Couleurs d'améthystes

= Prologue =

Un nouveau départ, encore. Cela fait tellement de fois que mon frère et moi sommes obligées de suivre sans un mot nos parents. Mais cette fois, quelques chose change. Nous venons dans cette ville pour que ma Mère, Cassandre puisse ce rapprocher de mon père, William. Dix sept ans qu'ils sont séparés, mais aujourd'hui, enfin, non, depuis six mois environ, ils se reparlent comme de bon amis. Il y a dix ans que Dean et moi, nous n'avons pas revu notre père, alors, dans un sens, je ne sais pas si, ce rapprochement me gène ou si, au contraire, il me plait. Il me déplait dans le sens ou j'ai du tous quitter de mon ancien vie a phœnix, mes amis, aussi peu nombreux soit il, le soleil, Forks, la ville ou mon père vie et une vrai glacière même en été c'est vous dire et, ça me plait dans le sens ou, ma mère et heureuse de revenir et de renouer avec mon père, son amour perdu qu'elle n'a jamais oubliée.

Alors, Dean, mon frère et moi, Lysaria dit Lys ou Baby partons dans un endroit que nous ne connaissons plus. Un endroit qui n'est plus chez nous depuis bien longtemps, un endroit ou, avant même que nous avions appris que nous repartions savez qui nous étions et quand nous arriverions. Charlie nous avait déjà inscrit au lycée tous les deux, alors, j'imagine parfaitement le corps estudiantin lancer les rumeurs les plus farfelues sur lui et moi. Heureusement, Dean et moi étions soudé, notre ressemblance tans niveau physique que morale nous valaient le surnom de Twin's dans notre ancien lycée. Mais, lors de notre prochaine rentrée, Dean m'avait demandé de ne pas former un duo fermé comme avant, il voulait s'intégrer, se faire des amis et des amies. J'avais acceptée, je ne peux rien lui refuser de toute façon, alors, a Forks, nous ne serions pas les Twin's mais simplement Dean et Lysaria Smith, les frangins de phœnix.

"Lys, tu es prête ? Je dois fermer la maison maintenant."

"Je descends maman."

Cette maison resterai a nous, mais elle sera confiée a des gens que ma mère avait qualifié de « locataires parfait ». James et Victoria, un couple heureux et bientôt parents. Je leurs avait peu parlés, je dois l'avouer, mais Victoria, Vic' comme elle avait insistée pour que je la nomme, m'avait promis de prendre soin de ma maison et d'y être heureuse avec sa famille pour nous l'avions était nous. Doucement, prenant le temps d'imprimer sur mes rétines chocolatées des souvenirs d'ici, je descendis les escaliers en bois foncé pour me retrouver face a face avec Dean, les larmes aux yeux, des souvenirs plein la tête, un sourire triste aux lèvres. Nous étions pareils, triste de partir mais aussi heureux de partir. Notre mère, a nos cotés nous pris dans ses bras nous murmurant des mots doux qui nous réconfortées, mais a savoir si c'était elle ou nous qu'elle tentait d'apaiser lorsque les premiers goutte salé ont passé la barrière de ses yeux.

"Cette maison va aussi me manquer les enfants."

"Tout va nous manquer ici maman." Répondit mon frère dans un murmure

"Même les cactus vont nous manquer" Ajoutais pour la faire rire.

Ma tentative marcha parfaitement, je regardais quelques minutes plus tard, ma mère monter dans le taxi accompagner de mon frère pour prendre l'avion en direction de Seattle ou mon père devait venir les chercher. Moi, j'avais décidée de prendre ma voiture, je n'avais eu aucune envie de la vendre avant de partir et la seule demande de ma mère que qu'elle accepte a était que je place, sur mon siège arrière, le vase en porcelaine bleu qu'elle tenait de grand-mère. Cette chose était affreuse certes, mais elle m'avait permis de prendre ma choupette avec moi a Forks. Dean, n'avais pas gardé son impala. Moi, j'avais tout net refusé de laisser Charlie me trouver une voiture quand j'ai vu celle qui avait trouvé pour Dean. C'était une petite voiture indéfinissable rouge délavé affreusement affreuse. Ma BMW Z4 allez sûrement lui taper sur le système au début, j'en suis sur, mais après plusieurs allez/retour au lycée dedans, il se calmera surement. Comprenez, qu'avec le regard des filles pour elle, il va être content.

Le taxi était maintenant hors de vu. Doucement, par peur d'aller trop vite et d'oublier cet endroit, je jetais un dernier coup d'œil avant d'enfin prendre le volant direction Forks ou une nouvelle vie m'attendez sûrement. Le moteur démarra au quart de tour et son doux ronronnement me détendit tous de suite. Après encore cinq bonne minutes à observer autour de moi, je passais la vitesse et m'engagea sur les routes des États-Unis pour plusieurs jours de voyage.

Le voyage s'était plutôt bien passé, les kilomètres et les heures avait défilés sans dommage. A peine avais-je coupé le moteur de la chérie dans l'allée de la maison de William, la ou j'allais vivre le temps que ma mère trouve un truc plus grand pour nous, mon frère ouvrait la porte de la petite maisonnette a la volé, la faisant claquée sur les murs et faisant par ces mêmes gestes râler mon père. La maison n'avait pas vraiment changée depuis que nous l'avions quittée. Malgré mes faibles souvenirs d'ici, cette maison m'a tous de suite paru familière et accueillante.

"Alors petite sœur, t'a fait bon voyage ?" Demanda mon frère en me prenant dans ses bras.

"Excellent et toi ?" demandais-je en retour lui provoquant un grognement sourd.

Sa réaction ne me surpris pas vraiment, notre mère n'avait jamais était fan des voyages et encore moins en avion puisqu'elle en avait une peur bleu. J'était d'ailleurs assez contente de ne pas avoir eu a supporter et a calmer ses crises d'angoisse. J'aimais vraiment ma mère, mais elle avait tendance à me taper sur le cerveau facilement. Alors, oui, j'étais heureuse d'arriver deux jours après eux. Je vis, lorsqu'enfin, mon frère me libéra de son étreinte que mon père était toujours le même que dans mes souvenirs, avec une moustache en plus.

"Pa', la moustache ne te va pas vraiment." Dis-je en m'approchant de lui pour le prendre dans mes bras.

"Ne le dit pas trop fort, ta mère veux aussi que je la coupe". Rit-il dans mon cou.

"Et je dois dire que pour une fois, elle aurait peut être raison". Souris-je a mon tour.

"Bref, tu as fait bon voyage ?"

"Excellent merci, je suis éreintée, mais heureuse d'avoir ma voiture". Dis-je en vrillant la voiture de mon frère.

"Ne regarde pas ma voiture comme ça Baby, elle me rendra de bon service" Dit il se rapprochant de son carrosse "Quand je ne pourrais pas avoir la tienne" termina t'il dans un sourire

"Parce que, tu crois vraiment que je vais te passer mon bébé en plus !" m'exclamais-je "ta pas l'impression de pousser Maurice à bouffer tous les choco-suisse la ?"

"Moi ? Pas du tout" dit il me guidant a l'intérieur

Je restais quo devant l'intérieur de mon père, rien de bien moderne, mais tous son mobilier était noir et blanc. Des murs au plafond, nous étions dans un vrai film en noir et blanc. J'aurai pu croire qu'Al Capone aller d'un instant a l'autre franchir la porte d'entrée. Flippant. Mais, mon père m'interrompis dans ma contemplation de son petit chez lui et m'indiqua ma chambre. Celle-ci n'avait pas vraiment changée, seule les couleurs avait était rafraichit, le mauve était encore voyant et les rideaux blanc était éclatant.

"Esmée, une amie, m'a aidée à la remettre en état avant que vous n'arriviez". M'appris mon père.

"Une Amie hein !" souris-je doucement

"Calme ton imagination Baby, elle est la femme du doc je te signale et l'un de ses fils me fiche la trouille avec sa carrure de rugbyman." Rit-il après moi

"Tu as la trouille d'un gamin toi ?"

"Non, mais je fais attention a ma vie, je ne cours plus aussi vite qu'avant Bella".

Nous avons continués encore quelques minutes à parler comme cela, de cette Esmée, femme au combien sympathique même dans les dire de mon père. J'avais ainsi appris à peu prés tous sur la famille de cette femme, le nom de son mari, Carlisle, docteur de son état et de tous ses enfants, adoptés, tous autant qu'ils sont. Nous avions donc Emmett, le futur rugbyman, Rosalie la pimbéche sans cœur mais taille mannequin, Jasper, son frère et fan d'histoire a ses heures perdue, Alice, petit lutin fan de mode et dangereuse pour ma santé mentale vu qu'elle avait déjà prévenu mon père qu'elle m'emmènerait faire du shopping et pour terminer cette petite famille, Edward, le musicien torturé.

"Bien, Bella, je vais te laisser te reposer, tu dois être vidée avec toute cette route. Fait de beaux rêves".

"Merci Pa', toi aussi".

"Je suis heureux que tu sois la tu sais".

"Merci papa".

Et il ferma la porte sur ma personne enroulée dans mes couvertures, les yeux se fermant déjà à moitiés, prête a rejoindre Morphée dans ses limbes. Demain serai une rude journée, demain serai le début de ma nouvelle vie. Demain, je devrais affronter mes premiers obstacles. Demain, je commence le lycée.

"Baby ! Magne tes petites fesse d'aspirine ici !"

"Encore cinq petites minutes Dean, je veux juste dormir !"

"Non ! Debout, il te reste quinze minutes pour te lever, te doucher, t'habiller et déjeuner un peu avant que nous allions au lycée je te rappelle !"

"Merde !"

Après ce bel échange, tous ce que j'entendis étaient le rire gras et moqueur de mon frère à l'étage du dessous et ma mère nous demander de faire moins de bruit. Je courus a toute vitesse dans la salle de bain manquant au passage de m'étaler sur le sol et fus prête en a peine dix minutes, coiffée et maquillée en plus. Je descendis dans la cuisine ou je retrouvais mon frère devant son bol de céréale pour enfant. Il ne leva même pas la tête pour me saluer et parla la bouche pleine.

"B'jour tite sœur !"

"Je te signale que je suis la plus vielle de nous deux Dean, de deux minutes et demi."

"M'en fiche, t'est ma petite sœur quand même !"

Je roulais des yeux. En l'observant, je vis qu'il avait une chose à me dire, il sautillait littéralement sur son siège, prêt à bondir au moindre signe de ma pars. Je décidais de le laisser mariner, je savais déjà que cette chose avait un rapport avec le lycée puisqu'il avait fait sa rentrée la veille. Je l'observais toujours quand, il ne se retint plus, il sauta de son tabouret et approcha de moi doucement pour prendre place sur celui a mes cotés. Les yeux plein d'étoile comme le matin de noël. J'avalais ma dernière bouché puis me tourna vers lui.

"Allez crache le morceau, tu veux me dire quoi ?"

"J'ai fait la connaissance d'une famille hier !"

"Ha oui ? Et alors ?"

"Ils sont tous aux lycées avec nous".

"Oui, et pourquoi tu prends la peine de m'en parler ?"

"Et bien, de pars notre nature, nous ne devrions pas être amis mais ils … "

"Attends, tu es en train de me dire que tu as choisi des VAMPIRES comme amis ?"

"Heu, en fait ils sont vég …"

"DEAN ! Mais t'est malade ou quoi !"

"Lysaria ! Laisse-moi parler !"

"Non Dean c'est complément incontinent que ce que tu fais !"

"Lys' ils sont …"

"DES VAMPIRES ! NON MAIS TU M'AURA TOUT FAIT VRAIMENT !"

J'avais hurlée en sortant de la cuisine. Il m'aura vraiment tous fait mon frère, il savait pourtant bien que nous ne pouvions pas faire confiance a des vampires ! J'étais en colère après lui, pour avoir succombé au charme d'un groupe de vampire, mais aussi contre moi pour avoir décidée de venir en voiture plutôt que de prendre l'avion. Si j'avais étais ici dés le début, jamais nous ne serions approchés d'eux. Dean n'aurai pas était en danger et je n'aurai pas a en parler avec mon père. Je n'aimais pas parler de tous ce qui concerné ma nature et mes pouvoirs avec mon père, il ne l'avait jamais vraiment accepté, mais il avait essayé et était de moins en moins fermé a moi. Toujours en rage, j'ouvris la porte d'entrée en prenant mon sac de cours et hurlé à mon frère

"Tu iras en cours tous seul !"

"Baby attends, je dois vraiment t'expliquer !" Dit-il en courant dans le salon

"Je ne veux rien entendre, je vais avoir assez d'ennui comme ça !" Hurlais-je de plus en plus hors de moi

Puis, claquant la porte sur mon passage, je montais en voiture et démarrai en trombe en direction du lycée ou, un groupe de vampire m'attendrai et me surveillerai. J'étais sur que je n'aurai jamais du venir, j'aurai du accepter la proposition de ma mère de rester à Phoenix et vivre normalement. De rage, je donnais des coups dans le volant. Relevant la tête, je croisais dans le rétro, mon regard couleur d'améthyste. L'année commençais déjà super bien !

"Comment je vais expliquer ça au autres élèves moi !"