Zelda no Densetsu
Fiche de la fic: Zelda no Desentsu: Gekijyouban Ero-rurôni ! (La légende de Zelda: Les Chroniques du vagabond pervers)
Résumé: À Hyrule, époque féodale... un jeune homme en quêta d'aventu re devra passer par-dessus de très nombruex dangers, sa faiblesse et vaincre le vil Ganondorf. Il rencontrera bien des gens, tous différents, et s'amourachera d'une magnifique princesse...
Disclaimer: Même si ça s'rait ben, ben l' fun, Zelda c'est pas à moé pis le Japon non plus. Mais y a des monstres à moé. (parler québécois c'est... 3)
Warning: Si vous êtes dégoûté par le Japon féodal (genre, époque Sengoku), l'humour japonais, les ch'tits pervers (genree... Miroku-sama, Kazu, Jiraiya...) le chanbara (bataille de sabres), et le reste classique du Japon je vous conseille de dégerpir ! Et si vous aimez pas mon genre de Link aussi, et donc Link en uke. Gomen, il est adorable !
Rating: T, comme d'habitude.
Note: J'ai renommé garder la traduction aglaise de certains noms, ou j'ai carrément changé de nom (gomen.). Pour la princesse, je tiens à dire que ce n'est PAS Zelda la cruche qui sait rien foutre de ses dix doigts. Vous verrez bien qui c'est ^^ Ensuite, Link est un vagabond, un rurôni. Et Dark... un p'tit vicieux. Vous verrez ça dans mon long prologue ^^ Aussi, je tiens à dire que des fois, mon esprit tordu me fait aussi peur. Et pis bon, j'aime bien faire un Link uke, alors c'est un Link uke (mais sans shônen-aï). Befouille, j' vous laisse lecturer mon texte !
Prologue partie 1: Vagabond pervers ...!!
Hyrule, un grand pays, magnifique pour être juste à sa beauté et ses toits verts émeraude, avec un château, appelé Goten' Sen'nyu*. Dans cette contrée du centre du continent, on trouvait dees plaines des montagnes... bref, un paysage varié, parfait pour qu'un poète s'en inspirât ! Et des poètes, il y en avait ! Hyrule en était rempli ! Ah, ça, oui !
La princesse du pays était d'une grande beauté (NDA: malgré qu'elle soit hyper chiante... j'ai dit que je m'inspire des mangas, hé hé...), la belle et grande Zelda, promise au jeune shôgun du pays voisin (NDA: j' le plains...). Les seigneurs du pays en avaient été bien déçus, mais n'en avait pas rajouté.
La capitale, nommée Seika, était une merveille. Avec des cerisiers partout, et ses toits recourbés...
Mais malgré toute la beauté d'Hyrule, le pays connaissait des heures sombres. Un nouveau Daimyou faisait de l'ombre sur le pays. Le grand Ganondorf, un homme venu du sud désertique prévoyait de s'acaparer la perle qu'était le pays... mais nous verrons tout cela plus tard.
Notre histoire débute dans un onsen* du village du Coq, le village Kakariko (NDA: ça fait plus japonais ^^), où se baignent des jeunes filles.
Un jeune blond, habillé d'un kimono vert, rapiécé, ouvert sur les manches, de zori de paille. À sa taille, un katana de belle taille, la saya* bleu et le sageo* jaune canari, avec le laçage de la poignée violet.
Accoté à la palissa de séparant le onsen des filles de celui des garçons, qui était vide, le blond regardait pas un trou dans les planche. Un goutte de sang perlant au coin du nez, les yeux ronds, le garçon ne remarqua pas la jeune fille qui s'approchait de lui d'un pas rageur.
Il ne le remarqua que lorsque cette même fille éclata carrément la plache de bois derrière laquelle il se trouvait. Les autres filles crièrent de surprise. En grognant rageusement, les poings serrés et la veine sur la tempe bien visible, la jeune fille au cheveux bleus (version humanisée de Ruto) à la poirtrine inexistante s'exclama:
- Ero-rurôni ! Erô ! Erô ! Erô-ruroni* !
Le petit voyeur se massa le crâne. Son kimono était ouvert sur l'avant, laissant voir des muscles naissants et des bandages (NDA: vu sur quelques images de manga) désserés.
- Neeeeh*... Ruto-neechan* ! dit le blond pour l'apaiser. Calme-toi !
La paysanne lui envoya un autre poing aur le haut du crâne en disant:
- Je ne veux plus jamais revoir ta sale tronche de gamin ! Va-t'en, Link !
Et le dénommé Link déguerpi en vitesse, sans demander son reste. Il se retrouva dans le village, en plein Shakuhachi no Matsuri*. Il y avait des pipes de terre cuite sur tous les étalges, ainsi que de l'herbe à pipe.
Le blond en acheta une longue de couleur verte, sa couleur préféré, et prit une bonne herbe bien goûteuse (NDA: juste pour puer de l'haleine :p), puis paya le viel homme édenté de quelques rubis verts, puis traîna un peu dans les rues du village, sans trop savoir où il allait. Profitant seulement du soleil de printemps, et des cerisiers en fleurs, les bras croisés derrière la tête et avançant avec un large sourire sur le visage. Il marcha tranquillement vers l'auberge, se paya une chambre, monta en haut, déposa son baluchon sur le futon* et prit son sabre entre ses mains écorchées.
- Enfin, dit-il dans un souffle en passant un doigt nerveux sur la saya. J'ai un katana... plus personne ne me traitera de mauviette...
Ce sabre qu'il venait de voler à un des meilleurs forgeron d'Hyrule valait une jolie somme. Et il savait bien qu'il allait un jour devoir payer, mais sa devise était la même qu'avant "À quoi bon les remords ?"
Link sourit une nouvelle fois, puis remis son sabre en place, et sortit pour faire le tour des écuries de la ville, question de voir les chevaux.
Brin d'herbe dans la bouche, bras derrière la tête, démarche décontractée et regard désintéressé, le vagabond marcha silencieusement entre les box, et remarqua un belle jument au crin blanc et à la robe rousse, appelée Épona. Il lui parla un peu, et la bête, dont les yeux étaient animés d'un certaines lueur d'intelligence, semblait comprendre... "C'est décidé, ce soir, je la vole..." pensa le blond en s'en allant à sa chambre. Il avait déjà hâte au soir...
***
Le soir venu, le vagabond sortit de sa chambre par la fenêtre, sabre à la taille, au cas où, et descendit doucement du toit, en essayant de ne pas faire de bruit.
Le store de la fenêtre du bas étant un peu cassé, le blond tomba sur... des filles. Et étant pervers, le blond s'y attarda quelques minutes, puis, à regret, le blond s'en détacha et courut vers l'écurie.
Le blond, qui n'était pas du tout nyctalope, dû tâter chaque plaque, pour enfuinb reconaître les kanjis qui formaient le nom de la bête qu'il avait choisie.
Il la sella dans le noir, et la sortit dans un silences des plus parfaits. Ensuite, il la monta, puis partit au galop vers la plaine.
***
Le soleil se leva sur Hyrule alors que Link arrivait au lac Hylia (NDA: j'ai pas trouvé de bons noms pour le lac. Gomen.) avec sa nouvelle monture. Il regarda les quelques paysans, qui cultivait déjà le riz, puis avança tranquillement vers le temple, pour y prier un peu, histoire de ne pas se faire repérer. Les gens le saluait chaleureusement, le rpenant sûrement un jeune shôgun, ou même un shinsengumi*. Il en était bien fier. Il laissa Épona devant le temple, puis entra.
Il y faisait assez sombre. Une grande statue des trois déesses et une plus petite de l'esprit protecteur de la région, un grand serpent. Étant originaire de la plus petite province du pays, le blond ne savait pas le nom de cet esprit, mais il remarqua bien vite les petites fées qui flottaient au-dessus du bassin d'eau sacrée. Quelques jeunes filles étaient venues demander la bénédiction à la miko* pour leur mariages respectifs, et Link ne manqua pas de faire un geste déplacé sur l'une d'elle, qui se retourna vers, lui, qui lui faisait un large sourire en s'en allant vers l'hôtel. Plus loin, une autre miko jouait du koto*.
Link s'arrêta et s'agenouilla sur l'un des coussins devant l'hôtel, et pria quelques minutes (NDA: pourquoi ? Vous verrez bien ;)), puis repartit en saluant la jolie miko d'un peu trop près, puis s'en alla rapidement. Il monta sur sa jument, et galopa vers la province de Latouane.
En chemin, il croisa des monstres attanquant une jeune fille. N'écoutant que son courage, le blond auta à terre, et avec un cri de guerre, hacha menu les vilains monstres, puis se jeta sur la jeune fille, pour lui demander:
- Vous allez bien, mademoiselle ?
Elle hocha la tête, puis leva cette dernière et plongea ses yeux verts dans l'oc.éan bleuté de ceux de Link. Le jeune homme sentit bientôt son coeur battre, puis ses joues s'enflamèrent.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-elle.
- Un simple rurôni, dit Link en contrôlant sa gê je vois que je viens de vous sauver la vie, jeune demoiselle. Puis-je savoir votre nom, pour m'assurer qu'il est aussi beau que vous ? demanda-t-il
La jeune fille rougit. Link la trouvait encore plus belle que Ruto (la fille qu'il espionnait lorsqu'il allait à Kakariko), avec ses cheveux roux très longs et sa poitrine proéminante. Elle portait un habit de paysanne simple.
- Je... je m'appelle Malon... dit-elle.
- Moi, c'est Link, ravi de faire votre connaissance, dit-il.
La rousse se releva d'un coup, sentant les mains baladeuses du blond se promener un peu trop loin. Le blond se répandit en excuses, puis se releva également, et invita la jeune fille à monter sur sa jument. Il la condurait à Toal, et après lui poserait des questions, puisqu'il y avait bien longtemps qu'il n'y avait plus de yokais dans les plaines. Enfin, pas à la connaisance de Link...
***
Le soir venu, le blond arriva à son village d'origine. Il fit descendre Malon de sa jument, puis la conduit vers chez lui. La rousse poussa la rideau de bambou qui recouvrait la porte, tandis que Link regardait assez nerveusement une jolie enveloppe rouge déjà ouverte (NDA: une beuglante ^o^ nan, j' déconne), avant de la remettre dans son kimono.
Il entra à la suite de sa nouvelle amie, puis lui dit de l'attendre, qu'il reviendrait avant le coucher du soleil. Le blond marcha donc calemement, de sa manière décontractée, vers l'entrée du village. Sa maison était avant cette dernière, mais il avait longuement travaillé dans ce village. Jusqu'à ses seize ans, l'incident et l'appel de l'aventure.
Le village était tel que celui d'un conte de fée. Le crépuscule baignait les maisons traditionnelles d'une douce lueur orangée, et les pétales de cerisiers tapissaient l'herbe de point rose çà et là. La rivière Kawazoko* (NDA: imagination, tu t'emballes, tu t'emballes...) semblait être en feu, d'un feu magique et cristalin, et le lac semblait être un bassin de lave.
Les gens se retournaient sur le passage de Link. Plusieurs haussaient les sourcils, pensant à un étrenger, mais quelques uns écarquillaient les yeux et portaient leurs mains à leur bouche pour étouffer un cri de surprise. "Normal," pensa Link "Après sept ans d'absance, c'est tout naturel..."
Il continua sa marche vers sa destination, ignorant les appels des enfants, qui l'avaient tout de sutie reconnu. Il arriva à la plus grande maison, celle du chef Bohdan. Et de celle qui avait écrit la lettre rouge.
Il s'annonça, en lançant comme lorsqu'ils étaient jeunes, une pierre sur la fenêtre de la chambre du haut. Une jeune fille au cheveux assez courts passa sa tête par la fenêtre, et en le voyant avec son air décontracté, ses yeux s'illumièrent et elle sourit de toutes ses dents.
Et comme quand ils n'étaient que des jeunes, elle sauta par la fenêtre, descendit du toit, malgré son kimono gênant, et se jeta dans les bras du jeune vagabond. Ce dernier fit un réception parfaite, sans manquer de faire un geste pervers, pour lequel il fut immédiatement réprimandé.
- Link-kun* ! s'exclama la blonde. Arrête un peu, tu veux ?
Le blond ne pu lui répondre que par son plus charmant sourire. Sept ans. Sept années. L'avait-elle attendu ? Ou était-elle à nouveau tombée amoureuse (NDA: oh mon dieu... mais qu'est-ce que j'écris ?!) ?
- Alors, Iria-chan*, demanda Link en passant deux doigts sur la joue de son amie, comment va la vie ?
Ils s'assirent dans le jardin sec (NDA: hm... voir wiki...), sur une des pierres plates, et son amie d'enfance lui expliqua que durant son absence, les enfants avaient faits bien des mauvais coups, que Colin était devenu l'aide du ranch, et que Féhnir et Balder avaient appris les techniques élémentaires du katana. Anaïs était devenu aussi grande que belle, et le jeune Féhnir et elle étaient exactement comme eux. Jeunes et naïfs, croyant à l'amour plus fort que tout...
- Espérons qu'il ne leur arrive pas ce qu'il nous est arrivé, dit le blond, en se penchant vers elle.
Il prit doucement son visage entre ses mains, puis pressa ses lèvres contre les siennes. Contre toutes ses attentes, elle lui répondit, puis le repoussa vivement, et s'essuya la bouche. Des larmes perlèrent au coins de ses yeux émeraudes. Elle se jeta dans ses bras. Largué, le blond la serra contrre lui et caressa ses cheveux en déposant un baiser dans ceux-ci.
- Oh ! Link... je suis tellement désolée, dit-elle en séchant ses larmes. Je t'Aime, mais je suis déjà promise...
- À qui, que je lui tranche la gorge ? demanda Link en poussant son sabre du pouce (NDA: Comme Zorro !).
Iria fit secoua la tête.
- Ça serait bon pour le village. Il vit à saura s'occuper de moi.
Link laissa tomber, la laissa dans le jardin, et repartit vers chez lui, en lui lançant un regard nostalgique, puis murmura, telle le vent dans les feuilles des cerisiers:
- Adieu, ma belle...
Et il disparu vers chez lui.
***
La colère envahissait Link. Partout ! Nulle part où la mettre, il s'éreinta contre l'épouvantail, qui devint bientôt un tas de pailles hachée menue. Le blond tomba sur le sol, pantelant. Lorsqu'il se releva, ce fut pour voir Féhnir, Anaïs et Balder. Ils avaient tous bien granid, et Anaïs le mangeait des yeux. Il ne les reconnaissait presque pas... surtout le jeune Balder ! Il était quasiment plus grand que son grand frère. Il leur sourit, malgré sa mauvaise humeur.
- Qu'est-ce que tu as changé ! s'exclama Anaïs en s'approchant de lui.
- Je peux vous dire la même chose, dit le blond en rangeat son katana.
Il croisa ensuite les bras derrière la tête, et adopta son attitude décontractée habituelle. Féhnir et Balder se jetèrent presque littéralement sur son arm, mais le blond plaça une main sur la tsuka* avant qu'il ne puisse la toucher.
- C'est un vrai ? demanda Féhnir d'une voix plus grave que celle qu'il lui avait connue.
- On peut l'essayer ? demanda le cadet d'une voix déréglée.
Link fut catégorique, et refusa d'emblée. Les plus jeunes se fâchèrent, mais Anaïs les raisonna avec force. C'est alors que Link remarqua Malon, toute rouge de gêne, presque derrière le rideau de bambou. Le blond s'approcha, sous les regards curieux des gamins. Il prit Malon par la taille - la jeune fille rougit comme une pivoine - et leur annonça:
- Voici une nouvelle amie Malon...
- Malon Uma*... murmura-t-elle.
Les enfats restèrent quelques dizaines de minutes, puis ils partirent. Anaïs et Malon ne tardèrent pas à se lier d'amitié. La Lune se levait à peine lorsque Link partit au onsen du coin (NDA: toutes les sources vont êtres des onsen, je crois, sauf une ^^) pour aller faire sa toillette (NDA: ça fait gay oO).
Lorsque le blond se pencha au-dessus de l'eau pour se laver le visage, il vit le même garçon que la dernière fois à Kakariko. Des cheveux blonds soleil en bataille, un visage androgyne et des yeux bleus incroyable. Mais aussi, des yeux animé une grande trsitesse, doublée par une grande colère.
***
Link retourna assez tard chez lui. La lune était bien haute à présent. Il voyait des yeux rouges dans les buissons, mais ne s'en occupa pas trop. Il arriva à bon port sans une égratignure, puis se glissa en silence dans son futon vert. Il vit Malon, qui dormait dormait dans un autre futon, plus loin.
Et cette nuit-là, il fit encore le même rêve... le même depuis bientôt sept ans... et le lendemain, il s'éveilla en sursaut, et sa marque de naissane en forme de trisforce sur le dos de sa main cachée par des bandages lui brûlait...
***
À des kilosmètres, au château Goten' Sen'nyu, la princesse Zelda s'éveilla aussi en sursaut, et murmura en regardant L'astre solaire se lever:
- Il approche... la paix va bientôt n'être que souvenir...
__________________________________
Lexique des mots japonais
Goten' Sen'nyu: Château des elfes, des fées ou des nymphes
Seika: Quelque chose comme sacré (sei)...
Daimyou: Seigneur japonais
Onsen: Source d'eau thermale
Saya: partie centrale du fourreau d'un katana
Sageo: laçage du fourreau du katana
Ero-rurôni: Vagabond pervers
Neh: Hein, comme dans "Il est beau, hein ?"
Neeechan: Grande soeur, mademoiselle. Le neechan pour mademoiselle est plutôt utilisé par les enfants.
Shakuhachi no Matsuri: Festival de la pipe
Futon: lit japonais (voir wiki, faut écrire "futon japonais")
Miko: prêtresse shintoïste. Les bouddhistes ont des bonzes, à la place (comme Miroku)
Koto: instrument japonais à corde
Kawazoko: Lit de rivière
-kun: suffixe japonais utilisé pour les garçons plus jeunes ou du mêmes âges
-chan: suffixe affectueux pour autant les filles que les garçons
Uma: cheval
__________________________________
Bon, eh bien... en espérant que ça vous ait plu ^^ Moi j' me suis bien amusée à ridiculiser Link (vous aller voir, j' m'en donne à coeur joie !)... mais ne vois inuiétez pas, il va devenir le grand héros qu'on connait tous (avec des p'tits dérapages...)
Ah, et pour ceux qui se demande pourquoi c'est écrit comme un shônen, ben c'est que je lis pratiquement que de ça ^^ bon, j'ai adoré Vampire Knight, mais les premiers que j'ai lu étaient tous des shônen. Excusez-moi pour ceux que ça les dérange, vu que je suis une fille.
Brefons, brefouille, je vous retrouve au chapitre suivant !
J'accepte tous les commentaires !
