Salut à tous! me revoici pour une petite fanfiction en attendant la suite de Hohana, je sais c'est long, j'écris lentement lol et je vous avait promis une autre fic mais ma béta corrige lentement aussi lol (d'ailleur pour cette fic tu as la surprise en même temps que tous le monde belette! )
Ne nous traitait pas de grand mère on fait ce qu'on peut! lol. donc voici de quoi patienter en attendant, et pour les frustés de mon "cadeau manqué" sur Hohana, je pense, et jespère que je pense juste, que la BBC débloquera la vidéo quand le dernier épisode de sherlock sera fini de diffuser sur france 4, donc vous pourrez allez vérifier sinon, ba je pleure! voila! lol bonne lecture.
Chapitre 1
Il ouvrit les yeux à l'hôpital, ou du moins ce qu'il pensait être l'hôpital, une grande lumière vive au dessus de ses yeux lui brouiller la vue. Des morceaux de souvenirs lui revenait en mémoire, il était sur ce toit, Jim Moriarty venait de se tirer une balle dans la bouche, ce jeux stupide entre eux, à celui qui planifierait la fin de l'autre le premier. Il avait pris Jim pour un petit génie, peut être même plus douer que lui, mais heureusement pour lui, il avait planifié sa fin sous le nez et la barbe du plus grand criminel de son temps.
Oui il avait tout prévu, sa chute et son appel à John. Il devait disparaitre pour protéger tout ce à quoi il tenait, John, madame Hudson, Lestrade, son frère, même son frère devait croire à sa mort, lui qui devait certainement se morfondre dans son Diogène club abattu par les remords. Il savait ce que son frère avait fait, il ne l'avait pas réellement trahi, il lui en avait parlé avant de dire quoique ce soit à Jim Moriarty, et il avait donné son accord. Pour faire bouger le lapin de son terrier il avait décidé de se sacrifier un peu.
Le reste il le devait à une seule personne, Molly Hopper, il apprécier Molly, la discrète et amoureuse Molly, depuis qu'il la connaissait il savait que même si il finissait vraiment tout seul, sans plus personne, il resterait au moins quelqu'un pour penser à lui quelque part sur cette terre. Il était même surpris par ces propres mots quand il vint lui demander de l'aide, car oui pour une fois il avait vraiment besoin d'elle. Il avait surtout peur qu'elle ne soit pas d'accord, avec tous ce qu'il lui avait fait subir sans vraiment le vouloir, il avait encore la soirée de noël en tête, il s'était demander plusieurs fois ce qui ne tournait pas rond chez lui.
Il ne souhaiter pas faire de mal aux gens mais invariablement et de toute les manières il arrivait toujours à faire souffrir les personnes qui s'inquiétaient pour lui au lieu de leur en être reconnaissant comme toute personnes normales ferait.
Etre normal, il ne savait pas être normal, c'était un personnage qu'il n'arrivait pas à jouer, et pourtant John lui avait soufflé pas mal de chose….John, il en avait mal au cœur pendant que des infirmières et des médecins s'affoler autour de lui. Il lui manquait déjà son meilleur ami, son seul ami, le reverrait t'il un jour ? Oui il l'espérait, il avait besoin de disparaitre c'était momentané, pas pour toujours, la tache allait être longue avant de mettre le colonel Moran sous les verrous lui et son fusil d'assaut.
Il aurait aimé prévenir John, lui dire au moins pourquoi il allait sauter d'un immeuble de huit étages, au lieu de chercher à casser l'image que son ami avait de lui.
Huit étages, il regarder toujours le plafond, les médecins s'étaient tranquillisés, les infirmières avaient disparus, il avait sauté de huit étages, il aimait tout ce qui était extrême mais la, il devait franchement s'avouer qu'il n'avait jamais eu aussi peur de toute sa misérable vie. La peur à l'état pur ! Le saut de l'ange sans parachute.
Il avait sollicité l'aide de Molly, il savait qu'il devait sauter d'un toit mais il chercher encore comment en sortir en vie, comment faire croire à John et surtout au tireur qu'il était mort, il avait l'impression de réfléchir au ralenti car au moment ou elle avait accepté de l'aider, elle avait déjà une idée génial pour lui sauver la vie. Il allait reconsidérer la capacité intellectuelle de Molly, elle était plus maligne qu'elle ne voulait le laisser croire.
Un camion poubelle prévu à cet effet avait amortis sa chute, il avait sauté avec une poche de sang qui selon les calculs de Molly devait se briser avec la force de la chute. Si il comptait bien, il avait fait deux chutes, une ou il avait atterri dans ce fichu camion poubelle et une deuxième ou il s'était à moitié trainé sur le bord du camion pour se laisser tomber sur le trottoir.
La première chute lui avait coupé le souffle, malgré les sacs poubelles présent en abondance, chuter de huit étages ne faisait pas du bien, surtout sans parachute ! La deuxième chute fut plus douloureuse, le bitume était dur et froid, et le camion assez haut. C'est à ce moment précis quand il se laissa tomber de la hauteur du camion sur le pavé qu'il sentit les premiers signaux de douleurs de sa chute.
Heureusement Molly avait beaucoup d'amie dans tout l'hôpital, ils étaient venu à temps avec un brancard pour éviter à John de s'apercevoir qu'il était toujours en vie, la poche de sang avait bien éclater, mais il devait avouer qu'une petite partis en plus devait lui appartenir, ho rien de grave mais il était secouer de partout, elle l'avait prévenu que ce ne serait pas une partie de plaisirs.
D'ailleurs la lumière était moins vive par ici, on devait l'avoir déplacer dans une chambre. Il tourna la tête vers la fenêtre, il y avait une chaise et une petite table, Molly s'y trouvait elle remplissait les dossiers de ses patients en le veillant, encore et toujours présente malgré tout, qu'est ce qu'il ferait sans elle ?
Son frère dirait surement que c'était la femme qu'il lui fallait. Son frère, il a beau se disputer constamment avec lui, il n'aimait pas être certain de savoir à quel point il devait être attristé de sa « mort », lui qui ce faisait un devoir de le protéger depuis qu'il était né. Sa lui faisait mal de savoir son frère triste. Il voulait le voir, rien que pour lui envoyer quelque pique bien sentis sur son stupide régime, rien que pour lui dire qu'il allait bien.
Et cette pauvre madame Hudson, il pouvait la voir dans sa tête, serrant un mouchoir et pleurer, pleurer comme il l'avait retrouvé une fois à Baker Streets couverte de bleues, un pistolet sur la tempe, ce jour la le fameux « cambrioleur » était tombé par la fenêtre de moins d'étages que lui il y a quelque heure.
Il tenta de bouger ses membres mais cela lui fit atrocement mal, il n'avait pas de plâtre c'est la première chose qu'il observa, non, à la place il avait des atèles, une au poignet gauche, et une qui lui enserrerait deux doits de la main, l'autre main il n'avait que quelque bandages pour couvrir une belle écorchure, il avait une atèle à la cheville droite et quelque bandages qui le serrait au niveau de l'épaule. Il se sentait comme courbaturé, chaque mouvement, même infime lui arracher une grimace, Ba après tous il pourrait se vanter plus tard sur le blog de John qu'il avait survécu à une chute d'immeuble !
Il cessa de penser à John, avec difficulté il cessa de penser aux autres qu'il avait laissés derrière lui pétri de chagrin. Il avait déjà assez mal comme ça, le seul réconfort qu'il avait était qu'il n'avait pas tous perdu, Moriarty était mort ! Il avait gagné la partie, et il lui rester Molly, il n'était pas seul au monde.
Celle-ci d'ailleurs tourna la tête vers lui et il pu lire le soulagement sur son visage de voir qu'il était réveiller, elle se leva et s'approcha de lui, vérifia ses constances vitales, il tenta de bouger ou même de parler mais cela lui était impossible, plus il voulait bouger et moins il y arriver tant la douleur le transperçait.
-ne bougez pas fit Molly d'une voix douce et basse, c'est fini, j'ai retrouvé le corps de Jim sur le toit fit elle, vous n'avez pas de blessures grave, vous allez pouvoir vous en remettre fit elle posant sa main sur son torse l'empêchant de bouger, regardez moi, si vous m'entendez clignez des yeux sa sera plus simple fit elle en passant une main sur son visage.
Il plongea ses yeux bleus limpide dans les siens et cligna une fois des yeux, elle souria et se leva pour partir, il réussi à attraper le pan de sa blouse avec une de ses mains bander, il n'avait pas assez de force pour l'empêcher de partir, mais elle sentit la pression sur le tissus, elle se retourna vers lui
-je….je ne veux pas être seul parvint t'il a articulé au pris de nombreux effort Elle acquiesça et resta près de lui.
Il resta deux semaines à l'hôpital, elle venait le voir tous les jours. Elle restait la seule qui savait que Sherlock Holmes était vivant, il était la sous une autre identité, elle avait tout prévue. Elle voyait défiler le reste de ses amis et même son frère, devant elle pour lui annoncer la triste nouvelle. Cela lui faisait de la peine de voir les gens pleurer, ils seraient tellement soulager s'il savait qu'il n'avait rien, que tout ça n'était qu'un plan, mais elle ne devait rien dire.
Au bout de deux semaines, Sherlock enleva ses bandages, il lui resta les traces de bleues pour rappeler sa chute, il avait toujours quelque courbatures et se posa le problème principal auquel Sherlock tellement pris par ses idées de revanche envers Moran et surtout tellement pressé de retrouver ses amis n'avait pas pensé, le logement, en effet, il n'était plus rien, il n'avait plus d'identité, et il était hors de question qu'elle le laisse vaquer dans la nature comme il voulait bien lui laisser entendre. Elle avait proposé de l'héberger chez elle, c'était assez petit mais sa ne la déranger pas, au contraire. Et puis elle était un peu plus éloigner du centre ville que Baker Streets, il pourrait à loisir se faire oublier pour un temps.
Molly vint donc chercher Sherlock à sa sortie d'hôpital, il avait accepter sans broncher, à vrai dire il n'avait plus qu'elle désormais, alors il s'était promis de se faire aussi petit qu'une souris, quand Molly lui faisait visiter son appartement tellement petit, tout en haut d'un immense escalier sans ascenseur, un vieil immeuble comme il en exister encore beaucoup dans les tréfonds de Londres à loyer abordable, très peuplé et très bruyant, tellement haut de plafond qu'il était presque impossible de chauffer correctement les pièces de l'appartement.
Molly avait toujours froid, il avait remarquer que chez elle, elle portait toujours 2 pulls sur elle et une bonne pair de chaussettes, comme si elle vivait dans un congélateur, il trouva amusant qu'elle préfère sa morgue à son appartement, au moins à l'hôpital il y avait du chauffage. Le chauffage ne gênait pas Sherlock, il avait pour ainsi dire le sang chaud, il n'était pas frileux, ce qu'il n'aimait pas trop c'était son ballon d'eau chaude qui une fois sur deux ne donnait plus d'eau chaude, il avait la surprise de prendre une douche glacé au moins une fois sur deux.
Et une fois sur deux il entendait les voisin de Molly se plaindre de leur malheur d'eau chaude quand elle descendait sur le pallier pour aller travailler, sa en plus de parler du beau temps. Les gens était si insignifiant pensait t'il mais entendre la petite vieille dame d'a coter parler à son chat toute la journée à travers la mince paroi de plâtre qui les séparer le rassurer, car quand Molly partait travailler il se retrouver seul, encore dans l'impossibilité d'exploiter un plan d'attaque tant que l'opinion publique ne s'était pas encore calmé sur son cas, même si il se déguiser n'importe qui avait encore son image en tête, il devait encore attendre, et l'attente allait être longue. Molly penser à lui sur son lieu de travail, avoir un homme chez soi alors que son appartement est aussi petit qu'une boite à chaussure n'allait pas être de tout repos, surtout avec Sherlock, ce genre d'animal de compagnie avait plutôt besoin d'espace, elle pouffa de rire toute seule, la comparaison était amusante.
Sherlock n'avait rien, pas de violon, pas de révolver, en fait rien qui lui appartenait, aucune affaire personnel, peut être quelque vêtements récupérer quand Molly était allé rendre visite à madame Hudson pour la forme, celle-ci la tête trop encombré par les dernier événements, n'avait rien remarqué et John était comme dans un état catatonique, ne voulant pas accepter la mort de son ami. Elle avait avancé à travers ce champ de bataille et avait subtilisé quelque affaire, mais à pars ça, il n'avait plus rien, il se sentait parasite, inutile, il tournait en rond toute la journée.
Le soir venu c'était poser le problème de dormir, Molly n'avait pas de deuxième lit et son canapé était vraiment trop petit pour supporter sa taille, heureusement elle avait un grand lit 2 places, c'est après avoir balbutier quelque mot toute rougissante pour l'inviter à dormir avec elle qu'il accepta, il accepter tout sans rechigner, sans rien dire d'ailleurs, Molly était inquiète, elle n'avait pas entendu sa voix depuis un certain temps, quand elle lui parlait il se contenter d'hocher la tête.
Il pris place dans le lit à ses coter, quand elle ferma la lumière et se coucha sur le coter en lui souhaitant bonne nuit elle l'entendit soupirer, elle savait bien qu'il fallait que tout ceci cesse au plus vite, mais la tournure qu'avait pris les événement avec la presse et tout ces article et ses photo de lui compliquer dument la tache. Et puis elle était heureuse d'avoir l'homme dont elle était amoureuse sous son toit et dans son lit, même si elle n'attendait rien de lui, cela lui réchauffer le cœur de ne pas être seule chez elle, elle se sentait utile pour une fois.
Sherlock regarda le plafond et écouta le moindre bruit, et du bruit il y en avait : la télévision de la vieille dame d'a coter, les jumeau sur le pallier d'en face qui devait avoir entre 6 mois et 1 ans qui pleurer la nuit à cause d'un tout autre bruit qui empêcher Molly de dormir, en fait cela empêcher tous l'immeuble de dormir. A un étage, il ne savait pas encore lequel, peut être plus haut, il devait y avoir des appartements dans les comble de l'immeuble, un groupe de rocker un peu métalleux faisait tout les soirs la fête, le bruit des enceinte et de la musique métal résonnait aux oreilles de tout l'immeuble, faisait pleurer les enfants, et aboyer le chien dans la rue,
En face des immeubles s'éparer par un jardin d'enfant aussi petit qu'une canisette pour les chien, aligner parfaitement comme une barre, il y avait des petites maisons. Construction strictement identique dont les habitants avait payé à crédit sur au moins 35ans pour pouvoir un jour être propriétaire de la même maison que tout leur voisin alentour. Ses personne possédait un petit lopin de terrain aussi grand que la salle de bain de Molly selon Sherlock, à chaque lopin de terre un chien, qui commencer à aboyer chaque fois qu'un de ses congénaires s'y mettait rajoutant encore des décibels au bruit ambiant.
Mais au moment ou Sherlock pensait que la limite était atteinte, d'autre bruit se faisait entendre, un voisin des lotissements apparemment mécontent des chiens aboyant était sortis dehors hurler son mécontentement à son voisin qui sortis aussi. Quelques heures plus tard le bouquet final à cette explosion de décibel, les sirènes de la police, et ses gyrophares qui emplissaient la chambre de Molly d'une lumière bleue clignotante. Comment faisait-elle pour dormir dans tout ce tintamarre qui se répétait toute les nuits, au bout de la deuxième nuit, il cru devenir fou, mais généralement la police faisait taire le bruit jusqu'à la prochaine nuit.
