Bonjour !
Me revoilà avec une nouvelle histoire, je sais, je n'ai pas terminé les autres et ça me pause un énorme problème...je peux passer des heures pour les achever mais rien y fait, les idées sont là à s'entrechoquer mais une fois griffonnée sur le papier, elles ne me conviennent plus... Ne déseperez pas, je les finirai...promis...
Pour passer mon temps, j'ai pensé à autre chose !
De mes nuits d'insomnie est sortis cette courte histoire !
Le coeur a ses raisons que la raison ignore...Hermione sera bien différente dans cette histoire, certaines personne la prendront pour un être calculateur et vil, d'autres n'y verront qu'une femme infidèle !
Tout sorte de sentiments vous percuteront mais en fin de compte soit vous aimerez soit vous détesterez...
En tout cas merci d'être passé et à très bientôt...
Un secret…Peu en cacher un autre…
Chapitre 1 : Une partie de la confession…
Aujourd'hui, j'ai trente ans, mariée à l'un de mes meilleurs amis, mère comblée par la naissance de deux chérubins et extrêmement fière de mon ascension au ministère !
Je suis le bras droit du ministre, première femme dans la communauté sorcière à monter si haut, cette place beaucoup me l'envie, je le sais puisque je l'ai longtemps convoitée.
Pour toutes ses raisons, je devrais être la plus heureuse des femmes !
Mais en réalité, il n'en n'est rien.
Je cache un terrible secret qui me pourri la vie, par amour, j'ai caché certaines vérités et je me suis fourvoyé dans les méandres du mensonge !
J'ai signé ma descente en enfer comme je signe les traités de lois ?
Pour comprendre le tout, il faut remonter aux temps de la seconde guerre sorcière.
Nous étions jeunes et ignorant des affres de l'amour ?
J'aimais Ron plus que tout et pendant la chasse aux horcruxes, il m'a déclaré son amour et nous nous sommes mariés en secret avec pour seuls témoins, Harry et le mage de la petite bourgade.
Nous étions heureux, tout allait pour le mieux, la destruction des horcruxes se déroulaient à merveille.
Vers la mi-mai, nous sommes retournés à Poudlard pour affronter Voldemort et ses sbires.
Bien que la bataille fut pénible et douloureuse, nous en sommes sortis les vainqueurs !
Malheureusement, beaucoup de nos amis ont péri sur le champs de bataille et un bon nombre de combattants étaient blésés !
Ron était parmi ceux là ?
Il avait été touché dans les dernières heures des combats, un sort vicieux jeté par un horrible mangemort en fuite.
Il ne l'avait pas raté , bien qu'il n'ai aucune blessure apparente, il était plongé dans un coma profond ?
Nous l'avions transporté à Sainte Mangouste où une ribambelle de magicomages l'avait analysé sous toutes les coutures.
Ils étaient restés dubitatifs face à son cas, ils ne comprenaient pas comment un homme dans son état puisse rester inerte ?
Mais bien vite, ils s'étaient désintéressés son cas car d'autre patients gravement atteints attendaient leur soins !
Ils avaient quand même assigner un jeune médicomage sortant de promotion à faire sa main sur mon Ron !
Étant sa femme, je pus assister à certains examens et c'est lors de l'un d'eux qu'il découvrit le mal qui le touchait ?
Ce sort était une abomination pour un homme, il le touchait dans son orgueil de mâle, le privant de toute reproduction ?
C'était d'une cruauté, tout fonctionnerait mais ne produirait rien ?
Voilà comment, le sourire aux lèvres, ce petit prétentieux de magicomage me l'avait annoncé !
J'étais estomaquée !
C'est à ce moment que je commis ma première erreur de jugement, sans trop réfléchir aux conséquences d'un tel acte, j'ai lancé mon premier sort d'amnésie.
Un sort qui consistait à effacer qu'une infime partie de temps.
J'ai même pousser le vis à détruire tout parchemins ou autres preuves pouvant prouver la stérilité de mon amour.
Il ne devait absolument pas le savoir ?
Aurait-il compris que ça n'avait aucune importance pour moi, que lui seul comptait à mes yeux ? J'en doute encore aujourd'hui ?
Quelques jours après, il était sorti du coma et la famille Weasley s'étaient rassemblées en bloc autour de leur rejeton.
Molly s'était insurger contre le faite qu'on puisse encore infliger à son petit une multitude d'examen complémentaire.
Il allait bien ! Alors, il pouvait rentré se reposer en famille.
La vie continua, nous devions tous nous reconstruire, penser nos plaies, enterrer nos morts et trouver des solutions pour embellir nos existences.
Cinq ans après, Ginny et Harry convolèrent en justes noces.
De retour de leur retour de voyage de noces, ils nous annoncèrent une merveilleuse nouvelle qui allait bouleverser ma vie.
Leur premier enfant avait été conçu un mois avant leur mariage.
Sept mois plus tard naissait James -Sirius Potter.
Le soir même alors que nous étions enlacés, Ron me demanda si j'étais d'accord de mettre notre premier Weasley en route !
Je n'eu pas la force de le lui refuser, il était si enthousiasmé.
Une chose caractérise les enfants Weasley , leur attachement familiale, bien qu'ils aient été privé de certains avantages, vu leur grands nombres, aucuns d'eux n'envisageaient une vie sans enfants, comme le font la plupart des enfants de famille nombreuses !
Eux n'étaient heureux qu'ensemble, bien sûr, ils appréciaient quelques moment de solitude, mais leur réunion, leur dispute, leur cri ou leur pleurs étaient pour eux leur souffle de vie.
Dire à Ron que nous n'aurions jamais d'enfant était pire qu'un advada kedavra !
Je lui aurai enlevé son souffle, son avenir, sa vie…Moi, qui ne vivais que pour lui !
Le premier mois fut un échec comme les suivants d'ailleurs, aux bout de six, il ne tenait plus, une tristesse l'avait envahit et le minait.
Moi, je le regardait s'enfoncer dans une déprime et je pouvais rien faire.
J'avais beau lui dire qu'il était normal d'attendre que tout les corps ne répondaient pas immédiatement à l'appel de l'enfantement !
Je ne pouvais plus supporter son désespoir ! Il fallait absolument trouver une solution !
C'est à ce moment que je commis ma deuxième bêtises.
A cette époque, je travaillais à la division des affaires étrangères et était souvent envoyée aux quatre coins de l'Europe.
Je reçu mon ordre de mission un jeudi soir .
La Roumanie m'attendait le lendemain.
A son annonce, Ron entra dans une colère , me reprochant mon manque de compréhension, d'envie ou de soutien.
Encore des reproches qui venait alourdir ma culpabilité.
Pour tout vous avouez, bien qu'attristée par ses paroles blessantes, je fus heureuse de partir pour deux semaines.
Les quinze jours éloigner l'un de l'autre ne pouvaient que nous faire du bien.
Les trois premier fut consacré à l'élaboration du contrat unissant l'Angleterre et la Roumanie pour l'élaboration, la fabrication et la vente d'un substitut de sang pour la communauté vampirique.
Comme si ils allaient du jour au lendemain changer leur mœurs.
Le travail m'accaparait toute entière, je ne pensais ainsi dire plus à mes affres.
Ron et moi avions parlés par cheminée interposée le premier soir et nous étions venus à un accord, nous allions passés ses quinze jours loin de l'autre sans qu'un de nous ne cherche à perturber les réflexions de l'autre !
Il avait prévus de passer la plupart de son temps chez ses parents où chez ses frères puisqu'Harry était très occupé entre les pousées dentaire du petit James, des déboires pour la sélection de Ginny dans l'équipe nationnale de quidditch et son boulot d'aurore.
A la fin du quatrième jours, l'équipe roumaine nous invita à une soirée.
L'ambiance était bonne enfant, nous rigolions des blagues de nos condisciples roumains, il faut dire qu' aujourd'hui les traducteurs mis en place ne fonctionnaient qu'une fois sur deux.
Le dîner avait été délicieux mais mon humeur ne pouvait en supporter de plus.
Vers dix heures, je les avait quitter afin de joindre l'hôtel.
A la sortie du club restaurent, j'avais percuté un groupe d'homme, l'un d'eux m'avait attrapé de justesse avant que je ne me soit écroulée au sol.
J'avais relevé la tête honteuse de mon étourderie pour rencontrer un regard si semblable à celui de Ron.
-Charlie!
Quelle bonne surprise ! Disais-je en le serrant dans mes bras.
Ces compagnons sifflaient tout en marmonnant des syllabes incompréhensibles.
- Taisez-vous les gars !
Cette jeune personne n'est autre qu'une des héroïnes de guerre et qui plu est l' une de mes adorables belles-sœurs, Hermione Weasley.
Il s'excusa auprès de ses compagnons et m'invita à prendre un verre.
Chose que j'accepta immédiatement, bien que réservé, Charlie recelait une conversation plus qu'intéressante.
Il me demanda des nouvelles de la famille, des amis rester au pays, de ce que je faisait en Roumanie, de ce qu'il y faisait…
Il me parla du pays et des habitants qu'il l'avait accueilli, de cette ambiance qu'il manquait parfois chez nous…
J'appris qu'il venait avec ses amis dans ce club tout les soirs pour y changer leurs idées, le métier de dragonnier n'était de tout repos.
La soirée passa à une vitesse.
Il me raccompagna à l'hôtel et me fit promettre qu'il y aurai une autre soirée comme celle là avant mon départ.
Je l'embrassais tout en lui promettant.
De retour dans cette chambre d'hôtel, je repensais au dilemme qui nous touchait, je n'avait pas le choix pour sauver Ron et notre mariage, je devais lui donner l'enfant qu'il désirait !
Une idée s'insinuait petit à petit dans mon esprit, qui de plus apte qu'un Weasley pouvait me le donner !
Pour le bonheur de l'un, je devais voler le second.
Je m'endormis tout en élaborant la félonie que j'allais commettre.
