Les lumières défilaient dans la rue, dans la ville , dans la nuit noire. Les voitures roulaient à une vitesse correcte respectant les limitations et les feu rouges. Un long défilé de personne marchaient, se promenaient accompagner ou pas, rendant la ville encore vivante malgré l'heure tardive. Certains sortaient de soirées arrosées, et d'autres rentraient tout simplement du travaille. C'était l'été. Et donc les nuits étaient moins fraîches qu'à l'accoutumé lorsqu'on tombait sur une autre saison. Un homme, simple jeune homme marchait, tranquille les mains dans les poches avec un air délasser je-m'en-foutiste et à la fois sévère dû à ses sourcils froncés. Il portait un gilet bleu marine assez grand pour sa taille, un tee-shirt noir, un bermuda couleur beige et des chaussures simple d'été.

D'après l'allure de sa marche, la lenteur de ses pas, ses mains nonchalamment placées dans ses poches de gilet et son regard impassible dirigé vers le ciel, sa vie ne devait pas être attractive. Une vie monotone auquel il devait être habitué depuis un certains moment déjà. Une vie triste, non attractif, sans objectif. Une vie qui rendrait n'importe qui dépressif pour une personne assez fragile de base mentalement. Une vie que seul lui avait vécue, connue, ressentie. Un passé effroyable, un passé dégueulasse et glauque que seul lui avait eu la chance ou la malchance de connaître.

Ce passé, il ne lui en voulait pas. Grâce à ça il avait appris la vérité de ce monde houleux depuis bien longtemps, assez tôt, qui lui avait permis de vivre et même de survivre dans cette société immonde, infâme et sale. Il avait vu beaucoup de chose qu'il n'aurait en temps normal jamais vu et vécu de toute son existence. Traumatisé était-t-il ? Non. Il avait juste appris la réalité de ce monde haïssable et malpropre. Sa prise de conscience à l'égard de cette société inconsciente et bornée l'avait frappé dès son plus jeune âge. Son enfance, son adolescence pollué et décimé par tout ces « parasites » perturbateurs n'agissant que par intérêt et cupidité.

Maintenant seul, « tranquille », à quoi rimait toutes ses « actions de survie » pour en finir ainsi, blasé, apathique, lassé de tout. A quoi servait-t-il ? Pourquoi se laissait-il ainsi guidé et exploité par ce système aberrant. Ne devait-t-il pas être libre ?

Le jeune adulte émit un grand soupir lasse et agacé avant de porter son regard ailleurs que vers la lune. Mais ses petites réflexions antérieures et pessimistes ne lui permirent pas de se reprendre en main physiquement et mentalement. Ce qui lui valut une petite collision auprès d'un autre corps plus imposant que lui. Le choc fut légèrement brutal. Assez pour faire tombé la personne en face du jeune adulte abasourdie par cette scène qui l'ennuya encore plus.

Il ferma fort les yeux avant de passer une main sur son visage emprisonnant au passage quelques mèches de cheveux ébènes en frottant celui-ci. Il entendit un léger grognement qui lui fit porter son attention ailleurs qu'envers son profond agacement. Que ne fut pas sa surprise de voir un jeune adolescent aux cheveux bruns et au teint bronzé. Malgré l'obscurité de la nuit faiblement éclairer par quelques lumières de bâtiments et de magasins l'homme au teint pâle contrairement à l'inconnu pouvait voir partiellement quelques détails grâce aux voitures qui passaient assez fréquemment.

L'homme aux cheveux ébènes arqua un sourcil en voyant quelque chose de particulier. Quelque chose qui le frappa. L'intrigua. Et même peut-être le fascina. Des yeux vert. Un étrange vert. Une couleur verte comme il n'en avait jamais vu. Un vert vif et doux à la fois. Doux était un bien grand mot. Car ce que lui lança comme regard l'inconnu était loin d'être mielleux. C'était plutôt une expression, acéré, amer et violente. Un regard haineux que le ténébreux ne connaissait que trop bien.

L'adolescent avait l'air d'être dans un mauvais état. Il semblait fatigué et sans être étonné énervé. Mais bon, l'adulte n'en avait que faire. Il n'allait sûrement pas avoir pitié pour un gosse qui avait à l'évidence fuguer de chez lui. Oui. La pitié n'existait pas chez lui. Il n'en avait que faire et cela ne servait strictement à rien dans ce monde hilarant remplis de fausses choses et d'hypocrisie. Le regard remplis d'agressivité de l'adolescent ne l'atteignait en aucun cas. Tout ce qu'il faisait était de tout simplement de le regarder de haut grâce à sa position avantageuse du faite qu'il se tenait debout, avec dédains et lassitude comme il le faisait à son habitude avec la plupart des gens.

Un « désolé » ne servirait à rien. Pas pour une personne déjà irrité et qui plus est un adolescent. Cela ne l'énerverait que plus. Et il n'avait pas forcément envie de se prendre la tête avec un gamin à vingt deux heure du soir. S'en que l'homme aux cheveux ébènes ne s'y attende, l'adolescent se releva avec difficulté, bousculant au passage l'adulte sans remord pour tituber jusqu'à un arbre planté dans l'allée de la rue comme parmi tant d'autre pour s'y adosser et se laisser glisser dessus le visage crispé. Ses cheveux brun collaient sur son visage crade luisant de sueur.

« Tch ! » fit l'adulte en remarquant sa veste tâchée d'une couleur assez foncée. Il sorti sa main gauche de la poche de sa veste pour y venir touché la tâche suspecte qui trônait sur sa manche droite. C'était chaud et gluant. Eh merde. Le plus âgé fronça ses sourcils encore plus et fit demi tour jusqu'au gosse gisant par terre.

« Eh gamin, tu te vides de ton sang. »

Celui-ci leva les yeux d'une lenteur extrême avant de venir fixer son regard vert fatigué dans celui d'une paire d'yeux couleur grises. Une voiture puis deux passèrent avant que l'adolescent ne réponde.

« Et alors ?

-Comment-ça « et alors ? », si tu veux crevé c'est pas mon problème mais tu viens de salir ma veste gamin. Et je déteste tout ce qui est dégueulasse. »

L'enfant ouvrit grand les yeux. Surpris. Lui qui était si fatiguer pour les ouvrirent voilà qu'il le faisait inconsciemment sidéré par la façon de penser de l'individu devant lui. C'était la première fois qu'une personne lui parlait ainsi. D'habitude à cause de son état fréquemment douteux, certaines personnes lui demandait si il allait bien ou pleins d'autre formes de faussetés auquel il avait droit depuis qu'il se trouvait dans cette situation . Et même, une personne « normale » ne balancerai jamais ce genre de chose quand on sait qu'elle est consciente qu'un individu agonise devant nous. Lui dire en gros qu'il est maniaque alors qu'il sait lui même que le jeune homme se vide de son sang l'étonna.

Bah il n'allait pas s'en plaindre. Cela faisait décidément du bien de s'échapper de l'hypocrisie des gens de temps en temps. Soit l'adulte se foutait de sa gueule, soit il était dérangé. Mais le blessé n'aimait pas qu'on se foute de sa gueule en temps normale et il le fit savoir à son aîné.

« Si t'aime tant que ça les choses propres, lâche ta veste et casse-toi, sale vieux. »

S'en qu'il ne s'y attende, l'inconscient reçu au visage quelque chose de doux, et chaud avant de recevoir une pluie de coups de pieds au visage et sur le haut du corps. Un ballet de coups s'installa dans la rue maintenant déserte de personne. L'adulte le frappa d'un air non achalant, quoique avec les sourcils légèrement froncés cette fois-ci montrant qu'il était passablement irrité.

C'est à travers le gilet que l'adolescent sentait les coups lui venir à la figure. Il n'avait même pas le temps de savourer la douceur et la chaleur du vêtement affalé sur son visage. Il avait mal. Et il se disait qu'il l'avait peut-être un peu mérité. Car oui après tout l'homme aux cheveux ébène n'était seulement venu lui dire qu'il pissait le sang.

L'adulte s'arrêta de son plein gré. Toujours les mains dans les poches il reposa doucement sa jambe droite sur le sol attendant que le gilet qu'il avait balancé sur le minois maintenant ensanglanté du jeune adolescent tombe sur le sol. Quand il vit enfin le visage abîmé du gamin il remit un coup de pied qui cette fois-ci s'écrasa à côté de sa personne.

« Hé sale gosse c'est pas ton père que t'as devant toi alors freine tes ardeurs tu veux ? »

Les yeux mis-clos du jeune homme émirent un air amusant.

« Arght... Je-je ne veux pas mourir dans cet endroit miteux. Si tu veux me tuer fais-le dans un endroit plus glorieux s'il te plaît. Quoi que dans tout les cas si tu me tuais cela arrangerait bien mon paternel. »

Le taciturne écarquilla les yeux. Une façon de lui dire que son père était pire que lui ? Ou c'était comme un appel au secours ? Les deux. Alors comme-ça ce sale gosse fuyait pour rester en vie ? Son père en avait après son existence ? Sa subsiste encore ce genre de personne ? Hilarant. Un sentiment de nostalgie refis surface chez l'adulte. Si ce gosse se retrouvait en partie dans cet état, c'était aussi à cause de sa putain de fierté. Une fierté de merde que lui aussi possédait. Trop fier pour demander de l'aide.

« Hn. » Fut tout ce que lâcha le ténébreux . Il souriait d'amusement. Non pas que la situation soit hilarante... Mais l'adolescent lui avait bien ravivé des souvenir sinistres et macabres qu'il avait refoulé en lui depuis bien des années déjà. Lui aussi essaye de s'accrocher à la vie malgré ce monde tout aussi beau et dégueulasse ? Lui il avait réussi à s'en sortir. Pourquoi pas lui ?

Le taciturne retira sa jambe plaquée sur l'arbre et fit demi-tour avant de faire trois pas, de s'arrêter, et de regarder en biais l'adolescent qui le fixait aussi. Deux voitures passèrent, suivies d'un camion qui roula malencontreusement sur une flaque d'eau de la pluie d'hier qui vint éclabousser le gamin toujours affalé sur le tronc d'arbre.

« J'ai envie de chialer » Lança avec désespoir le jeune homme qui essaya avec peine de se relever en s'aidant de l'arbre. C'est en se redressant complètement qu'il prit le gilet par terre pour ensuite l'enfiler sans gène. Il avait froid. Il n'allait pas se privé. La veste naturellement trop grande pour l'homme adulte allait parfaitement à l'adolescent. Sans un mot, l'enfant marcha avec difficulté jusqu'à l'adulte pour ensuite s'arrêter devant lui et sonder son regard.

C'est en ayant une pensée assez similaire que les deux individus prirent conscience de leur différence de taille. Le gamin semblait assez grand et le maniaque semblait assez petit. « C'est ce minus qui m'a frappé ? » osa pensé l'adolescent. Le jeune homme aux cheveux brun émit un sourire en coin que le taciturne ne vit pas grâce à l'obscurité. D'ailleurs l'adolescent l'espérait bien qu'il ne l'avait pas vu. Il tenait à rester en vie.

C'est sans un mot que le ténébreux ouvrit la marche laissant l'enfant le suivre dans un rythme normale, lent, remplis de lassitude comme à son habitude et au plus grand bonheur du blessé. Car oui blesser ou non, l'homme mûre ne comptait faire aucune concession pour le gamin. Soit il arrivait à le suivre jusqu'au bout, soit il resterai là, agonisant mourant lamentablement comme un délabré. Cela dépendrait donc de lui, de son corps et de sa volonté.

Sa

Il arrivèrent devant un immeuble. Le taciturne s'arrêta devant la grande porte vitrée qui menait au hall et chercha dans les poches de son bermuda quelque chose qu'il ne trouva pas tout de suite. Alors il fit demi-tour et s'approcha du jeune homme couvert de sang et se stoppa devant lui assez près. Trop près. Malgré sa petite taille par rapport à l'adolescent, l'adulte arrivait sans peine sous son menton. Pas que sa le dérangeait, enfin si un peu quand même, le jeune garçon à la tignasse brune senti le souffle du plus vieux lui caresser la peau et lui faire des chatouilles. Vite. Si il avait quelque chose à lui dire qu'il le fasse vite. Car il n'osait plus respiré. Bloquant sa respiration pour ne ressentir que celle de l'homme aux cheveux ébènes.

C'est en se regardant droit dans les yeux, que l'aîné enfouit ses deux mains dans les poches du gilet bleu marine que portait l'enfant à sa plus grande surprise. Le taciturne remua deux secondes ses mains dans chacune des poches pour en ressortir avec une paires de clés dans la mains droite. C'est sous les yeux un peu surpris du plus jeune qu'il parti ensuite en direction de la grande porte vitrée pour l'ouvrir et d'adosser ensuite contre celle-ci la tenant pour le grand blessé.

« On a pas toute la nuit gamin ». Le concerné sursauta et se remit donc en marche faisant attendre le taciturne. Le hall semblait spacieux grâce aux grands miroirs qui ornaient les murs et à la luminosité clair qui attaqua les yeux des deux homme ec qui grognèrent chacun leur tour. L'un couina des choses inaudibles dû au peu de force qui lui restait, et l'autre lâcha un " putain " comme à chaque fois qu'il se faisait avoir sous le regard étonné et légèrement amusé par la grossièreté du personnage. Ils arrivèrent devant deux grosses portes grises métalliques appeler ascenseur. Ce que le gamin ne devait pas connaître vu l'expression qu'il donnait.

Quand les portes s'ouvrirent le taciturne s'y engouffra à sa plus grande surprise. Celui-ci lui fit un regard pour lui faire comprendre qu'il devait faire de même. Et rapidement car les portes se refermèrent sous les yeux effaré du plus jeune qui se fit violemment tirer par le bras pour se faire aspiré à l'intérieur de la cabine. Les yeux exorbités et le souffle coupé, l'adolescent se retrouvait maintenant affalé comme un chiffon sur le taciturne au regard blasé. Ses jambes n'avait pas tenues à l'action beaucoup trop physique pour son corps amoché. Et il se retrouvait maintenant avec un bras en appui sur le mur, et le reste du corps étalé sur l'homme qui l'avait sauvé des portes métalliques de l'enfer la tête sur son épaule gauche.

Il senti deux mains le pousser pour le relevez doucement et nota au passage l'odeur indescriptible et mystérieuse lui chatouillé les narines. " Tes lourd sale gosse et tu vas me foutre du sang partout. "

Il n'allait jamais s'habitué à cette réplique presque trop fréquente qui lui faisait presque levé les sourcils. En effet, ce n'était pas la première fois que le plus jeune c'était étalé comme ça sur l'adulte. Trébuchant sur le chemin pour venir s'étaler comme une serpillière sur le dos du taciturne, ou encore marché sur ses lacets et s'écrouler comme une guenilles sur le ténébreux et commencer à s'endormir lamentablement. Non cette situation n'était ni la première et sûrement pas la dernière.

L'homme aux cheveux ébène se décala légèrement gardant une main plaquée sur le torse de l'adolescent pour appuyer sur le bouton voulu. L'orsque leur environnement se mit brusquement à

bouger le jeune blessé sursauta et s'agrippa fermement sur les bras du ténébreux qui lui arqua un sourcil. Le jeunot semblait crispé. Non il l'était. L'adulte le regardait sans rien dire se laissant agrippé par une poigne forte remplie de peur. Quand l'ascenseur arriva à sa destination le jeunot se remit à sursauter plantant ses ongles dans les bras meurtris du taciturne. Cette petite secousse... Il ne l'aimait atrocement pas. Les portes s'ouvrirent.

" Tu me fais mal gamin et tu vas me foutre du sang partout ". Le dit gamin lâcha son bras. Pas exactement. Il avait gardé en main un des membres de l'adulte pour essuyer ses biceps maintenant rouge à l'aide de " sa veste " maintenant bien sale. Il frotta innocemment son bras le regard vide traumatisé par les répliques monomaniste du plus âgé. " Tu fais quoi là ? ". L'adolescent leva les yeux, perdu par la question du plus vieux. Il voulait que ses bras sois propres ou pas ? Le brun arqua alors un sourcil l'air de dire " Bah je rends propre tes bras ". Le taciturne lui fit la même expression et c'est ainsi, les visages déformés dû à leur grimace, que les portes de l'ascenseur se refermèrent à leur insu et à la plus grande peur de l'adolescent.

" 225 Ackerman Rivaille ". C'était ce qu'indiquait la plaque fixée contre une porte d'entrée fermée. Le jeune épuisé fut surpris d'y lire ces noms. Ce n'était pas commun. Le taciturne refouilla dans ses poches à la recherche de ses clés encore une fois avant d'ouvrir l'appartement le regard toujours impassible. L'homme mûr s'y engouffra le premier, appuyant sur un interrupteur qui fit chassé l'obscurité qui régnait depuis un bon moment déjà chez lui. L'enfant le suivi mais le taciturne se retourna aussitôt le regard brillant et l'expression plus vif. " Retire tes pompes. Tu as le don de tout dégueulassé. "

Et c'est avec difficulté et pénibilité que l'adolescent retira ses chaussures abîmées. L'adulte se fit violence pour ne pas les prendre et les jeter directement à la poubelles. Dans son mouvement qui consistait à se redresser prudemment le brun perdit l'équilibre tombant en avant mais se faisant de nouveau rattraper par la paume forte de l'individu. Malgré sa taille il arrivait sans problème et sans sourcillé à le maintenir debout d'une mains. « Meurt pas dans mon salon crétin ». Le taciturne le prit par le col de sa veste et le tira avec lui pour s'engouffrer dans un couloir jusqu'à maintenant sombre après que le ténébreux l'eut allumer. Il avait accélérer le pas entraîne sans vergogne le garçon amoché. Il vira ensuite à droite ouvrant à la volée une porte qui menait semble-t-il dans une salle de bain.

Le plus âgé poussa le plus jeune jusqu'au tapis étalé devant une baignoire couloir nacre. « Déshabille-toi» . Le taciturne l'avait demander de se mettre à poil ? Le jeune homme tiqua rapidement sur l'ordre qu'on venait de lui onner mais il le fit sans broncher en commencant par retiré sa veste puis lever les bras avec mal et peine pour retiré son tee-shirt sale, collant et innondé de sang . L'adulte avait une main posée sur une de ses hanche s'appuyant sur une jambe regardant avec indifférence le corps mutilé du gamin. Il vit une plaie assez profonde près du flanc gauche du jeune garçon et fronça les sourcils constatant avec sérieux la plaie profonde qui rendait dans cet état déplorable le cadet.

On ne l'avait pas ménager. Il leva les yeux plus haut et constata avec rictus les ecchymoses qu'il lui avait fait à coups de pieds pour lui rappeler qu'on ne devait pas se foutre de sa gueule. L'adolescent se faisait violence pour ne pas crier lorsqu'il se baissa pour tenter de retiré son jean troué. Se baisser ainsi fit couler le sang un peu plus au niveau de sa plaie. Le taciturne s'avença et le redressa. Sans un mot il défit la ceinture puis le bouton et glissa la braguette du jeunot pour ensuite tiré sur chaque pant du jean et ainsi tirer le pantalon vers le sol laissant le jeune homme en sous-vêtement. Le brun le regarda faire les sourcil relevé.

« Ne bouge pas trop tu te vide encore plus. Lèves justes les pieds que je retire ton froc et tes chaussettes infâmes. D'ailleurs je ne veux même pas savoir combien de temps tu as gardé ce calbut. »

Le jeune garçon ne dit rien. Il se contenta juste de grimacer en soulevant une par une ses jambes faisant plié son bide meurtri. Le ténébreux se releva ensuite avec une masse de linge dans les bras. Il se regardèrent sans pudeur se défiant l'un l'autre du regard. L'adolescent n'avait pas remarquer les iris incroyablement grises que possédait le taciturne. Ces yeux foncés qui contrastaient avec l'incroyable pa^leur de la peau de l'adulte. Il n'avait pas fait attention aux détail de son visage qui lui paraissait fasciné. Un visage à l'expression dur et doux à la fois. L'expression de son visage... On aurait dit un enfant boudant pour une glace. Et à cette constatation le brun retint un sourire en se mordant l'intérieur de la joue.

L'adulte semblait avoir remarqué l'étrange comportement du jeunot. Ses sourcils étaient encore plus froncés. « T'as envies de rire sale gosse ? ». Celui-ci sursauta qse faisant prendre dans son délire. Il ne résista plus et lâcha un sourire en coin. Moqueur. Le taciturne arqua un sourcil. Ils se regardèrent encore, le garçon dévisageant le visage à la fois si expressif et impassible de l'homme mûre avec amusement et fascination. Son cœur s'emballa. Pour une fois qu'il pouvait s'amuser. Mais ce petit instant si divertissant pour le mal en point fut interrompue par la voie grave et ennuyer de l'inconnu ou presque.

« Monte dans la baignoire. Je sais tu vas grimacé mais prendre une douche enlèvera la couche de crasse que tu gardes sur toi depuis des millénaire. Sa évitera au moins d'infecter tes plaies. Rince toi juste sous l'eau j'arrive ».

L'adolescent fit une mine déconfite. Pas qu'il avait peur qu'on le laisse tout seul, mais il avait plutôt la frousse de mourir une bonne fois pour toute en faisant encore un effort qui semblait surhumain pour une blesser aussi mal en point que lui. Normal. L'homme maniaque vivait-il tout seul ? Sa vie avait l'air d'être plutôt solitaire vu l'expression neutre qu'il portait en permanence. Les blessures qu'il portait ne l'avait pas sembler plus horrible que ça. La vue du sang l'importait peu semblait-il. Avait-t-il déjà connu ce genre de chose dans sa vie passée ? En tout cas ramener un inconnu comme lui chez lui ne le dérangeait pas. Ou très peu. Du moment que la personne soit propre. Sûrement... Pensa l'homme aux yeux vert.

Après avoir fait un effort intense et douloureux pour rentrée dans cette maudite cuve, le brun alluma l'eau de la douche qui se mit à tomber avec vivacité sur son crâne pour ensuite rouler sur tout les recoins du corps. L'eau était froide. Il n'avait pas régler et il ne le voulais pas. C'était froid et sa lui faisait du bien. Il se permit de fermer les yeux et de se laisser distraire par les gouttes froides nettoyer son corps souillé. Comment avait-il finit par se retrouver là ? Bah ce n'était pas le moment de réfléchir et il 'allait pas s'en plaindre. Après le caractère tordus de son inconnu lui plaisait assez bien. Pas qu'il était masochiste mais sa surprenante franchise lui plaisait.

Il se sentait mieux. Moins chaud, moins brûlé et la plaie ne semblait plus lui lancer comme avant. Son caleçon le gênait et le collait. Il s'autorisa alors à retiré son sous-vêtement sans pudeur appréciant la sensation d'être totalement nu. Il tendit ses bras plaquant ses mains sur le carrelage froid et mouillé. La tête penché, le jeune homme regardait l'eau mélanger à son sang couler vers la sorties de non retour . Combien de litre avait-t-il perdu ? Il passa sa main sur sa plaie essayant d'analyser si celle-ci était grave ou pas. Stupide. Dans tout les cas le faite d'avoir un trou béant dans le ventre était déjà alertant. Il relava la tête vers le pommeau se faisant agresser le visage par l'eau gelée.

« Alors sa te réveille un peu plus cette douche ? ». L'adolescent tourna la tête avec surprise et vit le taciturne adosser contre le mur derrière lui les bras croisés tenant dans une mains une serviettes jaunâtre. Le ténébreux glissa son regard jusqu'aux fessier du cadet et fit un regard septique. « Si tu voulais enlever ton slip fallait me le dire plus tôt. Je l'aurait mit à laver avec le reste de tes fringues. ». Le brun coupa l'eau en souriant, plaqua ses cheveux trempés en arrières. Toujours la tête en biais il vit le noiraud lui balancer la serviette qu'il tenait au visage. L'adolescent l'attrapa sans mal et se sécha furtivement les cheveux les mettant en batailles comme lorsqu'il étaient secs. Il attacha ensuite le tissu autour de sa taille prenant garde à ne pas salir celui-ci.

« Merci. » Fit le jeune homme en se retournant le sourire aux lèvres. Il descendit de la baignoire le corps moins engourdi que tout à l'heure et pris soin de ne se trouver que sur le tapis de bain. Faisant attention à ne pas mouillé le sol propre de la salle de bain. Le taciturne se décolla du mur pour passer à côté du jeune garçon et ainsi se diriger vers un petit placard auquel il sorti une boîte métallique inconnu chez le jeunot jusqu'à maintenant. L'adulte se positionna devant lui la boîte à la hauteur de sa poitrine le regard toujours aussi apathique.

« serre les dents gamin. Ça va faire un peu mal. ».

Le visage crispé de douleur, la mâchoire serrée, le jeune adolescent résistait tant bien que mal à l'atroce douleur qui lui tiraillait le flanc droit. Assis sur le bord de la baignoire le taciturne cousait avec habilité la plaie affreuse de son cadet. « Évite de contracter ton ventre j'ai du mal à passer l'aiguille. » Facile à dire. Le jeune homme pencha la tête en arrière soufflant profondément. Il regardait le plafond avec plus au moins d'intérêt. Essayant d'oublier la douleur. Sa plaie était si grande que ça ? Le brun ferma les yeux se concentrant sur un point moins douloureux du corps. Mais cette sensation étrange et bienfaisante qu'il sentait près de sa plaie n'avait rien à voir avec la douleur. C'était imposant et chaud. Bien que ce soit proche de sa blessure ce n'était pas dérangent. Sa bougeait, sa pressait contre et près de sa fente. Il ouvrit un œil pour essayer de voir d'où provenait cette douce sensation. Mais à la seconde qui suivit il ouvrit énergétiquement le deuxième œil. Horreur. Il fantasmait sur les grandes mains gracieuse et incandescentes de l'inconnu.

L'adolescent respira un bon coup. Ce n'était rien du tout. Il perdait juste un peu a tête. C'était normale vu la tonne de sang qu'il avait perdu. Sa volonté commençait à disparaître dû à la fatigue et ses hormones profitaient juste de l'occasion qui s'offrait à elles. Rien d'alarmant jusque là. Mais sans s'en rendre compte il matait déjà de nouveau les mains qui s'affairaient à recoudre cette vilaine plaie. Il leva les yeux un peu plus haut et se décida donc à examiner un peu plus cette personne, cet homme mystérieux. Il n'avait pas encore fait attention ou presque aux cheveux soyeux, impeccablement coiffés, une raie séparant sa chevelure en deux partie, une coupe undercut qui lui saillait à merveille collant avec le caractère du personnage.

Ses rides dû à son froncement de sourcil assez fréquent ne rendait son visage que plus captivant. Cette personne au visage incroyablement pâle semblait presque irréel. Ses mèches ébène barraient légèrement le haut du visage que l'adolescent ne pouvait voir. Alors sans gêne et sans arrière pensées, le cadet passa ses mains à travers le front du taciturne pour en relever les quelques mèches qui cachait une petite partie du haut de son visage qu'il tenait tant à voir. Le ténébreux s'arrêta dans sa tâche et questionna d'un air interrogateur le gamin. Celui-ci ne calcula pas la question silencieuse que lui montrait l'adulte. Il se contenta juste de comptemplé le reste du visage cacher de l'homme mûr. Ses yeux vert semblaient plus vif, plus lumineux .

" Tu souffre à ce point là gamin ? Au point de me tiré les cheveux ? "

Le brun fit non de la tête en lâchant les cheveux qu'il tenait entre ses doigts d'un geste las.

" Tant mieux. Parce que j'ai fini. "

L'adolescent fit les gros les yeux. Il avait déjà fini ? Il glissa les yeux jusqu'à la blessure maintenant cousue. Effectivement il avait terminé. Enfin pas totalement. Il le su quand il entendit un : " Serre les dents. " . Et il le fit quand il senti le ténébreux tamponner sa blessure à l'aide d'un compresse imbibé d'alcool.

" C'est fini. Laisse ton bide à l'air pour qu'il cicatrise convenablement. "

Le taciturne se releva pour jeter le compresse souillé dans une petite poubelle pour ensuite se laver correctement les mains. Le jeune homme se redressa et le taciturne tourna la tête alerté par les gestes du jeunnot. Le ténébreux scanna les yeux incroyablement vert de l'adolescent. Il le regarda sans gêne, observant son visage mutilé, abîmé. Il fixa sa lèvre fendue ébène et souria. Le ténébreux ne l'avait vraiment pas loupé.

Ce sale gosse inconnu, blessé et traqué par son père pour on ne sait qu'elle raison l'intriguait et l'amusait un peu. Malgré ces petits instants comique lorsqu'il voyait le jeunot se rétamé sur tout, pour tout et pour rien à bout de force, la situation du pourquoi était-il dans cet état là paraissait moins comique. Le plus marrant était qu'il n'avait pas l'air de bien saisir la situation. Ce gosse à un trou dans le ventre, il se laisse se vidé de son sang dans la rue galerant comme un clochard, il cherche la merde avec un inconnu alors qu'il n'est pas en état de frimer et pour finir il rentre sans sourciller dans l'appartement d'un adulte inconnu.

Soit il est naïf et stupide, soit il a l'habitude de vivre ce genre de bizarreries depuis longtemps qui lui semble normale maintenant. Ce gamin l'intriguait vraiment. La situation dans il se trouvait refit rdmonter à la surface des souvenris et et des sensations jusqu'à maintenant enterré et refoulé. L'homme mûr fit un regard joueur au plus jeune et lui fit signe de la tête de le la serviette accrochée autour de sa taille l'adolescent le suivi donc d'un pas lent.

Il avait allumé la lumière d'une chambre assez sobre spacieuse et surtout impeccable. Il n'y logeait seulement dans cette pièce une commode, une armoire, une table de chevet ainsi que bien évidemment un lit. Un grand lit aux draps de soies couleur pourpre, propre et bien fait. Le taciturne se dirigea vers l'armoire près du lit et fouilla dedans le visage cacher par les portes pour en ressortir avec un caleçon gris. Comme ses yeux. Ouais la comparaison est classe. C'est ce qui fit rire intérieurement le brun. L'adulte lui jeta le sous-vêtement au visage. " Enfile ça gamin". Recevoir un caleçon au visage est tout aussi classe.

L'adolescent s'était allonger, non avait osé s'étalé sur le matela incroyablement confortable, un bras sur la poitrine et l'autre sur le haut de son visage. L'homme qui semblait être le propriétaire de cet appartement fumait collé contre le mur près de l'ouverture de la chambre regardant avec un sourire éviter moqueur aux lèvres le bambin sur son lit. Il était rétamé.

" Ça t'arrive souvent de t'allonger comme une loque sur le lit des gens ?

-Nan... Ça doit faire deux semaines et demies que je n'est pas touché à un matelas. C'est bien gentils les arbres, les murs et les choses en plastique mais mon dos est en miettes. "

Il avait la voix enrouée. Mais cela n'avait pas empêché à l'aîné de comprendre ce qu'il disait. Un léger silence retenti et le brun se redressa sur un coude forçant sur ses abdominaux pour observer l'homme en face de lui. Celui-ci se tenait debout coller contre le mur, un bras replié sur sa poitrine et l'autre amenant sa mains sur le bas de son visage portant une cigarettes entre ses doigts. Et tout ça le regard toujours blasé.

« Évites de te faire les abdos . Tes files vont péter et je n'est pas particulièrement envie de refoutre mes mains dans tes tripes. »

L'adolescent ignora sa remarque et se contenta de continuer à observer l'adulte ennuyer avant de reprendre leur conversation. Maigre conversation.

« Tu fumes ? »

Question vraiment pertinente. Mais on pouvait lui pardonner il était fatiguer.

« Non. Occasionnellement oui. »

En faite ça allait. Sa réponse l'avait rendue plus crédible.

« Occasionnellement ? Ta journée au travaille a été de la merde ? Je crois que je l'ai bien ressenti dans tes coups de pieds. »

Le ténébreux ferma les yeux et souri. Il se décolla du mur la cigarette aux lèvres, et s'approcha du jeune homme pour lui coller deux doigts au front et le pousser en arrière. L'enfant s'écoula avec bonheur sur deux oreillers superposés regardant le taciturne de ses yeux verts sapin.

« Dors sale gosse. »

Qu'est ce qu'il se passait ? Que s'est-il passé ? Où il se trouvait ? C'est en ayant le crâne remplis de questions que le blessé presque « guéri » repris connaissance. Ses paupières étaient lourdes et ses yeux lui piquaient. Il ferma fort ses prunelles plusieurs fois et finit par les ouvrirent lentement et pour de bon avec une lenteur inouïe digne d'un comateux se réveillant après « x » années ou « x » semaines. Tout ses membres étaient engourdis. Il avait mal et semblait être courbaturé de partout. D'ailleurs cela faisait combien de temps qu'il avait dormi ? En regardant autour de lui il se souvint enfin de là où il se trouvait. Cette chambre nickel et spacieuses dans des teints couleurs pourpres. Et se grand lit de luxe au matelas délicieusement moelleux.

Le brun se surprit à être couvert d'un drap en soie violet. Il se redressa en grimaçant et souleva le drap qui le recouvrait pour s'appercevoir qu'il était habillé. On s'était occupé de lui ? Il souleva le tee-shirt noir qu'il portait et regarda sa plaie recousue presque cicatrisé. « Ah oui. » fit-il d'une voie enrourée. Il avait presue oublié le taciturne maniaque, froid et blasé jusqu'aux bout des ongles. Tout ses derniers souvenirs refirent surface. Il avait l'impression que toutes les scènes vécues avec le taciturne remontait à hier. Pourtant ça ne devait pas être le cas.

La scène devant l'immeuble, dans l'ascenseur, dans la salle de bien puis dans la chambre. Tout cela était vraiment trop récent pour lui. Il avait l'impression qu'il n'avait dormit que deux heures. Il se frotta le visage en soupira . Il se dégagea totalement de la couverture et posa avec difficulté ses pieds sur la moquettes. La douceur et la chaleur du sol lui fire écqaurquillé les yeux. C'était si agréable. La pièce était faiblement éclarée. Les rayons de lune qui traversait le rideau étaient juste assez fort pour que le jeune homme puisse voir quelque chose. Il faisait donc nuit ?

L'adolescent força sur ses poignets pour se relever. Dans son mouvement il perdit l'équilibre du à sa tête qui lui tournait mais se rattrapa en plaquant la paume de sa main droite sur l'ammoire se tenant près de lui. Il se regarda de la tête au pied. Bermuda noir recouvrait le bas de son corps. Il fit un pas puis un autre jusqu'à ce qu'il arrive enfin dans le couloir sombre de l'appartement . Il marcha à l'aveuglette toujours le corps engourdi. Il finit par atterrir sur une grande pièce de vie avec à sa gauche ce qui devait ressembler à une cuisine américaine. Il réussi enfin à mettre la main sur un interrupteur auquel il appyua dessu pour pouoir élarée la large pièce n face de lui.

Il y été déjà passer dans cette pièce. Même qu'il macérait dans ses vêtement remplis de son sang. Mais il n'avait pas pus indentifié correctement la pièce étant donner qua ce moment il n'était pas vraiment lucide. Mais lucide ou pas il s'en fichait et n'était pas vraiment interréssé par cette pièce particulièrement agréable. Le brun regretta légèrement ses pensé quand il s'affala sur le canapé.

« Il les sort d'où ses putains de meubles ultra acariâtre ?! »

Il s'allongea et poussa un soupir de bien être. Était-ce vraiment une bonne idéé de se recouché après de sortir d'un long sommeil ? Il n'avait pas faim. Il n'avait pas la force de se tenir debout pour suporter son corps lourd, et que tout simplement il ne evait pas trop bouger dans tout les sens car ses files pèteraient et que le maniaque aurait la flemme de repongé ses mains dans ses tripes. Le jeunot laissa tombé un bras d'un geste las et il tourna sa tête en direction de son membres abandonné dans le vide pour croisé du regard une table basse juste en face de lui.

Ce qu'il avait remarqué de cette simple table basse était un morceau de papier blance posé dessus. Il avait comme le sentiment que ce morceau de papier était adréssé à lui. Alors c'est avec toute la paresse du monde qu'il se redressa pour prendre le message et ensuite se relaisser tombé sur le diva les bras levés en l'air et les yeux rivé sur une écriture incroyblement élégente.

« Si t'as faim il y a des tomates dans le frigo. Si ta soif tu bois de l'eau. Va pas faire fondre ton esctomac avec du soda ou du pur jus d'ornage gamin. Et si tu vas pisser soulève la cuvette des toilettes. Auquel cas je te ferais lécher les gouttes de pisses que t'auras mis dessus si jamais il y en a.

PS : Va prendre une douche.

Rivaille. »

Son message était tout aussi élégant. De toute façon il n'avait ni faim ni soif et n'avait pas envie de pisser. Une douche lui ferait certainement du bien. Il laissa dévaler son bras sur son visage le papier toujours entre ses doigts. Qu'allait-il se passer lorsque le taciturne rentrerai dans son appartement ? Allait-il resté avec lui ? Un inconnu ? Enfin « inconnu »... Il savait qu'il s'appelait Rivaille maintenant. Il l'avait toujours su. Depuis qu'il s 'était retrouvé devant sa porte avec lui pour la première fois.

Rivaille Ackerman... Cela lui allait décidément bien se disait l'adolescent. Original, pas communs. Au moins maintenant il était fixé et savait que le propriétaire de ce logement était bien lui et qu'il ne vivait avec personne. La bonne planque pour resté envie du moins pour un certains temps ? Ouais c'était sale ce qu'il pensait mais que voulez-vous, il avait envie de vivre malgré sa vie de merde. Des petits bruits et des petits cliquetis firent sortir l'adolescent de ses songes. Il entendit la porte d'entrée s'ouvrir et se refermée doucement.

Quand le jeune retira son bras il croisa deux prunelles grises. Les mêmes. Si attractives et intense.

« Toujours vivant ? » Fit-il. Le brun marmonna une chose incompréhensible que le ténébreux prit pour un oui. Le taciturne était habillé d'une chemise à manches longue bleu marine, d'un jean et sans oublié une nouvelle veste d'une couleur semblable à celle de sa chemise en plus clair. L'adolescent s'était redresser encore s'appuyant sur ses coudes. La façon dont le plus jeune regardait l'adulte était aigu, pénétrant et clairvoyant. Il cherchait à sa savoir quelque chose auprès de son aîné.

Sans rien dire. Sans rien faire. Juste respirer et se scanner du regard mutuellement ils faisaient.

« Eren...

-Hein ?

-Je m'appelle Eren. »

Le taciturne fit les gros yeux. « Eren » hein ? Bizarrement il se mit à sourire. Etirant ses fines lèvres pour en faire une jolie risette en coin. Il ne pouvait pas trouver mieux comme prénom. Cela lui allait étrangement bien. Après avoir entendu son prénom il ne serait plus capable de l'imaginer avec d'autres noms. Impossible qu'il s'appelle autrement. Eren.

« Tu as mangé gamin ?

-Nan. Ça doit faire vingt minutes que je suis « lever ». J'ai dormi combien de temps et il est quel heure ?

-... Quatre jours. Je pensait que tu allais entamer ta cinquième journée. Il est vingt trois heures.

-Trois jours hein ?...

-D'ailleurs tu m'auras bien fait chier sale gosse. Tu m'as fais une putain de fièvre j'ai cru que t'allait crevé dans mon lit, et bordel c'est qui l'infirmière dont tu parlais dans ton délire ?

-Infirmière ? Toi ? »'

Le taciturne s'approcha du jeunnot et écrasa son pied sur son visage.

« Répète nabot. ». Derrière la chaussette qui lui bouchait les voies respiratoires, l'adolescent souriait. Il poussa des plaintes inaudibles étouffé par le pied écrasé sur sa figure. Lassé et ennuyer comme à son habitude, le taciturne retira son pied tout en regardant sévère le jeune homme sur son divan. La victime se contenta de sourire montrant de belles dents blanches.

« Je suis en convalesence je te rappelle.

-Je suis celui qui ai changé tes caleçon pendant ton sommeil je te rappelle. Va prendre ta douche gamin. »

Le taciturne pris le bras d'Eren et le tira pour le faire se levé. Ses jambes encore engourdies le lachèrent et il se rétama encore comme une véritable épave sur le dos du ténébreux. Son visage était plongé dans son cou et Il se surprit même à apprécier la chaleur et la douceur de celui-çi. Son cœur avait fait un bond. Et la suave odeur qui envahissait ses narines le rendit légèrement ivre.

L'homme mûr avait été surpris de sentir l'adolescent tombé sur son dos. Il avait tourné la tête cherchant à voir si le gamin était « encore en vie » et fut inconsciemment troublé de sentir le souffle tiède du jeune homme caresser le creux de son cou. Il frissona lorsqu'il senti l'homme aux yeux vert prendre ses épaules de ses grandes mains puissantes avec fermeté. Il le senti se redresser et soupiré. Eren posa son front contre le crâne du taciturne et soupira de nouveau.

« J'ai la tête qui tourne...

-Ne me dis pas que tu refais de la fièvre gros chieur. »

Le brun fit non de la tête en frottant son front contre la chevelure soyeuse du ténébreux. L'adulte pouvait sentir le corps puissant d'Eren dans son dos. Ses mains, son buste, sa tête, son souffle. Il sentait tout ce que le brun lui « offrait ». Le taciturne soupira et se décolla du buste du plus jeune pour se retourner prendre sa tête et plaquer son front contre le siens.

« Tu n'as pas de fièvre.

-Tu m'as juste relevé trop vite.

-Ta gueule. »

L'adolescent se mit à sourire lestement, futilement et faiblement. Les deux hommes n'avaient pas décollé leur front. Le noiraud avait plissé les yeux cherchant à lire quelque chose dans la tête du plus jeune. Mais il ne savait pas quoi. Il ne savait même pas pourquoi il ne lâchait sa putain de tête posée contre la sienne. C'était juste... Il était juste fatigué.

« Ta journée au travaille à été de la merde ? Fit le gamin avec un sourcil relevé.

-... Ta crus que t'étais ma femme ou quoi ? Tu parles comme-ci on été marié nabot.

-Eren.

-Nabot.

-Eren.

-Nabot.

-E- ! »

Il s'était arrêté de parlé dans son élan. Son souffle. Son putain de souffle était trop près de ses lè . Il était plus grand que lui, et forcément il était beaucoup plus imposant que lui. Il soupira irrité. La chose à ne pas faire car c'est Eren qui se prit son souffle en pleine figure et il le senti. Leur souffle tiède s'entremêlait et les yeux verts captivant d'Eren l'envoûtait. Il fallait qu'il arrête de se perdre comme ça. Alors il se décolla de son front doucement retrouvant un espace "correcte entre les deux, et pris ensuite les chaudes et hâlées de l'adolescent pour les retirés de ses épaules.

Mauvaise idé des mains aussi grandes et chaudes le grisa sans savoir pourquoi. Et Dieu seul savait que sa l'énervait. Il avait encore la sensation de sentir ses mains dans les siennes. Il fit demi tour et se dirigea là où il devait aller au départ avant qu'Eren ne l'interrompre : vers la cuisine. Mais une voie grave et suave fit stopper sa marche.

"Rivaille. Merci."

Le taciturne écarquilla les yeux, surpris. Il tourna sa tête en biais, fixa le brun à l'expression sérieuse et se remit en route sans un mot vers son comptoir où se trouvait sa cuisine sans un mot. L'adolescent lui prit le chemin du couloir cherchant la salle de bain. "Rivaille" murmura-t-il pour lui même. Cela lui fit une sensation étrange. Il aimait bien le prononcé. C'est en ayant le sourire aux lèvres cacher derrière sa main sur son visage qu'il poussa la n porte de la salle d'eau pour y entrer.

Ce putain de travail l'avait fatigué. Cette putain de vie monotone le fatiguait. Était-ce pour cela qu'il se mit à déliré lorsqu'il avait senti ce souffle tiède fouetté ses lèvres, ces mains grandes puissante et chaudes et se corps si imposant malgré son âge ? Cela faisait combien de temps qu'il n'avait pas coucher avec quelqu'un. Oui, ces "quelqu'un" n'était que des personnes d'un soir. Fustration sexuel ? Ridicule. C'était autre chose et sa le gênait. Ce gamin qui lui parlait comme ci ils se connaissaient depuis toujours.

Bah cette formalité ne le dérangeait pas trop après tout. Les bonnes manières et le tutoiement ne faisait pas partie des habitudes de Rivaille. Il n'y a qu'à l'écouter lorsqu'il parle. Juste qu'il ne fallait pas dépasser les bornes, et ça il lui ferait comprendre comme la fois de leur première rencontre. Ce môme a un prénom, et il s'appelle Eren. Ce môme l'intriguait et il avait des problèmes. Il n'allait pas tout de suite le ratatiner avec ses questions. C'est saoulant et mufle. Il allait juste attendre qu'il lui en parle lui même.

Le garder avec lui ne le gênait pas en sois même. Même-ci il ne l'avourait jamais. Après tout, c'est lui qui l'avait ramené jusqu'à chez lui. Mais si ce gosse tentait quoique ce soit, le taciturne n'irait pas de main morte. Il posa se qu'il tenait dans ses mains, s'essuya les mains sur son tablier et quitta son plan de travail. Il avait oublié au jeune de lui donner des vêtements de rechanges. Le gosse avait de la chance, la moitié des fringues qu'il portait était trop grand pour lui.

Le ténébreux longea alors le couloir pour passer devant la porte de la salle de bain qui était utilisé. L'eau coulait, il l'entendait. Arrivé dans sa chambre à coucher, il prit ce dont il avait besoin avait lassitude et reparti en direction de la salle d'eau . L'eau ne coulait plus. Il ne l'entendait plus. Il poussa la porte un peu ouverte et s'engouffra dans la pièce humide et chaude.

Le taciturne écarquilla les yeux. L'adolescent était sorti de la baignoire soulevant ses pieds un à un pour ensuite les posés sur le tapis, le corps trempé, les cheveux plaqués en arrière laissant quelques mèches rebelles sur son front, les gouttelettes d'eau glissant sur sa peau pralinée et sa virilité sans gêne exposé. Ils se regardèrent tout deux surpris.

Bof après tout. Eren pris une petite serviette beige posée sur le lavabo et c'est avec le plus grand étonnement du taciturne qu'il ne cacha pas sa virilité et s'essuya les cheveux avec l'attitude la plus naturel au monde. Le cadet leva un oeil pour s'apercevoir que l'adulte le fixait toujours. Mais d'un oeil blasé cette fois-ci.

"Ça ne te gêne pas d'exposer ton engin comme ça gamin ?"

Le dit gamin le regarda de ses yeux vert tout en continuant de frotter sur sa tête. Il haussa les épaules.

"Tu as l'as même chose que moi non ?

-C'est dégueulasse, remballe-le sale gosse.

-Tu vas me dire que le tiens est plus élégant ? "

Le taciturne leva la jambe et re étala son pied sur la tronche du jeune homme.

" exhibitionniste. Ne discute pas et met ce caleçon. "

Il le lui avait jeté au visage après avoir retiré son pied. Eren l'enfila donc et se redressa pour ensuite étiré ses bras en l'air. Rivaille le regarda faire. Il longea son regard sur tout le haut de son corps avant de fixer sa blessure abdominal.

"Tu t'étires comme ci tu n'avais jamais eu de blessure. Comment tu te sens ? Pourtant ça ne fait que quatres jour que t'as plaie a commencée à cicatrisée.

-J'ai un peu mal. Mais moins qu'avant. Il fallait que je m'étire, ça fait cinq jour que je n'est pas bouger et mon corps est tout engourdi. Sa me saoule.

-Effectivement. Il y a quatre jours on aurait dit de la pâte à modeler. "

Eren ouvrit grand ses prunelles vertes et se mit à sourire lestement ensuite. Rivaille pouvait voir de près l'intensité de ses prunelles. Il s'étonna lorsqu'il y vit du bleu parmi ce vert si vif, évasé et étendu. C'était la première fois qu'il voyait des yeux comme ça. Avait-t-il des origines étrangères ? C'est rare de voir des prunelles comme celle-ci.

Le ténébreux fronça les sourcils en virant sur une autres blessure son regard. L'arcade. Il avait une petite entaille sur l'arcade. C'était lui qui lui avait fait ça ? Le noiraud n'en était pas si sûr. On lui avait fait quoi à ce gosse débile bon sang ? Il prit sa mâchoire de sa main droite et la tourna dans tout les sens cherchant d'autres égratignures sur le visage d'Eren sans le ménager.

"Tu me fais mal.

-Rien à foutre arrête de pleurnicher. "

Le taciturne n'en avait que faire, il continua donc sous le visage grimacer du cadet. Mais il s'arrêta lorsqu'une main aggrippa la sienne.

"Ri-Rivaille, tu me broies la mâchoire j'ai mal. "

Le coeur du taciturne fit un bond sans le vouloir. La combinaison de la chaleur de sa main posée sur la sienne, son souffle fouettant son visage et de cette voie suave, plaintif et grave l'avait bouleversé. Et comme ci ce n'était pas assez, le cadet avait pincé sa lèvre blessée sous la douleur à la plus grande excitation de Rivaille. Cet agneau débile le provoquait encore sans le savoir.

Il lâcha son visage et celui-ci en profita pour masser ses joues endorlies. Rivaille soupira et plaqua la masse de vêtements qu'il tenait sous son bras gauche sur le torse d'Eren. Mais il fit tombé un habit qui s'étala derrière lui à son plus grand damne. Il soupira encore une fois et se retourna puis se baissa pour ramasser ce tissu de malheur. Et c'était l'action qui fit éclatée la raison au deux homme. L'action qui brisa le file si fin eg si tendu qu'était la raison et la patience de Rivaille.

Dans son mouvement le taciturne cogna le bassin d'Eren de son postérieure qui le fit basculer en arrière. Mais au lieu de tombé sur ou dans la baignoire, l'adolescent attrapa la hanche gauche du ténébreux d'une main et de l'autre le bord du lavabo. Résultat, il avait réussi à atterir sur le bord de la baignoire avec Rivaille sur ses genoux... Enfin, plutôt sur son entre jambes. Les deux hommes hoquetèrent. Un long frisson parcouru l'échine d'Eren. Sa virilité se faisait complètement écraser par les fesses du noiraud.

Rivaille le sentait aussi. Mais il ne sentait pas que son membre entre ses fesses. Sa main aggrippait toujours fermement sa hanche et il sentait de nouveau son soupir tiède caresser sa nuque. Un long silence s'installa avant que le plus jeune le brise.

"Ça va ?

-...Ça peut aller."

Le taciturne bougea pour se lever mais le brun lâcha le lavabo et posa sa deuxième main sur la hanche libre du taciturne pour l'inciter à rester sur lui. Le ténébreux fut surprit par ce geste et tourna la tête en biais les sourcils arqués. Mauvaise idée. Sa joue frôla les lèvres du cadet.

"Qu'est ce qu'il y a? Laisse-moi me lever.

-Je... Mes hormones font des siennes je crois..."

Quoi ? Le taciturne fronça les sourcils et chercha à en savoir plus en regardant l'homme aux yeux vert la tête pratiquement dans son cou. Fait chier, il ne voulait pas qu'il continu à parlé en plus. Ses lèvres cajolait sa joue à chaque fois qui les remuaient pour parler et sa voie suave le grisait chaque fois qu'elle resonnait dans ses oreilles.

"De quoi tu parles gamin?

-De testostérone. "

Il trembla quand il senti la réponse d'Eren fouetté l'intérieur de son cou. Mais il avait comprit. Ce nabot était excité.

"Ne te lève pas maintenant s'il te plaît. Fait le quand je serai calmé.

-C'est plutôt l'inverse non ? Si je reste là tu vas finir par te vider sur moi et je serai alors obligé de te tuer.

-Je ne veux pas que tu me vois.

-Je vais me lever et partir gamin. Comme ça tu pourras te soulager tout seul.

-Tout seul ? Ton membre est aussi gonflé non ?" Fit-il en posant sa main droite sur la bosse du jean du ténébreux.

Son membre palpita sans le vouloir contre la paume de la main du jeunot. Rivaille grogna.

"Retire t'as main ou je la casse.

-Tes aussi dur que moi. Laisse-moi te soulager. Maigre dédommagement pour m'avoir soigné ces quelques jours passés. Et puis laisse moi faire partir t'as fustration. Ce n'est pas bon de se retenir et je sais que ton boulot c'est de la merde. J'insiste.

-Sale mô mérites que je te casse un bras pour ton discours de merde.

Eren souria et écrasa sa bouche contre la peau chaude et pâle de l'adulte. Le ténébreux avait senti cette chose humide et tiède contre sa peau. Il sentait ces lèvres se coller et se décoller sur son cou. Il soupira. Plus quand il senti une main se glisser sous sa chemise.

"Retire tes mains dégueulasses de mon ventre.

-Je viens de prendre ma douche. Elle sont propres."

Voulant être sûr d'avoir à tout prix le dernier mot, Eren activa sa main sous sa chemise et déboucla la ceinture et le bouton du jean de Rivaille pour venir glisser sa main sous son sous-vêtement et débuté des vas et viens sur la virilité maintenant turgescente de son aîné. Eren planta ses dents en salivant sur la peau de son partenaire.

Rivaille grogna. Toutes ces sensations délicieuses. Sentir son ventre se faire dorloter par ces grandes mains... Ses téton se faire pincés et chatouillés par moment... Son cou se faire cajoler par des caresses buccales plus qu'exquises et sa virilité se faire choyée par un grande main chaude aux longs doigts et puissante. Il n'en pouvait plus, sentir avec excitation le sexe gonflés d'Eren entre ses fesses ne le grisa qu'encore plus.

Eren aimait passer ses lèvres sur l'objet de ses désirs. Ce cou si doux et si chaud. Et cette odeur indescriptible qui le faisait se sentir bien. Il amait faire rouler ses doigts à sa plus grande surprise sur les impressionnant abdominaux de Rivaille. Il aimait aussi pincé ses petits téton qu'il rêverait de prendre en bouche. C'est en sentant la gorge du ténébreux vibrer sous ses babines qu'il augmenta la cadence de ses vas et viens sur le sexe de Rivaille.

Le ventre du ténébreux se contracta suites au caresses plus que stimulante du jeune. Il glissa sa main sous sa chemise aussi et vînt l'écrasée sur celle d'Eren. Son autre main tenait le poignet de l'adolescent qui s'activait sur son membre. Du liquide séminal coulait sur son sexe et la main jeune homme signe qu'il allait bientôt éjaculé.

"Rivaille. " Soupira Eren la tête dans les cheveux ébène du taciturne. Cet appel... C'était plus qu'érotique. Et il n'en fallu pas plus pour que le taciturne jouisse dans la main d'Eren. Le brun avait senti le sexe palpiter contre sa main et la semence chaude souillée celle-ci. La mâchoire du ténébreux était crispée. Cherchant à étouffée ses plaintes. Le garçon sorti sa main du caleçon et Rivaille vit le fruit de sa jouissance.

Le taciturne vînt lécher la main de l'adolescent à sa plus grande surprise. Il y prit grandemant plaisir. Sucer et mordre cette main était douceureux et bon. L'homme à la tignasse brune couina sous le sourire moqueur et carnassier du taciturne. Il lappa toute la paume de sa main nettoyant le sperme qui s'apprêtait à salir son sol propre. Après ce petit plaisir d'avoir bouffé cette main ô combien délicieuse, le noiraud se leva et de retourna pour posé un genou et une main sur le bord de la baignoire.

Les deux hommes se regardèrent intensément et Rivaille finit par plongé sa main dans le caleçon d'Eren pour sortir son sexe dur et palpitant. Il titilla le gland de son index sous les palintes roque du cadet. Celui-ci s'agrippa au cou du taciturne plongeant sa tête dans ses épaules et couinant dds choses inaudibles. Le ténébreux fut surprit de le voir ainsi. On aurait une autre personne. Il avait l'air plus faible et c'est ce qui le rendait excitant.

Entendre ses gémissement aiguë dans ses oreilles le poussa à rendre ses mouvements plus stimulantes. Eren griffa ses omoplates et cria. Il superposa sa main sur celle de l'adulte et imposa sa cadence de manière presque involontaire et forcé. Le ténébreux glissa ses lèvres jusqu'à son oreille.

"Bah alors on perd les pédales?"

Il n'u quand réponse q'un grognement inaudible et une éjaculation puissante qui rendit sa main blanche et baveuse.

"Aaaah!

-Déjà ?

-L-la ferme, fallait que je me vide ou j'allais explosé. "

Rivaille retira son genou de la cuve certains que la partie était fini. Mais ce n'était que le premier round. Il le su à son plus grand étonnement lorsqu'Eren sorti et happa de toute sa longueur le sexe de son aîné.

Cela faisait un moment qu'il l'avait en bouche. Ne se lassant pas de lapper le pénis turgescent du taciturne sur toute sa longueur revenant par suçoté le gland avec gourmandise. Il pompa avec voracité tandis que Rivaille tirait d'une main sa tignasse brune. C'est en l'inspirant en entier qu'Eren senti le membre imposant dans sa bouche claquer contre sa langue et qu'il se senti remplir.

Un filet blanchâtre coula sur la commissure de sa lèvre. Il recueilli jusqu'à la dernière goutte la quintessence de Rivaille pour ensuite nettoyer sans laisser aucune trace sa main auparavant salie dû à sa jouissance précédente. Le taciturne avait émit un râle de satisfaction. Il lâcha la chevelure brune entre ses doigts et regarda l'adolescent toujours en état de transe.

"Tch!"

Il remit son sous-vêtement et se dirigea vers le lavabo pour se nettoyer les mains. Mais il senti ses hanches se faire attrapé par de puissantes mains. Il frissonna lorsqu'il senti et vit à travers le miroir Eren derrière lui le visage à moitié cacher par sa tête et ses cheveux. Il avait une expression luxueuse. Sa peau luisante d'une fine couche de sueur, ses sourcils froncés, sa mâchoire serrés. Rivaille pouvait voir cela à travers le miroir et sa lui plaisait bien malgré que l'autre n'est toujours pas eu son compte.

Le corps plaqué contre l'homme mûr en face de lui, Eren se mit à remuer son bassin d'avant en arrière comme ci ils étaient en véritable plein coït. Le taciturne ferma les yeux les sourcils froncés. Il avait du culot le gamin pensa t-il. Il pouvait sentir son phallus se glisser et se frotter entre ses jambes à travers son caleçon. Eren roronnait d'une voie lascif contre son oreille gauche. De là où il était, c'est à dire devant le miroir, Rivaille pouvait tout voir. Son expression, l'expression d'Eren et ses mouvements de bassins voluptueux.

Eren continua ses frottements tout en y mettant une main dans le caleçon du ténébreux caressant son postérieure.

"Essaye de ne mettre ne serai ce qu'un doigt à l'intérieur et je te castre."

L'adolescent grogna d'insatisfaction et mordit donc l'épaule de l'homme mûr tout en cramponnant ses flancs. Il augmenta le rythme de ses coups de reins cogant avec force le postérieure du noiraud. Rivaille se pencha et se cambra un peu plus histoire de rendre la tâche au plus jeune plus facile. Il donna un coup de fesses vers l'arrière rencontrant avec puissance la virilité d'Eren. Ils râlèrent tout les deux puissamment et Eren donna encore plus d'intensité à ses vas et viens le faisant jouir sur l'entre jambes du ténébreux . Il fit pression en collant plus son bassin sur les fesses du taciturne.

Il senti la semence chaude humidifier son caleçon. C'est en se regardant tout les deux dans le miroir qu'il prit conscience de la putain de connerie ils avaient fait.

"Vas reprendre une douche nabot."