Salut tout le monde !

Si vous ne me connaissez pas, vous êtes les bienvenus sur mon profil, j'ai aussi un Twitter ( Ewilan_V), et un Facebook (mais suite à des problèmes de page introuvable, merci de m'envoyer votre nom par message privé et je vous ajouterai avec grand plaisir).
J'avoue ne pas y être connectée régulièrement, mais plus nombreux vous serez, plus souvent je me connecterai, donc pas d'inquiétude
J

Voici donc ma première fiction sur Criminal Minds, d'habitude j'écris plutôt sur Harry Potter. Alors n'hésitez pas à me faire part de vos remarques, positives ou négatives, par une review, je les reçois et y réponds toujours avec plaisir, et m'aident à m'améliorer !

Assez parlé de moi ! J'espère que cette fiction, et ces premiers chapitres vous plairont,

Bonne Lecture

Ewilaan

Salut ! Je m'appelle Léonore, j'ai 23 ans, et je me trouve actuellement dans le plus gros avion que j'aie jamais vu. Faut dire que j'ai jamais beaucoup voyagé. Alors là, autant dire que ça va me changer. Je viens de décoller de Paris, direction Quantico ! Pour vous expliquer un peu la situation, je vais vous parler un peu de moi. Je suis née dans le Sud de la France et j'y ai vécu toute ma vie... Jusqu'à aujourd'hui. Quand j'étais adolescente je rêvais d'être pianiste. Je joue encore beaucoup, la musique est ma Passion, avec un P majuscule. Elle m'a amenée à faire beaucoup de rencontres. Benjamin, mon premier vrai amour, actuellement mon meilleur ami ; Valentin, mon petit ami, sont les plus importantes de ces rencontres. Mais je m'égare. Vous vous demandez ce que je vais faire à Quantico n'est-ce pas ? Je pars pour le travail. J'ai fait des études de psychologie, en France, et je me suis peu à peu tournée vers la police criminelle. Une cousine éloignée, qui habite là bas, entretient des relations avec un agent haut placé du FBI... Et m'a donc obtenu une place au département des sciences du comportement au FBI, à Quantico. Et pour tout vous dire, le fait d'avoir eu ce poste ainsi me terrifie. Serai-je à la hauteur ? L'équipe m'acceptera-t-elle ? M'adapterai-je à cette nouvelle vie ? Plus l'avion s'éloigne de Paris, plus je me dis que j'aurais mieux fait de rester en France, près de Valentin, on aurait loué un appartement et on se serait engueulés pour savoir qui devait faire la vaisselle, descendre les poubelles, la belle vie, quoi.
Valentin... Les adieux avaient été déchirants. Il m'avait accompagnée jusqu'à Paris (et nous habitions Bordeaux) pour me dire au revoir. Je n'oublierai jamais les derniers instants que nous avions passés ensemble. Il m'avait prise dans ses bras, je n'avais pas pu retenir mes larmes. Il m'avait regardée, avait souri (comme il était beau quand il souriait...), planté ses yeux clairs dans les miens, m'avait embrassée si simplement et si tendrement... J'avais vu qu'il était bouleversé, mais il avait gardé la tête haute, et en souriant, il m'avait dit "Allez, fonce, Wonder Woman. Passe me faire un coucou pendant tes vacances. Je t'aime." et était parti sans se retourner. Je ne lui en voulais pas, au contraire. Cela avait été plus simple. Je séchai mes larmes, et, exténuée, je m'endormis.

Je ne me réveillai que lorsque l'avion amorça sa descente. J'avais pourtant l'impression de n'avoir dormi que quelques minutes. Comme un fantôme, je récupérai mes bagages, et cherchai ma "cousine" des yeux.

« - Léonore !

- Jess ! Tu es là ! Comment vas-tu ?

- Bien... C'est surtout à toi qu'il faut demander ça ! ajouta-t-elle en voyant mes yeux rougis par les larmes.

- Oui, oui, ça va, t'inquiète pas. Juste... Des adieux difficiles.

- Des au revoir difficiles, corrigea-t-elle.

Je lui répondis d'un sourire.

- Tu as dormi dans l'avion ?

- Euh... Oui.

- Parfait ! Je vais pouvoir te déposer directement au BAU ! Je vais déposer tes affaires à ton appartement. Tiens voici l'adresse ! ajouta Jess en me tendant un bout de papier. Et voilà de quoi te payer un taxi et de quoi manger pour quelques jours, en attendant ta paye ! Je me suis occupée de tout pour tes papiers, voilà, ta carte d'identité... »

Je l'écoutais parler d'une oreille distraite. Elle était toujours aussi speed...

« - Au BAU ? Et puis il est quelle heure ?

- Pardon ! Behavorial Analysts Unit ! C'est là que tu travailleras. Il est 8h45, le temps qu'on y arrive il sera 9h15, tu pourras donc prendre tes repères, rencontrer tes collègues...

- Est-ce qu'ils savent qu...

- Non ! coupa-t-elle. Ils ne savent pas comment tu as eu le poste. »

Je soupirai de soulagement. Au moins, ils ne me jugeraient pas sans me connaitre. Nous nous dirigeâmes donc vers la voiture de Jess. Elle me raconta sa vie, ses anecdotes toutes plus inutiles les unes que les autres, puis elle me déposa devant un immense building imposant.

"Demande le BAU, agent Gideon." me lança-t-elle avec un sourire.

C'est donc terrifiée que je me dirigeai vers la porte d'entrée du siège du FBI de Quantico.