Le secret des frères Lestranges.

Chapitre 1, La morsure

Attention: les personnages ne m'appartiennent pas. Ce récit est inspiré de l'oeuvre de J.K Rowling et des fan art de Mad Carrot. Allez lire Harry Potter et visiter la page Devient Art de Mad Carrot. Vous ne le regretterez pas.

Le 1 septembre 1970, au Nord de l'Angleterre à 6h précises.

Sur une colline isolée, se tenait une grande haie de lauriers, de lilas et de rosiers. À l'intérieur, se tenait une petite tourelle qui aurai été à sa place au palais de Versailles, entourée d'un magnigique jardin. Il y avait un gazon vers comme l'émeraude, un potager et des jolies fleurs. Sous ceci, il y avait le vaste manoir des Lestranges, aussi somptueux qu'effrayant. Les murs étaient en pierre brute et les pièces éclairées par des bouteilles contenant des potions qui produisait une lumière bleu, turquoise ou verte. Dans une petite salle à manger décorée des tableaux des ancêtres. Tous avait les cheveux noirs, un teint cadavérique, était grand et beaux et leurs yeux abordaient des couleurs étranges, chaques génération ayant la sienne. L'actuel patriarche leurs ressemblait. Il avait un visage dur et des yeux dorés. Ses cheveux d'ébène étaient parsemés de mèches grises et blanches. Mr Lestrange étaient assis sur le coin droit et étroit de la table rectangulaire et finement ouvragée. Sa femme née Prince était assise de l'autre coté. Elle était charmante et semblait avoir passé la majeur partie de sa vie au fond d'un puits de par son teint blafard, ses cernes et ses longs cheveux sombres et gras. Leurs trois fils étaient assis au coté larges de la table. L'ainé, Rodolphus, âgé de seize ans, avait une tignasse d'encre qui lui allait jusqu'à la mi-cuisse et un visage orguilleux. Le plus étonnant était la couleur de ses yeux qu'il partageait avec ses frère: bleu pastel avec en bas un nuage de rose barbe-à-papa. Le cadet, Sanguini, âgé de quinze ans ressemblait beaucoup à son frère, sauf que ses prunelle reflètaient la candeur. Le benjamin, Rabastan avait quatorze ans et avait déjà le visage dur. Il portait sa chevelure aux épaules et en catogan. À table se trouvait un bouillon de légume épicé, des petits pains à l'ail et des feuilletés à la citrouille et au petit pois. Tinky, l'elf de maison du clan, avait fournit un travail satisfaisant. Tout le monde avait presque déjà terminé et ne pouvaient plus rien avaler, pas même un peu de Earl Grey qui accompagnait les plats. La veille horloge sonna six heures et demi. "Vous avez fais vos valises, les enfants?, ordonna le lord

-Oui, mon père."marmonnèrent en choeur ses trois fils.

Quinze minutes plus tard, Mrs Lestrange et ses trois enfants étaient dans la cuisine pour prendre la Poudre de Cheminette pour faire les courses sur le Chemain de Traverse. Absolument rien ne présageait la tragédie qui allait bientôt frapper les Lestranges.

Aujourd'hui la rue était animée. La femme blême dit qu'elle achètera les parchemains et l'encre pendant qu'ils se chargeront des ingrédients de potions. Il ne leurs restait plus d'araignées séchée ni d'extrait d'ortie. En chemain, les adolescents passèrent par un coin sombre. Un homme sauvage s'y cachait. Personne ne l'avait vu sauf Sanguini. Il sauta à la nuque du garçon et planta ses cros acéré dans sa chair. Il poussa un cri de surprise et de douleur qui se transforma en hurlement quand il senti une substance brulante lui parcourir les veines. "Stupéfix!"lança Rodolphus qui ordonna à Rabstan d'aller chercher de l'aide. C'était inutile car les passant avait déjà alerter les autorités. Au lieux, le plus jeune tachait d'empêcher le sang de couler, renversant au passage ses quelques baies de mandragore. Il se contenta d'aller acheter un Bézoar. Quand les Aurors arrivèrent, les passents trainèrent le vampire à l'extérieur. Il tenait davantage d'un fauve affamé que d'un homme. La lumière du jour le brulait impitoyablement. Sa peau se recouvrait de cloques de brûlure, ses cheveux tombaient par poignée et il vomissait du sang coagulé. Par le temps que cela s'est produit, les frères Lestranges étaient déjà loin. Leurs mère acourru toute paniquée. Rabastan réussi à lui faire croire que le misérable n'avait pas réussi à injecter son venin. Pauvre Sanguini.