Saving Miss Granger

Je ne traduirais pas toutes les notes de l'auteur pour cette fic, je pense…

A voir. Bonne lecture ^^

Au fait! Je n'avais pas aimé le premier chapitre, donc restez au moins jusqu'à la fin du deuxième, ok?

Ou mieux, restez tout court ^^

Désolée pour mon énorme retard dans les publications, mais mon cher ordi portable est décédé… RIP, mon chéri.

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Note de l'auteur : Cette histoire est une HG/SS et autres ! Ceux qui sont extrêmement loyaux au couple n'apprécieront peut être pas, Hermione étant placée avec de multiples sorciers (NdT : j'aurais dit « mâles »…). Bien sûr, il y a une bonne raison à cela… Mais quoi qu'il en soit ceux qui n'aiment la sorcière qu'avec le Maître des Potions pourront trouver ça dérangeant. Pour tous ceux qui veulent suivre le mouvement, lisez : ) Ca ne sera pas très long, je pense… Peut-être quatre chapitres tout au plus… (En fait, depuis l'histoire a grandit. NdT: en effet, 30 chapitres ^^)

J'ai la gorge sèche… Oh, oui. Kai a quelque chose à voir avec ça, aussi. Elle a une mauuuuvaise influence. LOL.

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Sypnosis: La Maîtresse de Sortilèges Hermione Granger a été touchée par un sort qu'elle a développé, ce qui la place en danger de mort. Albus appelle les employés de Poudlard et quelques amis pour sauver sa vie. Severus demande ce service à deux des siens, également. Hmmm… Pourquoi n'y a-t-il que des hommes ?

Possibles HG avec SS, LM, DM, HP, RW, FF, RH, F, AF, AD, MD.

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Chapitre Un : Un malheureux accident

Albus Dumbledore regarda l'ensemble de la salle du personnel, étudiant les membres masculins, qu'il avait convoqués, ses yeux sombres derrière ses lunettes en demi-lune. La situation n'était guère réjouissante, mais il n'y avait pas d'autre façon de garder Hermione Granger en vie, et cela par la faute d'un sortilège inabouti qu'elle s'était elle-même jeté par inadvertance, en travaillant sur un projet privé, pour une société commerciale.

Le directeur se racla la gorge, et dit : « Je vous ai tous réunis ici en raison d'une situation particulièrement urgente, qui doit de plus être traitée avec délicatesse, et dans le secret. A cause de cela, je dois vous demander à tous de prêter un serment inviolable, stipulant que vous ne révèlerez rien de ce qu'on vous dira ici, ni de ce que vous verrez faire dans le cadre de ce que je vais vous révéler.

Les sourcils de Marcus Delaluci se haussèrent. Prêter serment sans rien savoir du pourquoi du comment. Il n'aimait pas cela. Mais encore une fois, il était plus ou moins sûr que Dumbledore ne le leur demanderait pas sans bonne raison. Il croyait réellement en ce directeur. Ses yeux parcoururent la pièce pour se poser sur chaque sorcier présent.

Il y avait les employés de Poudlard, Hagrid, Flitwick, Rusard, et Firenze. Draco Malfoy et son père Lucius étaient également présents. Le Maître des Potions était visiblement présent.

Draco se pencha vers son père.

« Qu'est-ce que c'est que cette histoire, père ? J'étais censé aller voler, aujourd'hui » ronchonna le jeune sorcier. Il consacrait sa vie aux distractions, à savoir poursuivre ses plaisirs et les sorcières. Lucius secoua la tête.

« Je ne sais pas, fils. Severus m'a contacté et dit qu'il avait besoin de mon aide, puis suggéré de t'emmener avec moi. J'imagine que nous serons bientôt renseignés » répondit son bel aîné, fixant attentivement Albus.

Soudainement, la porte s'ouvrit, et les Aurors Harry Potter et Ronald Weasley se ruèrent à l'intérieur.

« Nous sommes venus dès que nous avons eu votre message à propos d'Hermione, directeur » dit Harry, pantelant, avant de secouer la main du sorcier. « Quel est le problème et comment pouvons-nous l'aider ? »

Albus charma la porte pour que plus personne ne puisse entrer. Il regarda simplement Ron et Harry.

« Veuillez vous asseoir. Nous étions sur le point de prêter un serment inviolable pour ne rien dire de cette situation. Ensuite nous pourrons parler de l'état de Miss Granger » dit-il.

Les deux sorciers acquiescèrent, visiblement inquiets. Quel problème impliquant Hermione pouvait bien requérir de telles conditions clandestines ? Harry et Ron s'assirent, les yeux toujours fixés sur Dumbledore.

Ron regarda autour de lui.

« Pourquoi n'y a-t-il aucune femme de l'école ici ? » souffla-t-il à Harry, qui haussa les épaules.

« Je ne sais pas. Maintenant, chut » répondit-il calmement.

« Veuillez prêter serment » dit le directeur. Tous murmurèrent qu'ils ne divulgueraient rien de ce qui serait dit ici, ou de quoi que ce soit en résultant. La magie glissa dans les airs, et le serment fut établi.

"Merci" conclut-il. "Nous sommes, concernant notre Maîtresse de Sortilèges Miss Granger, dans le cas d'une question de vie ou de mort. Il y a eu… un accident. Nous avons besoin de chacun d'entre vous pour sauver sa vie. »

Draco se renfrogna.

« Sauver la sang-de-bourbe ? » marmonna-t-il tout bas. « Je me fiche qu'elle aille nourrir les asticots. »

Lucius, regardant son fils, fronça les sourcils.

« Tu vas aider. Severus l'a demandé. Maintenant, tais-toi et écoute" dit-il calmement à sa progéniture.

Draco croisa les bras et s'avachit dans son fauteuil, l'air maussade.

« Euh… Qu'est-ce qu'on doit faire, directeur ? » demanda Hagrid, ses yeux noirs montrant son inquiétude.

« Hum… Je laisse à Madame Pomfresh le soin de vous exposer la situation » répondit le sorcier, la gêne se faisant sentir dans sa voix. Il marcha jusqu'à l'autre porte pour l'ouvrir. « Tu peux entrer à présent, Poppy. »

La médicomage grisonnante entra dans la pièce en se tordant les mains, le visage rougissant. Elle s'éclaircit la gorge et lissa son tablier bleu à poches tout en regardant les différents hommes présents dans la pièce. La sorcière pâlit un peu lorsque ses yeux tombèrent sur Firenze, qui se tenait les bras croisés, sa queue l'effleurant alors qu'il la regardait avec ses yeux d'un bleu froid, visiblement dans l'expectative. Sa moitié humaine était assez bel homme, mais sa moitié cheval était… eh bien… chevaline. Si lui aidait… Dieu tout puissant.

La sorcière jeta un œil à Albus, qui leva les yeux vers le plafond. Elle fronça les sourcils puis regarda à nouveau l'assemblée face à elle. Elle prit une grande inspiration.

« Messieurs, je vais être aussi directe que possible. Miss Granger a été accidentellement touchée par un sortilège qu'elle développe. Elle s'apprêtait à l'essayer sur un niffleur se tenant dans un coin à l'avant de sa cage. Lorsqu'elle l'a lancé, l'animal a bougé et sa magie a donc frappé la cage, qui a agit comme un miroir et renvoyé le sort, touchant la Maîtresse des Sortilèges.

Draco, en entendant cela, sourit. Ron et Harry avaient l'air très préoccupés.

« Quel genre de sort était-ce, Madame Pomfresh ? demanda Ron.

« En fait, nous n'en étions pas sûrs, dans un premier temps. La Maîtresse est venue à l'infirmerie avec ce qui semblait être une fièvre particulièrement élevée. Elle est parvenue à me dire qu'elle était ensorcelée, mais a ensuite commencé à délirer. Je l'ai mise au lit, lui ai jeté un sortilège de refroidissement et appelé Albus, qui est allé dans son laboratoire examiner ses notes.

Poppy s'interrompit comme pour rassembler son courage.

« Miss Granger travaillait sur un sortilège visant à amplifier la libido chez les femmes » dit-elle rapidement. « Probablement destiné aux sorcières ayant des difficultés à être excitées. C'était un projet privé. »

Tous les sorciers de la pièce se redressèrent. Les yeux violets de Marcus s'écarquillèrent et un sourire apparut lentement sur son visage. Oh, ça s'annonçait prometteur.

"Les signes vitaux de Miss Granger étaient plutôt faibles, et il semblait que je ne puisse rien faire pour l'aider. Albus est alors revenu, et a pris sa main alors que je l'examinais, ses signes vitaux se sont améliorés, et elle a momentanément repris ses esprits. Elle lui a demandé… » La sorcière tenta sans succès de continuer.

« Lui a demandé quoi ? » demanda Harry en sourcillant.

« Elle lui a demandé de la toucher plus» dit-elle, rougissant furieusement. Albus devint également un peu rouge.

"Hum, après quelques expérimentations, nous avons découvert que les touchers intimes semblent aider, mais… Mais que ce n'est pas suffisant. Elle a besoin de contacts… hum… plus intimes. Nous avons donc convoqué le Professeur Snape, qui… eh bien… lui donne le contact nécessaire » dit Poppy, visiblement embarrassée.

Ron avait l'air particulièrement horrifié.

« Vous voulez dire qu'il la baise ? Bordel de merde ! » gueula-t-il, ses poings se serrant près de lui.

« Assied-toi, Ronald » lui gronda le directeur, son visage s'assombrissant. « Le Professeur fait ce qu'il doit faire pour l'empêcher de mourir. Maintenant, écoutez Poppy. »

"Le Professeur Snape est toujours avec elle, tentant de la garder en vie. Mais il n'est qu'un homme et ne peut pas continuellement… euh… lui donner ce dont elle a besoin. Nous savons que l'effet du sort va s'estomper, mais elle doit rester stimulée afin qu'elle ne défaille pas dans l'intervalle. Nous n'avons aucune idée du temps que cela prendra, mais si elle n'est pas en permanence en contact avec un homme, elle va mourir. »

Draco en bavait presque. Il avait envie de baiser Hermione Granger depuis qu'ils étaient lycéens. Oh, c'était vraiment excellent. Le Professeur Flitwick lui-même semblait avoir les yeux brillants. Tous les hommes à l'exception d'Harry, Firenze et Hagrid avaient l'air particulièrement libidineux. Même Ron avait l'air un peu excité. Il avait toujours eu un petit quelque chose pour Hermione. Ok, il était marié… Mais c'était une urgence, un cas de vie ou de mort. S'il devait baiser Hermione pour la sauver, il le ferait. De plus, tout le monde avait prêté serment. Susan ne le saurait jamais.

« Maintenant, Miss Granger est installée dans une chambre privée de l'infirmerie. J'y ai enchanté une baguette qui émet une vive lumière bleue lorsque ses signes vitaux sont bons. L'intensité diminue lorsqu'ils sont faibles. Cela nous donnera une idée de votre… efficacité…à la stimuler suffisamment. Vous pouvez euh… ajuster votre technique en fonction. Vous devrez prendre un ordre de passage, afin que lorsqu'un sorcier sera affaibli épuisé, un autre prenne sa place. Elle a été protégée afin de ne pas tomber enceinte, et différents fauteuils, chaises et tables, entre autres objets, ont été placés dans la pièce afin d'offrir… euh… de la variété » dit une Poppy à nouveau rougissante. « Chacun d'entre vous devra la récurviter quand il aura fini, afin qu'elle soit prête pour le suivant. »

La main de Marcus Delaluci se leva. Poppy le regarda.

« Je n'ai qu'une question" dit-il, alors que ses yeux violets viraient au noir, « Qui remplace Snape en premier ? »

Ils débattirent avec force, se levant et remuant. Quelques baguettes furent brandies.

Albus secoua sa tête. Il savait que ça allait arriver. Il leva les mains.

"Messieurs… Messieurs… Rasseyez-vous tranquillement. S'il vous plaît ! » beugla-t-il.

Ils regardèrent le Directeur, qui avait l'air passablement excédé. Un Albus excédé n'était pas une bonne chose. Ils rejoignirent leurs sièges à contrecœur, se fusillant mutuellement du regard.

Harry secoua la tête. Baiser Hermione ? Son amie ? Il ne savait pas s'il en était capable… Il n'avait jamais vu Hermione comme une potentielle partenaire sexuelle auparavant. Il regarda autour de lui tous ces sorciers excités et son cœur sombra. Ses yeux croisèrent ceux d'Hagrid, qui avaient l'air gentils. Le demi-géant ne pourrait pas coucher avec la sorcière. Il était trop grand pour une femme humaine. Mais il était censé contribuer. Il regarda le Directeur.

« Euh… Directeur. J'ai peur d'être juste trop grand" dit-il.

Firenze le rejoignit.

« Et mon pénis est animal, monsieur. Je ne pourrais pas en toute conscience coucher avec elle » dit le centaure.

« Je prends vos tours » proposa serviablement Marcus.

Poppy s'éclaircit la gorge.

Il n'est pas nécessaire de se limiter à une relation sexuelle conventionnelle avec elle. Il suffit de la garder stimulée de manière satisfaisante. Un pénis n'est pas nécessaire pour cela » expliqua la médicomage, à nouveau rose. « Il y a bien d'autres manières. Je suis sûre que vous pouvez tous les deux apporter quelque chose. »

Hagrid et Firenze se regardèrent l'un l'autre et acquiescèrent lentement.

« Il n'y a pas un autre moyen ? » demanda Harry… Ses yeux verts semblaient préoccupés derrière ses lunettes.

Les autres hommes grondèrent pour le faire taire. Ron était particulièrement silencieux.

"Je crains que non, Harry" dit doucement l'infirmière, comprenant à quel point cela le bouleversait.

Harry savait qu'il pouvait toujours refuser, mais au moins, ainsi, il pourrait prendre soin d'Hermione et peut-être être sûr que les autres ne la maltraiteraient pas. Il regarda Draco, qui avait un sourire diabolique. Harry voulait le tuer. Lucius avait l'air parfaitement ravi. De même que Rusard, qui était en train de baver.

Dumbledore s'avança soudain avec un chapeau à la main.

« I l'intérieur un certain nombre de parchemins. Vous allez chacun en piocher un, et le numéro choisi vous donnera votre ordre de… passage. » dit le vieil homme. « Chacun doit participer. »

« Même vous, Directeur ? » demanda Draco de sa voix traînante, ses yeux gris se fixant sur le sorcier aux cheveux blancs.

« Pour le bénéfice de la justice, oui, Draco. Je vais participer » répondit-il gravement. « Bien que je doute que ce soit avec le même empressement que celui que vous manifestez, j'en suis sûr. »

« Non, Monsieur », acquiesça Draco, ses yeux à présent fixés sur le chapeau. « Numéro un, s'il te plaît, numéro un », souffla-t-il.

Albus y plongea la main et en ressortit un numéro, puis fit passer le chapeau. Chacun en prit un. Certains se renfrognèrent et certains sourirent vivement. Un chapeau vide revint vers Albus.

« Qui est le numéro un ? » demanda-t-il en regardant autour de lui.

Pendant un instant, le silence fut complet, puis Firenze soupira et s'avança, ses sabots frappant fortement les carreaux du sol de pierre.

« C'est moi, Directeur », annonça le centaure.

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Note de la traductrice : Bon. NE PARTEZ PAS ! Il y a d'excellents citrons à venir pendant quelques chapitres, puis une vraie histoire construite et bien foutue, et après d'autres citrons. Pas bon pour mon ulcère, ces bêtises -_- J'avais pas trop aimé le premier chapitre, juste continué histoire de voir « zokazou », et finalement, j'en ai pour des semaines de traduction pour vous la faire partager ^^

Si c'est pas une preuve, ça ^^

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Note de l'auteur : Bien, mes lecteurs qui se cantonnent au SSxHG, vous pouvez sauter du train et passer outre celle-là. Je sais que ça va être dérangeant, un bazard citronné. J'ai promis un début citronné et donc… ouais, vous allez l'avoir. De plus, je vais hardiment voir les annales des peepshow pornos à 50 cents, ou quelque chose du genre. Ca va en être assez éloigné, en fait. (NdT : là j'ai coupé, elle parlait d'une autre fic.)

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Youpie ! Ma bêta a annoté élégamment (ou pas ^^') le chapitre. Voici :

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Les yeux violets de Marcus s'écarquillèrent et un sourire apparut lentement sur son visage. Oh, ça s'annonçait prometteur. (le sale petit obsédé !)

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« Elle lui a demandé de la toucher plus» dit-elle, rougissant furieusement. Albus devint également un peu rouge. (tu m'étonnes qu'il rougisse… il a quoi ? 100 ans de plus qu'elle… au moins op)

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. Nous avons donc convoqué le Professeur Snape, qui… eh bien… lui donne le contact nécessaire (ah ah sans blague ! :op)

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Vous voulez dire qu'il la baise (eh ben… l'est malin le Ronnie dis donc :op) ?

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Elle baisse (euh… j'ai lu « elle baise »)

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lorsqu'un sorcier sera affaibli (plutôt « fatigué ou épuisé »… surtout si elle est difficile à satisfaire ^^),

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Harry secoua la tête. Baiser (je vois mal Harry employer ce terme… je le vois beaucoup plus tendre et attentionné envers Hermione aussi bien par le langage que par la pensée)/ Précision : oui, mais le terme se justifie nettement ensuite. Na.

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« Je prends vos tours » proposa serviablement Marcus. (alors lui… je peux vraiment pas l'encadrer… ce mec ne m'inspire absolument pas confiance -_-)

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« Pour le bénéfice de la justice, oui, Draco. Je vais participer » répondit-il gravement. « Bien que je doute que ce soit avec le même empressement que celui que vous manifestez, j'en suis sûr. »

« Non, Monsieur » (« non… quoi ? » là je vois pas pourquoi il dit « non »… c'est dans quel sens ?) , Précision : je le comprend comme un « non, pas avec mon enthousiasme XD

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