Les personnages utilisés dans cette fic ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de Tite Kubo, même si j'ai eu le toupet de revisiter leurs physiques ainsi que leurs personnalités au fur et à mesure que mes fictions gagnaient en longueur ;)
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La vie est-elle dictée par un quelconque destin ?
Ou, une suite irrémédiable de choix qui en déduisent la fin ?
Quelle option choisir, que croire, au bord de l'abîme ?
Oublieux de ce monde noyé dans l'horreur dans lequel subsiste une paix rarissime.
Un choix ? Celui de la faciliter ? La difficulté ? La quête d'une finitude ? D'un sens ?
Attendre ? Indécis ? Incompris ? Insensible à ce qu'on ressent ?
Pleurer ? S'apitoyer ? Geindre ? Se résigner ?
Ou, plonger ? Tête baissée … sans une once de peur, les poings et le cœur serrés ?
Quel choix faire au bord du précipice ?
Quelle entité pour nous retenir, loin de tous vices ?
Un ami ? La famille ? Sa moitié ?
Qui pour nous aider ?
Lorsque tous ont disparu, lorsque seul vous vous retrouvez.
Quand certains n'ont même jamais existé?
Que faire, que choisir ... quand, seul, face au vide ...
Le dilemme demande avec une joie perfide.
« Qu'as-tu à perdre ? Que te reste-t-il ? »
Alors que ta vie ne tient même plus, ne serais-ce qu'à un fil ?
Et par-dessus tout. Y a-t-il une raison pour laquelle un cœur brisé, commence ou s'abstient de pleurer?
Y a-t-il une raison pour me garder là, au bord de cet abîme, capable de m'empêcher de sombrer ?
Simuler une chute, ou juste me laisser glisser …
Comme une mauvaise excuse à ce manque de vélocité.
Sans aucune raison de survivre …
J'ai dû enfouir ce qu'il y avait de bon en moi pour poursuivre.
Et c'est à ce moment-là, que le sens de ma survie gagna son nom.
Que tout mon être changea de ton.
Alors j'ai fait face à ce monde avec suffisance.
Alors est venu le jour de ma vengeance.
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Ichigo Shirosaki.
Ou, l'histoire sordide de mon trouble dissociatif de l'identité à tendances schizophréniques.
Prélude.