Disclaimer: Tout est à Yana TOBOSO-sama! Que le diable lui donne le courage de supporter ses deux petits démons préférés. u.u Sinon, l'histoire de la fic est mienne. ^^

Rating: Mmmmh... Très bonne question mon cher Watson. Je vais dire T pour le moment mais si ça change, je préviendrai. ;D

Donc voilà, je voulais essayer un nouveau genre! XD Bon, ce n'est pas tout joyeux mais j'aimerais savoir ce que vous en pensez. Je rassure tout de même les lecteurs, je n'aime que les fins heureuses! ;D

Oh, et pas de panique! Je ne laisserais en aucun cas mon autre fic en suspend. J'entends bien faire les deux à la fois! XD Malgré que cette fic sera peut-être mise à jour moins souvent, quoi que ce n'est pas sûr. u.u Je suis très inspiré ces derniers temps. X3


DESTIN

Prélude:

"Le Destin n'aime pas que l'on se prenne pour lui et parfois, sa vengeance est pire que celle des dieux"

En 1887, en Angleterre, dans un grand manoir victorien, un jeune comte de 13 ans, s'était destiné à la mort par l'être en qui il avait le plus confiance. Quel importance me direz-vous ? Et bien… Ce jeune noble était sur le point de devenir l'un des pions du Destin.

8h30 a.m.

Un démon vêtu d'un habit de majordome pénétra, comme à son habitude, dans la chambre de son maître avec un service à thé pour le lever. Aujourd'hui, de bonne humeur comme depuis quelques temps, l'homme élégant qui était entré dans la pièce ouvrit les rideaux de la chambre d'un geste précis. Laissant brutalement rentrer la lumière éblouissante du soleil. Il se retourna vers le jeune garçon endormi et d'un sourire annonça :

-Il est l'heure de vous lever jeune maître.

Attendant le grognement habituelle, le majordome se heurta au silence.

-Jeune maître, vous n'allez tout de même pas m'obliger à vous lever moi-même ? Ricana Sébastian d'un air moqueur.

Malheureusement, il se heurta encore au silence.

-… Jeune maître ? Appela-t-il, commençant à s'inquiéter. Était-ce l'une des plaisanteries de Ciel pour rester plus longtemps au lit ?

Le majordome s'avança sur le lit et se pencha au dessus de l'enfant. Sébastian entendait la respiration calme et reposée de son maître. Donc son maître se moquait.

-Jeune maître ! Vous n'allez pas rester endormie indéfiniment quand même !

A cet instant, Sébastian Michaëlis ne comprenait pas encore le sens cruel de sa phrase.

Il souleva d'un geste vif la couverture dans laquelle l'enfant était niché. Le jeune garçon était simplement endormie sur le lit, le corps recouvert de sa chemise de nuit blanche, il ne bougeait pas. Le visage paisible, le corps détendu comme dans un profond sommeil. Le domestique s'attentait à une réprobation voir à passer un mauvais quart d'heure pour la couette. Mais rien. Seul un silence oppressant lui fit retour.

-… Jeune… maître ? Commença à s'affoler le démon. Il se pencha à nouveau au dessus de l'enfant, laissant reposer la couverture sur le sol froid. Sébastian plissa les yeux et porta une main au front de son maître. Pas de fièvre.

-Jeune maître ? Appela-t-il à nouveau en l'attrapant par les épaules et en le secouant doucement.

-Jeune maître, ce n'est pas drôle ! S'emporta-t-il en secouant un peu plus fort le corps inerte. Rien. Aucune réaction, aucun semblant de réponse. Les yeux du démon s'écarquillèrent. C'était un cauchemar, n'est-ce pas ? Cela ne devait être qu'une mauvaise blague… n'est-ce… pas ?

Son âme était toujours là, dans son corps. Il pouvait la sentir. Faiblement certes… mais il l'a sentait. Elle était là ! Mais il comprit que quelque chose n'allait pas.

Le démon prit le corps de Ciel dans ses bras et arpenta les couloirs en courant aussi vite qu'il le put.

-BARD ! MEY-LINN ! FINNY ! VITE ! APPELEZ UN DOCTEUR !

Il arriva en trombe dans la cuisine où se trouvaient les domestiques, le corps de Ciel suivant les pas de son porteur tel un simple cadavre.

Ce fut Bard le premier qui réalisa ce qui se passait. Puis Finny et Mey-Linn se mirent alors à s'affoler. Le cuisinier se précipita brutalement vers le majordome pour l'aider avec son maître. Mey-Linn se jeta sur le téléphone, les doigts tremblants. Finny se mit à pleurer et ses gloussement de paniques emplirent la pièce. Mr. Tanaka laissa tomber sa tasse de thé qui s'échoua sur le sol dans un fracas, avant de lui aussi se précipiter vers le majordome. Que devait-ils faire dans ce genre de situation? Personnes ne fut capable de donner la réponse.

Toute la scène sembla se dérouler au ralentit. Comme si soudainement… le temps venait de s'arrêter. Les explications précipitées de Sébastian au chef cuisinier, la sonnerie interminable du téléphone dont l'interlocuteur ne semblait pas vouloir répondre, les sanglots d'incompréhension et de panique du jardinier et dont les quelques mots articulaient semblaient se répercuter au travers le cœur même des pierres constituant le manoir. Tout cela n'était probablement que le prélude d'une pièce macabre. Mais peut-être était-ce un mal nécessaire…

A cette instant, l'on aurait pu se demander si c'était le son de leur cœur affolait qui donnait au spectacle qui s'offrait un semblant encore plus tragique. Peut-être bien, finalement… Car le sentiment qui unir ces cinq personnes à cet instant fut probablement… la terreur.


Voilà! X3 oui, je sais... je suis horrible... On me le dis souvent. u.u

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