Dans le petit village de Godric's Hollow, tout n'était forcement normal. Comme cette famille qui vivait dans une jolie maison légèrement à l'écart des autres, car tout le monde savait qu'il y avait quelque chose de bizarre avec elle. Non pas qu'ils étaient mal polis ou violent, bien au contraire ! Ils étaient toujours serviable, prêt à aider quand le besoin s'en faisait sentir et tout le monde les appréciaient. Mais quelque chose d'autre ne tournait pas rond dans cette famille … Personne ne savait quoi, mais ils avaient se sentiments de « pas normal ».

Cette famille possédait donc une maison assez grande, pleine de charme car elle était en pierre, entouré de lierre et d'autre verdure qui venait décorer naturellement la bâtisse lui donnant se manteau de verdure. Un beau jardin avec quelques massifs fleuris, des arbres fruitier quand la saison pouvait en donner, une petite rivière qui passait dans le jardin surplombé par un petit pond de style asiatique et enfin une petite aire de jeux pour enfants avec une balançoire et un petit toboggan.

Les parents avaient misés sur la beauté du paysage, et avaient refait entièrement le jardin car seulement deux-trois ans après s'être installer, ils n'étaient plus non deux, mais quatre.

La mère avait accouché le 31 juillet à minuit pile d'une paire de jumeaux, ou plutôt faux-jumeaux. Le premier à naitre était un petit garçon qui avait bien crier après être sortie du ventre de sa mère, ne voulant quitter son autre jumeau, ou tout simplement rester bien au chaud dans cette bulle où il avait grandit pendant ses neuf mois. Il était né avec les cheveux noir et tout le reste du corps comme sont père mais les yeux … Tout le monde avait été abasourdit en les voyant ils étaient verts émeraudes comme ceux de sa mère, mais d'un vert plus soutenu et tellement envoutant.

Le deuxième enfant à eu du mal à sortir car il était non pas la tête en bas mais en haut, alors il à fallut beaucoup de maitrise pour pouvoir le faire sortir. Mais au bout d'une demi-heure l'enfant sortie. C'était une fille. On voyait quelques cheveux roux qui tenait de sa mère, mais ses yeux n'était ni comme son père qui ne avait des marrons, ni comme sa mère avec son vert si pétillant, non, ils étaient bleus. Bleus comme le ciel en pleine journée d'été, bleu comme la mer calme, si pétillant de vie. Elle ressemblait pourtant à sa mère avec son visage fin, mais elle avait les oreilles à son père …

Beaucoup sont venus pour les féliciter, même cette vieille dame qu'ils appréciaient beaucoup car elle était d'une gentillesse et d'une bonté comme nul autre personne, et avait du mal à marcher. Elle avait était la première à venir les voir, comme en bon voisin qu'elle était. Il s'était crée un lien entre eux et ils se voyaient régulièrement pour lui amener à mangé du marché vu ses difficultés de déplacement, ou tout simplement pour discuter. Alors quand elle est venue pour voir les bébés elle en avait eu les larmes à l'œil. Le père des enfants a sortie une blague disant qu'ils l'appelleraient 'grand-mère' et bien entendu en bon blagueur qu'il était, la vieille dame avait rigolé de sa voix légèrement casser et sa femme lui avait donné une légère tape sur le bras avant de la reconduire gentiment chez elle.

Et pourtant cette famille n'était pas normale aux yeux des gens du village … S'ils savaient !

En réalité ils avaient raisons sur se point, car bien cacher dans leur maison, on n'y trouvait pas des livre de romans à l'eau de rose, ou d'aventure, de biographie d'homme politique ou encore de cuisine. Non. On y trouvait beaucoup de grimoire, d'ancien livre, qui relatait tout sur de la magie, de potion, de sortilège, de créatures … On n'y trouvait pas non plus de micro-onde, ou de télévision, ni de magnétoscope ou autre objet high-tech.

Ici, tout ne marchait pas comme chez tout le monde. On utilisait un bâton plus ou moins long et les objet bougeaient tout seuls, ou alors la vaisselle se nettoyer d'elle-même, ou encore si un plat était froid, un coup de bâton et tout se réchauffé en même pas une seconde.

Il y avait aussi se système bizarre qui consiste à parler dans une cheminer après avoir lancé une poudre noir, et une voix nous répond. Ou encore à voir une personne à une place qui disait « Je parts !» dans la demi-seconde qui suivait, elle n'était plus là.

Alors oui cette famille était bizarre, car ils étaient tout simplement des sorciers.

Oui oui, des sorciers. Les bâtons étaient leur baguette magique et tous en avaient une. En disant un sort, un jet d'échappait de la baguette pour toucher la chose ou la personne qui était ciblée et la poudre pour la cheminée s'appelle « poudre de cheminette » et consiste à appeler une personne sorcière dans sa cheminer et discuter entre eux, ou encore à se déplacer d'une cheminer à une autre par se moyen.

Et pour tout vous dire, cette famille n'était pas non plus n'importe laquelle. C'était les Potter.

James Potter avait épousé Lily Evans, fille de moldu, comme les sorciers les appellent, ou personne sans pouvoir magique. Et ensemble ils s'étaient mariés pour le meilleur et pour le pire.

Pour le meilleurs car ils avaient à présent deux beaux enfants et une famille complète, une belle maison et des amis fidèles. Il y avait tout d'abord Sirius Black, qui avait était désigné comme parrain de leur fils, nommé comme il se doit Harry James Potter, suivi de Remus Lupin, désigné lui comme parrain de leur fille, nommée Lyne Lily Potter, puis enfin de Peter Pettigrew, désigné lui comme gardien des secrets de leur maison.

Et pour le pire, car ils ne savaient pas ce qui les attendaient quelques mois plus tard.

Il c'est avéré que Peter n'avait rien de bienveillant, ni de gentil, ni quoi que se soit d'autre d'ailleurs. Jaloux de ses amis qui étaient plus fort que lui, qui étaient plus 'populaire' que lui, il vendu ses ami à un être sombre de magie noir et qui ne veux que la destruction des moldus qui selon lui ne servent à rien ainsi que des sangs mêlé (qui distingue un enfant née d'un sang pur et d'un né moldu) et tous ceux qui de son point de vu ne mérite pas d'être proclamé comme sorcier et gâche le vrai pouvoir d'un sang pur.

Ce sorcier un peu tordu et très puissant se faisait appelé Voldemort. Un nom qui peu faire frissonner la colonne vertébrale et dressé tous les poils de votre corps rien qu'a l'entente de se nom, c'est pour cela qu'il avait différents surnoms comme « Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom » ou encore «Tu-sais-qui ». Malgré cela, on avait tous peur de lui, car il était puissant et recruté avec lui d'autres sorciers qui pouvait le servir que l'on appelait 'Mangemort'. Ses sorciers n'étaient que des sangs purs pour honorer le vrai pouvoir qu'était la magie.

Pour que la vie de la famille bascule à se point, fait tout d'abord référence à cette fameuse prophétie qu'avait entendu l'un des Mangemorts du mage noir disant qu'il y avait un enfant, né un 31 juillet, qui pourrait le battre dans sa quête du pouvoir. En entendant ses paroles, Voldemort était entré dans une colère noire. Et un soir d'octobre alors que la mère préparait à manger pour tout le monde et que le père allait chercher les enfants, une détonation fit exploser leur portail à l'extérieur, faisant allumer toutes les alarmes de la maison.

Ni une, ni deux, le père était descendu cherchant du regard sa femme qui avait accourue elle aussi devant la porte de la maison. James ordonna à sa femme de monter protéger leur enfant comme il se devait en dernier recours. D'un hochement de tête elle monta les marches des escaliers quatre à quatre pour entré dans la chambre, là où les deux enfants étaient en train de jouer ans un des lits. Quand ils l'avaient vu ils avaient tous de suite tendu les bras pour que leur mère puisse les prendre, parce qu'ils avaient faim et ils savaient qu'il était presque l'heure de manger.

Se fut arrivé devant le lit qu'une nouvelle explosion retentis à l'entré faisant vibrer la maison. Sur le coup les deux bébés commençaient à pleurer, car ils n'avaient jamais entendu autant de bruit, sauf pour les feux d'artifices qu'ils avaient déjà vu, mais ils ne faisaient pas autant de bruit et n'étaient pas dans la maison. Plusieurs cris en bas et plusieurs explosions plus ou moins forte, Lily prit dans un des tiroirs de la bibliothèque des enfants deux pendentifs se ressemblant. Une fée y était représentait et portait un saphir pour l'un, une émeraude pour l'autre. Elle mit d'abord celui à l'émeraude au coup de sa fille avant de la prendre dans ses bras et de calmer les enfants en leur mettant un doigt sur la bouches et ils avaient comprit qu'ils ne devaient plus parler, malgré les larmes qu'ils avaient versés.

Mais en bas, il n'y avait plus aucun bruit, et on entendait quelqu'un monter les marches, puis arrivé sur le palier, cette personne commença à prendre la première porte à droite avant de tout détruire à l'intérieur. Comprenant que son mari n'était plus de se monde Lily pleura en silence avant de déposer Lyne dans le lit avec son frère qui lui prit la main. Elle couru alors à la porte tentant de la fermer, mais à se moment là elle se retrouva avec une paire d'yeux rouge comme le sang et un sourire pour le moins effrayant. En criant elle tenta désespérément de fermer la porte avant qu'elle ne vole en éclat, et les deux enfants recommencèrent à pleurer. C'est quand la voix rauque de Voldemort retentit qu'elle savait que tout était perdu.

_ « Ma chère Lily, tu es une gêne dans mon projet de se soir, ainsi que tes deux immondes choses qui te servent d'enfant. Traites de leur sang ! » Cria-t-il à la fin de sa tirade.

Alors il lança le sort de mort à la mère qui hurla le nom de ses enfants avant de tomber raide morte. Les enfants crièrent de plus belle, se qui fit tirer une grimace au mage noir avant qu'il ne dirige sa baguette vers le lit, où il renvoya le sort de mort avec un rictus qui le désignait comme vainqueur.

_ « Avada Kedava ! »

Mais au moment où il s'y attendait le moins, une lumière enveloppa la petite fille jusqu'au garçon avant qu'il ne voit son propre sort rebondir sur cette lumière et revenir vers lui. Son sort le toucha avant qu'il ne hurle et ne partent en fumé, laissant un amas de cendres derrière lui, et ses robes de sorciers à moitiés brûlé.

Mais dans le lit, il ne restait plus que le petit Harry qui pleurait. Où était passé sa sœur ? Pourquoi sa maman était-elle allongée par terre ? Et cet homme grand qui lui faisait peur était lui aussi parti. Mais il avait faim, et sa maman était en train de lui préparer à manger pour lui et sa sœur, et son papa était aussi descendu. Alors pourquoi ne remontait-il pas ? Et sa maman, il avait beau dire 'Mama' de sa voix triste, son visage baigné de larmes, sa mère ne se relevait pas. Son visage était tourné vers lui, il voyait des larmes qu'elle avait versé, et se petit collier qu'elle tenait dans ses mains, la jolie fée qui tenait un saphir.

Elle aurait du lui mettre avant. Avant que tout ne soit perdu.