Salut tout le monde !
Voila le premier chapitre d'une fic qui ma beaucoup plut et j'espère a vous aussi.
Ceci est une traduction de « prohibido » de kawaii.
S'il vous plait dites moi ce que vous pensez de ma traduction et de la fic en générale.
L'autrice précise que cette fic est qu'est ce qu'il se serait passé si …
Chapitre 1 : Une étrange réflexion.
De temps en temps, il regardait par la fenêtre, comme pour vérifier combien de temps il été resté la, coucher dans le lit. Silence c'était tout ce que l'on pouvait entendre.
Silence et encore du silence. Et ce bruit terrible se mélangeait avec son âme vide et son corps étrangement repu. Une journée totalement sombre, pluvieuse, grise. Comme lui. Il ne voulait presque pas écarter son regard de ce plafond, et même en reflétant le vrai ciel, il étais tellement artificiel, mais tellement protecteur.
Des fois les plafonds lui paraissaient très étranges …comme si à n'importe quel moment, ils allaient tomber sur lui et en même temps tellement durs, réguliers et opaques.
Il dirigea encore une fois son regard sur le coté, pour voir par la fenêtre la position du soleil, mince et fragile à travers les nuages.
Combien de temps ?presque trois heures. Trois heures silencieuses, étranges, solitaires et cette sensation encore dans son corps.
Pourquoi se sentait il aussi seul ?il n'avait rien fait, ne pensait presque a rien et même ainsi les secondes s'envolaient .Ces trois heures lui avaient parues quinze minutes.
Qu'est que c'était que de perdre son temps ainsi ?lui perdant son temps ?ne pas être ponctuel ?bon sang, qui y a-t-il a perdre ?
Il ne clignait presque pas.
Le silence le troublait. Son visage, ni sérieux ni souriant .c'était comme être inerte. Respirant l'air sec de sa chambre. Ca sentait l'encens. Bien que l'essence n'était presque plus la. Etrange. Finalement, il ferma ses yeux un moment, aspirant cet arôme. Comme une douce drogue, il infiltrat ses poumons, s'étendant dans son corps et arrivant a son cerveau, embaumeur. Il n'avait jamais expérimenté cela. Il ne comprenais pas, pourquoi ce sentait il comme ça. Et cette sensation ...les battements de son cœur, maintenant calmes, n'avaient pas de comparaison avec le rythme frénétique d'il y a quelques heures, et sa respiration non plus. Il percevait ses battements, comme se sentir vivant. Comme il s'avait sentit avant.
Que lui arrivait il ?à quoi se devait cette paresse tout a coup ?
Il n'arrivait pas à comprendre. Il voulait seulement regarder le plafond et aspirer l'arôme de sa chambre.
Et se perdre dans cette sensation tellement complexe qu'avait son corps.
Il voulait plus, mais il ne savait pas où chercher, comment expliquer, comment demander, comment séduire. Il ne savait pas. Ou il l'avait oublier avec le temps.
Il ne savait pas non plus comment il était arriver a cette situation, et comment il s'était laisser faire…et comment il n'avait pas oser enlever des points, avec autant de plaisir qu'il aurait eu , seulement a la trouver là.
Il regarda a nouveau par la fenêtre et vit qu'une chouette s'approchait d'elle. Rapidement, il se leva de son lit, et ouvrit la fenêtre pour recevoir l'enveloppe qu'elle lui amenait.
En prenant la petite missive en parchemin, la chouette tendit sa patte pour recevoir une récompense. Cela le surprit, il ne le demandait que pour la Gazette du sorcier. D'une poche de sa tunique il prit les premières pièces qu'il attrapa et les lui donna sans prêter attention à leur valeur. La chouette lança un faible hululement et s'en alla aussi contente. Il pensa que cela devait être quelque chose d'urgent.
C'était d'elle. De cette jeune étudiante, l'amie de ce garçon. Il ne comprit pas pourquoi, mais son cœur se bloqua. Il se dérangea lui-même. Il ne voulait pas, mais il s'illusionna un peu.
Il rompit le cachet et commença à lire :
«Je suis vraiment désolée, professeur, je regrette ce qu'il nous ait arrivé; je me sens honteuse.
Comme vous n'êtes pas venus donner votre cour, je me suis inquiétée. C'est de ma faute ?
J'espère seulement que cela n'interféra pas, de quelques manières qu'il soit, dans mes qualifications, ni dans le système de point des maisons.
Bien que cela ait été très spécial pour moi, ce que je souhaite le plus est que vous l'oublier.
Cordialement. »
Spécial ?pour elle cela avait été spécial … peut être pour avoir été sa première fois. C'est ce qu'il pensait lui. Même ainsi, cela restait étrange. Lui se sentait illusionné, même plus.
Lentement, il se dirigea à son bureau et écrivit sa réponse. Il médita un certain temps à ce qu'il allait écrire. La plume entre ses doigts tremblait sur le pli du parchemin. Finalement il commença à écrire. Il n'avait pas l'habitude de le faire de cette manière, mais en cette occasion, il s'inclina tellement sur son bureau, comme pour occulter ce qu'il était en train d'écrire, que ses cheveux formaient presque un rideau, sur les cote de son visage.
Le résultat fut une courte citation dans la forêt interdite. Il assurait à son élève que rien ne lui arriverait en étant avec lui. Il la citait à minuit. C'était vendredi, et il savait que les cours d'astrologie ne se déroulaient que le mercredi. Cette nuit aurait été un cours parfait d'astrologie. Les nuages de l'après midi s'en allaient, se mélangeant avec les couleurs de l'horizon. Les premières étoiles apparaissaient dans le ciel qui commençait à tourner au bleu sombre. Il lui semblait que la nuit tombait très tard.
Il arriva à douter s'il devait vraiment envoyer cette carte, car il aurait pu s'agir d'un rêve. Mais les rêves ne demandent pas d'argent, ne te laissent pas avec cette sensation de plénitude et la poitrine enflammée par la passion ... Peut être que si ?
Il repensait a tous ses doutes, après avoir relu la petite lettre et l'avoir cacheter du saut de serpentard. Serpent rampant pensa t il pour lui.
Il était sur le point d'appeler un hibou pour le lui envoyer quand il se rendit compte de quelque chose. Il se tapota le menton avec l'un des coins pliés de la carte.
Rusard et miss Teigne …que feraient ils s'ils attrapaient la jeune collégienne s'échappant de l'école pour la foret interdite ?si elle disait la vérité et qu'ils ne la croyaient pas ? Si cela arrivait aux oreilles des autres professeur et les autres élèves ?comment l'expliquer ?
Il laissa de nouveau la carte sur le bureau et écrit rapidement une lettre pour Rusard, l'avertissant de ne pas déranger la jeune élève puisqu'il lui avait chargé une commission spéciale.
Il supposa que cela marcherait, mais il écrivit une autre notification similaire à Dumbeldore.
Il les envoya et quelques moments plus tard, il envoya la carte pour la jeune fille. Il resta alors réfléchissant de nouveau, cette fois assis a son bureau, les bras appuyer sur les coudes, et les mains sobrement entrelacées. Il posa sa tête sur celles-ci. Il ne se comprenait pas lui-même. Pourquoi était il aussi prévenant ?pourquoi était il aussi affecté ?le retour des sentiments a son cœur lui fit du mal ?ses sentiments étaient ils vraiment revenus ?il aurait aimé prendre une quelconque potion qui lui aurait fait oublier, mais il n'avait pas les ingrédients nécessaires.
Il sourit. «Quelle stupidité- pensa-t-il – cela ne doit pas être aussi important. Beaucoup de moldus font cela tous les jours…et … tous les humains le font … je suis humain…. »
Il était très inquiet, et perdu. Il se regarda dans un miroir. Il chercha quelque chose qui aurait pu attirer cette fille…rien en particulier. Le même visage, les mêmes cheveux, les mêmes yeux. Le même tout. Il soupira.
L'odeur de l'encens avait presque disparu. C'était bizarre, il avait passé presque toute la journée dans sa chambre. Perdant son temps. « Il faut être ponctuel…3 points en moins... » Se répéta-t-il a lui-même, tout haut.
Il savait qu'il devait partir maintenant s'il voulait être à l'heure. Et en effet il partit.
Il rabaissa la capuche de sa tunique sur sa tête, ce qui lui donnait un air encore plus mystérieux que de son habituelle apparence, et il sortit.
Bien que la nuit était claire, il faisait un froid cruel. Tellement que de la buée sortait de sa bouche quand il respirait. Il pressa le pas. Peut être qu'elle était déjà arrivée, et qu'elle était en train de se congeler. Mais alors, il entendit des pas rapides derrière lui. Il se retourna brusquement, comme si on l'avait offensé et nota la surprise sur le visage de la jeune fille.
Finalement elle sourit timidement, montrant ses dents de lapin. Il effaça simplement son expression dure et inquisitive et la changea en une plus douce.
Elle aussi portait une tunique et la capuche de celle-ci, lui couvrant amplement la tête. On ne voyait presque pas son visage, mais elle levait suffisamment la tête comme pour que la lune l'illumine et la faisait au moins perceptible. Même ainsi, elle pouvait voir parfaitement le visage de son professeur qui la dominait et qui la faisait rougir.
Dans d'autre circonstance, la seule chose qui aurait pu l'animer était la haine et la volonté de lui lancer une malédiction. Mais … cette fois c'était différent.
Elle ne savait pas pourquoi. Elle avait passer tout l'après midi a tenter de se concentrer, a prendre des notes comme une possédée. Elle devait occuper son esprit. Elle ne le dit a personne, mais a chaque battement de cils, a chaque respiration profonde, quand elle devait penser, il lui venait a l'esprit ce qu'il était arriver. Cela avait été tellement merveilleux, tellement fort, tellement, tellement étrange, et avec celui qu'elle espérait le moins … et tenant en compte la manière par laquelle tout avait commencer était ridicule.
