Bon, voila c'est ma première fic sur Hetalia (un manga que j'adore a un tel point que je casse les pieds de ma famille avec xD)
Le manga et les personnages appartiennent à Hidekaz Hmaruya (pour mon plus grand malheur -')
Un petit Spamano pour mes début :)
Enjoy
Dernièrement il ce sentait terriblement découragé. Déprimé. À tel point que s'en vraiment s'en rendre compte il ce dirigeait d'un pas lent vers chez son ancien tuteur. Il toqua lentement à la porte. Son interlocuteur ouvrit la porte et s'exclama de joie en le voyant. Il fit entré le brun qui ce défit de son long manteau d'hiver. Ce n'est pas que l'hiver chez Espagne était rude mais l'italien avait de plus en plus froid c'est dernier temps. Il s'installa à son ancienne place quand il partageait encore la maison avec l'espagnol. Les couleurs, les odeurs. Tout lui rappelait son enfance qu'il avait passé dans ses mur avec son ancien tuteur. Antonio revint, toujours le sourire collé aux lèvres, apportant un café chaud à son italien préféré. Alors qu'Espagne parlait, parlait, parlait. Romano le fixait. Toujours sa tasse de café dans les mains. Il regarda la tasse. Une vielle tasse en porcelaine, avec un dessin fait par un enfant. Sur ce dessin était représenté une tomate et à son coté gauche on pouvait lire ''Lovino''. Il releva son visage pour regarder Antonio qui s'était arrêté de parler. Espagne fixait son ''fils'' depuis une bonne minutes maintenant. Un silence pesant se faisait sentir. Quand enfin, Romano pris la parole.
- Espa... non... Antonio... je... tu sais que mon frère... vas ce marier avec Allemagne ?
- Oui... Gilbert m'as mis au courant...
- Et savais tu que... je suis moi même amoureux ?
L'espagnol en perdis la voix. Il ne pouvait pas imaginer son italien favoris dans les bras de quelqu'un d'autre que lui. Mais apparemment il l'avais compris trop tard. Il baissa les yeux pour ne pas croiser ceux de l'italien. Sinon il risquait de ne pas ce contrôler. Et pris la parole.
- Et qui donc ?
- En fait...j'attends que ce soit lui qui ce déclare parce que je sais qu'il éprouve les même sentiments... j'attends depuis longtemps... bien sûr je ne suis pas d'un naturel très patient. Et si il ne s'en rend pas compte bientôt je crois que je vais perdre le peu de raison qu'il me reste...
Romano regarda l'espagnol. Longtemps, intensément. Puis ce leva, récupéra son manteau et sortit de la maison. Espagne ne le rattrapa pas. Il avait compris que son italien parlait de lui. Mais il était trop heureux pour faire quoi que ce soit de rationnel. Mais un vibrement dans sa poche droite le fit sortir de sa transe. Il décrocha son mobile.
- Si ?
- Oy ! Espagna ! C'est ton awesome Gilbert préféré !
- Salut Gi !
- Alors ? Tu as fait quoi ?
- Comment ?
- Je l'ai vu entrer... puis je l'ai vu sortir... qu'à tu dis ou fait pour qu'il ce barre ?
- Justement... je n'ai rien fait qui aurait put le retenir...
- T'es complètement pas awesome du tout ! Mon awesome personne va régler ton problème !
- NON !
Espagne raccrocha et courut. Il rattrapa son italien. Antonio attrapa la manche du manteau de Romano qui ce retourna et ne compris que peu de temps après que l'espagnol avait plaqué ses lèvres contre les siennes. Et c'est dans une danse sensuelle qu'ils s'embrassèrent quand ils rompirent leur baiser, quelque flocon vint ajouter du romantisme. Antonio plus grand de cinq centimètres que son italien caressa doucement la joue en feu de Romano.
- Lovino mi amor...
- Antonio tu...
- Shhh... Lovino ¿quieres casarte conmigo?
- Romano écarquilla les yeux. Puis mis un coup de poing dans l'épaule de l'espagnol.
- Bastardo ! Qu'elle question stupide ! As ton avis ? Bien sûr que je veut t'épouser !
- L'italien allait vraiment mieux. Sa déprime complètement évanouie et le découragement envolé. Il était là avec son amant. C'est tout ce qui comptait pour lui.