HEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEY ! Me revoilà ! Je vous ai manqué ? Oui ? Non ? Brrrrrrreeeeeeeeeeef xD Voilà la suite et l'une des "nouvelles" fic que j'ai en projet ^^ Bon, que dire de plus... Ah oui ! Le 17/08/2016 c'était mes 1 an ici ^^ 1 an que je maltraite les personnages de Dragons xD C'est vraiment un truc de foooooooooou ! ^^ Vous imaginez pas à quel point ça a changé ma façon d'être et tout ^^ Mais bon, on est pas là pour parler chiffon ! LA SUITE D'HARKAAAAAAAAAAAAARD BORDEL DE CUL ! Bon. J'ai rien à dire de plus, sauf que je vous souhaite une bonne lecture ! ^^
Comme signalé dans le titre, il s'agit d'une fic en rapport à "La légende d'Harkard" donc, si vous n'avez pas lu cette sublime fic, je vous invite à le faire dans les plus bref délai ^^
Comme d'habitude, je n'ai aucune avance (Pourquoi t'en prend pas alors ?) Parce que je suis habitué comme ça xD et que j'aime bien avoir la "surprise" en même temps que vous :) et donc, ne vous attendez pas à une publication fix, genre tout les vendredi x) Mais ! Je vais essayer d'avoir un chapitre par semaine, le jour de la publication serra une surprise, même pour moi xD
Bonne rentrée à vous et pas de bêtise les enfants, d'accords ? "C'est lui qui dis ça... x)"
Un monde meilleur
(Harkard)
Chapitre 1 :
Les chemins escarpés
Pdv Harold.
Cela faisait bientôt plus de huit mois que j'avais quitté Berk. Huit mois de vagabondage. Sans savoir exactement où aller, ou qui chercher. Malheureusement pour moi, je ne pouvais compter sur la « présence » d'Allurnite pour m'aider. Le sérum concocté par Gothic qui nous empêchait de nous transformer, il empêchait également toute conversation entre l'humain et le dragon.
Les terres d'Écosse n'étaient pas si différentes que celle d'Irlande. Elles étaient un peu plus verte et chatoyante. Certainement dû au beau temps qui y faisait pendant une majeur partie de l'année et la pluie qui revigorait le tout, ou bien au bon vouloir des dieux... Mais peu m'importe la raison ! Si au bout de huit mois je venais déjà à me mettre à papillonner à droite à gauche, mon voyage prendra plus de quatre-cent ans pour que je vienne à trouver cette personne d'on j'avais besoin.
J'approchais d'un petit village qui avait l'air d'être le genre d'endroit où on ne voulaient pas d'histoire. J'en avais croisé déjà quelques un dans mon voyage et ces lieux étaient fort plaisant, et paisible. Ça m'arrangeait d'ailleurs, moi qui souhaitais éviter les problèmes.
PDV Général.
Harold avait repéré du premier coup d'œil l'auberge du coin, souvent reconnaissable par sa grande taille et son architecture différente des autres battisse. Il rentrait dans ce bâtiment, pour être accueilli par de nombreux regard curieux. Il s'était ensuite approché du comptoir pour y demander une chambre et un repas. Ce qu'il eut en un rien de temps sans question indiscrète. Le soir tomba en un rien de temps et le dîner était servit dans la salle à manger, là ou se regroupaient tout les possesseurs d'une chambre de l'auberge. Le repas se fit dans un silence relativement calme, juste le bruit des couverts résonnaient dans la grande pièce. Après avoir remercier son hôte pour ce repas délicieux fait des produits locaux, Harold s'en était allé dans sa chambre pour dormir un peu, sous le regard toujours intriguait de l'aubergiste et des autres occupants.
Assis sur le bord de son lit, Harold était en partie dévêtit et fixait le vide sans grand intérêt. Son regard papillonna un instant avant de revenir à ce qu'il faisait quelque instant plutôt. Son « traitement » pour rester humain, malgré le soleil. Sanglant son avant bras à l'aide d'une ceinture, il piquait ensuite l'une de ses veines pour s'injecter le fluide pourpre qui lui laissait comme une impression que de la glace se formait dans ses veines au passage de ce liquide. Il s'était couché ensuite, mais il restait au aguets, juste au cas ou. Il reprendra sa route le lendemain, à l'aube, avant payer la note de la nuit et du repas.
Voilà a ce que ressemble la vie d'Harold maintenant, une vie de vagabond. Six mois passé à marcher, chasser, payer des chambres d'auberge -certaine confortable, d'autre non- C'était loin d'être une partie de plaisir. Harold devait revendre son gibiers pour trois fois rien, et user de ses talents de forgerons pour aider les travailleurs en difficulté, et en manque de main-d'œuvre. Il avait tout de même réussi à récolter quelque information sur cette fameuse personne experte en dragon. Déjà, il s'agissait d'une femme, son âge lui était inconnu ainsi que son nom et toute information relative à sa personne... Il cherchait donc une femme... Le problème, c'était qui y en avait à tout les coins de rues des femmes... Des jeunes, des vielles, des mères, des nones. Ça ne l'aidait pas plus que ça...
Néanmoins, un jour, alors qu'il venait de s'arrêter une énième fois dans un nouveau village pour se remplir les poches, une petite vielle avait interrompu Harold dans son travail de forgeron.
-J'ai entendu dire, que vous cherchiez une personne experte en dragon ? Hihihi ! Une femme à ce qui paré ?
-Oui c'est ça. Répondit Harold avec enfin une lueur d'espoir dans son esprit. Vous la connaissez ? Savez-vous comment elle s'appelle ?
-Je la connais bien cette petite, Malaisie. Hihi ! Elle a été comme ma fille pendant quelque années, la pauvre avec son petit frère ont perdu leur parents, puis, du jour au lendemain, elle est devenu une grande femme et est partie voler de ses propres ailes.
-Savez-vous où je peux la trouver ? Demanda-t-il avec empressement.
La petite vielle aux cheveux grisonnant lui pointa une montagne qui était visible au dessus de la cime des arbres. Harold en avait déduit donc qu'il devait s'y rendre, mais lorsque qu'il s'était retourné pour remercier la petite vielle, elle avait disparue.
Pdv Harold.
Je marchais dans le bois depuis déjà un bon moment. Ayant un bon sens de l'orientation, je savais que la montagne devait logiquement se dresser devant moi après un long moment. Je ne voulais pas trop attirer l'attention sur moi, si jamais il y avait des personnes dans ces bois et qu'il voient un homme courir à une vitesse vertigineuse, je vais sûrement me faire pourchasser par toute l'Écosse. J'avais également cette drôle de sensation... Comme quelque chose, ou quelqu'un me poursuivait du regard. Je n'y prêtais pas plus attention que cela, mais je restais tout de même sur mes gardes, car après tout, je suis en terre inconnu ici. Je continuais ma route entre les grand pains et les chênes qui peuplaient ce bois qui me semblait n'avoir aucune fin. À causse des arbres, je n'avais aucun moyen de savoir si la montagne était prête ou non, leurs foutues branches feuillu m'empêchaient de voir. Néanmoins, lorsque l'envie d'escalader ses arbres m'avait soudainement saisie, mon regard fut attiré par le paysage au loin, entre les énormes chêne centenaire je pouvais voir une immense plaine dégagé, comme celle à Berk. Mes jambes n'en pouvant plus, je me suis mis à courir vers cette espace de liberté qui s'offrait à moi, esquivant les obstacles avec agilité. Mais lorsque enfin j'étais sorti de sous ses arbres, un immense fossé se présenta devant moi ! Je tentais donc de ralentir mon allure, traînant mes pieds sur le sol qui s'enflammait presque sous le passage de mes chaussures. Mais j'arrivais trop vite ! Rien n'y faisait ! Je me voyais déjà chuter dans cette immense veine profonde qui semblait séparer la montagne du reste du monde. Je tombais ensuite inexorablement vers une mort qui aurait été toute sauf douce pour un humain. Dans ma chute, je réussissais à me saisir d'une prise pour me retenir, mais ce fut si soudain, que mon corps tout entier vint aussitôt s'écraser le long de la parois rocheuses. Je sentis aussitôt certain de mes os se disloquer face à la violence soudaine de mon arrêt, mon bras notamment et l'un de mes genoux. J'attendais quelque instant, suspendu par un bars, au-dessus du ravin qui était déjà remplit de nombreuses carcasse d'animaux mort, certains étaient là depuis peu, tendis que d'autres étaient déjà à l'état de poussière. Remontant progressivement la pante vertigineuse, j'avais retrouvé le planché des vaches après une dizaine de minute, n'ayant qu'un seul bras pour me hisser (l'autre étant dans un sale état)
Je récupérais mon souffle une fois de retour sur terre, allongé sur le sol, avant de m'occuper de mon bras qui était en partie broyé, et de mon genou qui se tenait bizarrement. Je ne savais pas que cette partie du corps pouvait se retourné sur lui-même...
-Heureusement que je suis insensible à la douleur, car ça doit faire mal. Pensais-je pour moi-même.
Une fois ma jambe remboîté dans un sens normal et mon bras mi en écharpe - à l'aide de mon poncho- pour lui laisser le temps de se reconstituer tout seul. Je longeais cette imposant ravin dans l'espoir de trouver un pont, une passerelle, quelque chose qui me permettrait de traverser, mais rien, jusqu'au moment ou mes yeux s'étaient posé sur un pont qui semblait aussi intact que les première culottes de Gueuleford. Chassant ses horribles pensées de ma tête, j'accourais vers le passage qui s'offrait à moi. Ce pont avait vraiment l'air instable, mais je n'allais pas reculer juste à causse de quelques planches manquantes et grinçantes ! Je m'accrochais donc au cordage pour commencer mon avancer, mais une fois arrivé au milieu, j'eus une drôle de sensation à nouveau ! Quel idiot ! J'avais baissé ma garde !
Pdv Général.
En un rien de temps, deux formes noir et rapide déboulèrent des arbres pour venir ensuite sectionner les cordes qui maintenaient le pont. Harold eu à peine le temps de se retourner pour voir ces deux choses disparaître en un éclair, laissant le pont chuter lentement. Ne perdant pas une seconde de plus, notre cher héro s'était précipité vers l'autre bout du pont, avant de sauter pour atteindre la terre ferme avant que la passerelle ne s'écroule complètement. Il se relevait ensuite, légèrement sonné par sa chute et à causse de la faible douleur dans son bras. Mais au moins, il était passé ! C'était une bonne chose de faite, même s'il ne savait pas qui étaient ces deux chose. Des humains ? Des dragons ? Nul ne le savait.
Pdv Harold.
Je repris donc ma route, l'esprit tout sauf tranquille avec « l'attaque » que j'avais subit. La chose positif était que, j'avais réussi à traverser mais pas mes assaillants. Avançant à nouveau calmement, je défaisais mon bras en écharpes, -étant enfin réparé je n'allais pas me balader comme ça pour lancer une mode- pour pouvoir me balader plus à mon aise. Après plusieurs dizaines de minutes de marche supplémentaire, je voyais enfin cette fichu montagne ! Ne perdant pas une seconde, je m'étais précipité au pied de cette montagne qui était dégagé avant d'appeler la personne que je cherchais depuis tout ce temps.
-Malaisiiiiiiiiiiiiiiiie ! Criais-je.
Aucune réponse...
-Je m'appelle Harold Haddock ! J'ai besoin de vôtre savoir en dragon pour régler un petit souci !
Seul le vent m'avait répondu, c'en était fatiguant et démoralisant. L'idée que cette vielle m'avait berner été de plus en plus présente dans ma tête, mais alors que je maudissais cette personne, il y eut du bruit dans mon dos. Je me retournais donc pour apercevoir...
-Mais qu'est-ce que...
Devant moi se trouvaient des personnes. Entièrement recouvert de vêtements de la tête aux pieds ! Seul leur yeux étaient dégagé. Si il y avait bien une chose que je pouvais leur reconnaître, c'était qu'ils avaient une grande classe, comparé aux bandits de chez-moi. Je me risquais donc de faire un pas vers eux, mais à peine j'avais bougé le petit doigt, qu'une flèche était venu se loger dans mon épaule.
-Hé ! Ça va pas la tête ?! Je viens en paix et vous, vous m'attaquez ! C'est vous qui avez fait tomber le pont, c'est ça ?
La dizaine d'hommes de femmes se contentaient de me dévisager. Les deux sexe étaient facilement repérable d'ailleurs. Leur taille n'était pas la même, ni leur carrure, et les hommes n'avaient pas les bras couvert, contrairement à leur consœur. Mais voyant que parler ne servait à rien, je fis tomber mon poncho avec un simple haussement d'épaule, avant d'arracher la flèche qui s'y trouvait pour ensuite me mettre en garde. Mes adversaires eux, dégainèrent leurs épées courbes avant de se mettre à bouger tout autour de moi, comme pour m'étourdir.
Ils me tournaient autour comme des vautours, moi, je ne savais pas ou donné de la tête. Ils pouvaient m'attaquer de par tout les côtés ! J'avais l'impression d'être fait comme un rat. Mais je leur réservais une petite surprise. Comme sortie de nul pars, une épée vint m'entailler le dos sur toute la longueur, mais lorsque je me retournais pour porter une attaque à mon assaillant, un autre en profitait pour m'attaquer en traître ! Plus je m'agitais pour me défendre, plus les attaques fusaient dans mon dos et mon sang s'écoulait sur moi me, recouvrant par la suite. Au bout du moment je m'écroulais au sol, totalement épuisé tendis que mes adversaires s'approchaient de moi tout en rengainant leur armes. Je sentis ensuite ma peau devenir brûlante comme un millier de soleil, avant d'entendre une voix bien familière me parler.
-Et si tu arrêtais de jouer avec eux ? Ça en deviens lassant, Harold. Résonna la voix d'Allurnite.
Étirant un large sourire, je m'étais ensuite relever lentement avant de faire face au soleil qui était parfaitement positionné. Mon corps tout entier s'était enflammé. Mais alors que je riais avec Allurnite face au regard surpris et apeuré de nos ennemi, je fus prit d'étourdissement avant de m'écrouler à nouveau sur le sol. Ce n'était pas normal ça !
-Harold ! Lève-toi ! M'incitait Allurnite.
Je ne pouvais pas, je n'y arrivais pas ! Je voyais des formes flou s'approcher de moi avec lenteur, certain riaient même !
-Ligotez-le et amenez moi ça au chef ! Clama la voix d'un homme
J'aurais voulue me défendre ! Me lever et me battre ! Mais ce fut un coup derrière la nuque qui me fit tomber dans les vapes...
Pdv Général.
Comme l'avait demander leur chef, les assaillants d'Harold l'on mené jusqu'à chez-eux, avant de le lancer sans ménagement dans une cellule sans la moindre lumière. Il fut ensuite fouillé et débarrasser de tout ses biens, même de ses sérums anti-soleil. L'un de ses dépouilleur fut d'ailleurs intrigué par cette substance conservé dans des éprouvettes transparente.
-Qu'est-ce que c'est d'après toi ? Demanda l'un des hommes masqués à un de ses confrère.
-Sûrement un sort de stimulant ! T'as bien vue comme nous ? Il avait le dos à vif et une flèche dans l'épaule, mais il a continué de se battre comme un diable !
Les deux hommes restèrent silencieux lorsque Harold avait poussé un gémissement dans son sommeil, sûrement causé par leurs voix qui l'ont dérangé. Par mesure de sécurité, l'un d'eux donna un violent coup de pied à la tête du brun, puis, son collègue entreprit d'ouvrir l'un des flacon.
-Mais qu'est-ce que tu fous ?!
-Quoi ? Dis-moi pas que t'as pas envie toi aussi d'être un surhomme insensible à la douleur ?
-Et les effet secondaires t'y a pensé ? Rappelle-toi, il s'est mis à rire comme un vrai malade alors qu'on pensais l'avoir eu ! Heureusement que.
Mais soudain, une voix roque (la même qui leur avait demandé d'embarquer Harold) fit son apparition et interrompit donc les deux hommes.
-Oh ! Bonjour Monsieur !
-Je peux savoir ce que vous foutez encore là ? Notre chef attend les choses que vous avez découverte sur ce gamin !
-Milles excuses, Monsieur. Ça ne se reproduira pas !
-Je l'espère bien. Maintenant, dégagez !
Il ne rigolait pas lui ! Aussitôt dis, aussitôt fait et les hommes se dirigèrent vers l'endroit ou se trouvait leur chef, les bras chargé de trouvailles toute plus curieuses les une que les autres.
Au bout de quelque heures, Harold refit surface, non pas sans ressentir une légère douleur à la nuque. Fouillant du regard l'endroit ou il était avec attention, il comprit bien vite qu'il se trouvait dans un cachot. Génial ! Y manquait pu que ça... À croire qu'il aimait ça se faire enfermer et enchaîner comme un animal... En plus, il avait été débarrassé de la plupart de ses vêtements. Il lui restait juste son bas, à moité tailladé et couvert de sang. Alors qu'il se risquait de se lever, un bruit de porte claqué le fit sursauté, suivit ensuite par des cris de peur et de terreur à lui en faire froid dans le dos.
-Nooooon ! Arrêtez ! Je vous jure ! Je... J'ai pas voulu ça !
-Ferme-là ! Fallait pas désobéir aux ordres !
Suite à un nouveau cri agonissant et terrifiant, une porte vint se fermer brusquement, bloquant les hurlements de l'homme. Harold se demandait vraiment où il était tombé, mais pas le temps de réfléchir ! Il devait sortir d'ici avant de subir un quel conque traitement pour son intrusion. Alors que le plan d'Harold était assez simple, soit de briser ses chaînes et de partir d'ici en courant, ce dernier fut surpris en voyant qu'il n'était pas fichu de briser ces morceaux de ferraille rouillé. Mais par chance, un homme, roux, vint se placer face à sa cellule tout le toisant de toute sa hauteur.
-Le chef va te recevoir. Annonça-t-il sans grande émotion dans la voix.
Harold ne perdit pas une seconde pour se lever et suivre son geôlier, après que celui-ci avait décroché les chaînes du mur. La route fut longue, interminable et impossible de se repérer dans cette endroit, car tout se ressemblait. Les deux hommes passaient par plusieurs porte, à droite, à gauche, Harold savait très bien que si il voulait s'enfuir, c'était fichu en vu du complexe de cette endroit. Il avait tenté de parler à l'autre personne, mais les peu de réponses qu'il recevait, c'était des grognements mécontent. À croire que ce type était Allurnite mais version humaine. Le roux s'était ensuite stoppé devant une double portes immense, me lança un bref regard, avant d'ouvrir, dévoilant une salle immense creusé à même la roche ! Harold se trouvait donc dans la montagne ? Le mystère s'épaississait au fur et à mesure... Sur le chemin pour accéder au trône, des hommes et des femmes masquées se trouvaient de chaque côté. Chacun d'entre eux adressaient une révérence à l'homme roux, tendis qu'Harold recevait des regard curieux, apeuré ou parfois même admiratif. Il ne comprenait pas pour quoi d'ailleurs. Le jeune brun vit que le trône lui tournait le dos, il ne voyait donc qu'un coude qui dépassait pour venir sûrement s'appuyer contre la tête de son possesseur. Harold n'avait pas fait attention avant, mais dans la salle résonnait la musique de son collier qu'on lui avait dérobé dans son court sommeil. Ayant été stoppé à une distance raisonnable, l'homme roux s'était agenouillé, avant de prendre parole.
-Harold Haddock est présent pour son audience, vôtre majesté.
La musique du pendentif s'était aussi arrêté suite à cette annonce. Il y eut ensuite un léger rire qui provenait du trône, puis ce dernier ce mit à pivoter lentement, jusqu'à faire face à Harold.
-Hé bien, hé bien... Alors Harold ? Comment vas-tu ?
10 ans plus tard.
PDV de... quelqu'un :P
-Si jamais elle apprenait ce que je faisais, elle me tuerait...
Gravissant le flan escarpé d'une montagne, je tentais de me faufiler dans l'antre du dénommé Alukard. Les livres racontaient tellement d'histoire sur lui, sur sa vie, sur sa personnalité. Il avait fallut que j'attende mes dix ans pour enfin avoir un minimum de liberté... Ou pour avoir le cran de partir de la maison pour avoir la chance d'y aller, là personne n'osait aller. Je ne comprenais pas mère. Pour quoi ne voulait-elle pas me parler de ce type ? Alors que grand-mère le connaissait visiblement, vu que c'était elle l'auteur des nombreux récits. Aux dernières nouvelles, Alukard aurait été porté disparue bien avant ma naissance, tout comme mon père. Y avait-il un quel conque lien entre ces deux hommes ? J'en avais aucune idée... C'était pour ça, qu'aujourd'hui j'allais éclaircir une partie du mystère ! Alukard était-il vraiment mort, ou était-il caché dans sa montagne ?
J'étais enfin arrivé au « sommet » de ce tas de pierre au bout d'une demi-heure, (avoir des petites jambes ça n'aidaient pas trop) et un énorme cratère s'offrait devant moi. Je savais déjà quelle était la raison de ce trou gigantesque, mais le voir pour de vrai me faisait froid dans le dos. J'étais ensuite descendu, en faisant le plus attention possible pour ne pas tomber, jusqu'à atteindre la zone plate. Je regardais tout autour de moi, je n'arrivais pas à croire que j'y étais ! Le fameux endroit où Alukard avait entreposé des centaines de milliers de dragons ! J'imaginais cette homme, debout, au milieu de ces reptiles aujourd'hui porté disparu, communiquant avec eux comme n'importe quel être humain. Il les comprenait et les respectait, et eux aussi. J'aurais tant aimé le connaître... Admirant le « paysage » autour de moi, mes yeux s'étaient posé sur une énorme masse qui se trouvait un peu plus loin dans l'ombre. J'approchais donc prudemment, je ne savais pas sur quoi j'allais tomber. Était-ce possible que ce soit un dragon ? Mes théories s'étaient très vite envolé lorsque des ossements de dragons étaient apparue tout autour de cette forme étrange.
-Pars tout les dieux, mais qu'est-ce que c'est ?
Curieux de découvrir ce que dissimulait ce tas d'os, j'en avais fait vite le tour pour me retrouver face à un squelette qui était posé contre ce qui ressemblait au flan du dragon. Alors c'était donc vrai ? Le grand Alukard était belle et bien mort ? N'écoutant que ma curiosité, je me baissais de plus en plus vers le héro qui avait bercé mon enfance. Je ne savais pas trop quoi dire ou faire...
-B... Bonjour... Je m'appelle.
-Je sais comment tu t'appelle ! Clama une voix sombre, ténébreuse et qui semblait être lointaine.
Au même moment, le crâne du squelette s'était redressé pour me faire face. J'étais totalement tétanisé ! Ce tas d'os venait vraiment de me parler de bouger tout seul ? Le cadavre d'Alukard avait ensuite tendu son seul bras vers moi, tendis que sa mâchoire s'ouvrait difficilement. Mais une fois avoir veiller que celle-ci marchait (après avoir fait claqué ses dents les unes contres les autres) il m'adressa ces mots.
-J'attendais ta venu... Depuis le jour de ta naissance... Tu étais destiné à venir ici.
Mais avant même que les questions ne viennes se bousculer dans ma tête, le squelette s'était redressé d'un bond avant de venir me mordre la jugulaire à pleine dent ! J'avais beau hurler de douleur, il ne déniait me lâcher. Il avait même raffermit son emprise en roulant ses membres autours de mon corps... Ce qui mit un terme à ce cauchemar, c'était les cris de panique de ma mère qui me secouait dans tout les sens.
-Fils ! FILS ! Réveille-toi pars tout les dieux !
Je venais de me redresser, droit comme un pique pour venir me loger dans les bras de ma mère qui m'offrit une étreinte des plus réconfortantes. Ce n'était qu'un mauvais rêve... Mais tout semblait si réelle pourtant. J'avais l'impression de sentir encore les dents de ce démon dans ma chair, mon sang couler et son rire... Il était terrifiant... Je n'arrivais pas à le faire sortir de ma tête. J'étais passionné par ce type, par son histoire, mais la simple pensé qu'un gars pareil avait existé me donnait la chair de poule. Mais je ne voulais pas passer pour un dégonflé devant ma mère (surtout que ce n'était pas la première fois que je faisais ce rêve) donc, lorsqu'elle m'avait demandé le sujet de mon cauchemars, je lui inventais des histoires à dormir debout, ou je lui faisais pars de ma plus grande phobie. Ce que à quoi elle me répondait le plus souvent :
-Mais c'est grotesque enfin ! Comment peut-on avoir peur de ça ?
-Des lapins maman... Y a pas plus démoniaque et fourbe dans ce monde ! Je suis sûr qu'ils cachent quelque chose sous leurs petits aires de petites bêtes mignonnes sans défense ! C'est pas naturel d'avoir des oreilles si grandes ! Et je te parle pas de leur pattes et de leur... queue toute touffu et ronde...
-Il y a des centaines d'animaux qui ont des grandes oreilles, Fils...
Au lieu de passer pour un lâche d'avouer ma peur admirative pour Alukard, je préférais me rabaisser à parler de cette peur absolue. Ma hantise. Ma bête noir. J'ai peur des lapins et j'en ai plus que honte, et pourtant j'ai tout essayé ! Mais rien. Ces petites boules de poiles toute douce me terrifie.
-Bon, maintenant, essaye de te rendormir. N'oublie pas que nous devons tout préparer pour tes dix ans, qui arrive dans trois jours.
-Oui Mère... Désolé de vous avoir dérangée... Encore...
-Ce n'est pas grave.
Elle m'avait ensuite déposé un tendre baisé sur le front, avant de me border pour partir ensuite vers la porte.
-Tu crois qu'il serra là ?
-Qui ? Me demanda-t-elle en me regardant d'un air perdu.
-Papa... Ça va bientôt faire dix ans qu'il a été porté disparue...
J'avais très clairement vue que ma question la gênait, l'attristait même.
-Je ne peux rien te promettre, Fils. Nous avons fouillé l'Irlande de font en comble, mais nous n'en avons eu aucune nouvelle... Depuis dix ans...
-Tu... Tu crois qu'il serait fier de moi ? Qu'il serait heureux de m'avoir comme Fils ?
-Je n'en doute pas une seconde ! Répondit-elle avec un grand sourire nostalgique. Tu lui ressemble en tout point, sauf peut-être les cheveux et... les yeux aussi.
Mes yeux... En voilà un sacré mystère. Les autres personnes possédaient des pupilles vertes, bleus et même marrons ! Alors que moi... J'avais la « chance » de m'en traîner des noirs. Pour ce qui était des cheveux, j'avais hérité des cheveux roux de ma mère avec une petite touche de brun.
-Est-ce qu'il y a quelque qui te ferais plaisir pour ton anniversaire ?
Ma mère était douée pour changer de sujet, pour me changer les idées sur mes questionnements. Je fis mine de réfléchir, tout en fixant le plafond.
-Je présume que les dragons n'ont toujours pas réapparu ? Demandais-je en rigolant. Honnêtement, je n'en ai aucune idée...
-Tu auras peut-être une idée clair, après une bonne nuit de sommeil. Me dit-elle, toujours souriante.
-Oui qui sait.
Je savais ce que je voulais, je le désirais depuis dix ans. Mais tout les ans, c'était la même chose qui m'empêchait de l'avoir. Une mystérieuse disparition. Voyant que ma mère restait sur le pas de porte, je fis mine de bailler, avant de me caler confortablement contre les oreillers.
-Bonne nuit, Mère.
-Bonne nuit, Kard.
Sur ces doux souhait de sommeil sans lapin, je m'en allais dormir. Rêvant pour cette d'une vie d'aventure avec des dragons, où j'habitais sur une l'île, là ou la paix régnait en maître.
Ouiiiiiiiiiiiiii je sais ! « Alalala tu fais dans l'originalité, Dark ! Appeler un autre de tes OC (Kard) c'est : ou un manque cruel d'imagination, ou parce que tu veux te faire pardonner d'un truc qui arrivera plus tard... genre la mort d'un personnage qu'on aime » Et bien vous avez raison bande sadique ! Et je vous réponds que... Je n'avais aucune idée de nom pour ce petit bambin xDDDD Il aurait pu s'appeler Pypin ou Gontrant sinon, mais ça aurait été lui donner trop d'honneur ! Après tout, ce n'est qu'un gamin entre mes mains de sadique, sans cœur, infâme et taré. Qu'est-ce qui peut lui arriver avec moi, hein ? :D
Bon, à vos clavier Mesdames, Mesdemoiselles, Mesieurs ! Je veux votre avis, vos théories, vos hypothèses etc ^^
Alors je vois déjà les questions arriver : Pourquoi Kard junior connait une histoire totalement différente de « nous » ? Haha ! Ceci c'est pour le drama cher lecteurs et lectrices !
Pourquoi t'as coupé la partie Harold au meilleur moment ? Haha ! Ceci c'est pour le drama cher lecteurs et lectrices ! Oui, je suis un perroquet xD
Pourquoi Kard junior a peur des lapin ? O_o Haha ! C'est juste parce que j'aime briser la vie de mes personnages xDDDD Y a quoi de pire dans le monde que d'avoir peur des lapins, hein ? « Dark... Est-ce que, par le plus grand des hasard, on pourrait parler de tes phobies qui te feront perdre un max de crédibilité ? » …. Ferme ta gueule la voix off ! xD
Bon bref, merci d'avoir lu et... à la prochaine ^^
