Je n'aurais jamais cru retomber sur cette vieille fic que j'avais écrite il y a... trois, quatre ans maintenant. Bon je vous avoue que j'ai saigné des yeux en la relisant mais comme l'inspiration m'est revenu aussitôt, j'ai décidé de la reprendre et de la publier. Voici donc pour vous un petit Ryry x Tomynouchet ! ( Pas taper ! ) Bon, je vous avoue que dedans je m'en prends à beaucoup de personne de la lumière MAIS cela ne veux pas dire que je ne l'ai aime pas ! N'allait pas crier au scandale ok ? Et si cela ne vous plait pas, la petite croix en haut à droite n'attend que vous.

J'ignore combien de chapitres cette histoire contiendra ni le rythme de parution que j'adopterai, je verrai en fonction de mes horaires !

L'univers, les personnages appartiennent à cette magnifique et brillante J. K. Rowling ! ( sinon l'histoire ne serait mais alors pas du tout la même ! )

Je m'excuse pour les fautes et vous souhaite bonne lecture!


La vérité y est dites

Chapitre un : Visite surprise !

Le soleil brillait haut dans le vaste ciel bleu dégagé, démontrant de ce chaud moi d'été. La plupart des personnes un minimum intelligentes et n'étant pas dur fervent de la sodomie savaient que c'était un temps idéale pour aller à la plage. Sans doute est-ce ce que les résidents du Privet Drive, à l'ittle Whinging avaient fait, en tout cas pour la plupart ; le doute cependant flottait en ce qui concernait la vieille Miss Figg et ses chats.

Au 4, Privet Drive vivait la famille Dursley. Cette dernière était composée de trois personnes : tout d'abord, le chef de famille, Vernon Dursley. C'était un homme grand et massive avec quasiment pas de cou. Il possédait une moustache de belle taille noir et ces cheveux bruns étaient séparés par une raie bien nette.

Ensuite, sa femme, Petunia Dursley. C'est une femme mince, blonde, au visage chevalin et au cou deux fois plus long que la moyenne, très pratique pour espionner ses voisins et ainsi avoir sont lot quotidien de commérage.

Enfin, dernier membre de la famille : Dudley. Dudley ressemble beaucoup à son père. Il a une grosse figure rose, un cou presque inexistant, de petits yeux humides et d'épais cheveux blonds. C'est un cochon avec une perruque. A 14 ans, il avait à peut prêt la taille et le poids d'un jeune orque, c'est pour dire.

On pourrait se dire que, comme beaucoup de personnes en cette chaude journée, ils avaient décidé d'aller à la plage, et pourtant. Peut-être que cela était dût au terrible secret qu'ils gardaient précieusement garder dans leur maison ? Et quel secret me diriez-vous. En un nom : Harry Potter ; jeune orphelin, survivant, l'élu, sorcier né pour une chose, détruire le plus grand mage noir de tout les temps: Voldemort.

Ce dernier était d'ailleurs derrière la maison, dans le jardin de la maison des Dursley à entretenir le Jardin. Cette activité que nous appellerons corvée jardinage, n'avait rien de plaisant pour le jeune homme qui s'essuya le front à l'aide de la manche du haut trop grand, ayant appartenu à la baleine qui lui sert de cousin, et ce, pour la énième fois. Sa peau était rougit à force de rester ainsi au soleil sans protections au préalable – ce dernier doutant fortement que sa chère « famille » accepte de lui prêter un peu de crème solaire ou un chapeau afin d'éviter une insolation. Il sentait d'ailleurs cette dernière en plus des coups de soleil arriver à grand pas, n'attendant qu'une chose : s'abattre sur lui – Ses cheveux bruns en batailles, lui caressant le bas de la nuque et de leurs pointes ses épaules, étaient collés à son visage dût à la transpiration abondante qui émanait de ses pores.

Dans un soupire, le jeune sorcier se redressa, grimaçant lorsqu'une douleur ce fit savoir dans le bas de son dos dût à sa position peut confortable, avant de retirer ses horribles lunettes rondes, frottant de ses doigts ses yeux d'un beau vert - héritage de sa mère - d'un air fatigué si ce n'est épuisé. Remettant ses verres, il regarda en direction de la maison. Il pouvait entendre la télévision où une quelconque émission débile passait, sachant son cousin complètement hypnotisé par ce programme très instructif. ( Ironie quand tu nous tiens. ).

Par merlin, depuis combien de temps était-il là, dans ce jardin sous un soleil tapant, courbé dans une position peu confortable, à arracher les mauvaises herbes à la main, une par une ? A ce traîner dans la terre, tâchant son pantalon trop grand, lui aussi récupéré de son cousin, qu'il remontait de temps à autre malgré la ceinture serré à fond ? Il n'avait qu'une envie, aller dans sa chambre, s'allonger dans son lit en soupirant. Il enviait en cette instant ses amis qui devaient se la couler douce chez eux alors que lui était coincé ici à jouer les elfes de maison pour des moldus exécrables !

Son regard analysa le jardin. Il n'était pas prêt d'avoir fini. Se rabaissant dans le but de se remettre au travail – si il avait le malheur d'être vu par son oncle, il allait manger – son regard fut attiré par une silhouette, de l'autre côté de la clôture, éloigné d'un trottoir. Il s'agissait d'un homme, jeune, il ne devait pas avoir plus de 25 ans. Ce dernier semblait le regarder lui, pourquoi ? Soudain, une sensation de déjà vu l'envahit. Comme lorsque vous avez la réponse à une question mais que cette dernière reste coincée sur le bout de votre langue. Où, par merlin, l'avait-il déjà vu ?

La voix de sa tante manqua de le faire sursauter mais eut le don de le ramener à la réalité : corvée jardinage. Il tenait à avoir un minimum de reste à manger ce soir. C'est pourquoi il baissa de nouveau la tête, se remettant rapidement au travail, grimaçant en découvrant ses mains qu'il n'aimait pas avoir les mains sales, mais bon.

« Qui aurait cru un jour que le grand Harry Potter, se retrouverait à genoux dans la terre à retirer les mauvaises herbes ? »

Harry se figea dans ses mouvements alors qu'un long frisson le parcouru de la tête au pied. Il ne sut pas vraiment le définir. La voix était grave, légèrement froide mais bizarrement sensuelle, douce et raffinée comme du satin. Lentement ses yeux se levèrent alors que ses sourcils se froncèrent.

« Quoi ? » fut la seule chose que Harry sut répondre.

Son souffle se coupa alors que ses yeux, lentement, s'écarquillèrent. Une peau pâle mais sans imperfections, aucune. Un corps élancé. Des cheveux bruns et des yeux, qui d'ordinaire auraient dût être noir et profond, étaient en cette instant rouge comme le sang, fixant Harry avec un sourire en coin clairement moqueur.

Oh que oui il connaissait cette homme. Mais cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas vu. La dernière fois qu'il l'avait vu, c'était il y a cinq ans, dans la chambre des secret. Il avait en face de lui son pire ennemie : Tom Riddle, autrement appelé Voldemort.

Que diable faisait-il ici ? Ou disons plutôt son souvenir. Au dernière nouvelle Voldemort ressemblait à un serpent sans nez aux yeux rouges. Rapidement, ses sourcils se froncèrent et ses yeux s'assombrirent alors que sa voix se fit polaire.

« Puis-je savoir pourquoi j'ai l'honneur de recevoir l'un des souvenirs de l'homme qui souhaite ma mort chez ma famille ? Demanda-t-il alors que Tom ricana doucement, arrachant un nouveau frisson à Harry, l'agaçant d'avantage.

-Je ne suis pas un souvenir Harry. Je suis tout ce qu'il y a de plus réel » lui répondit-il tout sourire hautain.

Harry, avec lenteur, porta sa main à sa baguette situé dans l'une des poches arrières de son jean, ne lâchant pas l'homme du regard, le détaillant de la tête au pied. Qu'importe que les Dursley le surprenne. Ils étaient, en cet instant, autant en danger que lui.

« Je constate, commença-t-il d'un ton clairement méprisant. Que tu t'es enfin décidé à troquer ton apparence reptilienne à face plate contre une apparence plus... humaine. Enfin, si l'on oubli les yeux rouge. »

Tom ricana de plus belle en venant s'appuyer contre la clôture, dans une posture qui se voulait nonchalante mais qui apparaissait avec lui... sensuelle.

« J'ai en effet pu récupérer le corps de ma jeunesse, bien que je ne puisse rien faire pour mes yeux.

-Que viens tu faire ici ? » cracha aussitôt Harry.

Tom sourit de plus belle avant de faire apparaître dans sa main lettre qu'il lui tendit. Heu... pause. Voldemort était venu jusqu'ici pour lui remettre une lettre à son nom ? C'est impossible, il y avait forcément un piège quelque part. Harry regarda la lettre que lui tendait le lord noir avant de revenir sur ce dernier.

« Tu peux garder ta lettre, je n'en veux pas. Je ne suis pas idiot au point d'accepter naïvement une lettre de ta part.

-Je m'en doute, je peux pourtant t'assurer qu'il n'y aucune raison de t'inquiéter.

-Permet moi de douter de ta parole, siffla Harry en plissant les yeux.

-Je jure qu'il n'y a aucun danger, continua Tom avec sérieux alors que Harry releva un sourcil, prêt à refuser de plus belle l'étrange invitation du seigneur des ténèbres. La vérité y est dites. »

Harry se figea alors qu'il se redressa lentement, fixant Tom droit dans les yeux.

« La vérité ? Quelle vérité ?

-Celle qui t'a toujours été cachée.

-Pourquoi ?

-Cette comédie à assez durée à mon goût. Je n'ai jamais été d'un naturel très patient. »

Harry regarda un moment Tom avant de tendre lentement le bras et de prendre la lettre. Il n'effectua aucun mouvement pour l'enlever de la main de Voldemort, ce dernier enlevant lui même ses doigts qui la maintenait. Il y jeta un rapide coup d'œil, regardant son nom écrit au centre de l'enveloppe en vert, d'une élégante écriture arabesque, avant de la fourrer d'un geste sec et rapide dans l'une des poches de son pantalon alors que Tom lui sourit avant de transplaner, nullement effrayé à l'idée d'être aperçut.

Harry regarda un moment l'endroit où, il y a quelques secondes encore, Tom était avant de baisser la tête, ses sourcils froncés. Pourquoi par Merlin avait-il prit cette fichu lettre ? Il aurait dû sortir sa baguette, se débarrassant une bonne fois pour toute de lui, de ce monstre qui avait tué un nombre incalculable de personnes de sang froid, dont ses parents ! Qui voulait sa mort ! Alors pourquoi n'avait-il rien fait ? L'écoutant ? Lui parlant de manière « civilisé » ?

« Harry ! Gronda la voix de l'oncle Vernon, ramenant violemment Harry à la réalité alors qu'il relevait la tête pour découvrir son oncle à la fenêtre de la cuisine, le fusillant du regard. Au lieu de rêvasser, viens préparer le dîner ! » Ordonna-t-il.

Harry soupira en se relevant, gémissant sous les courbatures qu'il ressentit un peu partout. S'étirant, faisant craquer ses os, Harry se dirigea vers l'intérieur de la maison.

« Et comme tu n'es pas capable de terminer un travail aussi simple que celui de désherber le jardin, tu seras privé de dîner. Tu monteras directement dans ta chambre après avoir préparé le repas. »

Harry soupira d'un air fataliste alors qu'il entrait dans la cuisine, commençant à préparer le manger du soir.


REEEEEViews ?