Bonjour/Bonsoir, me revoilà avec une nouvelle fic! Un Autriche/Suisse cette fois!
Beaucoup de gens les mettent respectivement avec Hongrie/Prusse et Liechtenstein. Mais pour moi, et une amie le confirme, ce couple saute aux yeux autant que le LietPol! Enfin, j'arrête mon blabla et je vous laisse lire ce premier chapitre qui, j'espère, vous plaira =)
Disclaimer: aucun personnage n'est à moi, et vu ce que j'en fait (ou pense en faire) ça vaut mieux pour eux...
Personnages: noms officiels mais pour être sûre (même si j'pense pas que vous soyez bêtes ^^) Autriche/Roderich, Suisse/Vash.
Kindheitsfreunde
écrit par Norge159
Ce jour-là, dans la salle de conférence où la majorité des nations s'étaient réunies, un brouhaha assourdissant avait lieu. Comme toujours le sujet principal de la réunion, aussi important soit-il, avait été oublié. Cela mettait les nerfs d'Allemagne à rude épreuve, entre Italie qui réclamait sans cesse ses pastas d'un côté, Amérique qui disait …non hurler qu'il était le héros d'un autre côté et en ajoutant à ça le fait que le Bad Friend Trio complotait à nouveau pour un nouveau méfait; toutes ces choses faisait que l'on pouvait apercevoir une veine d'énervement sur le front du pays germanique. Quand ses nerfs lâchèrent, il hurla aux autres de s'arrêter, ce qui eut quasiment aucun effet.
Cette scène, pourtant habituelle lorsque les nations se réunissaient, avait pourtant quelque chose d'anormal. En effet, d'habitude, quand il y avait un tel vacarme, une détonation d'une arme à feux se faisait entendre, rétablissant ainsi le calme dans la pièce. Or aujourd'hui, il n'y eu rien, pas même le moindre bruit n'était sorti de la place qu'occupait Suisse.
En face de ce dernier se trouvait Japon, qui trouvait le mutisme du blond inquiétant. Effectivement, le Suisse ne l'avait pas réprimait quand il approuva l'idée, pourtant saugrenue, d'Amérique. C'est alors que le Japonais remarqua le visage triste et pâle du pays alpin. Il demanda pourquoi un tel comportement à son voisin de gauche, à savoir Autriche, puisqu'il habitait assez proche de Suisse.
Le virtuose du piano se tourna vers lui en affichant une mine attristée. Il lui désigna du doigt, de façon discrète pour ne pas se faire remarquer par le blond en face, la chaise inoccupée à côté de ce dernier.
Celle de Liechtenstein.
Après la réunion, qui se révéla un fois de plus inutile, quand il ne restait plus que quelques pays, Autriche s'approcha de Suisse et lui demanda:
« Est-ce que ca va, Vash? »
Il ne reçu pour unique réponse qu'un marmonnement. Cela inquiéta la nation autrichienne car en temps normal, le Suisse lui aurait crié de ne pas l'appelait par son nom humain. Mais voilà, aujourd'hui, cela faisait six jours qu'un accident de la circulation lui avait pris sa petite sœur.
« _ Je te raccompagnes chez toi? Après tout nous vivons à côté.
_ ….
_ Tu pourrais répondre, je te prie. » l'Autrichien aurait aimé ne pas avoir ce ton mais ça lui avait échappé. Au moins cela eut l'effet de « réveiller » le Suisse.
« Si tu veux, mais ne nous paumes pas en route. »
Autriche fut soulagé, son ami avait repris ses reproches même si ce n'était pas autant que d'habitude.
Les deux nations quittèrent la salle de conférence pour rejoindre le parking où s'était garé Autriche.
« _ Au fait, tu ne rentres pas avec la folle à la poêle comme avant?
_ Je te prie de ne pas la nommer ainsi, et effectivement je ne rentre plus avec elle. Tu sais bien que nous sommes divorcés et elle est plus souvent avec ce Prussien maintenant.
_ Tu serais pas jaloux par hasard? Le Suisse dit cela avec un petit sourire, ce n'était pas grand-chose mais ce fit plaisir à l'Autrichien.
_ Pas du tout! Cela fait partie du passé désormais. Suisse baissa alors la tête, la mine sombre.
_ Comme l'accident… » L'Autrichien regretta immédiatement sa dernière phrase. Le reste du voyage se fit dans le silence.
Quand les deux pays arrivèrent chez Suisse, Autriche lui rappela que s'il avait besoin de quoi que ce soit, le Suisse pouvait l'appeler ou se rendre chez le brun, et ce, à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit.
Le pays alpin acquiesça de la tête, referma la portière et adressa à l'Autrichien un faible « au revoir et te perds pas en rentrant chez toi ». Autriche lui sourit, regarda le blond rentrer chez lui et repartit afin de rentrer lui aussi chez lui.
Vers sept heures vingt le matin, un téléphone portable retentit dans une chambre d'hôtel , ce qui fit grogner un brun avec une mèche rebelle. En effet, Autriche avait dû se résoudre à passer la nuit dans un hôtel de la capitale suisse, à savoir Berne. Il avait tourné en rond pendant au moins deux heures pour retrouver la route qui le mènerait à son pays et il ne se sentait pas d'attaque pour rentrer chez lui. Pendant qu'il maudissait son (très) mauvais sens de l'orientation, il remit ses lunettes et décrocha:
«_ Allo…
Voilà, en espérant que vous avez aimé. ^^
La suite devrait arriver bientôt mais vu la tête-en-l'air que je suis, je risque d'oublier. Mais promis, ça sera bientôt là. Peut être la semaine prochaine ou plus tard.
Dîtes-moi votre avis par review. Qu'il soit bon au mauvais. =)
