Etant en histoire je me suis dit qu'une FrUk serait bien à faire sauf que cela sans est écarté quelque peu.


France, une blessure à guérir.

C'était dur de combattre contre sois même ou de voir son corps se rebeller contre son esprit mais il était encore plus dur d'être divisé en trois et de devoir supporter trois idéologies différentes. Une partie de lui suivait maintenant Allemagne, une partie de lui tentait de rester tel quel sans se battre et une troisième luttait sans relâche le blessant dans sa chair à chaque actions mené contre l'envahisseur. Il en venait presque à souhaiter une défaite totale pour ne plus avoir à supporter ces tiraillements. Il ne devait pas son reste de santé mentale qu'au soutient d'Angleterre mais aussi d'Allemagne qui subissait la même chose que lui. C'était la même souffrance mais alors que lui pouvait résister Allemagne j'en avait pas le droit. Il devait soutenir son chef même si celui-ci était un meurtrier fou. C'était la le lourd fardeau des Nations.

France ferma les yeux pour essayer de se reposer et de faire fuir ces souvenirs. La guerre était finit et il était de nouveau libre et un mais cette division laisse des traces qui ne disparaîtraient qu'avec le temps.
Il senti des bras sur ses épaules le tirant contre un torse qu'il connaissait bien.
Il laissa tomber sa tête dans le creux de l'épaule de son sauveur. Nul besoin de mots pour qu'ils se comprennent.

Quand une partie de lui c'était réfugié chez Angleterre il avait craint qu'il ne le repousse. Ils n'avaient pas une excellente histoire l'un avec l'autre et Angleterre avait fuit quand les combats étaient devenus plus dangereux. Mais il l'avait accueilli et réconforté puis finalement il l'avait libéré avec l'aide d'Alfred et de Mathew. Quand les deux américains l'avaient revuent pour la première fois depuis 1939 ils avaient été horrifié par par son état. Il ne pouvait même pas marcher seul et devait être soutenu par Arthur.

Mais maintenant il devait se relever, montrer qu'il était toujours aussi fort et que cela ne l'avait pas brisé.

Il senti le souffle chaud d'Angleterre dans son cou et soupirant de plaisir. Finalement il allait rester comme cela encore un peu ne serais-ce que pour profiter d'Angleterre plus longtemps. Il laissa l'envahir et emmener au loin ses souvenir et ses larmes.