Oui, je sais, une autre fanfiction alors que je n'ait pas finie les précédente.
Mais l'inspiration est là sans que je ne puisse l'ignorer ! Au moins, je vous ai écrit quelque chose, mais est-ce que cela vous plait ? J'aimerai savoir si je continue à me focaliser sur cet étrange cross over auquel je n'aurais jamais pensé sans « Assassin's Creed 4 Meets Parkour in Real Life - Comic-Con - 4K » (titre de la vidéo sur Youtube !)
Cette fanfiction ne devrait pas être longue. A moins que vous ne vouliez avoir plus d'éléments. Pour cela, il suffirait de me convaincre d'écrire plus.
…
Yep, bien que je ne sache pas marchander, je suis sérieuse !
Je vous laisse découvrir et juger !
Rien n'est Vrai, Tout est Permis.
Ouverture
Tout avait commencé le soir de leur arrivé à Laketown.
Personne ne s'était attendu à cela, les treize nains épuisés et le jeune hobbit maladif n'aurait pas même pu croire un seul instant ce qui venait tout juste de se passer sous leurs yeux ! En moins de temps qui ne fallut pour le dire.
Oh ! Pardonnez l'illustre conteur que je suis. J'ai oublié de vous dire ce qui débuta cette histoire. L'âge pèse sur mes épaule et ma mémoire se raccourcie quelque peu. Enfin, vous n'y pouvez rien, ne gardez donc pas vos visages couverts d'inquiétude ! Ce n'est pas un vieillard tel que moi qui devrez vous inquiétez. Il y a bien pire dans la nature. Oui, bien pire …
Comme je vous le disais, tout a débuté à Laketown.
Croyez-moi où non, mais Thorïn, fil de Thràin, fils de Thrór, je Roi sous la Montagne est de retour ! Quelle joie cette nouvelle nous a apporté ! Bien qu'au tout départ, aucun des villageois ne voulait y croire. Mais le sceau, le symbole de cette famille royale, ne trompe pas. Et malgré les âges, ce visage du ce prince disparu depuis soixante ans, n'à point changé.
Nous n'avons point vu le cracheur des feux depuis des années ce n'est pas pour autant que nous ne gardons pas un œil vigilant su nos belles jeunes filles, quelque soit son statu social. Et la non-venue de ce lézard ne peu signifiait aussi sa mort !
Enfin, je m'égare, je m'égare ! L'âge, qui puis-je ?
Où en étais-je ? Ah oui ! Il est vrai. Nous en étions donc là.
Le Maire a reçu le roi et ses filleuls, ainsi qu'un être que je n'avais jamais vu jusqu'à ce jour un hobbit. Semi-homme vivant loin d'ici, dans les Terre de l'Ouest, dans un coin calme est paisible du nom de la Compté. Un banquet fut organisé en ce retour.
Notre Maire a promis le soutient que désiré le prince, puis à ouvert les portes de la ville aux autres nains de la Compagnie de Thorïn Oakenshield.
Le banquet c'est poursuivit longuement, jusqu'à l'aube, jusque dans les tavernes de la ville, peu importe soient-elles ! Et tout cela malgré les dangers que nous encourions tous.
Oui, il y a peu, quelque chose pire que Smaug depuis plusieurs mois. Un tueur qui rode et qui choisi méticuleusement ses victimes. Ses meurtres sont sans limites autant il peu montrer du respect pour ses victimes, autant il les déshonore et les humilient. Il tue sans limite, à toute heure du jour ou de la nuit. Et il est là, autour de nous, et nous ne le voyons pas. Certain suppose qu'il s'agit d'une femme a qui son innocence et sa vertu lui aurait été retiré de force, d'autres pense à un enfant qui rejettent son manque d'affection envers des adultes autant hommes que femmes. Mais cette personne est intouchable, telle une fumée que l'on tenterait d'attraper avec les mains.
Nous avons prévenus autant que nous le pouvions tous les nains. Seul le hobbit, un peu maladif, a choisit de se retirer dans une chambre dans une auberge que le Maire lui offrait. Les nains, eux, sont allés festoyés dans une taverne proches du lac, fier d'être si près du but pour nous libérer du dragon.
Maître Bard a cherché à les dissuader le feu du dragon nous attendrait tous. Des hommes et des femmes se jointent à sa cause bien que la majorité de la population préfacent reconstruire un village et fêter la mort d'un dragon, que de voir un jour leurs filles et leurs richesses voler par ce dragon.
Ces treize nains festoyés donc et nous festoyâmes avec eux ! Des chants des rires et des cris raisonnèrent de longues heures durant ! La bière coula à flot sans que personne ne fusse dans l'obligation de verser la moindre pièce d'argent ! Les rivières couleront bientôt d'or.
Maître Dwalïn, l'un des nain de la Compagnie de Thorïn Oakenshield, nous conta les moindres détails de leur péripéties, des Monts d'Ered Luin jusqu'à notre belle ville. Sous nos oreilles attentives, ils nous racontaient comment son roi avait enrôlé ses treize fiers compagnons, avec une merveilleuse anecdote qui allait avec. Nous rîmes comme jamais. Les années de souffrances que nous avait apportées le Première et Principales calamités de notre âge, venaient de disparaître.
Et puis, c'est là, que nous vîmes tous un bras, centré dans un magnifique tissu de soie blanche, attraper la choppe que Maître Dwalïn s'apprêter à terminer. Cette même choppe fut reposer quelques instant plus tard sur le comptoir. Mais personne ne pu dire qui avait fait ça. Excepté que ce fusse un bras tout de blanc vêtue. Fantôme ? Non.
Vous savez aussi quel est le tempérament des nains, n'est-ce pas ? Nos treize invités l'ont suivit, muté par leur instinct vers la sortie de derrière. Et nous les avons suivit pour garder en nos mémoires qu'une vision d'horreur.
La porte de bois ouverte, je me souviens avoir perdu notion du temps et de l'espace, mes yeux fixement collé sur le dos d'une grande silhouette vêtue d'un habit blanc de soie, brodé de fil d'or et d'argent, de gantelet d'un cuir épais, incrusté de diverses pierres précieuses. Sa ceinture aussi était d'un cuir époustouflant, au même titre que le travail d'orfèvre sur les fourreaux de ses armes. Il pouvait être de dos, mais il gardé une grande prestance.
Notre silence lui a fait tourner sa tête encapuchonnée vers nous. Nous vîmes que ses lèvres remuer dans un rictus satisfait. Un battement de cil suffit pour qu'il ait le temps de disparaître, laissant derrière lui, le cadavre de deux gardes, tous deux éventrés, gisant dans une marre de sang.
Le plus intéressant, fut que les nains proposèrent leur aide pour retrouver ce meurtrier sans nom ni apparence distincte. Même maintenant, alors que nous connaissons les raisons et que nous savons qui est derrière tout cela, il nous est dur d'avouer cette vérité.
Si vous souhaitez savoir la suite, ce ne sera pas de ma main. Il se fait tard et je me fais vieux.
Et, ce tueur va bientôt venir pour moi, j'ai retrouvé une plume banche noyée dans du sang devant ma porte. Car j'ai fait des choses dont je ne peux être fier. Je le regrette, mais rien ne changera mon destin.
Mais vous pouvez rester, vous ne risquez rien.
Ou du moins, si vous n'êtes en rien coupable d'un acte grave.
Car, telle est la devise qu'il laisse toujours derrière sur le mur où languissent ses victimes : « Rien n'est Vrai. Tout est Permis. »*
Le vieillard déposa sa plume sur son pupitre et scella la lettre.
Un pauvre sourire sur les lèvres, les bougies furent une à une mouchées, sans qu'il ne puisse distinguer qui que ce soit dans la pièce.
- Je ne me serais jamais attendue à cette chute.
- Il en va pour moi de même, Monsieur.
- Sais-tu que je regrette ?
- Oui, plus que tout. Mais rien ne ramènera ce que vous avez enlevé. La tristesse perdurera. La mort aussi.
- Cela pourra t'aider à ton deuil ?
- Qui sait ? Peut-être que je l'ai laissé s'en aller.
Le vieil homme rit de bon cœur, bien que crisper dans la douleur.
- Tu écriras la fin ?
- Pour vous, pour les autres et pour moi.
- Tu es bien aimable. Puis-je te demander une dernière faveur ?
- Je verrais bien de quoi il est question monsieur.
- Ce prénom dont tu es si fier, d'où vient-il ?
L'homme en fin de vie, sentie sa respiration se couper peu à peu, sans qu'il n'en ait à souffrir. Peut-être parce que lui, avait cherché à se repentir. Voilà pourquoi son bourreau avait choisit le poison. Simple mais efficace. Arme fatale. L'Arme parfaite d'un assassin
Alors que sa conscience s'échappait, il mémorisa les dernières paroles douloureuses.
- C'est un secret, que je garderai. Pour le moment, requiescat in pace.*
Ô oui ! C'est que le vieil homme allait faire. Bien que Mahal ne lui accorde peut-être pas cette grâce.
L'homme perdit tout souffle alors que les bougies se rallumaient une à une, ne laissant que dans leur sillage brûlant et de cire coulante, l'ombre d'un fantôme et une plume d'aigle se posant dans un ballotement doux sur la main du nouveau cadavre.
Et sur le bureau de chêne sculpté, il ne resta que l'encrier et la longue plume d'oie. L'ouvrage des mémoires du vieil homme n'étaient plus. Juste volé ou détruite ? Lues ou brûlés ?
À vous de voir.
Après tout, rien n'est vrai et tout est permis.
- To Be Continued -
* Rien n'est vrai tout est permis est la « règle » du crédo des Assassins de Assassin's Creed.
*Si tu ne fais pas italien (ou latin, je ne sais plus !) requiescat in pace signifie repose en paix.
Alors, alors ? Vous en pensez quoi pour un cross-over assez inattendue ?
Je n'ai pas voulu le mettre dans le fandom à cross-over puisque je ne vais pas utiliser Altaïr, Ezio, Connor ou Edward. Oui, ce sera plus une apparition de personnage inventé. Je vais surtout me baser sur l'histoire du Hobbit, et pour ceux qui connaissent le jeu Assassin's Creed, il n'y aura aucune mention des artefacts, ni mêmes des templiers !
Uniquement d'une partie du crédo !
Merci de me dire ce que vous en pensez, c'est très important !
Merci de votre lecture, de votre visite et de votre future review !
À bientôt !
PS ; ma prochaine apparition sera pour un OS sur Legend of Zelda !
