Un drabble de PBG, MarieCeline et Washington-Jones !
Bonne lecture à vous les zamis !
-Tony !..Purée, c'est pas vrai, mais c'est pas vr…TONY ! Reviens ici ! Je ne peux plus décoller mes doigts, je… TONY ! Si tu passes la porte de cet ascenseur, je te…
-Tu meeeeeeeuh ?
-Je t'étrangle !
-Et comment vas-tu faire McTerreur ? Grrrrrrraaaaaaa! L'italien moqueur s'éloigna en sautillant avant de heurter ...
-ZIVA !
-Tu sais, Tony, que si tu ne décolles pas immédiatement les doigts de McGee, je vais te coller non pas tes mains, mais ton joli petit nez en plein milieu de ton clavier ? Susurra la demoiselle en lui jetant un regard faussement doucereux.
-Quand tu me jettes ce regard là, Ziva, tu sais que tu es très impressionnante… Mais un DiNozzo n'a peur de rien, même pas de Ziva la Ninja, se moqua l'italien en tendant un doigt vers elle.
Elle lui attrapa le doigt et le serra, avant de le retourner d'un mouvement sec, obligeant l'italien à s'accroupir pour ne pas souffrir le martyr. Il grimaça, elle lui jeta un sourire innocent.
-Aïe !
Tim, assis à son bureau, les mains incapables d'effectuer un seul mouvement, jubilait devant cette scène qui se déroulait sous ses yeux.
-Tony, tu devrais te dépêcher de trouver un moyen de me décoller les doigts, ou alors, tu pourrais bien perdre plus qu'un doigt.
Ziva, pour appuyer les paroles de l'informaticien, tordit un autre doigt à Tony, qui émit un étrange couinement.
-Vous êtes vils et mesquins et... et...
-Et quoi, Tony ? Menaça l'israélienne.
-Je... le dirai à Gibbs !
-Tu n'oserais pas ! Lança un Mcgee angoissé.
-A Abby ? Hasarda l'italien d'un air piteux.
-Elle peut être encore pire que Gibbs, le contra l'israélienne en lui jetant un regard qui n'autorisait aucun démenti. Il déglutit, et pointa le tiroir de son bureau d'un léger geste de menton.
-Y'a tout l'attirail anti-collage-de-Geek là-dedans, acétone et tout le tralala. Servez-vous, faites votre bonheur, profitez de ma détresse! Vous devriez avoir honte!
Ziva s'approcha du tiroir, relâchant son attention... Ce qui permit à Tony de fuir. Ce qu'il savait, mais que ces amis ignoraient, c'était que Gibbs avait verrouillé ledit tiroir car il contenait le téléphone de l'italien... Alors, d'une voix unanime, les deux agents se mirent à hurler :
-TOOOOOOOOOOOONYYYYYYYYYY!
Ce dernier, ravi, leur adressa un petit signe de main alors que les portes de l'ascenseur se refermaient sur lui. Il adorait fêter l'arrivée des fournitures de bureau...
