Anthony DiNozzo venait de se faire capturer par un groupe de terroristes. Il savait qu'il avait aucune chance de s'en sortir. Il lui expliquèrent tout ce qu'ils allaient lui faire s'il ne parlait pas : l'énucléer au niveau des ongles, lui écraser les doigts et les orteils, lui arracher la langue et les yeux, le passer à tabac, le brûler avec des cigarettes, lui faire couler de l'huile brûlante sur le corps, lui écraser les parties intimes avec une masse et le brûler au fer rouge avant de le mettre à mort par égorgement.

« Zut. La journée sera rude. » répondit-il simplement.