième gifle ! Le jeune blond vola une seconde fois à l'autre bout de la pièce . Mais, par chance, la voiture du Ministre de la Magie se pointa devant la grille du manoir . Son père lui jeta un regard noir et lui dit d'aller s'habiller, ce qu'il fit . Quand il redescendit dans le salon son père et Cornélius Fudge étaient assis dans un grand canapé et sa mère dans un fauteuil en face ; ils buvaient et mangeaient comme si c'était naturel que tout cela soit sur la table : ce qui énerva Drago encore un peu plus ! Mais hélas il devait se tenir à carreaux ! Il remercia Dieu de l'avoir fait si bon acteur ! Il arriva avec un grand sourire dans le salon et salua le Ministre . Il alla s'asseoir sur un fauteuil et resta silencieux : comme d'habitude il ne faisait que la toile de fond ! Mais quelque chose à quoi il ne s'attendait pas arriva ; encore .

Alors que la conversation tournait à la discussion de travail, un silence se fit et L'homme invité, toujours avec son éternel chapeau melon sur la tête, se tourna vers Drago et le considéra quelques instants . Enfin il se décida à parler :

« - Drago, comme ton père a sûrement du te le dire, actuellement nos relations avec les sorciers des Etats-Unis d'Amérique sont pour le moins qu'on puisse dire en péril ! Il fit un silence pour laisser à Drago le temps de tourner la phrase dans tout les sens, puis il reprit : Pour régler définitivement la question une grande rencontre doit avoir lieu .

Excusez moi monsieur, mais, en quoi cela me concerne-t-il ? Au moment où il posa sa question, il put voir son père lever un doigt : ce qui signifie : « Continues comme ça et tu va voir ! »

Eh bien… En fait… La question sembla embarrasser le ministériel, mais il ferait front ! Ce ne sont pas les ministres qui doivent se rencontrer ! Chaque Etat va envoyer trois jeunes et…

Tu fais partit des trois qui iront ! termina M. Malefoy . »

Draco était coi ! Il réfléchissait ! Et qui seraient les deux autres ?

« - Veuillez pardonner mon insolence, mais qui seront les deux autres ? »

« Qu'est-ce qui t'as prit ? Tu te rends compte que si je n'avais pas été là tu aurai gravement énervé le Ministre ? Tu iras ! Même si tu es avec eux tu ira ! »

Alors qu'il disait cela les coups de fouet retentissaient dans la grande cave en pierre du manoir, sur le corps meurtri du jeune Draco . Les chaînes qui l'écartelaient l'empêchaient de bouger ne serait-ce que le petit doigt, les coups de fouet s'abattaient sur son corps tendu et le courant qui régnait dans l'eau où il se trouvait l'empêchait de hurler ! Trois heures après le début de son supplice, Lucius quitta la salle et les coups de fouet cessèrent . Encore quelques heures plus tard, le courant s'arrêta et il resta enchaîné pour le reste de la nuit . Le lendemain il serait détaché et le surlendemain il irait dans le bureau du Ministre pour parler de ce qu'Ils devront faire une fois en face des américains et où cela se passerait . Les deux Autres seront là aussi .

END

Reviews ? La suite concerne Harry ! Sans tortures