SI C'ETAIT SEULEMENT SA AVAIT ETE COMME CENDRILLON…
Quand les personnages d'Akira Amano se retrouvent au prise de l'histoire de Cendrillon, mais … version mafioso bien entendu.
Genre : Aventure, Action, Mafia, Superpouvoir et bien entendu lemon-POWAAA !
Couple : Hibari x Tsuna
Disclaimer : Sawada Tsunayoshi et tous les autres personnages ne m'appartient pas. Ils sont à Akira Amano.
Divers : Je tiens à préciser que sa n'est pas super conforme à Cendrillon mais vous en retrouverez certainement les aspects. Pour ce qui est du "conforme" à Cendrillon, sa c'est la surprise ;)
CHAPITRE 1
Il était une fois, un jeune garçon prénommé Sawada Tsunayoshi. Du haut de ses 18 ans, il était un garçon à l'apparence plutôt frêle et au visage tellement innocent qu'on aurait dit un petit lapin, dont les caractéristiques animales le définissaient plutôt bien : peureux et trouillard. Heureusement, c'était des caractéristiques qui avaient perdus en intensité au fur et à mesure qu'il avait grandi. Alors aujourd'hui, malgré une apparence fragile, ses yeux étincelants et sauvages étaient deux perles assez rares pour embellir son visage auréolé de cheveux d'un brun clair et touffus. Son teint couleur de pêche lui donnait un teint lumineux et son sourire, qu'ils ne montraient qu'en de très rares occasions, était à lui seul un des plus grands trésors qu'il soit. Quoi qu'il en soit à l'heure actuelle, il était grandement occupé à récurer le sol de la cuisine, tâche qui lui avait été confié par son beau-père, le richissime Rokudo Mukuro. Celui-ci avait 2 fils, Ken et Chikusa, tout d'eux pourvu d'un caractère exécrable qui fessait qu'ils lui menaient la vie dure. Mais il s'était jusqu'à aujourd'hui, bien tenu de le leur dire, sous peine de se recevoir un courroux aussi pire que les supplices de l'Enfer. Son vrai père quand à lui, était décédé depuis 3 ans. Sa mère, s'était alors remarié à Rokudo Mukuro, l'un des plus grands parrains de la mafia italienne, et qui avait été éperdument amoureux d'elle, lui offrant alors une fortune, qui aux yeux de la jeune femme, aurait permit à son fils Tsuna de suivre une bonne éducation. Mais la mère de Tsuna avait toujours eu une santé fragile, et quand elle décéda quelques mois après son mariage, son beau-père l'avait tout de suite retiré de l'école dans laquelle on l'avait inscrit, et l'avait assigné aux taches ménagères de l'immense manoir de la famille. Mais ce n'était pas là les seules tâches qu'on lui confiait. Quand il s'agissait de se salir les mains, son beau-père fessait en sorte de l'envoyer lui pour tuer ceux qui s'opposaient à la famille. C'est pour cela qu'aujourd'hui, il n'était plus le gentil petit garçon qu'il avait été par le passé et qu'il avait ses mains tachées du sang de ses victimes, coupables… et innocentes. Il s'était toujours efforcé de vivre du mieux qu'il pouvait en la mémoire de ses parents morts, qu'importe les actes qu'il serait amené à accomplir. Mais cela commençait à devenir dur. Et le poids de ses pêchés commençaient à lui peser sur les épaules.
Alors qu'il était concentré sur le nettoyage du sol auquel il s'appliquait déjà depuis trois heures (parce que bien entendu, les cuisines des immenses manoirs italiens étaient immensément gigantesques), il entendit comme un fracas et vit alors un large filet d'eau sale coulait jusqu'à lui. Sans même avoir à relevé les yeux, il savait d'avance ce qui venait de se passer. Ken ou Chikusa, ou peut-être les deux en même temps parce que les frères étaient inséparables, avait renversé le seau rempli de l'eau qui lui avait servi à nettoyer le sol. Qui était de nouveau sale, le seau maintenant renversé. Puis soudain, il reçut un coup à la tête et sa tête, joue contre le sol trempé fut plaqué par la pression d'une botte sur l'arrière de son crâne. Un gigantesque rire tonitruant retentit dans la pièce, rire qu'il reconnut entre mille comme étant celui de son si sympathique et aimant beau-frère, Ken. Tsuna ne chercha même pas à lutter, sachant qu'il ne ferait que s'attirer ses foudres. Et que s'il avait le malheur de se plaindre, sa punition viendrait directement du patriarche de la famille. Et tout le monde savait que ce qu'il fessait enduré à ceux qui osaient se révolter contre ses fils étaient une torture pire que la mort elle-même. Car ses dons que lui procuraient son œil maudit le propulsaient à un rang qui fessaient presque de lui un démon. Un Roi des ténèbres. C'est pour cette raison que Tsuna se contenta de grimaçait alors que Ken fessaient mine d'essuyer ses bottes sur ses cheveux.
- Le nettoyage n'est pas encore fini trou duc ? T'aurais du avoir terminer depuis trois heures déjà !
- Sa fait trois heures que j'ai commencé imbécile, pensa Tsuna, les poings serrés.
- Et qu'est-ce que c'est que toute cette eau sur le sol hein ? Comme sa, tu lambines au lieu de travailler ? Dépêche-toi de finir parce que père te demande mon con. Et tu sais qu'il n'aime pas qu'on le fasse attendre. N'est-ce pas ? rajouta t-il comme après réflexion.
Tsuna eut un sursaut violent auquel Ken répondit par un sourire pervers. Oui. Tsuna savait que son beau-père n'aimait pas qu'on le fasse attendre. Et son beau-frère avait fait exprès de renverser l'eau simplement pour le mettre dans une situation embarrassante et ainsi avoir le plaisir de voir le courroux de son père s'abattre sur lui. Tsuna sentit la colère montait en lui et d'une main, il poussa de force le pied de Ken qui le maintenait au sol, et se releva à demi, un genou encore à terre. Quand il leva les yeux vers son beau-frère, il regretta immédiatement son geste mais il était trop tard. Un coup violent à la mâchoire l'envoya valsait contre les meubles, et il sentit une des poignées en fers des portes cognait contre son dos, lui arrachant un gémissement douloureux. Ecroulé au sol par la douleur qui lui vrillait les côtes et le visage, il se sentit presque soulagé d'être ainsi recroquevillé au sol pour ne pas avoir à croiser le regard empli de fureur de Ken dont il sentit les pas s'approchait de lui jusqu'à ce que celui-ci le frappe de nouveau avec rage. Il lui distribua alors des coups de pieds à qui en veut partout sur son corps, jusqu'à ce qu'il en eu assez. Puis Ken quitta la pièce sans rien dire, renversant au sol une pile d'assiette restait sur la table. Mais Tsuna n'en avait cure. Il resta au sol de longues minutes, se disant qu'après sa, ce que Rokudo père lui ferait subir ne serait pas plus pire que d'habitude. Il se leva alors qu'un filet de sang s'écoulait d'entre ses lèvres, et entreprit de continuait son nettoyage malgré la douleur qui lui vrillait tout le corps.
C'est devant les portes du bureau de son beau-père qu'il se retrouva enfin après avoir fini de nettoyer la cuisine. Les gardes qui gardaient l'entrée se regardèrent un bref instant avant de lui faire signe d'entrer. Quoi de plus normal. Malgré le fait qu'il est pris une douche et qu'il ai changé de vêtements, on pouvait nettement voir qu'il était blessé et les gardes savaient pourquoi. Tsuna avait toujours été la tête de turc des deux frères Rokudo, ce n'était plus d'actualité. Tsuna grimaça et leva une main tremblante vers la poignée. Maintenant qu'il se retrouvait devant la porte du bureau de son beau-père, il pouvait nettement sentir sa peur montait en flèche, fessant battre son cœur à toute vitesse. Non. Il ne pouvait pas. Il avait trop peur. Il ne voulait pas le voir. Il ne voulait pas être dans la même pièce que lui.
- Qu'attends-tu donc pour rentrer ? Tsunayoshi-kun.
Tsuna sursauta violemment et eut l'impression que son cœur allait lui sortir de la poitrine tellement il battait vite. Il leva un bras tremblant vers son front pour y essuyer la sueur et déglutit avec difficulté, tendant son autre main vers la poignée en or, aussi dure et glaciale que la pierre et poussa la porte lentement. Malgré la terreur qui l'habitait maintenant, il avança à l'intérieur de la pièce, et l'un des gardes, sans même se retourner, ferma la porte derrière lui. Les yeux rivés sur ses pieds, il attendit, son cœur battant la chamade, alors qu'il pouvait sentir le regard de son beau-père vrillé sur lui, le dévisageant surement de haut à bas. Il put même sentir son sourire moqueur alors qu'il devait noter ses récentes blessures et son rire, si particulier, emplit l'immense pièce.
- Kufufu. J'avais pourtant dit à Ken de ne pas trop te malmener. Cela risque de gâcher mes plans. Et tu sais bien, Tsunayoshi-kun, que je n'aime pas les imprévus de la sorte.
Il le savait. Il savait que sa se retournerait contre lui, d'une façon ou d'une autre. Rokudo père était en train de le rendre coupable de quelque chose qu'il n'avait même pas déclenché lui-même, juste pour avoir un prétexte pour le martyriser. Et Tsuna savait de quelle façon son beau-père comptait lui faire payer.
- Je… je suis dé…. désolé Père. Ce n'était pas mon intention croyez moi, réussi t-il à articuler d'une voix tremblante.
- Kufufu. Allons Tsunayoshi-kun. Tu sais que je n'aime pas non plus qu'on s'adresse à moi en gardant les yeux rivés au sol. Montre-moi donc ton visage.
Relevant lentement la tête, le garçon ne put s'empêcher de laisser la peur transparaitre nettement sur son visage, alors qu'il pouvait voir dans toute sa splendeur, le sourire sardonique de son beau-père. Celui-ci était assis sur le fauteuil derrière son bureau, les deux mains appuyées sur ses 2 genoux devant lui, ses jambes croisées avec élégance sur le bureau. Il déplia ses mains et en leva une vers lui, à hauteur de son visage.
- C'est bien mieux ainsi, Tsunayoshi-kun. A présent recommence. Je ne t'ai pas bien entendu tout à l'heure.
- Je… suis désolé Père.
- Kufufu. Tsunayoshi-kun, est-tu idiot ou le fait-tu exprès juste pour avoir le plaisir de m'embêter ?
- Non ! je… ce n'est pas'
- SILENCE !
Tsuna sursauta, son cœur ratant un battement alors qu'il pouvait voir dans la pénombre de la pièce, l'œil de sang de Rokudo père brillait d'une lueur démoniaque. Celui-ci se leva de son fauteuil, une main sur son bureau, alors qu'une de ses longues mèches glissaient sur son visage pale.
- Tu sais que tes excuses ne changeront rien à l'histoire n'est-ce pas…
Rokudo avait quitté son bureau et s'était lentement approché de lui, d'un pas si lent qu'au fur et à mesure que son ombre se rapprochait de lui, sa tension ne fessait qu'augmenter, l'accablant d'une douleur sourde. Bientôt, alors qu'il fut juste en face de lui, la main ganté de cuir de son beau-père vint recueillir son menton et le força à le lever, afin que leur regard se croise de nouveau. Ses lèvres étirées en un large sourire montraient une expression démoniaque, alors que son œil droit étincelait de plus belle, d'un rouge comme le sang. De sa main qui maintenant son menton prisonnier, son majeur vint caresser sa pomme d'Adam, lui arrachant un frisson alors que sa bouche s'entrouvrait légèrement dans un gémissement muet.
- Tu sais ce que tu dois faire n'est-ce pas…. Mon mignon…
Il passa son autre main derrière le dos de Tsuna, glissant ses doigts sous sa chemise.
- …et adorable...
Releva encore plus son menton, approchant ses lèvres entrouvertes des siennes.
- … Tsunayoshi-kun.
Rokudo père scella alors leur lèvre dans un baiser violent et sauvage, introduisant sa langue humide et brulante entre les lèvres d'un Tsuna tremblant de peur qui gémit, ses mains agrippés malgré lui au bras de l'homme qui l'emprisonner pour ne pas s'effondrer. L'adolescent essaya alors de mettre fin au baiser, quand il sentit que le souffle était en train de lui manquait, mais une main de Rokudo vint se plaquer à l'arrière de sa tête afin de l'obliger à rester immobile, alors que sa langue continuait son ballet sensuel à l'intérieur de sa bouche. Finalement, Rokudo mit fin au baiser avant de dessiner le contour de ses lèvres humides du bout de la langue, continuant son exploration en dessinant la ligne de son menton, le creux de sa gorge, mordillant entre ses dents chaque centimètre de sa peau. Puis d'une main, il l'entraina de force avec lui et le souleva par les cuisses pour le coucher violemment sur la surface de son bureau. Tsuna n'avait cessé de trembler jusqu'alors, ses larmes commençant à couler le long de ses joues.
- Père… s'il vous plaît souffla Tsuna d'une voix tremblante.
- Contente-toi de faire ce qu'il faut mon petit Tsunayoshi-kun si tu ne veux pas que je te fasse vivre l'enfer.
Tsuna se laissa faire en silence, ses larmes coulant de plus belle, se disant que ce qu'il subissait était déjà en lui-même un véritable enfer. Cela fessait presque deux ans qu'il se prostituait contre sa volonté pour son beau-père, celui-ci éprouvant un plaisir pervers à le voir pleurer et trembler sous ses étreintes. A force, l'adolescent avait pensé qu'il s'y habituerait et qu'il n'avait qu'à se laissait faire, que ce n'était qu'à chaque fois l'histoire que de quelques heures mais il s'était trompé. Chaque nuit qui suivait chacune de ses débauches, il n'avait de cesse de faire des cauchemars. Il n'avait pas réussit à avoir une seule vrai nuit de sommeil depuis la mort de sa mère. Alors que son esprit essayait de s'évader dans de vaines pensées, il put sentir malgré tout les mains de son beau père arrachait sa chemise, les mèches de ses cheveux d'un reflet bleuté sombre comme la nuit chatouillait son ventre, alors que sa langue humide venait caresser l'intérieur de son nombril, puis venir mordiller l'un de ses tétons, dont il en saisit la pointe entre ses lèvres. Il la lécha et la mordilla jusqu'à qu'il durcisse sous l'assaut de ses caresses. Il traça alors des cercles autour du bourgeon en feu, faisant tortiller Tsuna sur le bureau, sa bouche mordant son poignet pour s'empêcher de crier. Rokudo esquissa un sourire satisfait et saisit le poignet que mordait son beau-fils pour le lever vers lui, le forçant à se redresser un peu et à adopter une position assise sur le bureau. Il se saisit de son autre main et la posa sur son sexe dont il lui fit tâter les contours avec une expression narquoise non dissimilé. Tsuna frémit et ferma les yeux, essayant de penser à autre chose mais cela commençait à devenir difficile.
- Allons Tsunayoshi-kun. Si tu ne te dépêches pas je vais finir par perdre patience. Est-ce que tu comprends ?
Tsuna sursauta et leva les yeux vers son beau-père dont l'œil rouge s'était soudain mis à étinceler. Les gardes qui étaient restés devant l'entrée entendirent alors un cri perçant retentir et ils firent de leur mieux pour masquer leur trouble, alors que les deux fils de leur parrain se tenaient non loin d'eux, un sourire satisfait sur les lèvres. A l'intérieur de la pièce, c'était désormais un Tsuna figé par la terreur qui se tenait devant Rokudo dont le sourire s'était fait de plus en plus diabolique, alors que ses yeux étaient écarquillés comme s'il était possédé.
- Si tu ne veux pas que je recommence Tsunayoshi-kun, dépêche-toi, continua t-il avec une voix mielleuse.
Il y eu alors un silence entrecoupé par les sanglots et la respiration haletante de l'adolescent, jusqu'à ce que les deux mains de Tsuna se glissent vers la ceinture de son beau-père pour en défaire la boucle dans un tintement métallique. Puis ses doigts s'insinuèrent à l'intérieur du vêtement pour s'enrouler autour de son sexe et le libérer de l'étau du pantalon. Sans un mot, Tsuna se laissa glisser du bureau pour tomber à genoux devant Rokudo et bientôt, sa langue vint timidement en lécher le bout déjà humide avant de l'envelopper tout entier dans sa bouche, tel un fourreau de satin brulant. Sous la vague de plaisir qui l'envahit, Rokudo s'appuya, ses deux mains sur son bureau pour ne pas flancher, un sourire satisfait sur les lèvres alors que Tsuna enroulait sa langue autour de son sexe brulant, ses mains effectuant elle aussi un va et vient en rythme avec sa bouche. Cela dura de longues minutes, interminables pour l'adolescent qui avait désormais l'impression d'agir comme un automate. Cela aurait été tellement mieux si sa avait été réellement le cas, ainsi il n'aurait pas eu à endurer et comprendre la réalité à laquelle il fessait face aujourd'hui. Soudain, il sentit les mains de son beau-père se saisir de son visage, le forçant à se redresser et il fut une nouvelle fois couché sur le bureau, Rokudo s'insinuant entre ses jambes, son sexe durcit par la plaisir venant cogner la bosse qui s'était formé sous son pantalon. Tsuna en rougit de honte alors que l'homme en face de lui semblait se délecter de la situation. D'une langue passait sur ses lèvres comme un prédateur se pourléchant les babines avant d'entamer sa proie, Rokudo père vint introduire une nouvelle fois sa langue à l'intérieur de la bouche du garçon pour un nouveau baiser moite et brulant alors que ses mains venaient à son tour libérer le sexe de Tsuna pour le caresser dans toute sa longueur. Rokudo s'écarta de son visage avant que l'adolescent ne lui morde accidentellement la langue sous la vague de plaisir que lui procurait ses mains sur son sexe et, entreprit de le lécher à son tour, suavement comme si il avait eu sous ses lèvres humides la plus merveilleuses des friandises. Tsuna gémit, ses deux mains appuyés sur le crane de Rokudo, tentant vainement de le repousser mais rien n'y fessait, alors qu'il sentait une intrusion dans la partie la plus intime de son corps. Il se mordit la lèvre inférieure sous l'assaut de la douleur alors qu'il y avait une nouvelle intrusion, les doigts de Rokudo remuant entre ses jambes écartées alors que son sexe était toujours prisonnier de sa bouche en feu. La respiration de l'adolescent se fessait de plus haletante, de plus en plus saccadée alors que son visage et son corps entier se fessait brulant comme une flamme, prisonnier de l'étreinte de Rokudo qui continuait d'enfoncer ses doigts à l'intérieur de lui.
- On dirait que tu es prêt à me recevoir Tsunayoshi-kun.
Tsuna sursauta et essaya de se relever mais le bras tendu de Rokudo se tendit vers lui et le plaqua violemment sur la table. D'un mouvement rapide, il le souleva et le tourna, pour que cette fois il soit couché, ventre contre table. D'une main, il tint ses mains prisonnières au dessus de sa tête pour lui empêcher tout mouvement brusque et de l'autre, il se saisit de son sexe, l'insinuant à l'intérieur de Tsuna, mais le pénétrant à peine, histoire de faire patienter son désir.
- S'il vous plait Père…non, gémit Tsuna avec désespoir.
- Pourquoi te retiens-tu mon adorable et mignon Tsunayoshi-kun ? Ce n'est pas la première fois que nous fessons sa tout les deux. Tu n'as pas à te retenir. Montre –moi que tu aimes sa.
Se rendant compte que ses derniers mots avaient été prononcés avec une lourdeur qui fessaient passer ses paroles pour une menace pur et simple, Tsuna ferma les yeux et serra les poings, cessant de se débattre. Quand Rokudo le sentit, un sourire victorieux se dessina sur ses lèvres et il libera ses poignets de l'étreinte de ses mains, et les posa de chaque côté de ses hanches.
- J'attends Tsunayoshi-kun. Dit moi donc ce qu'il faut que je fasse. Dit-moi ce que tu veux, ce dont tu as envie...
Tsuna enfouit son visage à l'intérieur de ses bras, tremblant, alors que ses larmes coulaient sur le bureau.
- Père... s'il vous… plait…prenez-moi…
Un sourire triomphant et une expression satisfaite. Tsuna sentit alors Rokudo s'enfonçait complètement en lui jusqu'à la garde alors qu'un cri douloureux et plaintif franchissait le seuil de ses lèvres, son corps tremblant violemment sous l'intrusion. Il sentit les ongles de Rokudo s'enfonçait dans sa peau.
- Si serré… parvint-il à souffler au milieu de son désir.
Il commença alors à se mouvoir lentement puis plus rapidement en lui, jusqu'à atteindre un rythme effrénée, alors que le bureau tremblait sous les assauts de Rokudo à l'intérieur de lui, et des poussés qui l'amenait à cogner ses cuisses contre la table. Il se passa de longues minutes alors que les intrusions de son sexe à l'intérieur du garçon se fessait plus fermes et régulières. Tsuna poussait des gémissements à chaque assaut, suppliant Rokudo de continuait encore et encore. Qu'il en voulait plus. Encore. Et encore. Jusqu'à ce haletant, la jouissance l'amena à poussait un gémissement, sa semence s'écoulant au sol alors que Rokudo continuait son implacable va et vient, qui après cela, avait soudainement gagné en intensité. Ses mouvements violents secouant la table. Encore et encore. Puis les mains serrés sur ses hanches, il se raidit brusquement en lui et cessa tout mouvement, répandant sa semence en lui dans un grognement de plaisir. Seul restait maintenant leur respiration saccadé alors qu'un Rokudo satisfait se laissait glisser contre le dos moite de sueur de Tsuna. Le garçon vit alors sa main déposait à hauteur de son visage un rouleau cylindrique.
- Surement un nouvel ordre de mission. Sa doit être la raison qu'évoquait Ken… pensa t-il alors malgré sa vue brouillé.
Il approcha sa main lentement et ses doigts vidés de toute force glissèrent lentement le long du rouleau jusqu'à ce que la main de Rokudo vienne se joindre à la sienne. Tsuna plissa les yeux, toujours immobile et affalé sur le bureau.
- Qui… dois-je tuer ?
- Kufufu, serait-tu impatient Tsunayoshi-kun ?
L'adolescent put voir le sourire de son beau-père du coin de l'œil alors que son visage était collé contre le sien, son autre main caressant ses cuisses humides.
- Il s'agit de l'un de mes pires ennemis. Cette mission sera certainement la plus difficile que tu n'es jamais eu jusqu'ici mais j'ai confiance. Sache aussi que je ne tolérerais aucun échec. Mais que je saurais bien te récompenser si tu réussi… à ma manière cela s'entend.
Tsuna resserra sa main sans rien dire autour du cylindre métallique avant de fermer les yeux.
- Bien…père
