Chapitre 1 : un quotidien banal

Une sonnerie retentie, la dernière de la journée. Elle annonçait donc la fin pour les élèves de l'école polytechnique Mishima. Alors qu'une ruée de pas faisait un bruit fort dans les couloirs, des blablatages mélanger au crie, au pleur et aux étonnements des élèves. Des soupirs et des craintes, c'était un mélange émotionnel adolescent que chacun supportait difficilement, ou comme il le pouvait. Au milieu de ce passage de la journée, au sein de la classe B-3, au deuxième étage de l'établissement, se trouvait toujours un groupe d'étudiant Qui au lieu de quitter tous de suite la classe s'afférait au rangement de cette dernière – comme chaque soirée, trois à cinq élèves sont choisi pour nettoyer la classe, ranger les déchet, effacer le tableau, ranger les chaises sous les tables, passer le balais, descendre les carnets…ect. Et alors que l'école se vidait en moins de dix minutes, ses élèves qui restait quelque instant dans la salle des B-3 n'était autre que Ling Xiaoyu, Miharu Hirano, Asuka Kazama et Emilie De Rochefort.

Alors que Lili, était assise sur le bureau du professeur en finissant de lire un livre, Asuka comme Miharu s'afférait au rangement de la salle et au nettoyage du sol. Xiaoyu avait pris les carnets pour les descendre en salle de professeur.

Avant que celle-ci ne s'en aille, leur dit professeur principale Mr. Thô leur pris de bien éteindre les lumières avant de quitté la salle, les filles répondirent positivement, puis le prof pris son sac en cuir de vache afin de partir rejoindre la salle des professeurs.

« Pfiouuu, j'en ai marre de tous ses livres de vieux, on n'a pas encore lu du Shakespeare ! Ni même du Molière. Lili remarqua cela alors qu'elle ferma son livre et sauta du haut du bureau du professeur.

– Ce n'est pas au programme de cette année, on n'est pas en littéraire tu sais, rétorqua Asuka, assez essouffler et énerver du comportement de La belle blonde qui ne les aidais pas du tout. Alors qu'elle passait le balai au sol, elle se redressa avec ce dernier et lança à l'égard de Lili. Et si tu venais nous aider non ?

– Ça ne va pas ! Et puis quoi encore, je n'ai pas demandé à être de corvée aujourd'hui.

– Personne ne l'a réellement demandé, Emili-san. Fit la douce voix de Miharu, tentent une énième fois d'apaiser les querelles insérant de Emilie et Asuka.

C'est toujours comme ça à l'école, et Ce depuis l'arrivée de Emilie. Elle n'était pas prête repartir pour la France depuis le 6ème tournois. Asuka ne savait pas quoi faire avec elle. Où elle allait elle trouvait Emilie sur son chemin, que lui veut-elle ? cherchait-elle un possible lien avec Jin. Cela semblait peine perdue en effet. Cependant plus le temps à passer entre les deux, et leur querelle était plus qu'amicale et bienvenue dans cette atmosphère bien morose depuis l'annonce de la guerre. Lili et Asuka était la preuve que tous pouvaient encore continuer normalement. Elles ne détestent pas après tout, mais il y a dans l'amitié, des divergences comportementales qu'Asuka ne supporte pas. Et à contrario, Lili déteste quand Asuka manque de grâce dans ses paroles, et qu'elle fonce tel un taureau sans cervelle dans les problèmes. Leur amitié était soudée et solide malgré cela. Elles pouvaient presque se compléter l'une à l'autre.

C'est exactement ce qui fit intérieurement rire Miharu, ce genre de querelle bien qu'ennuyeuse puisse qu'on peut les évités, la rendait heureuse. A l'inverse d'Asuka et Lili, Son amitié avec Xiaoyu n'était plus du tout comme avant. Bien évidemment elles sont toujours amies, mais maintenant Xiaoyu est plus sombre et distante, et cela depuis la fin du 6ème tournois.

– Exactement ! Fit Asuka d'une voix très contrarié. Elle s'avança vers le placard du fond. On est désigné au Hasard pour ne le faire point ! Pris un autre balai Ce n'est pas toujours nous, mais quand ça l'est, de l'aide serais le bienvenu ! Et fini de le balancer à Lili qui le réceptionna avec grâce.

Xiaoyu, voyait tout, mais ne dit rien, elle souffla intérieurement, se dirigea vers les carnets d'adresse de chacun et les prit d'un traite, une grosse pile dans ses bras, et lança aussi tranchante, alors qu'elle s'en alla :

– Je descends les carnets en salle des prof.

– Attend ! Fit Miharu, je vais t'aider ! Elle tenta pour la dixième fois de la journée, une réaction bienveillante.

– Non sa ira, je me débrouillerais toute seul Miharu. Xiaoyu était si monotone que son amie finit par se sentir blesser.

– Hé ho, tu sais, moi aussi je suis triste ! alors arrête de te comporter comme une enfant.

– Je vais simplement descendre les carnet Miharu.

– Tu sais, Lui est aussi est devenu sombre et distant, voit comment ça à tourner.

Miharu, était désespéré, cela faisait six mois qu'elle cherchait une réaction joyeuse de la jeune chinoise. En vain. Mair Xiaoyu, ce rappelle était de trop. Elle souffrait oui, elle aimait son amie oui. Elle aussi Jin. Elle à bien conscience que Miharu veut qu'elle redevienne comme avant, mais elle n'y arriverait pas, c'était son deuil. Mais ce rappelle fut comme une épée tranchante sur son coup, toute ses nuits à se dire qu'elle fut inutile pour le sauver et à pleurer.

– Et bien tue moi maintenant, sa évitera des années solitude. Elle fut sec et tranchant avant de quitté la salle n'oubliant pas de fermer avec force et fracas la porte, de son pied droit.

Miharu était un peu désemparer, une pointe de colère montait en elle, mais fut très vite remplacer par l'amertume. Elle reprit son activité de nettoyage en prenant le balai pour aider les filles. Elle s'attela à cette tâche avec force et cracha dans chaque coup de balais sa colère et sa tristesse. Cependant, elle fut arrêtée dans son activité. Asuka posa une main sur le pommeau du balai afin d'arrêter ses gestes, elle la regarda avec compassion mais aussi avec sérieux, et elle demanda alors :

– Vous parliez de lui, n'est-ce pas ?

Miharu se redressa droite, et regarda le sol. Soupira longuement et regarda de nouveau Asuka dans les yeux.

– Oui.

– C'est de Jin kazama dont vous parler ? Intervint alors Lili, poster à quelque chaise d'elles, et tenant son balai dans la main droite.

– Oui, ré affirma une nouvelle fois Miharu, ça fait quelque temps que tout le monde ici fait comme si de rien n'était, mais tout le monde sait qu'il était dans cette école avant, et ils essaient de faire comme si de rien n'était. Elle, elle a juste radicalement changé son comportement. Une pointe de tristesse tomba de son œil, et rendit sa voix aigüe et tendus. Elle ne pouvait pas faire comme tout le monde…et tenté de reprendre une vie normale…

– Humm… Mouai. Fit Asuka. Mais disons que, ce n'est pas simple d'oublier ça. Enfin bref, à cause de lui, si tu savais toute les brimades que je me prenais à cause de mon nom.

– Je sais bien Asuka, les étudiant son parfois stupide. Miharu repris son balai et se remis au travail.

– Dite. Lili, s'attela à ranger les chaises sous leur bureau respective cette fois. Et à Elle, dans tout ça, c'est quoi son rôle ?

Asuka qui était revenu dans les rang pour balayer tous comme Miharu, se releva interloquer.

– Tu parles de Xiaoyu ?

– Oui ? Pourquoi elle a radicalement changé elle plus qu'un autre ? Lili fixait alors Miharu en recherchant une réponse.

– Euh…Et bien, si elle est….

Miharu ne savait pas si tout dire était une bonne idée mais Asuka et Lili était un maintien physiologique énorme pour elle. Elle réfléchit deux secondes puis souffla un grand coup avant de les fixer toutes les deux et de révéler alors :

– Si elle est à la Mishima High school, c'est parce que Jin lui a dit d'y entré.

– Sérieux ? Asuka semblait surprise. Ils se connaissait bien ?

– Mmm, Lili était aussi en plein réflexion. J'ai entendu dire qu'elle était la filleule de Heihachi Mishima ?

– Sérieux ? S'estomaqua une nouvelle fois Asuka, la main devant sa bouche. Elle se renfrogna et serra son poing. Elle n'est pas vraiment bavarde elle.

– S'il vous plait…Ne dite rien à propos de cela, elle n'aime pas du tout en parler. Supplia Miharu.

Asuka, la regarda avec un regard plein de compassion. Elle connait Miharu, et elle ne veut pas bousculer Xiaoyu, même si dès fois elle en crèverait d'envie, elle sait qu'il y a certain sujet que Xiaoyu a du mal à aborder. Elle s'enfermerais certainement dans une coquille sombre, et ferais comme s'il elle ne savait pas de quoi elle parlerait si elle lui posait des questions. En fait, si Asuka a dû changer d'école, c'est en partis pour savoir qui était ce Jin Kazama qui porte le même nom de famille qu'elle. De plus son père à plusieurs fois eu des réactions disproportionner lorsqu'elle lui avait demander s'il connaissait Jin. Et puis désormais elle sait en aillant regarder certaine photo que Jun kazama la mère de Jin était sa tante. Sa curiosité avait grandi en elle. Savoir qui il était et pourquoi il a radicalement changé, pourquoi il à déclarer la guerre au monde. Et qui était ses amis autrefois. Elle voulait apprendre à le connaître. Cependant, si elle désirait comprendre qui il était, elle ne voulait avouer à personne qu'elle s'intéressait à lui, qu'elle cherchait à le connaître. Pour elle, l'excuse c'était « il est peut-être de ma famille mais je m'en fiche je ne le connais pas et ne cherche pas à le connaître ». Son orgueil prenait tout de suite le dessus. Même face à Lili elle se refusait de lui avouer. Jin s'était présenter comme un abominable despote, alors qu'elle voulait la paix, derrière l'écran duquel elle le voyait il propageait le chaos. Cependant, en intégrant l'école, Elle dû faire face à plusieurs rumeurs concernant son nom. Certaine méprise entre elle et Jin. Mais au final pas grand-chose, non, ici le nom de kazama semblait très associer à celui de Ling. Des antécédant peut-être, 0 chaque fois qu'elle entendait parler de kazama elle entendit aussi parler de Xiaoyu. Y avait-il quelque chose. Elle ne le savait pas mais mourrait d'envie de le savoir. Cependant, s'approcher de Xiaoyu était difficile, jusqu'à ce qu'elle tombe dans la même classe qu'elle. Incroyable direz- vous, était-ce le destin ? Un bref moment Asuka pensait que si Xiaoyu était tomber dans sa classe ce n'est pas pour rien. Il fallait qu'elle prenne toutes les informations possibles pour comprendre sa relation avec Jin.

Elle s'est cependant et malheureusement tromper, Xiaoyu, elle ne la connaissait pas du tout, mais elle était aussi murée et enfermer qu'un âne qui refuse d'avancer. LA seule personne qui pouvait lui dire quoi que ce soit semblait être son amie Miharu, c'est comme ça qu'elle se lia d'amitié avec elle. Lili, Miharu et elle s'entendait plutôt bien.

Mais après cette petite dispute coriace entre les deux jeune fille, Asuka qui savait également la plus grande angoisse de Miharu, se pu s'empêcher d'être peiner. Il y a un ans, jour pour jour, les deux jeunes filles ayant raté leurs examens devaient recommencer leur année, cependant elles s'étaient promis aussi de continuer la fac avec la licence qui y était proposer en commerce. Elle s'était jurée d'y aller jusqu'au bout, ensemble. Et Xiaoyu le pense encore. Cependant il y a quelque mois maintenant, une école réputer d'Australie avait contacté Miharu ils étaient impression de sa performance lors d'un concours auquel elle a participé. Elle savait que c'était une chance inouïe et rêver. Elle y a murement réfléchi avec ses parents et avait accepter. Seulement, elle ne pouvait pas non plus oublier la promesse fait à Xiaoyu.

Le cœur de Xiaoyu, son esprit et tous son être aujourd'hui est un peu brisé. Elle ne sait pas bien si elle fait une sorte de dépression. Mais cela l'inquiet, et ce qui l'inquiet encore plus c'est sa réaction lorsqu'elle lui apprendra la nouvelle. Elle se sentirai abandonné, mal. Plus que mal. Le problème est qu'annoncer cela à Xiaoyu est inévitable, car l'an prochain elle quittera le Japon. Et sans Xiaoyu.

Les deux amies les plus inséparables du lycée vont peut-être mettre fin à leur amitié. Elle le redoute et de ce fait, elle n'arrive tout simplement pas à le lui dire. Asuka et Lili le savent mais ne dirons rien avant qu'elle le lui dise elle-même, c'est la meilleure chose à faire.

– Nous ne dirons rien à Xiaoyu, fit Asuka. Mais ça nous aiderait à comprendre si tu nous disais tout. Car malgré tout, il semblerait que pour elle, Jin soit important. Asuka semblait tout de même insisté. Xiaoyu n'est pas là, on a bien 5 minutes pour nous ?

– En fait, ce qui me tracasse, c'est tous ce mystère autour d'elle et Jin quand même ? Coupa Lili, qui était alors en train de revenir vers les deux jeunes filles.

– Qu'est-ce que tu veux dire ? Béat et un peu curieuse Miharu croisa ses bras, elle sentait que la discussion allait changer de cap.

– Ce que je veux dire, c'est comment une jeune chinoise de 16 ans comme Xiaoyu a pu ensuite gagné le droit de rester au Japon ? Et surtout que maintenant elle se débrouille toute seule…Comment elle fait ?

– Elle a des parents Lili…Soit pas stupide. Rétorqua Asuka.

Miharu ne dit rien elle.

– Vraiment ? Tu le sais comment toi ? Elle envoya sa question à l'attention d'Asuka qui ne savait pas quoi dire. Elle ne connaissait pas Xiaoyu mais s'imaginait que le minimum était qu'elle ait des parents, une maison… Mais au fond elle ne savait pas. On ne connait les élèves que lorsqu'il se présente à nous au lycée, on les voit dans leur plus beau jour mais nous ne savons pas ce qui se cache dans les chez-soi de chacun.

– Miharu, commença alors Lili. Tu les as déjà vus toi ?

– Je ne me suis jamais posée la question…Une fois elle m'a dit qu'ils étaient en Chine. Sinon, elle a un grand-père qui vit loin.

– Pourquoi toute ses questions Lili ? Asuka ne semblait pas comprendre la manœuvre de Lili. Et puis toi aussi tu es arrivé ici il n'y a pas longtemps c'est le même cas que pour Xiaoyu.

– Enfin, Asuka, Moi je suis riche. Ce n'est pas pareil.

Toujours aussi prétentieuse Miss De Rochefort ne manquait pas une occasion pour rétablir une certaine hiérarchie, mais elle n'avait pas pour autant tort.

– Et bien c'était la filleule de Heihachi non ? Et lui, était un homme fortuné non ?

– Et ses parents l'auraient laissé aux mains d'une personne aussi vieux et fortuné que Heihachi Mishima, dans le seul but de laisser une jeune fille se battre contre des brutes dans un tournois qui se passe dans un autre pays ?

– Heum..hé bien…

Asuka tout comme Miharu n'avait pas de répartie ni d'argument contre ça.

– Même mon père me l'a interdit, à moi, mais j'y vais en douce car j'en ai la possibilité. Soyons réaliste, la relation de Xiaoyu et Jin à avoir avec celle de Heihachi Mishima aujourd'hui mort. Elle souffla. Asuka, je sais que malgré tout tu tentes à en savoir le maximum sur Jin. Mais voyez bien que Xiaoyu n'est pas du tout disposer à nous dire quoi que ce soit, car elle est triste.

– Oui mais…Commença Miharu.

– Une seconde. La coupa Lili. Inutile de te tracasser davantage. Xiaoyu fait son deuil. Elle a perdu deux être qui lui sont chère et qui s'avère être de parfait enfoiré.

– Hé ! Tiqua Asuka sur cette dernière remarque.

– Quoi Asuka ? Tu veux me dire que tu espères que les despote Mishima soit toujours en Vie.

– Non mais…

– Non mais je rêve moi. Lili était dure mais très réfléchie. Elle s'est trompée sur Jin, elle l'aimait maintenant il faut qu'elle passe à autre chose avant que Miharu ne s'en aille. C'est dingue ça ! On va se pourrir la vie parce que des personnes ont décidé de mourir sans se préoccupé de la répercussion de leur mort sur leur entourage ?

Parfois, l'amitié qui nous entoure, on en a pas conscience tout de suite tellement la tristesse noue accable. On penserait même ne pas en avoir tellement le trou dans le cœur nous ai béhan.

– Lili…

Miharu ressentait ainsi une vague de détermination monté en elle. Lili avait clairement raison. On ne ramènera pas Jin. Et La tristesse de Xiaoyu doit maintenant s'arrêter, pour laisser place au bonheur. Elle réfléchit deux minutes et tout d'un coup demanda en s'inclinant solennellement.

« S'il vous plait ! Même si je ne suis plus là pour Xiaoyu, est-ce que…elle ravala ses mots pensant exagéré, mais continua tout de même. Est-ce que vous pourriez veiller sur elle. Je vous en prie, j'ai peur de ne pas avoir assez de temps pour calmer sa tristesse, et je m'inquiète pour elle. Elle n'est vraiment pas débrouillarde ! Elle est maladroite et elle croirait n'importe qui ! Absolument n'importe qui.

– Enfin…commença Asuka, complétement embarrasser. Elle fut stoppée par la main de Lili qui se posa sur son épaule. Sérieuse, elle voulait écouter Miharu.

– Elle est naïve et tellement gentille ! Elle s'arrêterais pour aider la plus grande et dangereuse des brutes, et elle ne ferait pas attention à où elle irait. Elle se mettrait en danger sans même s'en rendre compte. Et elle ne sait même pas correctement utiliser un lave-linge ! Non je vous jure…

Elle marqua une pause, ses yeux était presque humide mais pour Xiaoyu elle tenait le coup. Et reprit de plus belle.

– Non je vous jure, elle serait capable de venir en rose bonbon ou en orange parce qu'elle ne sait toujours pas qu'on mélange pas les couleurs ensemble. Elle serait capable de faire exploser son micro-onde ! Je vous en prie. Je vous en prie. Je vous en prie.

Lili posa sa main en dessous du visage de Miharu toujours incliné, attrapa son menton et lui releva la tête bien haute.

– Marché conclu !

– Hein ?

Asuka sur le côté, soupira et finit par poser son bras sur l'épaule de Emilie.

– Ben écoute, elle ne sait toujours pas arriver à l'heure à l'école ! Mais bon, je dis ça, je dis rien !

Miharu, ferma les yeux, respira un grand coup et tenta d'essuyer ses larmes avant que Xiaoyu ne remonte. Mais en réalité, à ce moment précis, aussi discret qu'un ninja, Xiaoyu venait tout juste de remonter, un peu épuiser de descendre et monté les étages elle arriva devant la salle, mais n'y rentra pas tout de suite, elle entendait les filles rires et parler entre elles.

– Merci, les filles. Je ne sais toujours pas comment je vais lui annoncer ça mais je pense qu'elle ira bien avec vous en soutient. Miharu se sentait mieux après la promesse de Lili.

– Oui bon, tu peux nous dire pour Jin et Xiaoyu du coup ? Emit Asuka.

– Oui, alors je sais que Xiaoyu aimait Jin, lui aussi était Joyeux avant. Et puis tout d'un coup après le tournois auxquelles elle devait participer il a disparu.

– Tu sais quoi, j'en était sure. Fit Asuka frappant le poing dans sa main comme pour crier bingo. Je savais qu'il y avait au moins des sentiments de ce genre !

– Ils ont couché ensemble ? Demanda brusquement Lili

– Hein ? Quoi ? mais ça va pas. Fit alors Miharu. Enfin je n'en sais rien. Mais je ne pense pas. Elle est si, si, si prude.

– Pourquoi une question pareil sérieux. Fit Asuka.

– Je n'en sais rien moi, histoire de savoir à quoi on s'attend. Si elle pourra l'oublier ou non. Et puis de toute façon il le faudra.

Xiaoyu ne savait pas quoi penser de ce petit entrevu. Miharu qui déballait les sentiments de son amie. Et qui tente maintenant de lui faire oublier celui qu'elle aime. Elle serra sa jupe, serra ses dents. Est-ce que de la colère montait en elle. Est-ce qu'elles pensaient toutes que Xiaoyu n'était qu'une gamine ? Qu'elle faisait sa crise d'adolescence, ou qu'elle en faisait trop juste pour Jin. Elle se sentait humiliée. Elle sait bien que Miharu fait cela pour son bien. Mais ses temps-ci elle n'est plus sûre de rien. Elle préféra repartir plutôt que de les affrontés laissant ses affaires d'école qu'elle retrouvera demain de toute façon. Elle courra au box de chaussure pour se changer et mettre ses chaussures de ville. Puis courra à toute vitesse hors de l'école sans prévenir ses amies. Elle avait heureusement toujours sur elle son portable accrocher à ses clefs.

« Putain ! Putain ! Putain ! PUTAIN ! » Arriver devant son studio étudiant, elle ouvrit la porte à une vitesse hallucinante, referma cette dernière avec fracas, balança ses chaussures, et enfin sauta dans son lit enfouir sa tête, elle frappa fort contre son mur également. « Puréeeeee, mais pourquoi merde ! » il à fallu maintenant tout raconter à Asuka et Lili. Miharu ne se rendait pas compte. Xiaoyu a déjà du mal à accepter la mort de Jin, raconter ça à sa cousine. Xiaoyu se sentait honteuse et humilié, c'était peut-être fort comme sentiment. Mais elle était déjà accablée par le chagrin. Elle se recroquevilla en boule, et respira et expira bruyamment comme pour essayer de ce calmée. Elle avait maintenant le nez boucher, et avait du mal à expirer et inspiré, elle jeta un bras plein de colère vers le tiroir de sa table de nuit pour y fouiller un paquet de mouchoir, elle s'empressa d'en sortir un et de l'utiliser. Elle hurlait intérieurement et ses larmes coulait. Mais à vrai dire, à cet instant elle ne comprenait pas elle-même son désarroi et sa peine. Pleurait-elle parce que tout allait mal dans sa vie ? Parce que son amie a vendu la mèche sur son amour à la cousine de ce dernier ? Parce qu'elle était prise pour une enfant ? Ou parce qu'elle avait honte qu'on dévoile son secret aussi facilement. Depuis l'annonce de la mort de Jin, elle sentait son cœur se resserrer. Elle changeait sans qu'elle ne puisse rien y faire. Elle aurait aimé, tant aimé ne pas souffrir de la mort de Jin, elle aura aimé ne pas pleurer, être forte. Ne pas être faible. Mais tous étaient au-dessus de ses forces, elle se laisse forcément aller à la tristesse et au désespoir. Oui parce qu'après tout, et malgré elle, elle aimait Jin de tous son cœur.

De tous son cœur.

De tous son être

De tous son âme.

Elle lui aurait volontiers donner pour sauver la sienne. Mais hélas, le présent est ainsi fait.

Enfin calme, elle laissa sa dernière larme couler, ses yeux vide qui regardait maintenant son mur. Elle se tourna sur le côté pour voir le mur de photo remplis d'ancien souvenir, de souvenir qui remontait au bon temps. Du temps où elle était heureuse. Ou tout allait bien dans sa vie.

Jin, panda et elle devant le lycée. Miharu et elle dans leur restaurant fétiche. Elle a ses 16 ans, arriver au Japon en compagnie d'Heihachi. Elle et son grand père. Un tas de photos unique auquel elle tient espacer sur le mur en face de son lit.

Alors qu'elle voyait à peine les côtes du Japon, la jeune Xiaoyu, âgée alors de seize ans. Venais pour la première fois de voir une nouvelle terre. Jamais auparavant elle n'avait fait quelque chose d'aussi extravagant dans sa vie.

Alors que les côtes se rapproches à vus d'œil, Xiaoyu tourna son regard vers le patriarche Mishima. Elle se sentit en sécurité, à l'aise et confiante. Elle a également hâte de prouver à Heihachi sa volonté, et force de combativité lors du troisième tournoi de tekken. Lorsqu'elle descendit du bateau, l'air était frais et humide, elle le respira profondément, fermant les yeux. Voici le Japon.

Heihachi posa sa main sur son épaule, et d'un brillant sourire lui proposa d'avancer jusqu'à une voiture qui l'a conduit ensuite dans son nouveau chez elle. A daté de ce jour, il était hors de question de décevoir Heihachi. Elle allait combattre et donner le meilleur d'elle-même.

Elle se remit sur le dos, et regarda maintenant le plafond de sa petite chambre. Réfléchissant d'autant plus à ses souvenirs.

Alors qu'elle s'entrainait durement dans le dojo. Heihachi qui l'observait de loin semblait satisfait de son potentiel, alla à sa rencontre et lui para une de ses attaques.

« dis-moi, tu ne comptes pas mettre plus de puissance dans tes coups, combien même tu le peux, tu ne le fais pas. Pourquoi ? »

La petite fille le regarda de ses grands yeux noisette ? Elle se remit en position face à Heihachi cette fois.

- Si un adversaire plus fort que moi un jour se pointe, je compte le surpasser. Et pour ça je dois être la plus rapide. Avec mon petit gabarit, je peux propulser les gens hors du terrain si j'arrive à les prendre de surprise.

- Je vois, pris de court un adversaire, même le plus coriace, n'a plus qu'à tanguer et tomber face à ta vitesse. Je comprends pourquoi on t'avait appelé le Phoenix dansant. L'honorable dirigeant de la zaibatsu émit un très lourd rire de contentement. Les bras sur sa taille. Décidément même une petite fille tel que Xiaoyu le surprenait, et de plus, ce qu'elle disait portait en sois son lot de vérité.

Surprendre son adversaire peu importe la force qu'il à, si tu es rapide il tanguera, et tombera.

Ce souvenir lui était précieux, car dans la soirée, Heihachi lui avait ensuite offert un magnifique Panda. Il se souciait de sa sécurité, et de le savoir cela lui procurait une immense joie. Elle l'avait ensuite appelé grand père.

Dans les jours qui suivirent cet entrainement, un garçon venait d'arriver au Dojo, subitement. Et il était le petit fils d'Heihachi. Elle n'était plus seule. A cette nouvelle, elle se sentait intimidé, presque déçu. Puis elle apprit qu'il allait participer au tournois. Elle se mit en tête qu'il fallait le vaincre. Elle ne le connaissait pas mais avait entendus parler de lui. Jusqu'à ce que Heihachi lui fasse enfin rencontré Jin. (Le petit fils) Au premier abord, elle eut peur de se laisser bêtement intimidé parce qu'il était un garçon. Parfois lorsqu'Heihachi était absent, c'est avec lui qu'elle s'entraînait. Et elle détestait cela. Il était prétentieux, fermé comme une coquille vide. Et n'avais qu'un mot à la bouche gagné. Qu'est-ce qu'elle aurait aimé lui rabattre le caquet.

Il ne lui posait jamais aucune question, il était toujours à contempler le ciel en quête de réponse. Comme si soudainement Dieu allait apparaitre devant lui et résoudre tous ses soucis. Il semblait triste et seul. Il était peut-être le petit fils d'Heihachi mais elle sentait parfaitement que leur relation n'était pas vraiment claire. Ce qui avait le don de l'énerver d'avantage, c'est que Jin ne la prenait pas du tout au sérieux, il pensait que c'était une corvée peut-être ?

Un jour Heihachi n'était encore pas là. Xiaoyu, aussi se posait beaucoup de question à l'époque, elle était jeune et en quête d'identité.

Lorsqu'on ouvre les portes du Dojo, se dresse à 20 mètre devant soi, une immense statue représentant un Bouddha. Imposante et fière, elle filait parfois la pétoche à la jeune chinoise. Au fur et à Mesure de ses entraînements, elle finit par apprécier la sagesse qu'apportait la présence de la statue. Heihachi lui avait mainte fois conté des Histoire à son sujet. Aujourd'hui, elle s'assit devant regardant la statue comme si maintenant c'est elle qui attendait un signe. Elle portait de fin chausson noir, une tenue chinoise traditionnel orangé avec un soupçon de rose saumon, Un ruban bleu turquoise autour de sa taille et un simple T-shirt blanc envelopper par un gilet fermé au motif du Ying et du Yang, ce gilet avait un col qui montait sur son coup. Elle était là, silencieuse attendant une réaction peut-être ? Malheureusement comme une évidence, rien ne vint, ses questions à elles n'aurons pas de réponse aujourd'hui. On peut se demander qu'elles question pourrait donc bien torturée la jeune chinoise, mais là encore c'est une autre histoire. Cependant elle aussi dans sa quête d'identité voulait savoir, qui étaient ses parents. Pourquoi ne les avait-elle jamais connues. Son grand-père maintenant très vieux ne disait pas grand-chose à la jeune fille. Quitté le pays comme pour réaliser un voyage initiatique semblait reposer la jeune fille de ses quelques questions qui la hante. Qui est-elle dans ce monde ?

Et puis, cela fait une semaine que Heihachi l'incite à aller à l'école. Elle parle mieux la langue, et comprend mieux le vieux Heihachi, cependant ses quelque difficulté à comprendre parfois le japonais poserais problème dans le futur. Heureusement tout comme son père Jimpachi, en homme d'affaire, Heihachi a appris à comprendre et parler un peu le chinois (si ce n'est à cause des nombreuses visites de son père pour Wang Jinrei). Mais Xiaoyu appréhende de se retrouver avec d'autre jeune fille et garçon qu'elle, jusqu'ici elle n'en à jamais côtoyer vraiment. Elle appréhende également de leur parler d'être avec eux pendant toute une journée.

– Que va-t-il se passer si j'y vais… Xiaoyu assise sur ses genoux, elle fixa pensive et inquiète le majestueux bouddha du dojo.

– Tu devrais y allez. Fit une voix derrière elle.

Brusquement elle se retourna, l'une des rares fois que le garçon daignait lui parler, voire parler tout court. Jin Kazama ne disait pas grand-chose à son égard. Elle croisa son regard perçant, triste et confus.

– De quoi me parles-tu ? Fit-elle plus posément, se détournant de son regard. Le jeune appuya son dos contres l'un des piliers de l'entré, et soupira, non pas de mécontentement, ni de joie. Il était impossible de savoir ce qu'il pensait dans sa tête. Mais cette fois-ci il semblait plus doux et gentille avec Xiaoyu.

– De toi, qui devrais allez à l'école.

La jeune fille fixa le bouddha sans réellement le regarder, et ne savait pas trop quoi répondre en réalité. Alors que son japonais n'était pas très sûr, elle avait pourtant très bien compris où Jin voulais en venir.

–Qu'est-ce que t'en sais toi, de ce que je devrais faire ou non ?

– Mm, rien. Mais tu ne dis jamais rien, je pensais que tu ne parlais pas du tout la langue, et qu'y aller t'aiderais.

– Moi je ne parle pas ? C'est plutôt toi qui ne décroche pas un mot.

Elle s'était retournée brusquement, comme offusquer de la remarque de Jin, il était un peu surpris de sa réaction.

– Je ne voulais pas te mettre dans l'embarra…

– Dans l'embarra ?

– Oui enfin quand tu es..

– J'ai compris ! Je veux dire. Elle marqua une pause, sentant qu'elle allait bientôt perdre son joli japonais si elle s'emmêlait les pinceaux. Cependant apprendre qu'en fait ce silence lattant entre les deux étaient dû à un bien ambiguë quiproquo. Et que cela avait duré 3 mois. « Ce que je veux dire…enfin, tu retiens tes coups, tu es froid. »

Elle ne savait pas comment décrire la suite, mais elle sut en voyant le regard de Jin qu'il avait compris l'essentiel. Il s'approcha de la jeune fille et s'arrêta à deux mètres d'elles.

– Comment dire…je retiens mes coups. Mais…Malgré lui ses joues prirent une timide teinte rosé. C'est la première fois que Xiaoyu lui voyait exprimer quelque chose. Enfin je ne veux pas frapper une fille, finit-il par dire très maladroitement.

Cependant ce n'est pas correctement que la jeune chinoise pris la remarque. Elle allait participer à un tournois d'art martial mixte, et il se retenais face à une fille. Sous un autre angle cela aurait été mignon, et ça l'est. Mais Xiaoyu se senti malgré tous vexé et sous-estimé.

– Tu ne me vois même pas comme un adversaire… Elle aurait voulu luis balancer sa sandale. Et ça teinte rougeâtre visible sur son front énervé, faisait comprendre au jeune homme qu'il avait été maladroit.

– Non, ce que je veux dire, je ne veux pas te faire de mal !

– Cependant, Xiaoyu se calma, et pris de court Jin, elle se mit en position de combat et lança comme un défi au jeune Kazama.

– Tu sais quoi, bat toi ou non si tu veux, moi je vais gagner, ce n'est pas pourtant ce que tu cherches ?

Sans plus attendre elle fonça sur Jin aussi rapide que l'éclaire, pris appui sur sa jambe gauche et balança la droite pour exécuté un saut périlleux et se retrouver dos à Jin. Un moment propice où elle lui assena un de ses célèbres coup de pied arrière. Jin fut pris de court et ne s'attendais pas à cela, il fut projeté devant lui et finit sur le genou. Il se retournas pour regarder le jeune disciple de Heihachi, en position du Phoenix, le regard droit et sérieux.

Et maintenant ce fut à Jin de se sentir vexé, il prit sa menace au sérieux, et commençait à être agacé de son soudain revirement de comportement. Il prit alors position à son tour. Le karaté style Mishima contre le Hakke-Sho et le Hika-Ken.

Un silence se posa lourdement entre les deux, immobile attendant une réaction de l'autre avant de commencer, puis soudain Xiaoyu s'élança la première.

Jamais elle n'oublierait ce jour, où elle s'est battue avec le garçon qu'elle détestait, pour avoir été le petit fils de Heihachi et l'avoir sous-estimé. Aucun des deux n'avais pu terminer le combat, un combat qui fut acharnée, rapide et puissant. Les deux étaient de très redoutable combattant. Heihachi était revenu au milieu du combat entre les deux. Il les observait de loin, un sourire s'esquissait sur ce dernier. Et il décida qu'aujourd'hui ils se battraient tous les deux. Il semblait satisfait du résultat que Xiaoyu et Jin avait fournis lors de cet entrainement, plus que les autres, et ce fut un sentiment partagé par les deux jeunes gens qui ne savait pas alors qu'ils étaient donc observés par le patriarche Mishima.

A la fin de ce combat, les deux essoufflé, s'était allonger sur le Dojo, faisant le compte rendu mental de leur enchainement aujourd'hui. Jin fixait le plafond, tout comme Xiaoyu, aucun des deux n'avaient maintenant suffisamment de force pour se relevé. Xiaoyu était si rapide qu'elle était partout à la fois, comme un ouistiti qu'on ne pouvait pas tenir, Jin devais travailler son endurance, trouver une faille dans le style de la jeune fille qui change souvent fut éprouvant. Mais il fut confronté à ce qu'il pourrait trouver lors du tournois. Pour Xiaoyu aussi. Jin était fort, il avait une frappe très puissante, et il était réellement redoutable.

– Excuse-moi. Décida finalement de dire Jin, alors qu'il essouffla un soupire de fatigue. IL voyait bien à quel point il avait insulté Xiaoyu. Et commençait à se dire que cette jeune fille était incroyable.

– De quoi ? Xiaoyu ne compris pas de suite.

– De t'avoir mal jugé, Jin se releva et la regarda.

Elle se redressa de même mais resta assise sur le sol.

– Ho…ça. Désoler de t'avoir attaqué. D'habitudes on combat dans les règles, je me suis laisser guidé par la colère.

– Ce n'est rien, ce fut un entrainement vraiment incroyable…Mais dit moi, qui t'as appris ses techniques ? Cet art martial ?

– Maitre Wang, mon grand-père.

– Tu a donc un grand père…

– Toi aussi…

Elle se releva maintenant, un peu chancelante. Et le regardait droit dans les yeux, ses yeux si perçants.

Jin s'inclina et la remercia pour aujourd'hui, il quitta le Dojo, mais avant, il se retourna et lui dit

– Tu devrais aller à l'école finalement.

– Pourquoi ça ?

Il regarda sur le côté, le ciel. Il avait l'air maintenant décontracté, plus serein et avec un petit sourire que Xiaoyu ne lui avait jamais vu auparavant.

– Parce que moi j'y suis.

Elle le regarda parti, fixa son dos. Béa comme si elle voyait son actrice préférée, passer en coup de vent.

Trois jours plus tard, elle se décida à aller à l'école « la High school Mishima » c'était la première fois. Et elle s'était fait une amie dedans, Miharu. Avec qui elle s'entendais bien. Ce jour-là, le jour de sa rentré scolaire, elle aperçut Jin sur le toit du lycée, il regardait encore le ciel. Et elle se prit au jeu, elle regarda le ciel. Il était beau, chaud, et flamboyant.

Alors qu'elle se remémorait se souvenir, elle sombra dans un sommeil profond et dure, les larmes qui collait sur sa joue avait séché, la lumière était allumée, la TV aussi, elle faisait du bruit. Mais rien, pas même les cinq messages qu'elle reçus ne la réveilla de ce doux rêve.