Son sang sur les mains
Chapitre 1
Sur leurs chevaux, ils étaient bien haut et pouvait voir à l'horizon. Sandor guettait si les nouveaux venu qu'ils avaient observé au loin sur une crête pas très loin les attaquerait. Mais pour le moment, personne n'avait pointé le bout de son nez.
Ils étaient restés maintenant deux jours dans un petit village abandonné qu'ils avaient trouvé pas loin de la rivière pour se reposer. Mais la route allait encore être longue et périlleuse.
Ils allaient encore rencontrer plein de danger sur leur chemin jusqu'au mur. Ils avaient déjà traversé les Jumeaux, pour atteindre Winterfell. Mais d'abord ils allaient passer par Barrowton, cette petite ville pas bien connu. Ils y trouveraient certainement un logement pour une nuit et à manger.
« Nous devrions peut-être traverser la grande ville de White Harbor. Dit Thoros en pointant du doigt une ville sur une carte qu'il avait posée sur une table à l'extérieur entouré de la petite troupe.
-Il ne faut pas qu'on nous voix aller au mur, il vaut mieux faire comme on a dit et passer par Barrowton. Dit un des hommes.
-Il a raison, c'est plus prudent. Dit un autre homme, si Sandor sen rappelle bien, c'était celui qui avait perdu son frère. Nous sommes déjà peu, pas besoin de perdre d'avantage d'homme. »
Beric le regarda puis Thoros, le jeune garçon avait raison, il valait mieux être discret. Beric fit signe que oui au garçon et se retira. Il vint ensuite se mettre près d'un feu les mains tendu vers ses flammes.
« Comment peux-tu être aussi près de cette chose ? Grogna Sandor en prenant ses distances des flammes.
-Tu préfère crever de froid Clegane ? »Demanda Thoros en se joignant à eux.
Sandor le regarda puis s'assit sur un tronc d'arbre qu'il avait coupé un peu plus tôt.
« Ils vont revenir. J'en suis certain. Dit au loin l'homme qui avait perdu son frère, il avait des cheveux noir et des yeux bleu.
-Qui ? Demanda un autre.
-Ses cavalier qu'on à vue il y a deux jours, nous sommes sur leur territoire ! Répondit le jeune aux yeux bleu avec effroi.
-Tu as peur ? Siffla Sandor en se retournant vers lui. Moi, ce n'est pas au coter d'une bande de petite filles apeurer que je vais battre ses connard qui vient de je ne sais où ! Sandor se retourna ensuite vers le feu.
-Nous somme en plein dans leurs territoires ! Nous devrions partir tout de suite ! Dit se même garçon devenant nerveux.
-Tu veux partir c'est ça ? Grinça Sandor en se retournant de nouveau vers lui. Alors part avant que je ne t'étripe pour que tu la boucle ! Nous les pisseuse nous ser à rien ici.
-Qu'est-ce que tu peux être de mauvais poil Clegane ! Ricana Thoros en buvant une gorgé de sa peau de vin. Tu fais peur à se pauvre garçon ! » Dit-il en ricanant de nouveau.
Sandor laissa échapper un rire étouffer puis se tourna vers Thoros et Beric en souriant. Il regarda les flammes un instant puis arrêta de sourire, il repensait à Myra, elle lui manquait. Elle aurait certainement rit en ce moment avec lui.
« Ca fait déjà un mois, et je ne t'ai pas vue montrer un signe de faiblesse Clegane ! Dit Thoros en s'installant plus confortablement et en levant sa peau de vin, il devenait certainement ivre.
-Un moi et deux semaines. Rectifia Sandor sèchement.
-Oui, excuser moi ! Dit-il en inclinant la tête. Mais c'est bien la première fois que je voix quelqu'un aussi bien tenir. » Ajouta-t-il.
Sandor le regarda puis ferma les yeux en baissant la tête, il se sentait au fond de lui comme pesant mais aussi vide qu'une bouteille de vin à la fin d'un mariage.
« Et toi ? Ne dit pas que tu n'as pas un jour aimer quelqu'un d'autre que l'autre couillon ! Plaisanta Sandor en désignant Beric qui celui-ci ricana.
-Eh bien si ! Dit-il en se redressant. C'était une belle bombasse, un vrai canon ! Dit-il la tête commençant à lui tourner. Elle s'appelait… Euh… Je ne m'en souviens pas vraiment mais je sais qu'elle est partie avec un autre homme !
-C'est une triste histoire pour un triste petit homme. Dit Sandor en le regardant avec compassion.
-Et pour toi c'est une triste petite histoire pour un grand homme triste. »Dit Thoros en levant encore sa peau de vin vers Sandor en baissant légèrement la tête vers l'avant.
Soudain, des bruits de sabots résonnèrent au loin et des cris enrager. Sandor et toute la troupe se leva et attrapèrent leurs armes. Ils se mirent en positon de défense. Sandor vit enfin leurs attaquent, c'était des hommes habiller de gros mentaux et de haches, ça n'était pas les cavalier de la dernière fois.
Sandor sorti son épée près au combat, mais alors que leurs attaquent foncèrent droit sur eux, des autre cris résonnèrent dans le sens inverse. Sandor se retourna et vit les cavaliers dans leurs armures argente.
Ils étaient beaucoup plus que la dernière fois, il devait être une trentaine, mais lui et la troupe n'avait pas l'air d'être menacer. Les sauvages frappaient dans les cavaliers.
Sandor se mis en retrait pour mieux observer, oui c'était exacte, les cavaliers ne toucha pas un seul des hommes sans bannières seulement les hommes aux manteaux de fourrure.
Mais Sandor s'aperçut vite que l'un de ses hommes attaqua aussi les sans bannières, ils devaient croire qu'ils étaient aussi de la bataille. Sandor prit alors son épée d'une main ferme et se jeta dans la bataille, il transperça un des hommes puis un autre qui venait en criant vers lui.
Sandor mit une petite pose pour voir ou en était le combat, il vit soudain le chef des cavaliers avec son belle armure tacher de sang fraie, il galopait sur son cheval en direction d'un des hommes rivaux son épée à l'horizontale pour couper la tête de l'homme qui se battait avec l'un des cavalier en détresse.
Le chef se pencha de coter sur sa selle, mais quand il était à quelque centimètre de l'homme, il se baissa et coupa la patte du cheval pour désarçonner son cavalier.
Le chef tomba au sol dans un bruit assourdissant et se releva aussitôt face à l'homme chauve qui venait de coupé la patte de son cheval. Le chef en armure se mit aussitôt en position d'attaque son épée au niveau de son épaule.
L'homme chauve lui fonça dessus tentant de lui transpercer le corps avec sa hache, mais le chef se mis d'un mouvement rapide sur un genou et planta son épée entre les jambes de l'homme qui cria de douleur en lâchant sa hache.
L'inconnu se releva et planta son épée dans un autre ennemi, puis encore un autre. Sandor fut très vite surpris par les prouesses de cette homme, avec des mouvements souples et maitriser il vaincu tous ses ennemi.
Sandor embrocha un autre homme qui c'était jeter sur lui du sang sur le visage, puis il tomba nez à nez avec un autre rival avec une épée. Dans un combat singulier il trancha d'abord une jambe de l'homme puis enfonça son épée dans sa nuque.
Soudain un silence vain, Sandor poussa l'homme d'un coup de pieds pour retirer sa lame et faire tomber le sol, il leva la tête et vit que tous les hommes en mentaux était vaincu, les cavaliers en armure se mirent ensemble autour de leur chef en hurlant de joie pour leur victoire.
Sandor chercha alors du regard Thoros et Beric, il les aperçut très vite au loin en train de décapiter un homme. Il les rejoignit pour s'assurer qu'ils allaient tous bien.
« Fraternité sans bannière ! Cria Beric pour que ses hommes restant le rejoignent pour faire le compte. Y-a-t-il des blesser ? Demanda-t-il.
-Non. »Répondit un des hommes.
Il ne restait plus que cinq hommes, ils avaient donc perdu cinq autres. Beric soupira d'agacement. Soudain un bruit attira l'attention de Sandor, un bruit d'étouffement faisait éco derrière lui.
Il se retourna pour observer le jeune garçon aux yeux bleus avec qui il avait parlé quelque instant avant. Il avait une hache planter en plein dans les poumons, Sandor se baissa à coter de lui et se rappela de ce qu'avait dit le garçon juste avant. Il avait eu peur et maintenant il y est resté.
Il laissa échapper un dernier souffle puis resta fixe, Sandor se releva alors et regarda les cavaliers qui c'était agenouiller devant leur chef. Sandor fronça le sourcil quand il entendit quelque mot.
Soudain le chef se tourna vers Sandor et le regarda, même s'il portait son casque, Sandor pouvait sentir son regard sur lui. Mais alors que Sandor s'apprêtait à se tourner vers Beric il s'approcha son armure claquant au rythme de ses pas.
Quand il arriva à quelque pas de Sandor il retira son homme. Sandor senti un pincement au cœur quand il fut surpris de trouver un visage d'une femme au lieu de celui d'un homme. Beric s'avança a coter de Sandor pour mieux la regarder.
Elle avait des cheveux roux et très long, des sourcils plus foncé et des yeux d'un vert tiré vers le gris. Mais son regard était froid et vide, elle n'avait pas l'air très gentil mais plutôt sévère.
« Eh bien, je vous remercie pour votre aide précieuse étranger. Dit-elle en inclinant la tête respectueusement.
-Nous ne sommes pas des étrangers. Rectifia Sandor d'une voix grave.
-Vous n'êtes pas de ma maison, alors vous êtes des étrangers. Dit-elle en regardant Beric puis Sandor. Et puis étranger ou pas, vous venez de pénétré notre territoire. Amener les. »Ordonna-t-elle à ses gardes qui était derrière elle.
Ses soldats vinrent se mettre derrière chaque homme de la fraternité pour les prendre par les bras, ils les poussèrent pour qu'ils avancent. Deux prirent les bras de Sandor et l'enroulèrent d'une corde pour immobiliser ses bras. Sandor laissa échapper un grognement et se débâti.
« Ne vous débâtez pas, ou ils seront obligés de vous battre. »Dit-elle en les regardant les uns après les autres.
Sandor la regarda avec haine, il ne l'aimait pas du tout, cette femme était le mal incarné. Elle marchait comme si elle était rien de ce monde.
« Madame. » Dit un homme en s'inclinant et en montrant un soldat au sol.
La femme regarda un homme blesser au sol encore en train de gémir de ses blessures, il avait un bras manquant et un bout de bois planter dans le ventre. La femme aux cheveux roux se baissa alors vers l'homme et glissa ses doigts sur sa joue. Elle se releva alors et sorti son épée pour venir la plantée d'un coup sec dans le cœur du soldat.
Sandor senti un frisson le parcourir, ce n'était pas la première fois qu'il voit ce genre de chose, mais venant d'une femme le mettait mal à l'aise. Habituellement ses être était fragile et s'évanouissait à la vision du sang. Enfin c'est ce que Sandor avait retenu de Port Réal. Malgré Brienne et Arya, il n'arrivait pas à s'y faire à cette vision des choses.
« Ramener son corps, je veux que son père voix ce que sa fait de déclencher une guerre sen me prévenir ! »Ordonna-t-elle en pointant le cadavre avec son épée ensanglanté.
Elle se retourna ensuite vers Sandor et les sans bannière en fronçant les sourcils, elle avait un regard indescriptible, on pourrait dire de la haine et de la tristesse.
Les soldats poussèrent alors Sandor puis les autres en direction des plaines. Après quelque heure de marche, ils arrivèrent devant un camp niché entre deux collines qui plongeait en contre-bas formant une immense crevasse plate.
Les soldats poussèrent les prisonniers jusque sous la plus grande tente. Il se trouvait là alors un homme aux cheveux noir assis en hauteur ou se trouvait à ses coter des serviteurs et des gardes.
La femme rousse posa un genou au sol et baissa la tête, les soldats fit de même en obligeant à leur prisonniers de faire pareille. Sandor tenta de résister mais ils appuyaient trop fort et son ancienne blessure l'empêchait de résister plus longtemps.
« Que m'amènes-tu ? Demanda-t-il en tendant un verre à un serviteur. Des hommes des forêts j'espère ! Dit-il d'un ton égocentrique.
-Je te ramène des étrangers, ils ont pénétré nos terres il y a deux jours. Dit-elle en se relevant.
-Des étrangers ? Mais que veut-tu que je face avec ça ?! Cria l'homme en prenant une gorger de son vin qui venait d'être servit.
- Ils ont combattu contre les hommes des forêts et nous ont aidé à mettre fin à cette stupide embuscade plus vite. Dit-elle d'une voix sure.
-Ma très chère Mansy, je pense que te mettre dans une armure et te donner une épée entre les mains était m's plus grosse erreur ! Dit-il avec une voix dramatique et exagérer. Tu m'apporte des bons à rien pour que je fasse quoi me salir les mains ? Dit-il en montrant ses mains les sourcils froncés.
-Tu veux leurs coupées la tête ? Demanda-t-elle d'une voix montant dans les aigues.
-Non ! Mais toi tu vas le faire. Dit-il en tendant de nouveau son verre au serviteur.
-Ils nous ont aidés à combattre les hommes des forêts pour se faire couper la tête ? Ce n'est pas la réaction qu'aurait un roi. Dit-elle en fronçant les sourcils.
-Ah… Ma très chère Mansy, tu m'as dit que tu s'avais que les hommes des forêts allaient attaquer, tu s'avais ou c'était, tu savais combien d'hommes comptait cette attaque et tu avais préparé le nombre exacte d'hommes qu'il te fallait. Dit l'homme en venant se mettre à tourner autour de la combattante. Mais tu avais quand même besoin de l'aide de ses étrangers ? » Demanda-t-il en s'arrêtant face aux prisonniers.
Mansy se tourna aussi face aux prisonniers en froncer lentement les sourcils.
« Je n'ai jamais dit que c'était grâce à eux qu'on à gagner, mais gagner plus vite cette guerre avec moins de dégât que prévus. Dit-elle en se tournant face à l'homme.
-Avec moins de dégâts ? Répéta le roi en se dirigeant vers son trône d'un pas lent.
-De mort. Se rectifia Mansy. Savez-vous au moins ce que veut dire le mot guerre ? Demanda Mansy en faisant quelque pas de plus vers l'homme qui était assis. Probablement pas. Railla-t-elle en inspirant fortement.
-Attention Mansy, tu es peut-être ma femme, mais tu n'es pas autoriser à me parler ainsi. Averti l'homme en le pointant du doigt. Tu es là pour me seconder et je t'ai nommé commandante de tous nos gardes. Dit-il en détournant le regard.
-Oui, c'est vrai. Je suis là pour recoller les morceaux de tes erreurs. Dit-elle en faisant un signe de main par-dessus son épaule à ses gardes. Voilà ce qui se passe qu'on on déclare une guerre s'en avertir son propre commandant. »Dit-elle avec ce regard sombre.
Deux soldats entrèrent dans la tente avec le corps, du garçon qu'elle avait achevé, sur une planche qu'ils posèrent au sol devant l'homme. L'homme aux cheveux noir se leva de son trône un regard stupéfait.
« Notre fils. Et tous sa de ta faute. » Dit-elle en pinçant ses lèvres entre elles.
Sandor et les sans bannières était encore là à observer la scène, il venait d'en apprendre beaucoup en si peu de temps. L'homme aux cheveux noir vain se mettre à genoux aux coter du corps en pleurant comme une petite fille.
La femme rousse vain se mettre derrière lui, lui prit une poigner de cheveux et lui colla l'arrière de sa tête contre con ventre une dague sous sa gorge.
« Maintenant c'est moi qui prend le commandement. »Dit-elle en tranchant d'un coup sec la gorge de l'homme.
Elle le lâcha et le laissa tomber en avant. Elle se retira alors de la scène de crime et demanda à tout le monde de sortir de la tente, elle prit une branche de feu et mis feu à la tente quand tout le monde fut sorti.
Elle se retourna ensuite vers ses soldats un visage grave et la poitrine gonflée.
« Soldat de la maison Vindula ! Je brûle vos serments de chevalier pour vous nommer soldat juré à votre nouvelle reine ! Cria-t-elle pour être sûr que tout le monde l'entende. Que tous se qui s'y oppose me déclare un combat singulier. Dit-elle d'un ton plus calme.
-Je m'y oppose ! Cria un homme barbu. Une femme comme reine ?! Vous avez le cerveau retourné ou vous espérez tous la baisée ? » Cria-t-il en regardant derrière lui en ricanant.
Mais quand il tourna la tête vers Mansy, elle avait déjà son épée pointée vers lui.
« Attention chevalier, je ne suis qu'une meurtrière sen loi. »Dit-elle un sourcil levé et un léger sourire aux lèvres.
Il précipita alors sa main vers son épée mais elle fut trop rapide et lui coupa le bras droit dans un rugissement.
« Salope ! Cria l'homme en tombant à genoux les yeux injecter de sang.
- Je n'ai jamais dit que j'épargnerais la souffrance à mes opposants ? »Dit-elle d'un ton ironique.
Mansy recula alors de quelque pas puis posa la pointe de son épée dans le sol ses mains poser sur son manche en regardant l'homme agoniser.
Elle s'approcha ensuite et vain poser le bout de sa lame sur le ventre de l'homme. Elle appuya légèrement mais suffisamment pour couper l'habille son puis la peau, elle remonta légèrement sa lame jusqu'au cou l'éventrant du nombril jusqu'au cou lentement.
L'homme hurla en fermant les yeux, Mansy retira sa lame puis d'un mouvement précis et puissant coupa la tête de l'homme. Un instant sa tête resta puis tomba au sol roulant jusqu'aux pieds de Sandor.
« Quelqu'un d'autre s'oppose ? Demanda-t-elle en pointant de sa lame chaque visage en première ligne. Non ? Personne ? Demanda-t-elle d'un ton étonner. Etrange, j'avais pourtant entendu plusieurs protestation juste avant et j'écorche se cochon ! »Cria-t-elle son visage redevenu aussi sombre qu'avant.
Mansy se retourna ensuite vers Beric et s'approcha lentement de lui laissant trainer sa lame sur l'herbe, elle la leva vers l'œil cacher de Beric puis avec sa pointe de lame retira d'un coup sec sa protection aux yeux de tous.
Il laissa échapper un souffle de peur au mouvement brusque de la femme aux cheveux roux. Elle mordit sa lèvre inférieure en regardant froidement l'œil manquant de Beric.
« Toi t'as du en voire des choses, enfin maintenant tu ne vois les choses que d'un œil. » Dit-elle en ricanant suivit des autre rires des soldats.
Elle passa son chemin jusque devant Thoros, elle le regarda un instant droit dans les yeux puis sourit en pressant sa lame contre la joue de Thoros laissant du sang de sa victime couler.
« J'ai toujours aimé les hommes aux yeux bleu, mais maintenant, ils sont tous mort. »Dit-elle en regardant d'un air triste Thoros.
Mansy continua son chemin jusqu'à atteindre Sandor, le Limier la regardait d'un air plein de haine. Il voulait la tuer de ses propres mains.
Elle s'arrêta devant lui et le scruta d'un regard froid et sans expression, elle ne dit rien pour le moment, elle leva lentement la main vers la joue de Sandor. Sandor ferma les yeux pour contrôler sa colère, il ne devait pas faire un seule faux pas ou lui est les sans bannière se ferait trancher en deux.
Il attendit le toucher de la femme mais rien ne vain, quand il rouvrit les yeux elle était dos à lui les mains croisées dans le dos. Pourquoi ne l'avait-elle pas toucher ?
