Auteur: Lexy-Kun... Donc, moi lol "

Disclaimer: Les personnages et les décors ne m'appartiennent pas, ils sont tout droits sorti de l'imagination génialissime de J.K Rowling Seule l'intrigue m'appartient (na mwaaaaa!!!!). Ah, non! Lena est à moi, de même que la petite phrase d'introduction qui est tout droit sortie de mon esprit torturé un soir où, prise par des souvenirs douloureux, je n'arrivais pas à dormir (on s'en fout de ta vie consciennnce!! lâcheuh moiii!!)

Résumé : "Vois mes rêves et lis mon coeur".... Lorsque Dumbledore a un plan bien digne de lui pour réunir les Maisons de Poudlard, lorsque Drago a une idée "génialissime" de Serpentard pour comprendre ce Potter cynique qu'il ne reconnaît plus... slash yaoi HP/DM

Rating : Rating R pour risque de citron... Mais très peu sûr, reste à voir si j'arrive/j'ose l'écrire ou non... " Surtout que Nyny-Chan (ma meilleure amie Lexy... je sais conscience, je sais on s'en fout de ma vie... t'apprends vite ) risque de me prendre pour une obsédée perverse incurable. (parce que t'en es pas une peut-être?! ... no comment "

La nuit les démons

Surgissent et prennent la raison

Petit à petit je m'enfonce…

(Aqme, Sur le Fil)

La nuit, tout nos sentiments s'amplifient, deviennent hors de contrôle. Notre esprit s'ouvre, relâche son attention. Toutes nos pensées voguent alors en totale liberté, laissant ainsi s'échapper tout ces souvenirs sombres et douloureux que l'on garde enfouit le jour, de peur qu'ils ne nous détruisent. Nous ne pouvons pas l'empêcher, nous ne pouvons rien y faire. J'ai peur de la nuit...(Lexy-Kun. Copyright ! lol ;p)

Prologue

Harry Potter se redressa sur son lit en sursaut, son cœur battant à un rythme effréné, sa respiration saccadée (1). Il venait encore de faire un cauchemar. C'était ainsi chaque nuit, depuis son retour à Privet Drive. Cela faisait donc près d'une semaine qu'il n'avait pas connu de sommeil réparateur, et ce qui lui semblait le plus frustrant était qu'il n'arrivait jamais à se rappeler de ce qu'il rêvait. Enfin, ils étaient sûrement composés de ces mêmes idées joyeuses qui le poursuivaient dans la journée, rien de bien nouveau donc. Sa cicatrice ne le faisant pas souffrir, ce ne pouvait pas être des visions de Voldemort. D'ailleurs, celui-ci n'avait encore entreprit aucune attaque. Les informations moldues ne parlaient toujours que de problèmes « mineurs », et La Gazette du Sorcier exposait toutes les mesures prises par le Ministère de la Magie afin de se préparer à d'éventuelles attaques, qui se résumait à modifier le fonctionnement d'Azkaban. La plupart des sorciers ne faisant plus confiance aux Détraqueurs, Cornelius Fudge avait prit la décision non pas de les renvoyer (ce serait les pousser dans les bras de Voldemort) mais de changer les cellules, qui ressemblaient plus maintenant à des coffres de Gringotts. Il avait aussi fait renforcer la sécurité du Ministère de la Magie et embauché de nombreux Aurors, dont certains s'occupaient de l'espionnage tandis que d'autres circulaient dans les rues incognito afin de veiller à ce qu'aucune attaque n'ait lieu. Il avait, de plus, mis sous protection plusieurs familles qui comptaient ou avaient comptés parmi elles de fervents opposants du Mage Noir. Bref, il agissait en homme responsable pour rattraper son énorme gaffe et tenter de récupérer la confiance des Sorciers, mise à rude épreuve par l'attaque du Ministère. Attaque où Sirius avait perdu la vie... Sentant que ses pensées dérivaient sur un terrain dangereux, Harry enfoui vite ce souvenir dans un coin de son esprit et se re-concentra sur les nouvelles de Voldemort. D'après l'expression, « Pas de nouvelles, bonne nouvelle ! ». C'était sûrement ce que devait se dire la plupart des sorciers, mais pas lui. Le monde magique et moldu était calme. Beaucoup trop calme. Il se préparait quelque chose, il n'y avait aucun doute à avoir. Soupirant, il passa sa main sur son visage, remis ses lunettes en place et se prépara à descendre. Pour une fois, il n'avait pas eu droit au réveil pour le moins strident de sa chère tante Pétunia. Depuis que les Dursley avaient été « présentés » à ses « amis bizarres », ils avaient prit le parti de l'ignorer. Ils se contentaient de le regarder d'un air dégoûté, haineux. Il aurait presque pu comparer leur regard avec celui de Malefoy, s'il n'y avait pas eut cette lueur de peur, voire de terreur. Malefoy n'avait pas peur de lui, et même si c'était le cas, il n'en laisserait sûrement rien paraître. Il était trop fier, trop arrogant pour ça. Aujourd'hui, il appréciait assez cette façon d'être. Froid, détaché... C'est d'ailleurs ce qu'il devenait lui-même, petit à petit. Il se détachait de sa « famille » qui n'en avait que le nom, indifférent, froid. Son cœur était de glace. Une carapace de glace autour de son cœur... Oui, c'était cela qu'il lui fallait. Face à sa « famille », c'était le meilleur moyen de se protéger. Il avait toujours été plus « feu » que « glace », il ne savait pas dissimuler ni même contrôler ses émotions. Jusqu'à présent, cette attitude ne lui avait apporté que des ennuis, surtout dans cette maison. Il lui fallait changer.

Il se déplaçait lentement, d'une démarche presque sinueuse rappelant les mouvements d'un serpent. Il traversait la nuit, parcourut d'un sentiment d'excitation impatiente qui s'amplifiait à chaque instant. Il s'arrêta devant un magasin en brique rouge miteux, sorti nonchalamment sa baguette de sa poche et la dirigea vers un mannequin exposé dans l'une des vitrines. Murmurant quelques mots, il fit exploser le pantin sous les rires et exclamations surexcitées des hommes qui se tenaient derrière lui. Il se retourna avec lenteur, observa un instant ces personnes encagoulées qui le craignaient, l'admiraient, et lui vouaient une obéissance totale. Il eut un petit rictus moqueur envers ses sbires, ses Mangemorts, avant de se tourner de nouveau vers la vitrine et de la traverser, son cœur battant follement dans sa poitrine. Le moment était venu. Il pénétra dans une immense salle, un hall, où s'apprêtaient des médicomages visiblement occupés. A tel point que son entrée parue presque inaperçue...si ce n'est cette jeune femme qui croisa son regard. Il observa alors attentivement son visage, se délectant de sa réaction : elle se stoppa brutalement, ses yeux s'agrandissant lentement de surprise, d'effroi, puis de terreur, sa bouche forma un grand O et, pendant quelques secondes de flottement, elle fut incapable d'émettre le moindre son. Puis, son corps fut parcouru de tremblements incontrôlables, elle laissa tomber la fiole qu'elle tenait à la main et poussa un hurlement strident. De la terreur pure. Son visage, son corps, sa voix... tout chez elle transpirait la peur. Et il aimait ça. Une sensation de puissance et d'exaltation l'enivra, lui faisant tourner la tête. Comme au ralentit, il vit les personnes présentes se figer et se tourner vers la source du bruit. Leur regard tomba sur lui, et à leur tour ils transpirèrent la peur. Soudain, certains se mirent en mouvement, peut-être pour venir en aide aux patients, prévenir le Ministère, ou, théorie beaucoup plus probable, fuir... A peine eurent-ils fait quelques pas que ses fidèles Mangemorts leur jetèrent un sort mortel. Il regarda avec une joie intense les corps sans vies tomber au sol. Ils n'étaient déjà plus que de la chair morte... Quelque part en lui, un sentiment d'horreur... Il continua à marcher, laissant ses Mangemorts s'occuper des employés qu'ils croisaient. Ce n'était pas ce qu'il voulait... il cherchait autre chose. Déambulant dans les couloirs, il ouvrait les portes de chaque chambre. Il jetait un coup d'œil rapide, voulant savoir qui l'occupait. Des cris de terreur précédaient chacun de ses passages, l'emplissant de joie et de puissance. Et quelque part en lui, un sentiment d'horreur... Une femme...un homme...un vieillard... Non, ça ne l'intéressait pas. Il ne prendrait pas la peine de les tuer lui-même. Il relégua cette tâche à ses sbires. Partout où il passait, la mort suivait... Il était la Peste. Comme il aimait cette idée...Bientôt, tout l'hôpital transpira la peur, la terreur, l'horreur. Il jubilait totalement, extatique. Il se sentait de plus en plus fort, de plus en plus puissant. Il était invincible. Il était la Mort. Non, il était le Maître de la Mort, il la contrôlait, elle lui était soumise. Il était Tout-Puissant. Il venait, jugeait et tuait ceux qui le méritait. Comme ce Dieu que son cher père affectionnait tant. Il marchait dans ses couloirs où l'on se battait pour sauver des vies, et il y semait la mort. Et enfin...enfin, il trouva ce qu'il cherchait. Des enfants, qui s'étaient blottis tous les uns contre les autres dans un des lits...Des petits visages d'anges reflétant la terreur pure... Un sourire immense, dément, prit place sur son visage. Et quelque part en lui, un sentiment d'horreur... Tremblant d'excitation, d'anticipation, de bonheur, il dirigea sa baguette vers l'un des enfants, un petit garçon brun aux yeux clairs, et murmura avec bonheur « Avada Kedavra »...Un éclair vert toucha le petit corps en plein cœur. Les voix des autres enfants, les voix de l'innocence se mirent à hurler, l'amenant presque au bord de l'extase. Et quelque part en lui, un sentiment d'horreur... Lentement, avec délectation, il fit pleuvoir la Mort sur ces enfants si horriblement innocents, ignorant encore tout de la vie. Là, enfin, une larme coulant sur son visage, il atteignit l'extase...

Harry ouvrit brusquement les yeux, hurlant, une douleur inimaginable vrillant sa cicatrice. C'était horrible, ce qu'il avait vu était atroce et il en avait ressenti de la joie, du bonheur alors qu'il tuait ces enfants. Non, ce n'était pas lui qui les avaient tués ce n'était pas lui qui avait ressenti cette joie, mais elle avait parcouru chaque fibre de son corps il la sentait encore forte et éclatante en lui et un rire aigu sinistre résonnait en lui. Son horreur s'accrue, lui tordant l'estomac, lui donnant la nausée, et ce sentiment de bonheur qui s'intensifait... IL se délectait de son horreur et IL se jouait de lui et plus il sentait cette joie et plus l'horreur lui prenait les tripes et plus la joie était intense le faisant entrer ainsi dans un cercle vicieux. Ces sentiments à lui et ceux de ce monstre se mélangeaient tournaient s'intensifiaient, lui donnaient envie de rire et de vomir. Il était submergé noyé sous ses émotions et cette horreur douloureuse atroce mélangée à cette joie jubilatoire extatique le rendait fou...Toute idée cohérente s'effaça de son esprit alors qu'un hurlement dément s'échappa de son corps. Alertée par ce cri presque inhumain, Tante Pétunia sorti de son lit à une vitesse éclair. Bon Dieu cet imbécile allait réveiller leurs voisins, qu'est-ce qu'ils penseraient en l'entendant hurler ainsi ! Sûrement que ce petit avorton se faisait torturer. Elle ouvrit brutalement la porte et tenta de s'approcher de lui, mais fut brutalement projetée et plaquée contre le mur par une sorte de force invisible, intense, puissante, étouffante, prenant la forme d'un souffle extrêmement puissant... L'atmosphère était lourde, électrique, produisant même une sorte de bourdonnement sourd qui lui bouchait les oreilles, comme lorsque la pression se faisait trop forte. Harry était allongé sur le lit, chaque traits de son visage et la crispation de chaque muscle de son corps reflétant une douleur physique et morale qu'elle ne pouvait qu'à peine imaginer, et de sa cicatrice émanait une intense lueur verte émeraude... Pétunia sentit soudain une main lui agripper violemment l'épaule et la « décoller » du mur. Elle se tourna vers celui qui l'avait tirée, hagarde, et reconnu Dursley dont le visage était marqué par la frayeur. Elle toussota, cherchant en vain son souffle. Elle ne s'était même pas rendue compte qu'elle suffoquait... Cet avorton était un monstre, un monstre dangereux, bien plus qu'elle ne l'avait pensé, et elle se jura de ne plus jamais s'approcher de lui de trop près.

Pendant deux jours, Harry resta prostré sur son lit sans boire ni manger, le visage et les muscles crispés. L'halo de magie pure qui l'entourait s'était légèrement atténué peu après sa crise, atteignant d'abord les limites de sa chambre avant de se contenter d'entourer son lit. La nuit qui devait marquer la début du troisième jour, celui-ci s'était entièrement résorbé et le corps de Harry se relaxa. Lentement, il se leva, semblant légèrement affaibli mais pas autant que l'on aurait pu le croire vu l'état de déshydratation dans lequel il aurait du se trouver. Il semblait que sa magie avait conservé ses forces. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit soudain plus clairement que jamais, comme si sa myopie n'avait jamais existée. Une seule chose lui venait à l'esprit : le visage de Sirius. Il avait besoin de lui, de son réconfort, de sa protection. Son rêve, sa vision avait été plus précise et réaliste que jamais, et il fallait qu'il l'exorcise. Il se dirigea immédiatement vers sa petite table, prenant une plume et un parchemin pour lui écrire une lettre, et soudain, une flash, une image lui parvint : Sirius frappé par le Sortilège de Mort, Sirius qui passait à travers le voile, son éternel sourire encore posé sur ses lèvres... Une seule phrase envahie alors son esprit, tournant et retournant sans cesse : « L'erreur d'un vieil homme... ».

Un jeune homme observait fixement une fenêtre du 4, Privet Drive, caché dans l'obscurité de la nuit à l'abri des buissons. Cela faisait près de trois jours qu'il n'avait plus eut aucune nouvelle. Il avait entendu hurlement démentiel et vu une déferlante incroyable de magie pure provenant de cette chambre à l'intérieur de laquelle il essayait vainement de voir, et depuis, plus rien. Dumbledore lui avait recommandé de ne pas se faire de soucis, après lui avoir fait promettre de ne rien dire aux autres. Inutile de semer la panique pour rien, avait-il dit. Mais il y avait tout de même de quoi s'inquiéter, non ?! D'abord un hurlement presque inhumain et une explosion de magie, ensuite un calme plat de plusieurs jours... Il s'agissait quand même là de l'unique espoir du monde sorcier ! Comment pouvait-il rester là à attendre patiemment ?! N'y tenant plus, il transforma la gouttière qui longeait la fenêtre de la chambre de Potter en échelle et y grimpa silencieusement, profitant du secret de la nuit pour user de sa magie à l'insu des moldus. Lentement, avec une extrême prudence et discrétion, il mit son visage à hauteur de la fenêtre... Pour croiser deux grands yeux verts qui regardait droit dans les siens avec intensité, et la lueur qui les faisait briller était si puissante, vibrante qu'elle lui coupa le souffle. Si le Diable que sa mère moldue craignait tant existait réellement, son regard n'aurait pas été plus terrifiant, plus paralysant que celui-ci. Il entendit alors une voix dure gronder : « Cessez... de me surveiller... ». De frayeur, il lâcha les barreaux de l'échelle et tomba rudement au sol. Heureusement, son rôle de membre de l'Ordre lui avait appris à se réceptionner pour limiter les dégâts, et avait rendu son corps plus résistant. Il put ainsi se relever immédiatement, et, paniqué, son premier réflexe fut d'accourir auprès de Dumbledore. Son petit protégé était en très, très bonne santé, du moins physique, parce que mentalement il avait drôlement changé ! Il était devenu réellement effrayant. Lui qui avait fait déjà fait face à une horde de mangemorts sans sourciller se retrouvait paralysé de peur devant ce gamin. Mais il n'y avait pas à dire, ce gosse n'était décidément pas comme les autres. Un centième de seconde plus tard, il réalisa que s'il racontait cela à Dumbledore, il ne pourrait pas lui cacher qu'il avait transgressé les ordres : il avait succombé à sa curiosité, il avait fait usage de la magie dans ce quartier moldu et Harry l'avait surpris en train de l'espionner... Le chef de l'Ordre n'allait pas apprécier cela. Oh non, il n'allait vraiment, vraiment pas apprécié. Toute la crédibilité qu'il avait eut tant de mal à récupérer après sa gaffe de l'été précédent allait s'envoler en fumée, et il allait se retrouver de nouveau assigné à des tâches futiles et plus qu'ennuyeuses, du genre « Etre la baby-sitting des enfants Weasley ». Finalement, ce n'était pas une très bonne idée de le mettre au courant... autant garder cela pour lui. Et puis, quelle importance cela aurait pu avoir de toute façon ?! Il lui suffisait de dire qu'il avait vu de l'activité dans la chambre de Harry et que donc celui-ci était bel et bien sain et sauf, comme il le lui avait assuré. Oui, il allait faire comme cela...

A suivre...

(1) Non non, le rating R ne se justifie pas déjà... Hem, désolée, je ne vous embêterais plus avec mes remarques inutiles " (et surtout particulièrement débile --" arrêteuh de me martyriser euh méchante conscience TT)

Eh bien, voilà, ce prologue est fini!! Normalement, un prologue est censé être plus court que les chapitres, mais celui-ci fait bel est bien la même longueur que la plupart des chapitres " mais je tenais absolument à chaque scène...J'espere que cela vous a plu!! C'est la première fanfiction HP que j'écris (à bien y réfléchir, c'est ma première fanfiction tout court lol) et c'est la première fois que je publies mes écrits et le met à disposition d'un large public, je ne sais donc absolument pas ce que cela vaut, même si j'ai eu la chance d'être complimentée rougit jusqu'aux oreilles et à toujours du mal à y croire par deux de mes idoles (BlackNémésis et Melhuiwen! Merci énormément à vous deux ). J'aimerais donc énormément que vous me reviewez, que cela soit positif ou non, même si vous vous contentez de mettre un " :-) " si vous avez apprécié ou un " -/'" si vous n'aimez pas, ca me ferait vraiment plaisir.

Alors, s'il vous plait, ayez pitié d'une pauvre fanfictrice extrêmement nerveuse après avoir lâché son bébé dans la cour des grands "

petit ps : J'aimerais vous recommander la fanfiction de ma meilleure amie, Nyny-Chan, qui écrit aussi une histoire HP. Si vous n'avez pas aimé mon style, eh bien le sien n'est pas le même, et si vous l'avez apprécié, même si elle écrit différemment c'est tout aussi bien Je ne fais pas de pub parce que je l'adore énormément, mais réellement parce que son histoire m'a séduite! C'est un couple Hermione Granger/Drago Malefoy, et j'ai beau ne pas l'aimer (le couple lol) j'ai tout de même trouvé l'histoire très intéressante Je vais faire en sorte que sa fic soit accessible via ma bio (avec "favorites stories") le plus rapidement possible.

Voilà, je vous lâche lol! Désolée d'avoir abusé de votre temps "