Fille de l'Eau
Juvia, tu le sais, n'est-ce pas ?
Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort,
Tu en es l'incarnation même.
Juvia, fille de la pluie, enfant de l'eau,
Tu l'as dit toi-même,
Il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir destructeur de cet élément.
Érosion, destruction,
Au creux des tempêtes, au cœur des tornades,
Tu es là, ma chère Juvia.
Bouillonnante, vivifiante,
Juvia de l'Océan,
Tu es d'eau et de sentiments.
Déferlante, rafraîchissante,
Et ton sourire étincelant…
Juvia, n'oublie jamais cela : au cœur de la tempête se trouve le calme de l'Océan.
Fille de la Pluie, Enfant de l'Eau,
Ton souvenir reste éternel,
Tel ce ciel bleu dénué de toute peine.
(A lire comme une vraie poésie, c'est-à-dire par exemple : "é-tin-ce-lant")
Je voulais tenter d'instaurer un rythme cadencé, saccadé, rappelant le va et vient des vagues et de la marée, je ne sais pas si c'est réussi, c'est assez mélancolique, mais j'aime bien, pour ma part. Pardonnez mon style, ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit dans le style poétique ! Et excusez la mise en page déplorable, ce site n'accepte pas les alinéas ni les lignes blanches...
