Chapitre 1
Nouvelle vie
C'est un jour d'été que je l'ai rencontré. Alors que je déblayais les cartons de ma chambre , je l'ai vu, là, par la fenêtre; il traversait la rue. Je m'en contrefichais au début, je le trouvais juste aussi froid que moi. Sur son visage aucune expression particulière, juste cet air hautain qui vous donne envie de lui abîmé son joli minois.
J'ai finalement détourné le visage de la fenêtre; après tout j'avais des cartons à défaire ainsi qu'une chambre à monter. Deux heures passèrent avant que ma sœur me sorte de mon emménagement arrivant à l'encadrement de la porte l'air blazé.
- Gaara ton frère aimerai te voir une minute dans le salon et moi aussi
- Mmh
La voyant s'en aller tranquillement, je range un paquet que j'avais dans les mains puis la rejoins en bas dans le salon où ils étaient déjà tout deux installé sur le canapé me regardant attentivement.
Je m'assois attendant la sentence et c'est mon frère qui prend la parole.
- Hum Gaara nous t'avons trouver une école … Bien sur elle n'est pas privée comme tu le souhaitais. Nous en sommes désolé mais ils ont refusé ta candidature. Tu seras donc obliger de te coltiner l'école public.
J'avais le cœur serré à cette annonce. Les écoles publics ne m'ont jamais réussi. Ma sœur me sort tout de suite de mes pensées.
- Mais l'avantage c'est que c'est à côté de chez nous tandis que pour l'école privée il faut deux heures pour y aller. Tu as déjà assez de cernes comme ça pour qu'on en rajoute, tu n'as pas besoin de te levé tôt.
- Mh ...
J'étais tout de même déçu il ne me restait plus qu'a prié un miracle pour que mon année scolaire ce passe bien..
- C'est bon Gaara tu peux disposé et n'oublie pas de te reposer je te trouve pâle.
- Témari tu sais très bien qu'il est toujours pâle.
Je remonte dans ma chambre péniblement continuer mes cartons. Déjà que je n'étais pas gaie, cette annonce à la don de me refroidir encore plus si ce n'est possible.
Demain je vais avec Témari acheter mes fournitures scolaire ainsi que mes uniformes. Demain sera une longue journée...
Samedi onze heure du matin
Je me lève, m'étirant tout du long avant de bailler tel un ours de mauvais poil, je descend de mon lit repérant les meubles et les quelques endroits de la pièce. C'est vrai que je ne suis plus dans mon ancienne chambre, c'est mon nouveau chez moi ici maintenant. J'ai intérêt à m'y faire.
Je descends les escaliers toujours peu sûr de moi, tout est nouveau à vrai dire.
- Gaara!
Je me dirige vers le salon à l'entente de la voix de ma sœur.
- Gaara on s'en va dans une heure dépêche toi de prendre ton petit déjeuner et de t'habiller.
Une heure plus tard j'étais prêt.
En sortant de chez moi, marchant vers la voiture, je repère un square tranquille et bizarrement il me rappel mon jardin secret de quand j'étais plus jeune... Il n'y avait personne ce qui étrangement me fais sourire.
En montant dans la voiture je n'imaginais pas à quel point ma sœur pouvait être vulgaire au volant, même une pauvre et insignifiante petite mouche ayant eu le malheur de venir s'écraser lamentablement sur le par-brise avait eu droit à sont lot d'insulte pour sa vie future après la mort s'en était presque pathétique (inquiétant)
Arrivé au super marché les choses n'ont fait que ce compliqué tant et si bien que pour trouver une place de parking une trentaine de minute de recherche à suffit, rien que ça.
La liste de fournitures était longue le nombre de personne faisant la queue aux caisses également.
Moi et Témari nous sommes mis tout de suite d'accord pour faire le plus vite possible. C'est pour ça que le cadi se remplissait à vue d'œil et que nous étions déjà entrain de faire la queue dans l'immense file qui s'étendait devant nous. Sans déconner, j'arrivais même à m'impatienter moi qui restait d'habitude de marbre.
Témari à du lire dans mes pensées puisqu'elles se plaint à son tour enfin grogne surtout.
- Et alors on va pas dormir ici non plus!
- Témari... Calme toi.
Mais regarde l'autre conne là, dix ans pour passer un article de taille minime!
L'autre conne qui n'était rien d'autre que la caissière nous regarda d'un regard noir et pris encore plus de temps à passer les articles, ce qui ne plût pas à la plus part des personnes présente dans la file d'attente.
Une aura noir commençait étrangement à nous titiller Témari et moi. Sur ce coup la bravo non seulement la caissière prend encore plus de temps mais en plus l'atmosphère semble encore plus tendue qu'avant.
Finalement c'est une heure plus tard que nous sortons du magasin, exténué et irrité à souhait.
On rejoint la voiture, pleins de paquet à la main.
- Humpf! Maintenant que tu as vu ce que je vis au maximum tout les jours , toi et ton frère arrêterez peut-être de manger comme des singes!
Ah la bonne blague ce n'est pas moi qui ai ouvert mon clapet..
Sur le chemin du retour, le paysage défilait et mon estomac criait famine.
- Qu'est ce qu'on mange?
Je la regarde du coin de l'œil voyant son visage se déformer.
- Vous les hommes c'est bien tout! Ce que vous avez à la bouche qu'est ce qu'on mange?
- Et si je répond, de la merde? Ça change quelque chose?
-... Oui..
Évidemment cette conversation ne mènera à rien, je décidais donc de calmer le jeu en me taisant
Arrivé à la maison elle semblait déjà bien plus calme.
- Hey! Des voisins viennent nous rendre visite ce soir. Ce qui est très aimable! S'exclame- t-elle
- Ben voyons.. Dis-je blazé
Je l'aidais quelque peu à ranger les courses dans la cuisine avant que mon frère de ne débarque tout sourire dans la cuisine .
- Cool vous avez fais les courses, voyons voir ce que je peux grignoter…
Témari regardais mon frère d'un œil mauvais, grommelant que pour faire les courses il n'y avait personne mais que pour dévaliser tout ce qu'il y avait dans les placard la y avait du monde.
Je ne me soucis guère de ce qu'elle dit même si c'est aussi mon intention et me dirige vers ma chambre avec les sacs rempli de fournitures scolaire.
Je dépose les sacs sur mon bureau et tombe sur mon lit soupirant.
C'est après-demain la rentrée quand j'y pense on s'y est pris vraiment au dernier moment pour les fournitures. Alors que j'étais entrain de penser à ses mystérieux voisins qui viendront nous rendre visite ma sœur me sort de mes songes en m'indiquant qu'elle allait chercher mon uniforme pour demain ce qui ne me réjouis pas plus que ça. Je lui répond par ok et elle s'en va .
En attendant j'avais bien envie d'écouter de la musique donc je mis mon casque sur les oreilles et écoutais non sans avoir mis le son à fond...
Il était dix neuf heures lorsque je sortis enfin de ma chambre ma sœur était déjà renter et elle regardais à la télé une série complètement naze qui s'appelait Amour Gloire et Beauté.
J'allais me diriger vers la cuisine quand la sonnerie de la porte retenti, je me dirigea pour l'ouvrir et vis trois personnes ce tenant devant moi entrain de me dévisager. Je les dévisageais à mon tour avant d'ouvrir la bouche.
- Oui bonjour c'est pour?
L'homme plus vieux, je dirais d'une cinquantaine d'année me répondit avec un petit sourire
- Bonjour, je me présente je suis Fugaku Uchiwa voici ma femme Mikoto Uchiwa et mon fils, Itachi nous sommes vos voisins enchanté de vous rencontrer.
Je les détaillais du regard comme si ils étaient louche avant de céder.
- Moi c'est Gaara , Gaara no Sabaku, ravi de vous rencontrer, entrez.
Je leur fis signe d'entrer leur avisant d'enlever leurs chaussures avant de rentrer; et je leur présenta à ma famille.
Ma sœur qui était aspiré par son feuilleton sursauta légèrement lorsque je me mis à la présenter
-Voici ma sœur Témari
Elle se leva prestement et sourit maladroitement.
- Heu... Enchanté de vous rencontrer, je vous en pris installez vous. Dis- t-elle en désignant le canapé.
Ils prirent place dans le canapé et ma sœur appela mon frère Kankuro d'une voix forte ce qui fis sursauté nos invités
- Kankuro! Déscend vite il y a les voisins qui sont arrivés!
Je la regardais exaspéré et vint m'asseoir à mon tour dans le canapé en face des invités.
Kankuro était descendu aussi vite qu'il à pu c'est à dire lentement et il salua avant de ce présenter à son tour.
- Bon jour, Je m'appelle Kankuro, je suis le grand frère de Gaara et le petit frère de Témari. Enchanté.
Finalement tout le monde était installé, ma sœur était parti chercher quelques apéritifs et boissons, la discussion allait bon train. Jusqu'à ce que les regards ce tourne vers moi.
- Alors Gaara, c'est sa? Tu vas dans quel école dis moi?
Je regardais un instant l'homme plus âgé qui s'était présenté comme étant Fugaku Uchiwa,
avant de répondre que j'allais dans le lycée public de Konoha. Son visage s'embla s'éclairer tandis qu'il me répondis.
- C'est merveilleux, Tu vas donc dans le même lycée que mon fils cadet Sasuke.
Je fis semblant de m'intéresser alors que ma sœur s'extasiait en disant que c'était super.
- Ce sera peut-être ton premier ami, hein Gaara? Dit-elle.
Sûrement pas était ce que j'avais envie de répondre mais je me contenta d' acquiescé en faisant oui de la tête.
Ils sont resté près d'une heure à parler comme ça avant que la femme de Fugaku annonce.
- Ce serait vraiment un plaisir de vous recevoir un jour chez nous. Nous serions ravis de vous présenter à Sasuke.
J'avais envie de soupirer mais je me reteint car je sens bien qu'Itachi Uchiwa me détaille du regard il à même un petit sourire en coin l'air de dire je t'ai cerner.
Ça m'agaçait plus qu'autre chose donc pendant près de trente minute tout ce que je faisait c'était de lui lancer des regards noir mais ça avait juste l'air de l'amuser encore plus, ce que ça pouvait être chiant.
Finalement, Fugaku Uchiwa et ça petite famille prirent congé il était vingt et une heure. Nous les saluâmes au pas de la porte et décidâmes d'aller manger avant de se coucher.
Lundi sept heure du matin.
C'était le jour de la rentrée. Je me préparais en vitesse enfilant mon uniforme scolaire réglementaire et descendis les escaliers pour rejoindre ma sœur qui s'affairait dans la cuisine à préparer le petit déjeuner.
- Alors Gaara, c'est le grand jour?
Je la regardais d'un air morne soupirant. Oui c'était le grand jour. Le jour ou tout allait ce passé ou rien.
Si tu as faim mange bien, il faut que tu prennes des forces pour tenir pour cette journée.
Je mangeais l'air de rien, alors qu'au fond de moi cette rentrée me tiraillait. Allai-je pouvoir m'intégrer? Me faire des amis? Les gens allai-t-il parler sur moi comme à mon ancienne école ou bien me laisser tranquille? Allai-je avoir des ennemis? Autant de question qui se bousculait dans ma tête. Ça m'agaçait déjà, au final le meilleur que je puisse faire c'est garder cette neutralité et cette indifférence qui me caractérisait si bien.
Témari me prépara un bento que j'en fourrai dans mon sac d'école. Après ça je lui dis rapidement au revoir d'un salut de la main et parti n' attendant pas Kankuro qui aurait pu me souhaité une bonne journée.
Je marche sur le chemin de l'école l'air détaché et attend patiemment que les grilles soit ouverte pour y entré. Je prend le temps de détaillé le bâtiment en pierre jaune et les élèves qui s' agglutinaient devant la grille. Beaucoup sont heureux de reprendre les cours affichant un sourire à leur camarades. D'autre plus en retrait semble moins ravis ou juste dans l'indifférence de ce retrouver devant cette grille et ce bâtiment, dans tout ça je me faisais patient et attendais la fin des quelques minutes qui affecteront l'ouverture de l'établissement.
Une minute plus tard les grilles s'ouvrent semblant attiré la foule qui se mue vers l'école. Beaucoup de bruit s'élève et je marque mes pas sur les élèves qui semble ce déplacé vers une estrade situé dans la cour qui soit disant passant est plutôt grande.
Je m'approche moi aussi, mes pas m'emmenant à l'endroit qui semble attendre que tout les élèves ce soit stoppé devant l'estrade.
Quelques chuchotements s'élèvent plus ou moins évident.
Des questions tels que qu'est ce qui ce passe ou qu'est ce qu'on attend fuse de toute part.
Et c'est ce moment que choisi une femme blonde à la poitrine opulente pour se présenter. J'écoute attentivement.
Bonjour! Je suis Tsunade Senju votre nouveau proviseur. J'ai affaire ici à des étudiants qui vont étudier dans cette école qui ce nomme Konoha school. Je suis ici pour vous mettre en avertissement ici ce n'est pas une école pour délinquant et je n'accepterai pas non plus les élèves fantôme vous avez intérêts à suivre les cours et montrer du respect à vos professeur! Il à été placé des affiches devant l'entrée du bâtiment. Celle-ci contiennent votre classe et le numéro de la salle dans lequel vous aurez cours! Je vous pries de vous y rendre dans le silence. C'est tout ce que j'avais à dire. Je vous souhaite une bonne année scolaire à tous!
Et elle quitte l'estrade sur laquelle elle était placer pour ce diriger d'un pas ferme vers son bureau.
Au moins ça aura le mérite d'être clair, me dis-je.
Certains élèves commençaient déjà à bouger pour regarder dans quel classe ils étaient je fis donc de même, me faisant bousculer au passage par quelques imbéciles excité de savoir dans quel classe ils seraient.
Je regardais les fiches attentivement avant de trouver mon nom. Apparemment je suis dans la classe 3-B salle 215. Je m'y rend sans trop de difficulté appréciant d'être le premier à me retrouver dans la classe. Je mets mes écouteurs dans les oreilles attendant que les autres élèves ce décide à rappliquer.
Le temps ne fût pas long les premiers élèves arrivèrent. Je les scrutent du regard les détaillant. Il y avait une fille aux cheveux roses et aux yeux vert qui parlait à une blonde décoloré aux yeux bleu délavé elles étaient particulièrement bruyante à elles deux. Puis vint d'autres élèves, ils s'installèrent de part et d'autres. Moi j'étais au fond de la salle personne ne semblait l'avoir remarqué ce qui était tant mieux. Un garçon aux chevaux blond et aux yeux bleu pétillant avait fais son entré, il souriait à la fille aux cheveux rose qui avait l'air aussi enjoué que moi d'être ici de le voir, il ne cessait de lui balancer des Sakura-chan je suis trop heureux qu'on soit dans la même classe et autres connerie du genre.
Quand soudain toute la classe ce tût accueillant le professeur principale qui venait d'arriver.
Il était brun les cheveux attaché en une haute queue de cheval et une énorme cicatrice barrait son nez.
- Bonjour, je m'appelle Iruka Umino, je serais votre professeur principale durant cette année scolaire. Je vois que vous, vous êtes attribués vous même vos places; elle seront donc permanentes. Bien je vais faire entrer un élève, je vous prierai de l'écouter dans le calme. Tu peux entrer.
Tout le monde attendait que ce soit disant élève montre le bout de son nez, ce qu'il fit sans tarder.
Il entra dans la classe et plusieurs filles se mirent à glousser et jacasser bêtement.
- Bonjour, je m'appelle Sasuke Uchiwa, j'espère que l'on passera une bonne année ensemble.
Le prof lui désigna une place où s'asseoir. Évidemment c'était à côté de moi . Pendant qu'il avançait pour s'asseoir sa tête me disait quelque chose. Son air hautain et supérieur genre complètement déplacé me rappelait quelqu'un que j'aurais déjà vu, mais mon intérêt ce perdit assez vite quand en s'asseyant il me dit:
- Je ne suis pas là pour me faire des potes donc évite de m'adresser la parole et tout ce passera bien.
Je le regardais froidement avant de répondre d'un ton sec
- Tu ne m'intéresse pas.
Il sourit d' un air méprisant et sortit ses affaires avant de ce concentré sur son cours.
Mais quel con me dis-je intérieurement.
Le cours ce déroula dans le calme, le sale con comme j'aime à l'appelé maintenant ne parle pas du tout ce qui me va très bien.
Et en fin de compte la journée passe assez vite donc je commence à ranger mes affaires quand la sonnerie retentit et que le cours ce termine.
Je sors du lycée et prend le chemin de ma maison. Je n'avais même pas remarquer que le sale con prenait la même direction que moi, il marchait juste devant moi, quand soudain il se retourne et me lance un regard noir. Je ne soutient pas son regard et continue de marcher le dépassant. Je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon temps avec un merdeux pareil. Je l'entend reprendre son chemin derrière moi. Je tourne à un carrefour et continue de marcher jusqu'à ce que j'entrevois enfin ma maison. Je n'avais même pas remarquer que l'autre abruti prenais le même chemin que moi. Je rentre chez moi sans encombre et vais directement me changer dans ma chambre pour aller dans le square que j'avais repérer non loin de chez moi. Je mets un tee-shirt noir et un pantalon de même couleur, prend un bouquin enfile mes chaussures et vais dans le square où après une quinzaine de minute je repère un arbre pas loin d'un petit lac.
Je comptais m'y asseoir quand je vois Sasuke ce putain de sale con comme j'aime à l'appeler. Il remarque ma présence et fronce les sourcils.
S'il pouvait me lancer des éclairs avec ses yeux, il le ferait.
Je comptais m'éloigner chercher un autre endroit où me caler mais ce sale con m'a dit:
- Je rêve, tu me suis où quoi? Tu veux que je t'éclate la figure c'est sa?
Je fronce les sourcils à mon tour avant de lui parler
- Va te faire foutre, je ne te suivais pas, j'ai pas que ça à faire de suivre un demeuré prétentieux comme toi, tu peux toujours mourir du con.
Et là il ce jete sur moi d'un bond et me met son poing dans la figure. Je l'avais pas vu venir celle-la. Je me lève me tenant l'endroit où il m'avait frapper et mon sang ne fais qu'un tour; je m'élance sur lui.
- Enfoiré !
Je lui balance un coup de poing dans les côtes avant qu'on ne commence à s' agripper et à rouler dans l'herbe ce donnant des coups mutuellement.
C'est pas vrai ça! C'est seulement le premier jour et je suis déjà entrain de me battre comme un chiffonnier avec mon voisin de table qui plus est. L'année va être longue. Je lui donne un dernier coup avant de me relever essoufflé. Il était dans un sale état et moi aussi . Je saignais du nez et de la lèvre. On ce foudroie du regard près à recommencer mais je me détourne le premier de ce sale taré. Bien sur comme un demeuré j'ai oublier de prendre mon bouquin.
Je rentre chez moi plus qu'enragé et vais dans la salle de bain nettoyer mon visage qui était dans un sale état.
Demain si il me cherche des poux je lui éclate la tête, pensais-je complètement furieux.
Juste pour prévenir, je décida de manger avant que ma sœur et mon frère ne rentre et me coucher super tôt du coup.
Mardi six heure du matin
Le réveil sonne, j'ai super mal à la figure, j'ai un énorme œil au beurre noir et j'ai plein d' hématomes sur le corps, c'est donc avec le corps endolori que je me lève, je fais une grimace et me dirige vers la salle de bain prendre une douche. J'en ressort une serviette autour de la taille et vais mettre mon uniforme avant de descendre prendre mon petit déjeuner étrangement mon frère n'était pas là. Tant mieux, je pris un rapide petit déjeuner avant que ma sœur n'arrive. Si elle me voyait dans cet état son sang ne ferait qu'un tour et elle finirait de m'achever. Je pris mes affaires et me dirigea vers la porte chausser mes chaussures. Quand j'entendis ma sœur m'appeler, je fis le plus vite possible et sortit de la maison presque en courant.
J'étais pas très enclin à aller en cours avec ce qu'il c'était passer avec l'autre enfoiré mais il fallait bien que j'assure ma présence. C'est donc dépité que je me dirigeait vers l'entrée du lycée, n'étant pas du tout pressé d'aller en cours. J'arrive devant l'entrée de la salle où je devais me rendre et me stoppe en voyant que ce connard était déjà là, l'air de s'impatienter.
Il me voit et me regarde intensément. J'avais de nouveau envie de lui sauter à la gorge mais je me retint. Je me dirige d'un pas nonchalant vers ma place ne lui adressant pas la moindre attention.
Je sors mes affaires et sens son regard sur moi. Je le regarde à mon tour et constate que lui aussi à u œil au beurre noir et quelques traces de griffures sur le visage.
- T'as oublier ça..
Il me lance mon livre sur la table je le prend sans dire un mot.
T'es plutôt coriace, grâce à toi je me suis fais engueuler en rentrant chez moi.
Je le regardais n'affichant pas la moindre émotion avant de lui répondre.
- C'est toi qui m'a frapper en premier, tu ne peux que t'en prendre à toi même, maintenant si tu le veux bien cesse de m'importuner, je n'ai aucune envie de sympathisé avec quelqu'un comme toi.
Il me lance un regard noir avant de lui même sortir ses affaires et d'attendre que la classe ne se remplisse. Tout le monde nous regardais étrangement chuchotant des choses tel que «regardé, on dirait qu'ils se sont battus tout les deux»
Je n'en ai cure tout ce que je veux c'est oublié, oublié tout ces regards sur moi et surtout oublié ce Sasuke qui semble lui aussi s'enfiché royalement du regard des autres sur lui.
