Bonjour chers lecteurs et lectrices!

Ceci est ma première fic dans l'univers zeldaesque, et elle se base sur le jeu majoritairement préféré: OoT. Vous serz peut-être un peu déroutés par le mdoe de narration, mais quasiment toutes mes fics sont comme ça. Bonne lecture!

Disclaimers: Robin, Elvira, Florian, Olivia, Daniel et Julie sont à moua. Le reste appartient au dieu incontesté, Miyamoto.


Chapitre 1 : Elvira.

Je hais la neige. Je sais pas pourquoi. Depuis toute petite, j'ai jamais aimé la neige. Mon grand frère m'a dit qu'il connaissait la raison de cette peur. Apparemment, lorsque j'avais quatre ans, je me serais enfuie de la maison et que je me serais perdue dans le grand parc enneigé à côté. Selon lui, j'aurais failli mourir de froid. Personnellement, je ne le crois pas. Même si je n'ai aucune preuve. Je pense que c'est lié à quelque chose de plus profond. Mais quoi, je sais pas.

« Elvira, t'as bientôt fini ?

-Non M'man, yen a trop !

-Tu te fiches de moi ? Ca fait trois heures que tu dois déblayer le jardin !

-Mais il est énorme le jardin ! Et puis pourquoi c'est à moi de le faire ? Gabriel ne fout rien, et moi j'ai des devoirs pour demain !

-Je t'avais prévenue que tu devrais le faire, c'était à toi de t'avancer ! Et laisse ton frère, il a déjà fait sa corvée ménagère.

-Mouais tu parles, passer l'aspirateur au chaud dans la maison… »

Ma mère referma la fenêtre de la cuisine d'où elle me parlait. Je me remis à enfoncer la pelle dans la neige et la jeter sur le côté. Je devais libérer le chemin, protéger le bassin à poissons, protéger les arbres -même si ils étaient morts-…

Mon portable sonna, c'était Olivia :

-Salut ma petite, comment ça va ?

-Pas terrible Liv', je déblaie la neige devant chez moi.

-Ah mince… je voulais t'inviter pour un bowling avec les gars.

-Quels gars?

-Robin, et… tu-sais-qui !

-Je sais qui ?

-Bah oui.

-Et de qui tu parles ?

-Eh oh ! Le garçon sur lequel tu craques !!

-Non…non !! T'as fait ça Liv'? Ouah merci !

-Bon, je t'attends chez moi ? Tu passes me prendre avec ta voiture, il faut que je te rende ton sac à dos en même temps.

-Je suis là dans une demi-heure !»

Et je raccrochai sur le coup. Je sautai sur la pelle, en déblayant à une vitesse dingue.