Titre : Ménage à Plein.
Auteur : Lady Balkys
Source : Gundam Wing … c'est tout mais ça fait déjà pas mal !
Genre : Romance compliquée.
Couples : Houlà ! Pour ce chapitre, 1x2, 1xR, 3x4… On verra la suite après…
Disclaimer : Sont pas à moi… D'ailleurs en fait je me demande, sur la liste de tous les gens cités sur les DVD, à qui ils sont à la base…
Note : J'ai pondu ça après avoir lu sur un site de fan anglais ou américain, je ne sais plus, un long débat très pénible où l'on tentait de démontrer pourquoi Heero ne pouvait pas être avec Réléna… J'adore le 1x2, mais ça m'a gavé, alors j'ai fait ça pour essayer de mettre tout le monde d'accord ! C'est un délire, bien sûr… Vous comprendrez en lisant !
ANNONCE : JE SOUHAITE JOINDRE ERSZEBETH POUR MON DEA SI QUELQU'UN SAIT OU LA JOINDRE MERCI DE ME LE FAIRE SAVOIR !
Sur ce, bonne lecture, et vos avis sont les bienvenus.
Ménage à Plein
Quatre posa doucement la poche à glace sur la tempe d'Heero qui frémit. Trowa posa sans rien dire une plaquette d'aspirine et un grand verre d'eau sur la table, à portée du japonais. Wufei, appuyé sur le mur face à eux, déclara sobrement :
« Il est une sacrée droite, Maxwell... »
Heero eut presque un sourire, en se mettant à tenir la poche à place tout seul, et Quatre lui dit:
« Il ne t'en voudra pas longtemps, Heero, ne t'en fais pas...
-- Oh, je sais très bien comment me faire pardonner, Quatre, tu sais...
-- Une pizza en amoureux, sourit Trowa.
-- Je suis pas sûr que ça suffira cette fois, reprit Quatre. Tu l'as blessé, Heero... »
Heero soupira. Certes, il avait été brutal. Bien sûr qu'il ne pensait pas un mot de ce qu'il avait dit.
« Je sais... souffla-t-il. Mais il m'énerve aussi !... On en a parlé des tas de fois,... À chaque fois je lui réexplique, il me dit O.K. je comprends et deux jours après ça recommence !... Si je lui avais caché encore !... Mais je lui ai dit depuis le début !... Je sais plus quoi lui dire... »
Silence. Wufei jeta dédaigneusement :
« Mais qu'est-ce que tu lui trouves à cette onna ? »
Le ton assassin du chinois qui avait bien appuyé sur le « onna » fit pouffer Quatre et sourire Trowa. Heero soupira et haussa les épaules :
« Je sais pas. Je comprends pas moi-même... C'est la première personne que j'ai rencontrée ici, avant lui, avant vous... Et... C'était la première fois qu'on me regardait avec gentillesse,... Comme quelqu'un de normal... Et elle s'est accrochée malgré tout ce que j'ai fait pour qu'elle me lâche...
-- Ne soyez pas méchants ! Intervint Quatre. Elle nous a quand même rendu de grands services !...
-- On aurait très bien plus s'en passé ! » râla Wufei.
Et personne ne put rien lui répliquer, car une explosion fit soudain voler en éclats à la fois la porteet la fenêtre du salon où ils se trouvaient. En quelques secondes, ils furent totalement encerclés par une horde de soldats d'Oz armées jusqu'aux dents. Ils ne purent que se regarder, piégés comme des rats. Les soldats les poussèrent à se resserrer au centre de la pièce, mais aucun des quatre garçons ne montra le moindre signe de faiblesse. Et c'est huit yeux fiers qui se posèrent sans ciller sur la femme d'une beauté glaciale, que les soldats laissèrent passer.
« Voici donc les fameux pilotes de Gundam... » Dit-elle avec un sourire franchement mauvais.
Les adolescents, non seulement, n'étaient pas impressionné, mais pire encore pour ceux qui les entouraient, ils eurent ensemble exactement le même sourire moqueur lorsqu'elle réalisa elle-même le détail qui clochait.
Il en manquait un.
« Bande d'incapables !... Hurla-t-elle. Vous ne savez pas compter jusque cinq !... Fouillez moi cette maison de fond en comble et retrouvez-le moi !... »
Quatre jeta un oeil est Heero qui lui fit un discret « non » de la tête. Non, on ne leur dit pas que Duo est parti en claquant la porte. On va pas faire du zèle... Laissons les perdre du temps... Et Quatre eut beaucoup de mal à ne pas pouffer de rire.
Les quatre jeunes gens se laissèrent menotter sans broncher. La femme les regarda sévèrement, et cracha :
« Et vous, estimez-vous heureux que son Excellence de Treize vous veuille intacts ! »
Ils ne résistèrent pas plus lorsqu'on les emmena et qu'on les embarqua dans une camionnette. Ce n'est que lorsque les portes se refermèrent, les laissant seul, qu'ils redevinrent eux-mêmes. Quatre alla aussitôt se pelotonner contre Trowa. Wufei soupira, et, comme il sentait le véhicule se mettre à rouler, demanda :
« C'est moi ou tout est foutu ?...
-- Rien n'est foutu. Duo est libre, répondit calmement Heero.
-- Au risque de paraître pessimistes, je vois très mal comment à lui tout seul, il pourrait nous sortir de là... Insista le chinois.
-- Il en est capable, répondit Heero, toujours aussi paisible. Il trouvera quelque chose. En attendant, c'est à nous de l'aider en ne disant rien. Ils ne peuvent pas trouver les Gundams là où ils sont.
-- C'est vrai qu'avec Deathscyth, Duo est capable de tout, reconnu Trowa.
-- Même sans !... » rigola Quatre.
Wufei ne put s'empêcher de blaguer :
« Il peut facilement contraindre Oz à la reddition, c'est vrai... Il suffit qu'il les menace de chanter ou de faire la cuisine ! »
Ils éclatèrent de rire. Rire qui ne fut pas pour rassurer, de l'autre côté de la paroi, le chauffeur et les deux soldats qui étaient avec lui.
« Bon sang ! gémit l'un d'eux. À tous les coups, c'est le pire qu'il manque !...
-- Ouais !... Et il va tout faire pour les libérer ! » Frémit un autre.
Duo vida son sixième verre de whisky en maudissant sa résistance à l'alcool, il n'était même pas éméché... Les années passées auprès les Sweepers l'avaient immunisé contre les pires alcools... En temps normal ça lui allait plutôt. Mais quand il voulait, comme ce jour-là, noyer son chagrin dans l'alcool, ça lui allait moins.
Le patron du bar le regardait avec suspicion. Qu'un gamin vient de se beurrer chez lui, il n'aimait pas. Il risquait des problèmes. Et puis, il était bizarre, ce gosse... Il avait un regard de psychopathe.
/Flash-back/« Fous-moi la paix, Duo ! J'en ai assez !... Oui, j'aime Réléna !... Tu le sais bon sang ! Et tu sais aussi que ça ne change RIEN pour nous !... Je t'aime aussi !...
-- Mais qu'est-ce qu'elle a, cette salope ?... Qu'est-ce qu'elle a fait à part nous emmerder depuis le début !... À chougner dès qu'elle se retourne un ongle !... Qu'est-ce qu'elle t'a fait !
-- Elle m'aime.
-- Des queues, qu'elle t'aime !... Elle nous fait le coup de la midinette à deux balles oui !... « Oh mon Dieu il a voulu me tuer que c'est romantique !... »...
-- Arrête, Duo.
-- Comme si une chieuse de son genre pouvait aimer quelqu'un comme toi !...
-- Duo, arrête...
-- Qu'est-ce qu'elle peut croire d'autre qu'un conte de fées de merde ?
-- Duo...
-- Elle te laissera tomber comme une merde dès que...
-- Tu me laisseras tomber avant elle. »
Duo sentit encore la lame dans son coeur en se remémorant ce que Heero lui avait dit :
« Ça, Duo, je le sais. Moi, je veux vous garder tous les deux. Mais si un de vous de me quitte, ce sera toi. Parce que tu ne t'accrocheras jamais avec toute la force dont elle serait capable ! »/Fin de flash-back/
Duo avait encore mal à la main du coup de poing qui avait suivi. Il avait frappé Heero avant même de s'en rendre compte. Connard comment tu as pu dire ça !... Tu me fais donc si peu confiance... Tu m'aimes si peu ? Putain mais pourquoi elle s'est mise entre nous cette pouffiasse ? Pourquoi j'ai accepté que tu sortes avec elle ?... Pourquoi j'ai pas été la buter quand tu m'as dit que vous aviez couché ensemble ? Pourquoi est-ce que je ne t'ai pas laissé la buter quand je t'ai rencontré ?
J'ai tellement peur que tu me plaques à cause d'elle... Alors que je n'ai que toi... Heero je n'ai que toi...
Il fit un effort pour ne pas se mettre à pleurer. Boys don't cry... Bon, allez, bouge, Duo... Reste pas la tu vas te faire repérer... De toute façon, la bouteille est vide. Il se leva, marcha sans un faux pas jusqu'au comptoir, sous les yeux ronds du patron, qui se voyait déjà le passer sous une douche froide, et lui tendit un billet d'une main, en vissant son éternelle casquette sur sa tête de l'autre.
« Merci. » Dit-il rempochant la monnaie.
Et il partit. Il enfonça ses mains dans ses poches, renfrogné. Tu vas me payer ça, Heero. Je vais te ligoter et t'enfermer dans une pièce et je te laisserai plus jamais sortir et tu seras rien qu'à moi pour toujours. Na.
Duo rêvassait à tout ce que Heero allait devoir accepter de faire pour qu'il lui pardonne, quand il entendit, autour de lui, des voix surprises. Intrigué, il leva le nez vers l'écran géant, au-dessus de sa tête. Et ce qui vit le pétrifia. Non... C'est à peine s'il comprit ce que les hauts parleurs hurlaient :
«... L'arrestation spectaculaire de ces quatre terroristes par nos admirables forces spéciales va à n'en pas douter sonner le glas de l'obstination belliqueuse des colonies... »
Duo tremblait, les yeux écarquillés. Ses poings se serrèrent. Les arrêter et les exposer aux caméras comme des bêtes de fois !... Ses seuls amis, sa seule famille... Son seul amour.
«Heechan... » Souffla-t-il.
Il baissa la tête, ne pouvant pas en supporter plus. Autour de lui, dans la rue, les discussions étaient vives. La plupart des gens se réjouissaient, les pilotes de Gundam arrêtés, la paix allait revenir. Duo se mit à marcher tête baissée.
« Si jeunes, tout de même... »
Fureur. Haine.
«... Pauvres petits... On a du bien les embobiner... »
Pas autant que toi, connard.
« Se servir d'enfants, tout de même ! Quelle horreur !... »
Pas le choix. Jamais eu le choix.
« Mais ils ne sont pas cinq ? »
Si. Et le cinquième va tous nous anéantir.
Heero, Quatre, Trowa, Wufei... Mission acceptée. On gagnera cette guerre où on la perdra, mais ensemble.
Oz venait de commettre sans le savoir une erreur grossière. Elle avait réveillé les pires instincts de tueurs du pilote 02, Duo Maxwell... Il était passé en mode « Shinigami ». Il avait perdu son sourire. N'importe qui qui aurait croisé son regard à cet instant aurait pu voir l'incarnation vivante de la Mort.
Il tua sans l'ombre d'une émotion la dizaine de soldats qu'ils avaient laissés à leur planque, et fit rapidement le tour de la maison. Ils l'avaient très mal fouillée. Un sourire de malade flottait sur ses lèvres comme il réunissait rapidement l'indispensable, avec la ferme intention de détruire le reste. Vite, les soldats allaient sûrement être relayés tôt ou tard. Duo fit le tour des chambres, avec un grand sac de sport. Incroyable s'ils l'aient si mal fouillée... Sans doute n'avaient-ils fait que le chercher lui, et avaient-ils l'intention de revenir fouiller mieux plus tard, pensant qu'il ne reviendrait pas ou que 10 gardes suffiraient à le maîtriser. Le sourire de psychopathe s'élargit un peu. Les inconscients... Alors... Le sabre de Wuffy O.K., et son petit autel des ancêtres... Le Coran de Quatre... La photo de Trowa où on le voyait avec Catherine sa « soeur » et le brave lion du cirque. Rien d'autre pour lui… Incroyable ces cons n'avaient même pas pris le portable de Heero, resté, fermé, à moitié caché sous une serviette de bain jetée par lui-même sur le bureau quelques heures plus tôt. Hop dans le sac Laptop... Duo ouvrit le placard pour prendre ses vêtements en vitesse lorsqu'un cri venant de la rue le fit sursauter. Il avait évidemment laissé les lumières éteintes, et s'approcha discrètement de la fenêtre qu'il entrouvrit sans un bruit. La relève était là, dehors. Une dizaine d'hommes. Tous surpris d'avoir trouvé, si près de cette maison pourtant interdite d'accès à 20 mètres à la ronde, une petite jeune fille qu'ils avaient attrapée sans mal. Duo leva les yeux au ciel dans un soupir désespéré en la reconnaissant.
La blondasse!...
Il tendit l'oreille :
« Lâchez-moi !... Criait-elle avec, il le reconnut à contrecoeur, un certain panache.
-- Qu'est-ce qu'on en fait, sergent ? »
Le sergent en question regardait la minijupe de Réléna avec gourmandise. Duo connaissait ça. Le dégoût qu'il ressentit pour cet homme, enfin ce déchet humain, quand il eut un sourire pervers, lui fit oublier qu'il haïssait encore plus Réléna.
« Alors, ma jolie, on venait voir son petit copain ?...
-- Laissez-moi, bande de brutes !... »
Il la gifla et la contempla avec les poings sur les hanches, le bassin en avant. Les soldats sourirent, excités.
« Voilà une belle occasion de ruiner l'image des pilotes de Gundam... » Ricana-t-il.
La même lueur de perversion brûlait maintenant dans les yeux des soldats. Le sergent fit un petit signe et les deux soldats qui tenaient Réléna écartèrent sans sommation les bras de la jeune fille, comme le sergent s'approchait d'elle et déchirait violemment son chemisier, en déclarant :
«... Quand on retrouvera le cadavre d'une jeune fille violée chez eux... »
Une main se referma sur la bouche de Réléna avant qu'elle ne crie.
« On va voir ça à l'intérieur, venez. » Ordonna-t-il.
Duo vissa délicatement le deuxième silencieux sur le deuxième revolver.
« Venez, les gars, vous avez raison. » Murmura-t-il.
Il redescendit au rez-de-chaussée avec la discrétion d'un chat, et il fut comme les soldats arrivaient au salon pour découvrir les cadavres encore tièdes de leurs prédécesseurs. La plupart les rejoignit en enfer avant de s'en rendre compte. Il fallut quelques balles de plus que prévu, mais Duo était ambidextre des flingues et pas d'humeur à jouer. Il gagna à sans un sourire, et, ignorant royalement Réléna qui tenait à peine sur ses jambes tant elle tremblait, resserrant pudiquement ses bras autour de sa poitrine, il s'avança à travers les morts jusqu'au sergent, qu'il avait provisoirement épargné, volontairement, en lui tirant une balle dans la poitrine et pas dans la tête.
Il s'accroupit près du sous-officier, et déclara avec un sourire cruel :
« Tu vois ou ça mène de venir faire chier un pilote de gundam, petit inconscient ?
--... Pitié, ne me tuez pas... »
Le sourire cruel s'élargit, et Duo lui répondit, atrocement doux :
« Oh, mais si, tu vas mourir...
--...
-- À toi de voir combien de temps tu veux agoniser, mon grand... J'ai tout mon temps, tu sais...»
Réléna s'approcha d'un pas peu sûr, tremblante, et gémit :
«... Duo... ?... »
Duo l'ignora. Le sergent balbutia, terrorisés par le vide des yeux mauves :
« Qu'est-ce que vous voulez ?...
-- Oh, rien de très original à cette heure, une pizza avec double ration de fromage... Et en ce qui te concerne, que tu me dises où sont mes amis... »
Le sergent grimaça. Sa blessure était grave mais pas mortelle, et se rappelant qu'il avait affaire à un gamin, il fut pris d'une bouffer d'orgueil, parvint à cracher au visage de Duo, et ricana. Celui-ci n'est pas un sursaut, et les yeux mauves ne se firent que plus durs encore. Il essuya sa joue et sans broncher, tira dans la jambe du soldat qui cria. Réléna sursauta, les yeux écarquillés :
« Non, Duo ! »
Le garçon à la natte se pencha plus près du sergent et murmura :
« Il me reste beaucoup de balles, tu sais. Et j'ai tout mon temps. »
Il attendit un peu et, comme le sous-officier serrait obstinément les dents, il braqua encore son arme sur la jambe, mais cette fois Réléna se précipita et saisit son bras en criant :
« Non, Duo, arrête ! »
Le sergent profita du sursaut de Duo pour saisir à deux mains sa seconde main, dans l'espoir d'attraper l'autre arme. Duo repoussa Réléna, attrapa le couteau à sa ceinture qui, moins d'une seconde plus tard, était planté au travers de la gorge du sergent qui tomba raide mort. Réléna cria et s'évanouit. Duo se redressa en pestant. Quelle conne !... Ce type puait la peur. Sans elle, il aurait parlé. Duo reprit ses revolvers et son couteau. Bon. Foutre le camp et vite. Les Gundams étaient à l'abri, en révision sur le bateau d'Howard, et la mer à une dizaine d'heures. Il pouvait y être pour le lendemain matin. Il grimpa à l'étage, finit rapidement de remplir le sac et redescendit, manteau long sur le dos, feutre sur la tête, ses lunettes noires sur le nez. De quoi le vieillir. En repassant au salon, il avisa Réléna, toujours évanouie au sol. Son premier réflexe fut de continuer son chemin, mais il s'arrêta. Il ne pouvait pas la laisser. Si les Ozzies la trouvaient au milieu des cadavres, elle, la fille Darlian/Peacecraft, elle qui en savait tant sur eux cinq, elle, le talon d'Achille de Heero...
Il soupira, et la chargea en douceur sur son épaule libre.
« Allez, princesse, on va faire un joli voyage. »
A suivre…
Balkys : Voilà, penser à mettre la suite au propre….
Heero : Ouais, magne-toi, j'aime pas être prisonnier !
Balkys : Je vais essayer ça entre deux exposés…
Réléna : C'est moi ou je passe pas trop pour une conne, pour une fois ?
Duo : Là, un peu quand même…
Réléna : Non, mais j'ai presque l'impression d'avoir un cerveau !
Heero : Ce sont des choses qui arrivent, ma chérie, ne t'inquiète pas, tu vas t'y faire…
Duo (grogne et marmonne) : T'en foutrais moi des « ma chéri »…
Heero (tout sourire) : Un problème mon ange ?...
Duo : Grml.
Quatre : Pourquoi j'ai l'impression qu'on est pas sorti de l'auberge ?...
Balkys : Tom empathie. Sûrement.
