L'Etoile du matin

PRÉFACE

Ils étaient venus pour cela. Tous nos plans de soin, éparpillés comme autant de feuilles sur le vent. Ils venaient pour nous, et il n'y avait rien que nous puissions faire.

Une nouvelle vague de douleur s'est emparée de moi, et je me sentais les bras froid d'Edward me serrer plus fort.

"Respire, Bella, amour. Respire. "

Hystérie s'est emparée de moi - quand allai t'elle s'arrêter? Ma respiration est faible et sans profondeur, contre ma volonté, un gémissement de douleur s'échappa de mes lèvres.

Je l'ai vu tourner un coup d'oeil inquiet à travers mon corps, puis vers une ombre que je ne pouvais plus voir.

"Carlisle, on doit partir avant qu'ils nous retrouvent."

"Il est trop tard, Edward. Nous ne pouvons pas partir maintenant. Une fois que ça a commencé, on ne peut pas l'arrêter. Sa les mettraient en danger si on essayait de fuir. "

"Mais il est encore temps? Je peux le faire, tu sais, je peux ! "

"Alice m'a dit qu'ils sont presque ici. Ils sont plus nombreux que nous, et nous ne pourrions jamais les battrent. C'est trop dangereux. Il va falloir essayer de les faire sortir avant qu'ils n'arrivent. "

Le saisissement de la douleur semble s'estomper - ou est-ce ma conscience? Etais-je en train de perdre conscience ? Je serrai la main d'Edward tout en espérant qu'il me regarde dans les yeux.

"Tu ne m'as pas dit qu'il en serait de cette…" Je haleté, essayant d'attraper mon souffle.

"Pauvre Bella", a t'il soupiré. "Je suis désolé si j'ai fait cela c'était pour toi." Il s'est penché pour essuyer mon front, ajoutant un baiser pour faire bonne mesure.

"Carlisle ?" j'essayais de le voir mais il était juste en dehors de ma vision.

"Oui, Bella ?"

"Je tiens à te faire partir." haletai-je. "Maintenant, avant que les Volturi arrivent ici."

"Il n'est pas question de cela, Bella. Je resterai jusqu'à la fin. " L'ombre flou ses déplacée, comme si il regardé par-dessus son épaule. "Ils sont presque ici."

"Edward ?" La panique dans ma voix était incomparable.

"Ici, amour."

"Ne me laisse pas", j'ai réussi à étouffer un cri quand une nouvelle vague de douleur c'est propagé dans mon corps.

"Non jamais", a t-il promis, en serrant encore plus sa main de pierre contre la mienne.

Et puis, tous est devenu noir.