Voilà un vieux poème trouvé dans mes cahier d'école !

Rien ni Rose ni l'histoire n'est a moi, mais l'interprétation m'est propre !

Review si vous aimez.

P.S. Voilà que ce vilain problème de ligne reviens.. Suis-je la seule qui ne peux passer de ligne ? Si vous avez des conseils je suis prenante j'aimerais pouvoir écrire de belle choses moi aussi...


À ta naissance, la vie n'avait pas souhaité que tu sois heureuse.

Fille unique d'un père décédé et d'une mère malheureuse,

Rien ne te prédisposait au bonheur.

Tu pensais que ton existence n'apporterait que du malheur.

Quand tu étais petite,

Ta mère te parlait de ce père absent,

De combien elle l'aimait de son vivant

Et de sa mort bien trop prématurée.

Tu pensais que tu allais rester

À perdre le reste de ta vie, à essayer de la gagner,

En faisant de petits boulots minables.

Tu t'attendais à ne jamais connaitre la gloire, c'était inévitable.

Tu avais un petit ami que tu n'aimais pas vraiment,

Mais tu étais la femme de sa vie, il était fou de toi.

Vous étiez nés pauvres et vous alliez mourir pauvre,

Sauf que secrètement, peut-être espérais-tu un Roi.

Bien que parfois, c'est d'un roi dont tu avais rêvé,

C'est un seigneur que la vie t'a apportée.

Il t'est apparu comme par magie

Et presque sans hésitation tu l'as suivit.

Bientôt, sa seule présence te fut indispensable.

Il te faisait voir des merveilles inimaginables.

La vie était si belle à ses cotées

Que tu aurais été folle de vouloir un jour le quitter.

L'amitié que tu avais d'abord ressentie pour ce bel inconnu

Se transformais peu à peu en un sentiment incongru.

Pour la première fois de ta vie, tu connaissais l'amour.

Malheureusement, ce mot ne rime pas nécessairement avec toujours.

Ta mère, qui n'avait cessé de s'inquiété

Lors de tous ces voyages répétés.

Elle qui n'a jamais cesser de t'appuyer,

Voilà tous ses efforts récompensés.

Elle, qui avait toujours voulu ton bonheur malgré tout,

A eu la chance de recevoir en retour,

Le double de celui qu'elle avait épousé,

D'un de vos voyage, vous lui avez ramenez.

Quand un jour ton seigneur t'a demandé quand tu allais le quitter,

Tu lui a dit : pour toujours je vais rester.

À ce moment, par contre, tu ne savais pas

Que la fin du voyage arrivait à grand pas.

Cette fois-là il est partit et tu n'as pas pu le suivre.

Tu ne savais pas comment tu allais survivre.

En pleur, tu lui as avoué que tu l'aimais.

Il ne t'a pas répondu, peut-être pensait-il que tu mentais

Même s'il t'a abandonné, tu n'as cessé de le rechercher.

Tu avais pourtant la chance de reprendre une vie normale.

Ce que tu vivais avant n'était tout de même pas si mal,

Mais ce que tu avais vécu avec lui, jamais tu n'allais l'oublier.

Quand enfin la vie te remis sur son chemin,

Au fond de toi, tu souhaitais que plus rien ne vous séparerait.

Tu n'osais penser qu'il pourrait t'abandonner de nouveau le lendemain

Et tu comptais bien savoir ce que pour toi il ressentait.

Tu savouras tout le temps que tu passas avec lui.

Enfin, la vie reprenait ses couleurs.

Tu avais l'air de lui avoir tellement manqué toi aussi.

Mutuellement, vous remplissiez le cœur de l'autre de bonheur.

Quand il te ramena à l'endroit où la dernière fois il t'avait quitté,

Le cœur en miette tu as réalisé,

Qu'il allait de nouveau partit sans que tu puisses savoir

Si les sentiments qu'il ressent pour toi sont ceux que tu ressens à son égard.

Tu te sentais de nouveau trahi et tu ne voulais plus rien entendre.

Il essayait de t'expliquer quelque chose que tu n'arrivais pas à saisir.

Il te donna une partie de lui et bien qu'au début cela ne te fis pas plaisir,

Tu réalisas la grandeur de ce cadeau lorsqu'il te murmura ces mots si tendres.


Alors ? Je sais que certains faits ne sons pas très exactes, mais que voulez vous? Poésie exige !