"Je peux tout créer, je n'ai pour seule limite que mon imagination. "
Elle est faible mais détient un pouvoir extraordinaire. Elle a un but et est déterminée à l'atteindre. Bienvenue dans l'univers de Paprika D. Aya.
C'est ma première fic, j'espère qu'elle vous plaira. N'hésitez pas à laisser une petite remiew positive ou négative, ça fait toujours plaisir.
Tout est à Oda sauf l'histoire et mon OC.
Sur ce bonne lecture.
Le pinceau
Chapitre 1 : Encore et toujours des ennuis
-Tu vas encore nous attirer des ennuis.
-Mais non t'inquiète, je gère.
-La dernière fois que tu as dis ça, on a faillit se retrouver en prison.
-Oui mais on y est pas allé !
-Grâce à qui ? Je te sors toujours de tes plans foireux !
-Tais toi tu vas nous faire repérer.
Un marine passa à quelques mètres de nous. Heureusement, il ne nous vit pas. On continua notre progression dans la forteresse. Asmar avait enfin fini par se taire.
Il est chiant à râler tout le temps !
On arriva devant une porte en bois sculpté. Bizarre pour une base de la marine. J'essayai de l'ouvrir. Gnnnn c'est fermé. Je sortis mon matériel et deux seconde après la porte était ouverte. Je rentra silencieusement dans la pièce sombre pendant que mon acolyte montait la garde. J'allumai ma lampe de poche et commença mes recherches.
Asmar me siffla. Merde quelqu'un arrive. Je me dépêcha de tout remballer. Je pris quelques autres dossiers au passage et sortis rapidement de la salle. Du pied je ferma la porte et commença à courir pour rejoindre mon ami.
La veille de cette expédition, j'avais minutieusement appris le plan de la base. On pût donc rejoindre facilement le conduit d'aération par lequel on été rentré. Je passa en première suivit de près par Asmar. On finit par débouché par un des murs du QG. Je glissa agilement le long du rempart et atterrit gracieusement au sol.
Évidemment je n'avais pas émis l'hypothèse qu'un garde serait en haut de la muraille et me verrais sortir. Je le vis cligné des yeux. Ça doit pas être courant de voir sortir quelqu'un d'un mur d'une base de la marine. Le temps qu'il réfléchissait au pourquoi du comment, je me dépêcha de partir. Juste à temps car il commença à sonner l'alarme.
Bon ayant quand même un sens de l'orientation assez merdique et avec ma poisse naturelle, je me retrouva à faire une course poursuite en ville avec une troupe de marines aux fesses et mon cher camarade au dessus de ma tête encore en train de me sermonner.
-Mais trouve une solution bordel !
-C'est de ta faute je t'avais prévenu !
Une balle me frôla la joue.
-Asmaaaaarrrr ! Vite !
-On dit s'il te plaît.
-Tu vas finir un chat laqué si tu ne m'aide pas toute suite !
-C'est bon c'est pas la peine de gueuler. Tourne à la prochaine à droite. On va les semer dans la forêt.
Je suivis ses conseils et pus reprendre mon souffle une fois grimpée dans un arbre.
-Ouf on l'a échappé belle !
-La faute à qui !
-Oh ça va. Bon voyons ce qu'on a.
Je fouilla dans mon sac.
-Fais voir. Mouais pas mal tout ça.
-Tu pense qu'on pourra en tirer combien ?
-Assez pour se payer un bateau.
-Yes !
-Reste encore à trouver des acheteurs.
-Je suis sûr que ce genre de renseignements intéressera les révolutionnaires.
-Tu as toujours le Den Den pour les joindre ?
-Oui je crois. Attends... Tiens le voilà.
-On va les appeler maintenant. Décoche le combiner.
-T'as qu'à le faire toi même. Aieeuuuh. Pourquoi tu me frappeuuuh ?
-Idiote ! Tu crois qu'avec mes pattes de chat je peux le faire ?
-T'as bien réussi à ouvrir une serrure !
-En utilisant mes griffes ! Bon allez dépêche toi.
-T'es vraiment chiant quand tu t'y met !
-Pas autant que toi. Bon maintenant laisse moi leur parler.
-Pfff
Je m'en alla bouder sur la branche d'en face.
Après quelques minutes passées à marchander, toute la paperasse dérobées avait été liquidé et serait récupérées dans les jours à venir sur une île voisine de celle où nous trouvions actuellement. Nous partîmes donc à la recherche d'un bateau pour nous y amener. Mon adorable chat ailé marchait devant moi pour me montrer le chemin. Je sais que je suis pas douée mais quand même !
Bon donc on se baladait tranquillement en ville quand un mec vola devant moi et atterri dans la vitrine d'en face. What ? Je tourna la tête. Ah c'est qu'une baston ! Des mec en combinaison blanche tabassaient à coup de pied et de poing d'autres mec à la tronche d'ivrognes armés jusqu'aux dents. Classe le Kung-fu ! Surtout l'ours, il est super fort. Trop cool le spectacle !
Hélas Asmar n'était pas du même avis que moi et me força à partir. Dommage je m'amusais bien ! Bon je continua ma marche pour ... me vautrer lamentablement au sol.
-Mais qu'elle douée, j'vous jure ! Allez bouge ton gros cul flasque !
-Ah mais oh ça va ! Je l'avais pas vu ce type ! Et puis qu'est ce qu'il fout par terre !
-Peut être parce qu'il a été éjecté de la bagarre. Allez maintenant dépêche.
-J'arrive, j'arrive !
Je me leva et recommença à marcher à la suite de mon compagnon. Mais bon il faut croire qu'aujourd'hui les dieux ont décidés de me faire chier ! Une troupe de marines, encore eux, me fonçait droit dessus, alertée par la baston qui se déroulait toujours derrière moi. Bon je vais pas resté ici.
Je prit mes jambes à mon cou et jeta un dernier regard à l'ours. Drôle de bête.
Ce très léger moment d'inattention me permis, dans ma classe naturelle, de me manger un mur qui passait par là.
-Mais qu'est-ce que tu fout, bordel ! Y a les marines qui arrivent !
-ça se voit pas je discute avec le mur !
-Arrêt de râler et bouge toi !
-C'est bon je me lève. Aïe ! J'ai du perdre une centaine de neurones là !
-Il doit pas t'en rester beaucoup alors.
-Je t'ai pas sonné, erreur de la nature !
Un marine arriva à notre hauteur.
-Eh toi là, tu serais pas la voleuse de la base ?
-euh...non... Vous devez faire erreur monsieur le marine.
-ah désolé. Vous pouvez circuler.
C'est moi où il est complétement con ? Bon tant pis je vais pas rester pour le lui demander.
-On a trouvé pire que toi, me souffla mon très cher chat.
Je repris, le plus naturellement possible, ma marche. Mais ne fis pas trois pas qu'Asmar me poussa violemment sur le côté et je me retournais, pour la énième fois de la journée, à dire bonjour au sol.
-Mais t'es malade ! Pourquoi t'as fais ça abruti !
-Tu pourrais me dire merci je t'aie sauvé la mise ! Debout !
-D'où tu me parle comme ça espèce de ...
Je fus coupé par le doux clic d'une arme à feu dont on enlève la sécurité. Oh oh je suis mal moi.
Alors ça vous plait ? (pars se cacher derrière un pot de Nutella de trois mètre de haut)
