Bonjour à tous et à toutes =)
Après 4 ans de pause involontaire (merci les études) je reprends enfin la route vers le monde de la fanfiction. Et donc je reprends mes deux seuls fics pas encore fini à ce jour Je reprends donc à cette occasion l'écriture des précédents chapitres, il n'y aura pas énormément de modifications. Et j'espère pouvoir poster le chapitre 7 très bientôt =)
Voici le premier chapitre d'introduction.
Bonne lecture à vous et contente de vous revoir !
Chapitre 1
Roronoa Zoro
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Un complexe hôtelier situé dans une ville d'East Blue prospérait tranquillement et faisait de plus en plus de l'ombre à ses concurrents. Les clients affluaient chaque année et s'imposaient en masse durant les périodes de grandes vacances. Le directeur, un homme influant et exigeant sur la qualité du service que proposait son établissement, n'était pas très regardant concernant le recrutement de ses employés. Il avait une manie des plus énervantes, fixait le candidat au recrutement, lui posait des questions personnelles et ensuite voir ses compétences… qu'il regardait à peine. Et il ne rappelait jamais les candidats qu'il avait retenus, il laissait ça à sa femme. Prendre les gens de haut lui importait peu, du moment que sa petite entreprise marchait bien et avait bonne réputation.
D'ailleurs, l'un des hommes qu'il avait employé avait eu son poste grâce à son caractère franc et directe que monsieur le directeur avait apprécié dès la première entrevue. Roronoa Zoro était affilié au service de sport et d'entretien physique. Il enseignait l'art du bushido aux clients curieux et toujours partant pour une nouvelle activité. Mais Roronoa Zoro espérait une promotion, être le responsable du service et pouvoir participer aux réunions qui concernaient l'avenir de l'établissement. Il travaillait de huit heures du matin jusqu'à vingt-et-une heures au soir, avant de rentrer chez lui.
Il vivait dans une charmante résidence. L'allée principale de sa demeure, était entourée d'énormes pots emplies de fleurs de toutes sortes et disposaient harmonieusement. Ce travail avait été effectué par un ami à lui, un dénommé Usopp. Dans l'herbe jonchait de petites voitures et quelques autres jouets. Zoro était un homme marié et père de trois enfants. Deux garçons de trois et six ans et d'une petite fille de neuf mois. Tous trois ayant hérité des cheveux verts de leur père mais des yeux de leur mère.
Son épouse, Tashigi était policière et préparait son concours pour devenir inspecteur de police. Elle avait de beaux cheveux sombres aux reflets bleus nuit. Bien qu'autoritaire elle savait se montrer tendre. Elle était rentrée plus tôt dans la journée et avait donné congé à la baby-sitter du nom d'Aisa et avait passé toute l'après-midi avec ses enfants. Zoro rentra en essayant de faire le moins de bruit possible.
—Papa ! Cria un petit garçon accourant vers lui.
Zoro le prit dans ses bras et tendrement il le fixa. Tout juste âgé de trois ans, le garçonnet voulait apprendre l'art du bushido également, être comme son père. Il fallait dire qu'avec des parents qui maniaient aisément l'art du sabre, c'était tout à fait normal.
—Tu ne devrais pas être au lit toi ? Demanda Zoro à son fils.
—Luka voulait te dire bonne nuit avant de se coucher, répondit Tashigi suivit de leur fils ainé de six ans.
—Bonsoir papa, dit le jeune garçon en baillant.
—Bonsoir Nao, salua Zoro en passant une main dans les cheveux plus que vert de son ainé. Tu ne dors pas toi non plus ?
—Ils refusent de dormir sans te dire bonne nuit ! Répéta Tashigi en s'asseyant sur le bord du fauteuil, tes enfants sont vraiment têtus. Un peu beaucoup comme toi.
—Comme toi tu veux dire ! Rectifia Zoro avec un sourire en coin.
—Aujourd'hui Aisa nous a fait des gaufres avec des pépites de fraises, raconta Nao, et des crêpes à la confiture. Luka en avait partout !
—Noooon ! Démentit le petit Luka de sa voix enfantine.
Le petit Luka joua avec ses doigts puis blottit sa tête dans le cou de son père. Il avait très sommeil.
—Il faut dormir je crois, dit Zoro légèrement amusé. Tu viens Nao ?
—Hé papa ! Interpella joyeusement son fils ainé, demain c'est jour férié, hein ? On pourra passer la journée ensemble, pas vrai ?
—Hm je ne sais pas j'ai prévu de passer la journée avec mes fils, taquina-t-il faisant mine d'être embêté.
—C'est moi ton fils ! Protesta Nao, maman dis-lui !
—Mariko dort les hommes, leur dit Tashigi l'air amusé, alors on se calme et au lit.
Tashigi prit Nao dans ses bras et tous les quatre se dirigèrent vers la chambre des garçons.
—Maman je peux dormir avec Luka ? Quémanda timidement Nao alors que sa mère l'installait dans le lit.
—Pourquoi il veut dormir avec Luka ? S'enquit Zoro qui installait le cadet également.
—Apparemment une fille de sa classe lui aurait raconté une histoire effrayante aujourd'hui, expliqua son épouse puis elle répondit à son fils, tu peux dormir avec ton petit frère mais, ne le pousse pas durant la nuit.
—Ouais ! Cria le petit.
—Chuuuut ! Souffla Zoro en le prenant dans ses bras. Dis donc t'aurais pas grandi toi ?
—J'ai pris un centimètre, annonça fièrement Nao.
—Ouah ! Fit Zoro, ce que tu grandis vite.
—Et un jour je serais un grand guerrier !
—Mais tu es déjà un grand guerrier, sourit Zoro, aller tu dois dormir maintenant.
—Sinon les petits lutins ne feront pas mon cadeau et le père Noël sera triste de ne rien m'offrir, murmura Nao tout en jouant avec les cheveux de son père penchait au-dessus de lui.
—Voilà, souffla Tashigi en l'embrassant sur le front, bonne nuit mon chéri.
—Bonne nuit maman, répondit le petit Nao, bonne nuit papa.
—Bonne nuit Nao, répéta Zoro en l'embrassant sur le front également, bonne nuit Luka.
—Dort bien mon chéri, murmura Tashigi à l'adresse de Luka qui dormait déjà, ne le fait pas tomber du lit durant la nuit, hein ?
—Oui, assura le petit garçon alors que Zoro alluma la veilleuse.
Les parents quittèrent la chambre en laissant la porte légèrement entrouverte et se dirigèrent vers la petite chambre de Mariko, leur unique fille. La fillette de neuf mois dormait paisiblement, Zoro lui caressa délicatement les cheveux et resta là à la regarder un moment. Il n'était jamais là quand elle allait se coucher, sauf quand il était en congé.
—Je croyais qu'on avait décidé d'arrêter ce chantage au Père Noël ? Se rappela le vert soudainement.
—Ah oui ? Tashigi fit semblant de l'avoir oublié avec une légère grimace, puis elle passa une main dans le dos de son époux. On va se coucher ?
—J'arrive, répondit-il en passant une main autour de la taille de sa femme.
Puis il la prit dans ses bras et la souleva du sol, la portant telle une jeune mariée.
—T'as de jolies jambes, observa Zoro, je note.
—Tu trouves ? Et il n'y a que mes jambes que tu trouves jolies ? Gloussa Tashigi en bombant légèrement sa poitrine.
Zoro sourit en ne quittant pas des yeux le décolleté de son épouse.
—Aïe ! Cria la brune en se massant le front, regardes où tu vas ?
—Désolé ! S'excusa aussitôt Zoro en la déposant par terre, ça va ?
—Oui ça va, affirma-t-elle alors que Zoro déposa un baiser sur son front puis sur sa joue et enfin sur ses lèvres.
Tel était, plus ou moins, le quotidien de Roronoa Zoro.
