Bonjour à vous chers futures lecteurs / lectrices ou simples passants qui a cliqué sur la mauvaise fictions. Ne t'inquiète pas je sais que cela est grisant et je suis désolé pour toi. Mais, tant que tu est la, pourquoi ne pas jeter un coup d'œil ( Non, je ne profite pas du tout de la situation, c'est faux ). Puis, ça devrait aller, personne ne va tuer ou manger quelqu'un ( on est pas cannibale, quoi que pour certain faut douter ).

Sur ceux, bienvenu sur cette nouvelle fiction, ma toute première d'ailleurs ( s'il vous plait ne me tuait pas ). Je préfère vous prévenir tous de suite, l'orthographe et moi, c'est comme l'huile et l'eau ça ne se mélange pas. Cependant, je vais essayer de ne pas détruire la langue française ( enfin juste un peu, quand même ).

Bien entendu, l'univers et les personnages de One Piece ne m'appartiennent pas, malgré mes nombreuses prières ( monde cruel et vie nul ). Seul mes deux petits OC's sortent de mon cerveau déjanté. Sur cela, je vous souhaite une agréable lecture ( ou pas ). En espérant que je ne trouve aucun de vous devant ma porte demain matin avec un fusille ( prenait une licorne, ça fait cent fois plus peur ), car j'ai détruit le français et votre innocence avec ma folie.

Allez, maintenant entrer dans mon instable esprit et accrocher vous pour ne pas sombrer dans les abysses de l'enfer.


Dans une rue, sombre et étroite. Deux silhouettes couraient en silence, seules et perdues. Leur souffles difficiles et saccadés envahissez le calme ambiant. Leurs ombres, petites et chétifs se déplaçaient sur les murs des nombreuses hautes maisons qui défilaient devant-elles. Leurs cheveux voltigeaient derrière eux au rythme de leurs course effrénée. Aucune des deux ne s'arrêtaient, elles couraient, à en perdre allène, fuyant un ennemi invisible et cachant la peur naissante aux tréfonds de leurs âmes.

La ville était silencieuse et l'atmosphère pesante, aucun bruit ne parvenaient aux oreilles, aucun mouvement, aucune vie n'était présente. Le claire de lune baignait l'endroit endormi paisiblement. Les habitants aux cotés de Morphée avaient laissé la ville s'engouffrer dans les ténèbres de la nuit. Laissant l'occasion aux animaux nocturnes de faire surface et de chasser leurs innocentes proies. A première vue, rien de vraiment alarmant ne se tramait dans ses lieux. Seul l'atmosphère étouffante et la fuite mystérieuse de ces deux inconnues amenaient un sentiment de mal être énigmatique.

Soudain en une seconde, le silence sacrée se brisa et une vive lumière se propagea dans les ruelles laissant se réveiller la ville endormie dans un fracas monumentale.

Pas loin des deux ombres une explosion soudaine était apparue, détruisant une grande partie des bâtiments autour d'eux . La vif flash fit apparaître les fuyardes à la lumière aveuglante.

Les deux silhouettes étaient celle de deux jeunes filles âgées de 7 ou 8 ans. La première qui courait en tête avait des cheveux mi-long, rigide, d'un brun chocolaté qui frottaient l'air violemment à chacun de ses pas. Le haut de sa tête était cachée par une casquette ovale faite de cuir animal. Celle-ci était parsemait d'égratignures en tout genre, preuve du mauvais moment que passaient les gamines. Plus bas, on apercevait un fin visage représentatif de son âge. Il était clairement celui d'une enfant. Or celui-ci abrité deux prunelles représentant les profondeurs de l'océan, un bleu profond qui vous enferme et vous englouti sans que vous ne puissiez vous débattre. Un regard qui intime le respect à tous ceux qui le croise, celui qui vous fait tomber au sol en une seule seconde. Un regard fulgurant non approprié à un être dit innocent et sain.

Mais à cet instant, se regard meurtrier fuyait, trembler de peur face à la mort, face à la faucheuse qui planait autour d'elles. Néanmoins malgré la frayeur et l'anxiété présente chez la jeune fille, on apercevait derrière ses prunelles levées, sa force de caractère et sa détermination à vivre. La terreur présente devenait un carburant infini qui la faisait avancer sans se retourner et ceux en parfaite cohabitation avec la frayeur emprisonnant son âme.

A quelque pas derrière elle, sa camarade courait maladroitement. Au détriment de sa congénère, celle-ci se faisait engloutir par la panique environnante et manquait de lâcher à chaque nouveau pas. Les flammes les entourant faisaient briller ses longs cheveux blonds qui petit à petit viraient au dorés dans son dos. Elle les gardaient attachées en une vulgaire tresse à l'aide d'un long et épais ruban à la forme d'un papillon de nuit, qui manquait lui aussi de céder à tout moment. Son visage d'ange était apeuré et des larmes risquaient d'apparaître au coin de ses yeux, qui viraient tantôt au gris acier, tantôt au bleu céleste. Vous savaient celui des jour d'été où le soleil régnait en maître et annihilait les nuages duveteux ayant le malheur de se mettre sur sa route. C'est cette couleur que reflétait ses pupilles, le couleur de la douce joie qui ici se ternissait en froideur inégale.

Mais ce n'était pas tout, là où on voyaient dans le regard de son amie de la force, on n'apercevaient ici une crainte, frayeur, peur de la réalité. Cela plongeait la gamine d'en un état de panique incontrôlable, faisant fonctionner son cerveau à toute vitesse et tendre ses jambes qui avançaient, libres de leurs mouvements.

Toutes deux portait des vêtements simples. La premières avait un t-shirt bleu et un short noir comme le nuit, tandis que la deuxième portait un long débardeur brun noisette qui lui arrivait au genoux et un pantalon bleu marine collant sa peau en sueur. Ces bouts de tissus étaient sales et en lambeaux, laissant apercevoir une partie du corps des gamines. Celui-ci, ainsi que leur visage angélique étaient recouverts de boue séchée et de sang frais. Les petites étaient toute deux vaguement blessées, des coupures et des hématomes se manifestaient sur leurs frêles corps. En particulier chez la brune, qui possédait une longue plaie, qui partait de de son avant-bras, continuée sa route vers son épaule et se terminait près de sa clavicule. Son bras pendait mollement près de son corps, se balançant d'avant en arrière. La sang coulait et tachait les pavés de pierre, laissant une traînée rouge derrière elle. Mais la terreur de la petit fille était plus forte que la souffrance, empêchant son cerveau de voir le réelle étendu des dégâts et la forçant à continuer de courir.

Malgré leurs états plus que grave, les deux gamines avançaient sans jamais s'arrêter, dans les différentes rues de la ville en flamme. Des coups de feux fusaient l'air à côtés d'elles et des cris de désespoirs et de douleurs arrivaient à leurs oreilles. Les habitants en paniques tombaient tour à tour au sol, inertes.

A cette vision d'horreur depuis trop longtemps vue, la petite blonde craqua et pleura à chaudes larmes, arrêtant ses jambes. Ses forces jusqu'ici infini s'effritaient à la vue écarlate.

La remarquant son amie, se retourna et la tira à l'aide de son bras valide pour l'inciter à continuer .

-Courage El, nous devons les rejoindre, les prévenir. On ne peut pas abandonner maintenant, surtout pas maintenant. Ils ont besoin de nous, alors aidons les à tous prit! Souffla la brune d'une traite, essoufflée.

Au bout d'une bonne minute, la blonde passa son bras droit sur son visage et sécha tant bien que mal ses larmes, son cœur ne laissait aucun répit à sa poitrine et ses poumons la consumait de l'intérieur. Cependant, elle hocha tout de même la tête en signe d'accord. Elles n'avaient pas le choix et malgré les souffrances endurées, elles devaient continuer.

Les deux petites filles se mirent alors à accélérées, asseyant d'oublier les cris perçants autour d'elles. Tous ses événements les ébranlaient, leurs cerveaux d'enfants ne pouvaient assimiler l'importance de se massacre, préférant se fermaient tant bien que mal au moindres pensées funestes, les laissant courir désespérément.

Au bout d'un certain temps à esquiver les assaillants de la ville et à tracer à travers les ruelles, les deux amies sortir enfin du cauchemar de flamme. Leurs pas les amenèrent à une vaste forêt où elles entrèrent sans hésitation. Les cris au loin se perdirent peu à peu dans le lointain, calmant les fillettes, éclairées par le claire de lune. Lune qui était devenu sanglante, après que la fumée oppressante des flammes ne soit montée la dénicher. Celle-ci semblait maintenant plus menaçante et hostile. Elle était devenue signe d'un mauvais présage, d'un bain de sang, d'un enfer.

Tout en continuant leur chemin, les gamines remarquèrent une lumières au loin devant elle. Elles sourirent de toute leurs dents et une étincelle d'espoir traversa leurs prunelles, perdant ainsi leurs froideurs et devenant pétillantes. Elles accélérèrent en se rapprochant de leur objectif commun. Puis lorsque enfin ils arrivèrent à leur terre promise, la brune s'arrêta , la bouche ouverte et une expression choquée sur son si jeune visage. Son corps tremblait et ses yeux se ternir d'horreur.

-Ay, qu'est qu'y a, demanda timidement la blonde, pourquoi tu...,elle nu le temps de terminer sa phrase qu'elle se figea à son tour.

Devant-elles se trouvait leur maison, mise à feu. La petit bâtiment se décomposait silencieusement à la chaleur ardente des flammes. Tel un feu démoniaque, la braise dévorait chaque parcelle de bois, de pierre et de tuiles de la maisonnette ne laissant aucun répits à celle-ci. Les crépitements qui atteignaient les oreilles des fillettes se transformaient en une musique démoniaque, montrant l'enfer de l'endroit. Les poutres pourtant si solide se fracassaient au sol dans un bruit sourd, accentuant le cauchemar.

Mais ce n'étaient pas cela qui les avaient raidies, à l'orée de la clairière et devant le tourbillon furieux se trouvaient de longs et grands poteaux fièrement dressés. Ils portaient sur eux différentes silhouettes. Leurs yeux vitreux ne laisser aucun doute, il s'agissait bien de cadavres et pas de n'importe lesquels. C'était ceux d'enfants tous de bas-âges, ne dépassant pas les 10 ans. C'était leurs tendre et frêle camarades avec lesquels elles avaient ries et pleurées, les personnes qu'elles considéraient comme leurs seuls amis, leur famille.

Il devait y en avoir une bonne dizaine. Leurs corps traversés les piquets et étaient recouverts de liquides gluants et sombres. Des troues s'en doute causés par des balles et de longues estafilades allaient de bas en haut sur les silhouettes, décollant les différentes partie de leur corps de leur point d'origine. Leurs regards remplis de détresse étaient devenus morts, leurs âmes avaient quittées les corps précipitamment, laissant à la vue de tous cette expression horrible. Des traces de larmes séchées sur leurs joues montraient la peur, la tristesse et la souffrances émient par les gamins.

Choquée, le regard des deux amies dériva alors encore plus haut vers les cieux, tombant sur un autre corps, pendu. Celui-ci avait les yeux plongés dans le néant abyssal des ténèbres. Son corps ne ressemblait plus qu'à un vile morceau de viande. Les blessures nombreuses ne laissaient plus apercevoir une seule parcelle de son ancien corps, le laissant quasiment méconnaissable aux yeux d'inconnus. Le spectacle qu'offrait la scène était abominable, sauvage et épouvantable. Une scène qui vous retourne les tripes et tue à jamais votre innocence. Pourtant, les gamines reconnurent la damné à l'aide de ses pupilles si spéciales. En effet, ses yeux transportaient une couleur unique en son genre. Ils étaient écarlates, comme un rubis, comme le sang. Une seule personne sur l'île possédait ses yeux, cette personne était la meilleur chose qui leurs soient arrivaient, il était leurs sauveur, leur père.

Le petite fille blonde s'écroula au sol, vomissant, puis sanglotant. Son corps tremblait et était atteint de fort spasmes la faisant tourner petit à petit de l'œil.

-Non ce n'est pas...,barbouilla la gamine entre deux sanglot .

Ses larme filaient sur ses joues, touchant par la suite le sol boueux. Elle se recroquevilla sur elle-même en tremblant comme une feuille.

Son amie à ses côtés fit quelque pas en arrière, avant d'elle aussi s'écraser lourdement sur la terre. De lentes gouttes vinrent couler sur ses joues, plus silencieuses que celles de son amie. Son visage était figé dans un effroi sans pareil. Aucune des deux ne bougeaient, se laissant envahir par leurs sentiments et la musique démoniaque des flammes.

Leurs amis n'avaient en rien mérités se sort et encore moins leursbon père. Celui-ci était la bonté incarné, il n'avait jamais fait de mal à personne, n'aimant pas la violence de geste ou de parole. Il les avait même recueillis, eux les enfants des basse-villes, eux qui n'était rien, simplement de la misère et du désespoir. Pourquoi cela arrivait-il ?

Les deux gamines plongèrent dans un flux d'émotions et de souvenirs, perdus dans leurs sentiments. Incompréhension, peur , tristesse, rage, haine se battaient en elles, figeant le temps en un seul instant, celui présent. Personne ne pourrait dire combien de temps elles restèrent la à broyer du noir.

Puis, soudain, la brune se leva, un regard déterminé sur son visage. Elle sécha ses larmes rapidement de son bras et pris celui de son amie, la tirant vers les profondeurs de la végétation. Sous le choc la blonde ne réagis pas et se laissa aller, puis reprenant son esprit elle s'arrêta nette.

-Que fait tu, attend !

La jeune fille tira en arrière pour échapper à l'emprise de l'autre, ce qui ne fit que resserrer l'étreinte sur son poignet. L'entêtement de la blonde à essayer de repartir en arrière, fit se retourner la brune qui la fixa, yeux dans les yeux.

-NOUS NE POUVONS PAS RESTER ICI, cria elle. Nous devons partir, maintenant. Sinon nous mourrons et nous n'aurons servies à rien, si nous voulons les venger, si nous voulons servir à quelque chose nous devons partir. Je sais que père garde une barque cachée près des rochers au nord de l'île, nous y allons.

-Mais, nous ne pouvons pas las abandonner sur ses poteaux, nous devons...

-Nous n'avons pas le choix, Eléonie, trancha la gamine en fixant son amie dans les yeux.

Celle-ci tressailli sous l'entente de son prénom et le regard noir qui lui était adréssé.

-Je sais que c'est dur à accepter, mais ils sont morts et pleurer sur des cadavres ne les ramènera pas, El. Alors, à la place de se morfondre près d'eux, eux qui ne méritaient pas se sort, battons nous pour les venger. Mais pour cela nous devons vivre et à n'importe qu'elle prix, déclara la brune avec un calme étonnant, au vue de la situation.

A cette annonce la dénommée Eléonie serra fortement ses poings, qui s'ouvrirent et déversèrent leur liquide. Elle voulait crier et encore espérait, se fermer à la dure réalité et pourtant elle ne le pouvait pas, elle le savait. Elle retira sèchement son poignet de l'emprise qu'exerçait son amie avec une force nouvelle. Puis, elle commença à courir de toute ses forces, sous le regard surprit de la brune qui décida de la suivre en silence.

Les gamines repartir dans une course effrénée, le visage bas, sans un mot. Elles continuèrent en direction de la côte du nord, de la mer, de la sécurité. Malgré la peur, la fatigue et leurs différentes blessures, les deux jeunes filles n'abandonnèrent pas et arrivèrent au bord de la mer après un bonne heures à entendre les cris de la ville se volatiliser de plus en plus dans le lointain. Leurs corps se tordaient de douleur et leurs esprits, déchirés, les avaient abandonnés depuis bien longtemps. Sans un bruit elles se dirigèrent vers un énorme amas de rochers, cherchèrent un peu en escaladant ici et là pour enfin trouver une barque cachée à la vue de tous. Elles sautèrent dans l'eau glacée de la nuit sans un remord et nagèrent jusqu'à atteindre l'embarcation. Elles eurent du mal à monter dedans, mais en s'aidant l'une l'autre elles y arrivèrent finalement.

En reprenant leurs soufflent faibles, chacune prit une rame. Elles étaient exténuées et trempées, pourtant les deux jeunes filles ramèrent sans sourciller. Leurs différents blessures s'aggravèrent au fil des mouvements, ce qui ne les atteignirent pas, leurs seules pensées se dirigeant vers le cauchemar réel qu'elles vivaient.

Elles quittèrent la côte sans un bruit. Allant de plus en plus loin dans le vaste océan de North Blue. L'étendu des dégâts était maintenant visible à leurs yeux morts, ternis par le manque de sentiments. Un énorme incendie s'échappait de la forêt et de la ville. Seule les flammes étaient visibles de si loin. Il n'y avait plus aucun cris depuis longtemps, tout les habitants avaient sans doute était décimés par les assaillants.

Ces hommes que maudissaient maintenant les deux enfants, ceux qui avaient tué leur famille, leur amis, toute les personnes qu'elles connaissaient de loin ou de près. Ceux qui allaient hanter à jamais leurs pires cauchemars. Ceux qui étaient habillés de bleu et de blanc. Ceux qui portaient tous les même chemise, les même casquettes bleues, les même armes, sabres et pistolets. Ceux qui étaient représentés par la mouette bleu, volant fièrement sur leurs drapeaux. Ceux qui étaient censés être la justice mais qui étaient de viles démons, assoiffés de sang et de chairs. Ceux qu'on appelaient communément dans le monde entier, les Marines, les protecteurs ou plutôt les tueurs.

-Nous les vengerons, souffla la brune mélancolique et emplie de haine.

Son amie leva son regard grisâtre sur elle et regarda un instant le lointain qui s'offrait à leur vue.

-Tu as raison Aydine, mais pour cela, comme tu la si bien dit tous à l'heure nous devons devenir plus forte et nous battre pour survivre jusqu'à se moment tant attendu, jusqu'à cette vengeance qui siffle à nos oreilles.

La brune étonnée qu'on lui réponde et surtout d'une tel manière, tourna vivement sa tête vers son interlocutrice. Tout à coup, en croisant leurs regards, elles reçurent une sorte d'électrocution et comprirent instinctivement la suite. La jeune blonde tendis alors sa mains gauche à son amie qui la pris sans hésitation , scellant un pacte éternel et incassable entre elles.

-Nous le promettons, aujourd'hui et à jamais, prononcèrent-elles d'une même voix.

D'un coup, comme si le ciel lui même avaient entendu leur pacte, un orage éclata dans le ciel, faisant tomber de lourdes gouttes à sa suite, trempant l'embarcation et les gamines. D'un même geste elles regardèrent une dernière fois leur île partir en fumer, avant de se retourner vers leur avenir, vers leur vengeance.


Et voilà, mon petit prologue est terminé ( petit ?, cette notion est étrange ). J'espère sincèrement que cela vous à plus ( ou juste que vous êtes encore la pour lire mes conneries ).

Pour en revenir à cette fiction, celle-ci vient tout droit de mon esprit. Il est donc normale si certain d'entre vous trouve se prologue bizarre, flippant, voir même chelou et ses réactions son humaine. Vous n'êtes pas dans mon cerveau ( vous ne voulez pas y être, croyez moi ) et comprendre l'entièreté de mes délires vas être difficile. Cependant, je garde espoir à vous revoir dans le premier chapitre qui ne devrait pas tarder. Sur ceux, je vous souhaite une bonne continuation et au plaisir de vous retrouver.